Le Joli Mois De Mai 10 Ème Partie : Partouze Et Rugby
Les invités tous repartis vers leurs vies « normales », nous nous sommes retrouvés en compagnie de nos hôtes, de Louise et de Julie. Après un agréable périple dans le Q9 nous arrivons à Bordeaux dans laprès-midi. Passés par le Quai des Chartrons, nous longeons le fleuve, passons devant le miroir deau place de la bourse où séclatent des gamins. Entourés de supporters des deux clubs, nous trouvons une place par miracle proche du numéro quarante-six de lavenue qui marque lentrée des VIP. Nous sommes très vite pris en charge par une hôtesse qui nous accompagne dans une des loges prestige du stade.
Au sommet de la tribune dhonneur, nous avons une vue imprenable sur la pelouse. Il fait bon dans cet espace un peu austère mais confortable. Des fauteuils bleus nous tendent les bras et nous nous retrouvons assis avec un verre de Bordeaux à la main. Des mignardises sont disposées sur des tables derrière nous par une très jolie hôtesse blonde, queue de cheval assez haute, jupe tailleur gris assez strict et un garçon plutôt athlétique en costume noir. Nicolas a encore bien fait les choses.
Le match commence et pendant que les supporters encouragent leur équipe, je me cale dans mon fauteuil à côté de Nicolas. Très vite le match est plié. Toulon mène au score à la mi-temps. Les filles papotent entre elles assez peu intéressées par le match à lexception de Christelle qui se fait expliquer les subtilités du rugby par Valérie. ment le physique des joueurs retient leur attention et elles semblent évoquer en catimini quelques informations sur un joueur bordelais habitué des soirées coquines selon Valérie. Sous les voûtes de la loge les esprits séchauffent sous leffet conjugué du vin qui coule à flot et de la chaleur qui monte. La clim ne fonctionne pas très bien et bien vite nous percevons quelques gémissements derrière nos fauteuils. Nos quatre coquines en sous-vêtements, entreprennent le serveur qui se laisse faire avec gourmandise.
- « Marc fait du handball en club en même temps que ses études. » me dit Nicolas avant de rajouter :
- « Il participe de temps en temps à nos soirées lui aussi. Hier il avait une compétition. Jespère quil ny a pas laissé tout son jus ! »
De retour dune course à la demande de Nicolas, la jeune hôtesse entre dans la loge et tombe en arrêt devant le spectacle offert sous ses yeux. Loin dêtre effarouchée, elle nous observe visiblement intéressée.
Nos adorables furies pompent maintenant à tour de rôle le jeune handballeur, mais il ne peut leur suffire à lui seul et nous sommes encouragés à les rejoindre. Louise et Julie commencent à nous attr le manche et nous astiquent méticuleusement pendant que Christelle et Valérie continuent à sucer Marc. Sous leurs efforts conjugués, sa verge commence à prendre des dimensions impressionnantes. La jeune hôtesse fixe, gourmande, cette bite vraiment énorme tout en se caressant, la jupe maintenant relevée sur les hanches. Son slip écarté dune main, elle fouille son intimité en faisant rouler sous ses doigts disponibles son clitoris. Les yeux brillants et les lèvres entrouvertes, elle se laisse emporter dans de grands mouvements du bassin. Haletante, elle sappuie dos à la table haute derrière elle.
Maintenant bien raide grâce aux talents de Julie, je la rejoins. Sa veste de tailleur est prête à exploser sous la pression de ses seins. Je découvre sur son badge son prénom, Aurélie, en même temps que je la libère de sa veste et de son chemisier en prenant soin de lui laisser son soutien-gorge. Je maccroupis devant elle et commence à la caresser à grands coups de langue. Mes mains remontent le long de son ventre plat et au travers de la fine dentelle blanche je fais rouler leurs pointes entre mes pouces et mes index.
Sa toison blonde sent le musc et je plonge dedans avec délice.
Je me saisis dans une coupe dun préservatif et pousse ma jolie blonde à se tourner vers la baie qui nous sépare des quelque vingt mille spectateurs présents cet après-midi. Penchée vers lavant, la croupe soulignée par sa jupe remontée sur ses hanches, elle empoigne le dossier dun fauteuil et attend offerte que je la prenne. Juchée sur ses talons elle moffre une vulve trempée et brûlante. Je fais tomber mon pantalon à mes pieds et baissant mon boxer jécarte sa petite culotte de la main et menfonce en elle de toute ma longueur. Sans la ménager, je la besogne comme un malotru et à ma grande surprise elle aime ça. Chacun de mes coups de butoir la fait crier.
Pendant ce temps nos compagnes ne se sont pas endormies et Valérie se fait pénétrer par lénorme gourdin de Marc. Elle aussi pliée en deux vers le terrain, complètement nue, elle regarde droit devant elle cette foule ignorant tout de ce qui se passe dans la loge. Christelle à côté delle, empoigne Marc dune main comme elle le ferait dun gode et de lautre caresse la poitrine généreuse de son amie en lui chuchotant à loreille des mots que je ne peux entendre. Entre deux baisers dans le cou, elle me regarde en train de baiser la jeune Aurélie avec ce sourire auquel je commence à mhabi.
Comme un pacha, Nicolas lui, se fait pomper le dard par les deux surs, assis dans son fauteuil sans perdre une miette du match qui se déroule en contrebas. Heureux homme !
Tout à mon ouvrage entre les cuisses de ma blonde, je nen oublie pas pour autant le spectacle que me donne Valérie.
Marc finit par se rendre compte quelle lui demande grâce et cesse enfin de la prendre. Il sextrait delle, énorme : la capote quil porte ne couvre quun petit tiers de sa verge.
Figée dans sa position tout en reprenant son souffle Valérie cède sa place à ma femme. Christelle se hisse sur un des deux tabourets de bar et se penche elle aussi vers lavant. Elle ne touche pas le sol et doit chercher le repose pieds pour se caler. Plus petite que Valérie, la même position naurait été confortable ni pour lui ni pour elle. Par contre, juchée à la bonne hauteur, il pourra la posséder à fond. Placé derrière elle, il se penche et saisit la manette qui sert au réglage de lassise. Sans effort apparent, dune main il relève le fauteuil au bon niveau et se place entre les fesses de ma femme.
Changeant de préservatif, il humecte son pouce de sa salive, le présente entre les lèvres gonflées qui lui sont offertes et dun geste ample il y enfonce son engin. Les yeux dabord fermés de Christelle, souvrent dans une expression ou se lisent la surprise, la douleur et le plaisir. Jamais je ne lavais vue prise par un sexe dhomme aussi gros. Sentant bien que sa partenaire du moment nest pas du même calibre que la précédente, Marc prend son temps mais inexorablement, il entre au plus profond du sexe qui lui est offert.
Par mimétisme et plus modestement, je cale mes propres mouvements sur ceux de cet homme qui transperce ma femme. Un râle accompagne chacune des poussées quelles subissent toutes les deux.
Les deux surs un temps occupées au plaisir de Nicolas se sont rapprochées de la scène et le sollicitent pour quà leur tour elles puissent profiter de son endurance. Cest ainsi quelles se retrouvent à leur tour sur le tabouret abandonné par Christelle pour se faire fouiller par le sexe de cet infatigable amant.
Christelle ma rejoint avec Valérie et pendant que nous nous désaltérons, nous assistons au merveilleux spectacle de ces deux superbes femmes prises à tour de rôle par Nicolas.
Marc et Aurélie ne restent pas de marbre et enfin, notre jeune hôtesse daccueil peut profiter de ce sexe quelle lorgnait depuis le début de notre partie de jambe en lair.
Assis sur un fauteuil les cuisses écartées il laisse la jeune femme le sucer. La bouche béante, ses lèvres dans un O parfait enserrent le sexe de nouveau raide. Cest lui qui imprime à sa partenaire le rythme auquel il veut la posséder. Saisissant sa queue de cheval, il fait faire au doux visage déformé par son sexe un mouvement de haut en bas qui lamène à engouffrer ce pieu de chair jusquà la garde. Sestimant assez excité, il demande à Aurélie de venir dos à lui, sempaler dessus. Il disparaît bien vite en elle alors quelle sappuie sur les accoudoirs des fauteuils voisins pour le faire réapparaître avant de le laisser la reprendre.
Il en est ainsi durant de longues minutes durant lesquelles subjuguées, Christelle, Valérie et moi assistons à cette scène terriblement excitante. Toujours sans ménager sa partenaire, il lui intime lordre de se lever, la plaque sur la baie vitrée et, comme avec Christelle tout à lheure, il humecte son pouce en crachant dessus et le glisse dans son petit anneau pour préparer le terrain puis il la sodomise. La petite hôtesse apprécie visiblement le traitement quil lui réserve et jouit coup sur coup après de longs instants durant lesquels abandonnant toute dignité elle se mit à prononcer des énormités encourageant Marc à lenculer de plus en plus vite et de plus en plus fort. Face à la foule des supporters toulonnais acclamant les vainqueurs, elle monte et redescend, le visage plaqué contre la vitre, au rythme de chaque coup de rein.
Encouragé par son comportement, Marc la traite sans ménagement et la fouraille comme une brute. Décidément insatiable, il la besogne saccompagnant de commentaires :
- « Tu aimes ça quand je tencule hein ! Tu aimes ça, te faire prendre par derrière comme ça hein ? »
Et visiblement ça lui plait.
- « Oh oui, prends-moi, vas-y plus fort, plus fort, oui ! Prends-moi comme ça ! »
Là-dessus, Louise elle aussi se met à jouir pendant que Nicolas la possède. Et cest dans un bel ensemble que les deux jeunes femmes atteignent lorgasme dans des vocalises. Séchappant du délicieux piège dans lequel il est prisonnier, il plonge dans la bouche de sa sur qui nattendait que lui, la bouche ouverte. Il se débarrasse lui aussi de sa capote et après sêtre vigoureusement branlé, il jouit sur le visage de Julie.
Marc à son tour, explose dans le cul de sa partenaire en contractant avec violence à plusieurs reprises ses fesses musclées, sa jeune victime les bras en croix maintenus par ses poignets plaqués contre la vitre.
Ils restent ainsi quelques temps avant de revenir vers nous. Même au repos son sexe est imposant et attire le regard des filles. Julie ne cache pas son intérêt et se positionne clairement comme sa prochaine cible lors dune soirée coquine chez Valérie et Nicolas.
Louise, restera sur sa faim car elle nous apprend quelle doit partir en séminaire dès ce soir, ce sera donc pour une prochaine fois.
- « Il faut que nous aussi nous retournions à la réalité du quotidien. » répond Christelle.
- « Et où a lieu ton séminaire ? »
- « Une semaine avec des ingénieurs commerciaux à la Baule...sur la gestion des conflits... »
Je percute en même temps que Christelle et nous lui proposons de remonter avec nous :
- « Nantes-La baule : une heure de route, pas plus ! »
- « Oh oui ! » senthousiasme ma femme pour qui la célèbre station balnéaire était, jusquà cet instant, sans aucun intérêt !
Je la soupçonne davoir encore une idée derrière la tête. Comment lui en voudrais-je, je ne suis moi-même pas dénué dintentions.
Le stade est vide à lexception des équipes techniques qui saffairent sur la pelouse. Nous finissons les plateaux damuse-bouche et entamons un superbe Pessac-Léognan. Marc et Aurélie se régalent avec nous, comme si de rien nétait. Nous avons pourtant baisé comme des fous et elle va certainement garder un souvenir cuisant de cet après-midi de travail. Etudiante, elle arrondit ses fins de mois en faisant des extras régulièrement. La voilà riche dune expérience quelle ne mettra pas sur son CV.
Ces dames rhabillées, pomponnées, recoiffées et débarrassées des stigmates de notre partouze, nous regagnons lAudi au parking. Julie a pris le numéro de Marc. Ceux-là nattendront pas longtemps avant de se revoir. La petite Aurélie a pointé en retard à la sortie du boulot aujourdhui, mais Nicolas la rassurée. Ses heures lui seront bien payées.
Nous rentrons dans le Médoc après avoir fait un crochet pour déposer Louise afin quelle prenne chez elle ses affaires pour la semaine. Elle nous rejoindra chez Valérie et Nicolas plus tard.
Une dernière tête dans la piscine, puis un tour dans la cave avec notre hôte qui nous offre quelques bouteilles, « des millésimes intéressants » en gage damitié.
Louise arrive vers dix-neuf heures et nous partons ensemble vers Nantes avec un crochet par La Baule.
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