Ma Prof De Philo (Fiction Écrite En 01.2011).
Je me prénomme Kemal. Je suis né en France de père algérien et de mère française mais mes parents ne se sont jamais mariés. Mon paternel était en situation irrégulière à lépoque et il a été expulsé alors que je nétais pas encore né. Cependant, il est toujours resté en contact et il est venu nous voir avec un visa de tourisme presque chaque année. Depuis deux ans, il est avec nous pratiquement en permanence pour aider ma mère qui est commerçante sur les marchés. Mes parents mont éduqué dans le strict respect de la religion de mon père.
Cest ainsi que, tout jeune, jai fréquenté plusieurs années lécole coranique du quartier des 4 000. Au collège, le prof de sport avait remarqué mes dispositions pour la course à pied lors des compétitions entre les divers bahuts. Il minscrivait souvent pour des compétitions dans la région et le lundi, il ne manquait jamais de me féliciter de mes résultats.
De cette époque, jai toujours la même bande de potes qui viennent de temps à autre à la maison et à chaque fois cest le même refrain : Pas de boulot, les filles que nous navons pas, les disques de musique du pays
Jétais le seul à avoir fait des études au lycée et mes parents étaient fiers de moi.
En même temps que mon bac, javais préparé et réussi le concours dentrée pour suivre la préparation au métier de professeur dE.P.S. Je savais que ce serait dur mais au moins jaurais un métier qui me plait au contact des jeunes. Cest grâce à une de mes professeures que jai été attiré par cette filière. Elle connaissait mes performances et mon goût pour les sports. Pendant les deux dernières années du lycée, elle avait toujours su me motiver et me conseiller un peu comme une frangine plus âgée que je navais pas
Dans notre groupe de garçons, les filles navaient pas leur place. Nous restions entre nous mais cela ne nous empêchait pas de les mater, de regarder leur petit cul pris dans un jean moulant à taille basse avec la culotte ou la ficelle du string visible, dadmirer celles qui arborent un piercing au nombril découvert par un vêtement trop court
Bref, ces garces nous font bander mais on ny touche pas alors que certaines se jetteraient presque sur nous
alors que dautres sont couvertes à la mode de chez nous.
Avant de lépouser, je voulais trouver une fille sérieuse, pas une allumeuse comme celles qui tournent autour de nous. Je voudrais aussi quelle partage ma religion et ma foi. Je ne veux non plus pas dun mariage arrangé au pays. Je veux un vrai mariage damour
faire des s. Mais avant, je devais achever ce que jai entrepris : terminer mes études, cinq ans cest long
Mais avant je voulais fréquenter des filles pour minitier au plaisir du sexe afin de bien satisfaire ma future femme pour quelle ne soit pas tentée par dautres hommes. Pour linstant, je suis encore puceau et cela ne me pose pas de problème mais dans mon entourage, jai peu de chances dattirer une fille qui ne passe pas pour une salope ou une pute !
Jai commencé ma deuxième année. Je bosse mes cours à fond et depuis peu, je mentraîne dans une salle darts martiaux afin de mettre plusieurs disciplines sportives à mon actif. En plus, jaide ma mère et mon père à gérer le commerce en préparant la comptabilité et la partie administrative, ce qui nest pas vraiment leur truc.
Début décembre jai rencontré incidemment Madame Hachar, ma professeure sur le marché où jaidais ma mère. Je lavais revue brièvement plusieurs fois depuis que javais quitté le Lycée un an et demi auparavant. Mais cette fois, nous avons longuement bavardé mais nous nétions pas tranquilles, bousculés par les uns et les autres.
Voyant cela, elle me dit de venir chez elle le soir même afin de parler de ce que je faisais. Jai toujours eu beaucoup de respect pour elle et jétais gêné quelle minvite ainsi car nous serions seuls. Mais jétais aussi flatté quelle sintéresse encore à moi
Le reste de la journée, en pensant à elle, à son regard, à sa façon de me regarder droit dans les yeux, mon corps réagissait avec des décharges dadrénaline constantes. Cest fou ce quun regard pénétrant peut générer à lintérieur.
Jen ai parlé à mes potes je ne sais pas pourquoi mais je voulais quils le sachent.
Jadmets que javais la trique en prenant ma moto pour aller chez-elle et en lenjambant pour masseoir comme si jétais en train de prendre ma professeure, comme si la selle était ses fesses. Enfin, un moment de délire impossible à éviter, cétait ma première fois
dans tous les sens du terme.
Arrivé chez-elle, je suis descendu de la moto après avoir hésité un long moment. Et si elle avait changé didée par la suite ? Et si son invitation nétait que politiquement correcte mais dans le fond elle ne mattendait pas vraiment ? Et si
Et si
Tous ces dilemmes à la con furent interrompus par la sonnerie de mon portable. On venait de menvoyer un texto.
Cétait Madame Hachar qui me demandait si jallais venir ou si jétais tout simplement en retard. Cétait le feu vert que jattendais pour foncer. Lorsque la porte sest ouverte, jai été surpris de me trouver en face dune jeune femme dune trentaine dannée qui me dit en arabe :
Entre vite, Anita est occupée avec les préparatifs. Viens je vais te présenter.
Dans le vaste salon, Djamila me présente successivement Salim, Mustapha et Mohammed, les trois hommes en me précisant quil sagit décrivains algériens, kabyles plus précisément. Ce sont tous des amis dAnita ou Madame Hachar comme je lappelais plus respectueusement. Ce groupe damis, elle la rencontré lorsquelle préparait se thèse sur la littérature arabe.
Depuis la cuisine où jentends le bavardage de plusieurs femmes, Anita me crie de me mettre à mon aise, que tout est presque prêt
Bientôt elle arrive en compagnie de deux autres femmes en costume de fête traditionnel qui ont sensiblement son âge, une trentaine finissante.
Toutes les trois portent des plateaux garnis de victuailles diverses alors que sur la table trônent déjà plusieurs bouteilles de jus de fruits et un théière en argent.
Anita me présente aussi ses amies, Fairouz et Naïma qui, avec Djamila, sont les compagnes ou épouses des trois hommes. Si au début, les conversations sont tantôt en arabe, tantôt en kabyle, pour me faciliter les choses les échanges se poursuivent en français car je suis plutôt incertain et hésitant dans ces deux langues.
La soirée se déroule comme dans un rêve. Moi le sportif, le jeune beur de banlieue, je me trouve au milieu de natifs du pays de mon père. Cest génial. Je découvre au détour des conversations de détails de la vie en Algérie, assez dure pour les intellectuels. Dailleurs mes trois interlocuteurs vivent en France. Même si leurs écrits sont des romans, ils mexpliquent quils ne peuvent sempêcher de dépeindre la société telle quelle est.
De mon côté, je parle de ma vie, des difficultés que je commence à rencontrer dans ma cité où mes camarades ne comprennent pas que je poursuive des études supérieures
Peu à peu je me sens isolé, nayant plus dautre horizon que mes parents, mes études et les salles de sports ou je mentraine jusquà lépuisement car je veux réussir. Je veux me sortir de ces cités de banlieue avec leur promiscuité et leurs petits trafics sordides
Il est plus de deux heures du matin quand les hôtes dAnita prennent congé. Je me retrouve seul avec elle, ma timidité initiale vis-à-vis delle refaisant surface alors que pendant toute la soirée, je métais exprimé sans gêne. Elle me félicite en me disant quelle est fière de moi, quil ne faut pas avoir peur de ce que lon est et veut devenir. Ce nest pas en regardant en arrière quon progresse
Nous bavardons ainsi encore plus dune heure. Anita a ouvert une bouteille de champagne en disant :
Avec un peu davance, nous allons fêter la nouvelle année !
Nous abordons des sujets plus légers et une fois de plus, Anita me taquine un peu au sujet des filles. Nous sommes assis tous les deux sur le divan et je sens son parfum un peu épicé venir me chatouiller les narines.
Ma professeure glisse sur le tapis et se met à genoux devant moi. Elle dégrafe la ceinture de mon futal et va chercher ma bite dans mon slip. Pendant que ses mains essayent de retrouver le fruit charnu difficile à sortir de mon boxer fermé, je reste comme paralysé car je nen crois pas mes yeux. Qui aurait dit que cette soirée finirait comme ça
Je vois le beau visage dAnita aux lèvres rouge carmin sapprocher de mon bas ventre et soudain, je me retrouve englouti dans sa bouche chaude et humide. Elle en profite pour masser mes couilles de sa main libre, car lautre est glissée sous sa jupe longue pour caresser son entrejambe.
Je naurais jamais imaginé ce qui se passe ce soir entre Anita et moi. La différence dâge, de milieu social, le respect que jai delle, tout cela aurait du nous éviter de sombrer ainsi dans la débauche
Mais cétait tellement bon de me faire sucer ainsi.
Elle fait de longs allers-et-retours avec sa bouche sur ma bite enduite de salive. Jai chaud. Je sens mon plaisir monter dans ma queue comme lorsquil marrivait, étant adolescent, davoir des pollutions nocturnes sans me masturber. Je naurais jamais osé toucher mon sexe
Soudain, jarrive au point de non retour. Je veux me retirer de sa bouche mais elle me retient. Je ne peux que lui décharger mon foutre dedans
Elle avale aussitôt, comme une biche assoiffée qui découvre une rivière. Je la regarde faire et quelque chose en moi me dit que notre relation ne finira pas là
Anita me dit alors en sessuyant les lèvres :
Pour une première fois, je crois que ça suffit
Quelques minutes plus tard, en chemin pour rentrer chez mes parents, je repasse le film de la soirée. Je ne suis pas prêt de loublier : ces échanges avec les amis dAnita et la fellation inattendue et incroyable quelle venait de maccorder
Rien quen y pensant je me suis mis à bander encore une fois.
Après la soirée passée chez Anita au cours de laquelle jai rencontré ses amis intellos que jai beaucoup appréciés et cette belle fellation quelle ma accordé quand nous nous sommes trouvés en tête-à-tête, je ne savais plus trop où jen étais. Je naurais jamais imaginé avoir une aventure sexuelle avec mon ancienne professeure de lycée. Je la respectais trop pour envisager une telle chose.
Les vacances de fin dannée sont terminées. Pendant la semaine qui vient de sécouler, jai repris les études et je vais à la salle de sports où je mépuise pour ne pas être tenté daller retrouver Anita chez elle comme elle my a invité. A la maison, je suis dhumeur maussade au point que ma mère men fait la remarque et je ne vais plus retrouver les potes au pied des barres dimmeubles comme je le fais de temps à autre.
Mais Anita me prend la tête. Sans arrêt la nuit je repense à cette fellation gourmande qui ma fait gicler dans sa bouche. Chaque fois, ma bite se redresse et je suis tenté de me branler. Je nimaginais pas Anita en femme chaude comme je lai découverte. Pendant les trois années de lycée, javais apprécié sa longue silhouette élégante, ses longs cheveux noirs toujours coiffés en chignon strict, ses yeux marron bordés de long cils noirs, sa bouche aux lèvres pulpeuses bien dessinées et toujours discrètement maquillées.
Ses ensembles tailleur pantalon lui faisaient une tenue élégante et discrète. Il lui fallait faire attention car nous avions dans le bahut quelques mecs chauds qui nauraient pas hésité à la chahuter si elle avait porté des tenues quelque peu provocantes.
Mais ce soir, au moment où vers 22 heures, je quitte la salle de sports, je reçois un SMS :
Tu peux venir ?
Cest Anita ! Aussitôt, je préviens ma mère que je ne rentrerai pas de bonne heure et quelle ne sinquiète pas. Une dizaine de minutes plus tard, jarrive devant limmeuble bourgeois dAnita qui mouvre aussi la porte dentrée.
Les deux étages sont franchis en vitesse. Je suis très impatient de la revoir et mon cur bat à cent lheure. Je sais ce qui mattend et à la fois le suspens attise ma curiosité, une curiosité teintée de perversité. Anita mattends dans lentrebâillement de la porte palière. Jentre aussitôt et elle mentraîne dans son salon où nous nous enlaçons :
Enfin seuls ! Tu mas manqué
Pourquoi nest tu pas venu ?
Immédiatement sa bouche cherche la mienne et nous échangeons des baisers brûlants où nos langues se mêlent, envahissant tantôt la bouche de lun, tantôt la bouche de lautre. Nos corps sont pressés lun contre lautre.
Sous le déshabillé denfer quelle a mis, je sens ses seins durs et pointus frotter mon torse alors que son bassin ondule contre le mien
cest une sensation indescriptible mais très excitante. Je bande au point que ça me fait vraiment mal au sexe.
En faisant glisser son déshabillé et sa nuisette dans un seul mouvement, ma maîtresse soffre bientôt nue à ma vue, ne conservant quun string minuscule. Elle commence à me déshabiller à mon tour en faisant passer mon sweet-shirt par-dessus ma tête et en baissant le pantalon de mon jogging. Je ne porte plus que mon boxer et ma bite est bandée au point que le gland sort au dessus de la ceinture élastiquée.
Nous continuons de nous étreindre, caressant mutuellement nos corps collés lun à lautre. De ses mains elle suit le dessin de mes muscles de bras et mes pectoraux alors que les miennes courent dans son dos des épaules à la raie de ses fesses ou dans ses longs cheveux libres.
Nous nen pouvons bientôt plus. Anita mentraine sur elle en basculant sur le divan où nous continuons de nous étreindre dans des caresses de plus en plus chaudes. Nos pubis frottent lun contre lautre et je vais embrasser ses seins aux tétons proéminents et sensibles. Puis je descends vers la fourche de ses jambes en une multitude de petits baisers humides, baveux, passionnés.
Au passage, je mets ma langue dans son nombril et je la sens frissonner. Je découvre les gestes instinctivement, sans vraiment savoir ce que je fais, à tâtons. Au travers du triangle de dentelle blanche du string, je dépose des baisers chauds sur sa chatte, toute rose et inondée de mouille.
Ma prof presse ma bouche contre elle dans la fourche de ses cuisses quelle maintient encore fermée. Je sens son parfum musqué. Je fais glisser son string et je lôte. Je découvre sa toison au poil dru taillé en une fine bande qui part quelques centimètres en dessous du nombril pour aller jusquau capuchon du clitoris. Quel spectacle. Je navais jamais vu de corps féminin nu autrement quen photo
Je ne sais pas comment faire alors Anita me guide, me priant de glisser ma langue entre ses lèvres intimes, puis de titiller son clito et le sucer. Elle me prie finalement de descendre vers lentrée pour darder ma langue et pénétrer son minou avec elle
Je sens la chaleur humide de son sexe se répandre sous ma langue. Cétait bon et malgré mon inexpérience Anita semble apprécier. Sa respiration saccélère, elle prononce des mots sans suite Humm ! Cest bon
continue
Encore
Je ne sens vraiment à létroit dans mon boxer et ma bite est douloureuse tellement je bande.
Au bout de quelques minutes, le plaisir emporte Anita qui se cambre et se tord sous ma caresse. Quand je me relève, je vois que ses lèvres sexuelles sont rouges, gorgées de sang et gonflées. Du liquide séchappe de sa fente
Cest chaud ! Les bourgeons de ses seins sont sortis et quand je les touche, ils sont tout durs.
Anita fait glisser mon boxer, couvre ma bite dun préservatif et mattire à nouveau entre ses cuisses. Elle na pas besoin de me guider : mon sexe pénètre le sien dès que mon gland trouve lentrée. Que cest bon de se sentir ainsi emprisonné dans une gaine chaude et humide où je commence le va-et-vient.
Anita me guide une fois encore en prenant mes hanches entre ses mains, tantôt elle freine mes mouvements, tantôt elle les accélère. Je suis comme un jouet entre ses bras mais elle sait y faire pour retarder notre jouissance, la laissant refluer pour mieux la faire remonter ensuite.
Bientôt, lun comme lautre nous nen pouvons plus dattendre. Anita se déchaîne sous moi, laissant éclater son plaisir au moment où je me vide au fond de la capote. Je lui avoue timidement :
Cétait très bon Anita. Il faut que tu saches que
tes ma
ma première femme
Je men doutais !
Ma bite, bien quelle ait craché abondamment, est toujours bandée, fichée comme un pieu de chair au fond de son sexe. Nous restons ainsi de longues minutes à savourer nos sensations jusquà ce que mon amante recommence à onduler sous moi.
Cette nuit là, je la passe entre les bras dAnita. Je lui ai fait lamour deux fois et chaque samedi soir, je passe chez elle où elle mapprend tout sur le sexe en disant que si je sais rendre ma femme heureuse, elle ne sera pas tentée daller voir ailleurs
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