Sauter Le Pas...
Je noublierai jamais le 14 avril 2016 ! Ce jour-là, je fêtais mes 30 ans. Ça aurait dû être un jour magnifique et pourtant, jétais seul ! Où était cet Alexandre, beau gosse, sportif, sûr de lui qui, 7 ans plus tôt, épousait Céline et lui promettait de laimer pour toujours ? Ces belles promesses, je les ai perdues dans les draps de nombreuses conquêtes, dont la meilleure amie de Céline ! « Sucer, cest pas tromper », ah bon, cool ! Que dire alors de « baiser avec une capote », cest pas vraiment tromper non plus ? Céline a estimé que si, elle est restée dans notre maison avec nos s, jai dû partir.
Comme une bonne nouvelle narrive jamais seule, mon boss ma proposé daller bosser à 200 km de mes gosses. Quand je dis « proposé », cest un doux euphémisme, soit jy vais soit je vais pointer à Pôle-emploi à la première occasion. Jai donc déménagé !
Voilà, ce 14 avril, je fête mes 30 ans dans une euphorie débordante. Jai lu ici et là, quà 30 ans, on fait un petit bilan de vie. Je crois que je vais men passer, jattendrais la quarantaine !
Nempêche que, même ce jour-là, je continue à voir le verre à moitié plein. Alors, ce jeudi soir, seul ou pas, jai 30 ans, je vais le fêter ! Il y a bien un collègue qui na rien à faire avec qui je vais pouvoir trinquer. Après quelques tentatives de questionnement, je sens que ça va être dur ! Comme par hasard, la plupart ont des trucs de prévus et sexcusent de ne pas pouvoir rester même pour boire un pot. Bon, tant pis, jirais quand même picoler un peu.
Rentré du boulot, je me douche longuement, je me mate un peu et je remarque que je suis encore canon ! 1m 78, 68 kg, des pecs bien développés par des heures de muscu. Je nai pas de bide mais de belles tablettes, quelques poils noirs sur le torse et un petit filet en dessous du nombril qui rejoint mon pubis. Comme je me savonne, je me mets à bander et, bien sûr, comme tous les mecs que nous sommes, je me branle. Dabord doucement puis, comme jéprouve du plaisir, mes mouvements sont plus vifs, mon gland est complètement décalotté, bouillant et gonflé à bloc, ma bite est bien raide, jai maintenant 20 cm par 5cm dans main droite et je mactive.
23h00, je suis prêt à sortir. Oui mais où, je ne connais personne, ça ne fait que 15 jours que je suis arrivé. Je vais bien trouver un bar sympa, je me lance.
Minuit, jai trouvé un bar ou plein de jeunes samusent, ils attendent lheure daller en boîte. Je me mêle à eux, je nai plus 30 ans, jen ai 10 de moins, je passe un bon moment. Mais voilà, à 1h, ils partent tous, le bar se vide et va fermer. Comme jallais partir, je dis à Paul, le barman : « Aller, je vous paye un coup, je fête mes 30 ans aujourdhui ». Il me regarde et me répond : « Tas du bol, je préfère les beaux bruns, assieds-toi, japporte ce quil faut. ». Cest bien ma veine, jai invité un gay ! Il arrive avec une bouteille de téquila et deux verres, il sinstalle, rempli les verres, me souhaite bon anniversaire, on trinque et on avale cul-sec. Il attaque :
« Cest ton anniversaire et tes là, tout seul. Un beau mec comme toi, bien gaulé, tu devrais être en train de téclater ou de tenvoyer en lair, quel gâchis ! »
« Toi au moins, ty vas franco ! Je suis dans une mauvaise passe, divorcé et loin de ma famille mais je ne suis pas totalement désespéré ! Resserre-nous un coup ! »
Il le fait, on trinque en se fixant du regard et on boit :
« Nempêche un beau gosse comme toi, dans la force de lâge, je peux te tenir compagnie si tu veux.
En me disant ça, il me matait de la tête aux pieds et jai senti sa main se poser sur ma cuisse. Là, il sest passé quelque chose en moi, je lai maté moi aussi, en fait je lai scanné comme je le fais avec les meufs que je veux lever. Il ma paru un peu plus petit que moi, mince, pas musclé, les traits très fins, des cheveux blonds et des yeux verts. Des lèvres pulpeuses, jai pensé quil devait bien sucer Bref, jai eu envie de lui sans que je puisse me lexpliquer, jai même senti que je commençais à bander.
Il a senti mon trouble et a porté lestocade finale :
« Viens, jhabite à côté, jai envie de toi ».
Comme un robot, je lai suivi. Ma tête ne fonctionnait plus, jobéissais uniquement à mon sexe. Il marchait devant moi, je matais son petit cul moulé dans son jeans blanc et je rêvais déjà à tout ce que jallais pouvoir lui faire.
On est entré dans son petit appartement, il ma plaqué contre le mur, ma mis la main au paquet et, sentant mon érection, a dit :
« Ouh, cest joli tout ça. Je ten fais de leffet dis donc. Je vais te le fêter ton anniversaire ! »
Il a collé ses lèvres sur les miennes. Cétait mon premier baiser avec un homme, jai trouvé ça bon, instinctivement jai collé mes mains sur ses fesses, il a poussé un long gémissement et son baiser est devenu plus fougueux. De là où jétais, javais vue sur sa chambre, je lai poussé. Comme il reculait, jai enlevé son pull et le mien, il a déboutonné son pantalon, je le lui ai baissé et jai commencé à mordiller ses tétons. Là, jai vu que je navais pas affaire à une meuf, moi qui aime tant moccuper de leurs seins, quimporte. Avant que je puisse réagir, il nous avait fait opérer un demi-tour et il ma poussé sur le lit, jétais allongé sur le dos, je lui ai souri et jai mis mes mains derrière ma tête. Il sest jeté sur moi, ma sucé les tétons, ma léché le ventre tout en déboutonnant mon jeans, il la descendu dun coup, mon boxer a suivi libérant mon sexe qui a jailli, il la saisi dans sa main droite, il a dit :
« Ouah, jen étais sûr, un beau morceau bien raide.
Sitôt dit, sitôt enfourné. Sa langue sest enroulée autour de mon gland, elle titillait mon méat, cela marrachait des petits cris de plaisir. Javais fermé les yeux en signe dabandon total, je sentais ses lèvres coulisser le long de mon membre, sa langue le caresser et sa bouche, quelle douceur, quelle chaleur ! En même temps, il me massait très doucement les couilles, jétais au paradis ! Je ne crois pas quune femme mait déjà fait une telle fellation.
Au bout dun long moment, je lai relevé, il sest allongé sur le ventre et a cambré ses fesses pour me les offrir. Je les ai caressées, massées puis, jai plongé ma langue entre ces deux magnifiques lobes bien fermes. Ma langue est venue se poser sur sa rondelle bien rose et totalement épilée, tout comme ses couilles dailleurs. Il a poussé un long gémissement de plaisir et ma encouragé à poursuivre en appuyant dune main sur ma tête pour que je menfonce en lui. Je men suis occupé comme dun petit minou, je constatais que les réactions étaient les mêmes, il souvrait de mieux en mieux, jarrivais à pénétrer trois doigts, il mouillait de plus en plus et ses gémissements mexcitaient davantage.
Dun coup, il sest redressé, a ouvert un tiroir de la table de nuit, il ma lancé un préservatif et ma dit :
« Enfile-ça et baise-moi. Là, jen peux plus, mets-la moi, ça urge ! »
Jai déchiré lemballage, jai déployé la capote sur ma bite bien raide, je lai lubrifiée avec ma salive, je me suis penché pour lui mordiller un peu les fesses puis je me suis positionné derrière lui, mon gland contre sa rondelle et, avant de pousser, je me suis dit que jallais baiser un mec pour la première fois, jallais sauter le pas !
Je me suis enfoncé doucement mais régulièrement. En même temps, je me suis allongé sur lui, mes mains sont passées sous son torse pour aller titiller ses tétons. Jai commencé les va-et-vient dabord très sensuels et doux puis de plus en plus secs et brutaux.
« Aller, bel hétéro, baise-moi comme une meuf. »
Je suis revenu en lui et jai repris les va-et-vient, jallais de plus en plus profond, jadorais cette sensation. Ses mains me caressaient la poitrine puis il sest mis à se branler, moi je lai embrassé, nos deux langues se sont enroulées lune autour de lautre. A chaque coup de reins, je soufflais fort par le nez et lui poussait un petit gémissement étouffé par ma bouche posée sur la sienne.
Il sest mis à respirer de plus en plus vite et fort et jai soudain senti un liquide chaud mouiller mon ventre. En même temps, ses sphincters se contractaient déclenchant, chez moi, une montée foudroyante de plaisir, jai expulsé tout mon jus dans le préservatif.
Je me suis effondré sur lui, on sest encore embrassé quelques minutes puis jai basculé sur le côté pour mallonger sur le dos. Il ma enlevé le préservatif et ma nettoyé la bite. Il ma regardé et, en souriant, ma dit :
« Alors content de ton cadeau ? »
« Ah oui, jaurais jamais cru que mon premier jus de trentenaire serait pour un mec. Cétait super bon. »
On est resté un moment comme ça, juste le temps de se ressaisir. Ce que je ne savais pas cest que mes deuxième et troisième jus de trentenaire allaient être aussi pour lui
.
Ça cest une autre histoire.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!