Par Amour Pour Mes Voisins
Une fille vient d'emménager à l'étage du dessus, laissé libre depuis trois mois.
La semaine dernière, je la croise dans l'escalier. Celui-ci est très étroit et on ne passe à deux que de profil. En effet, l'immeuble est vétuste et l'escalier est en bois. Les toilettes sont sur le palier.
Arrivée à ma hauteur, elle passe un bras autour de mon cou et pose ses lèvres sur les miennes. Son autre main se pose sur ma braguette et, à travers le tissu, saisi mon sexe. Surpris, je tarde à lui rendre son baiser. La main cherche et trouve la fermeture éclair de mon jean. Elle la descend et pénètre dans mon slip. Pendant qu'elle m'embrasse, elle caresse mon sexe, et je bande. Elle me plaque contre la rampe et accentue son baiser. Elle sort ma queue du pantalon, et, d'une seule main, experte, elle enfile une capote sur ma pine. Elle retire son bras de mon cou et entrouvre son corsage. Un soutien-gorge noir peine à contenir une paire de seins ressemblant à des obus. Elle tire dessus et les aréoles surgissent. Je baisse la tête et en prends une dans ma bouche. Pendant que je la tête, elle ouvre son jean. Elle porte un string noir. J'y plonge la main et glisse un doigt entre les lèvres charnues. Elle est trempée. Je baisse son pantalon et la retourne vers la rampe. Je baisse le string, et, ooohhhh ! Elle a un cul d'enfer. Je saisi mon sexe encapuchonné et elle se penche en avant, le cul proéminent. Je glisse ma main entre ses cuisses et y insère ma queue. Quand le gland pénètre sa vulve, elle pousse un gémissement de plaisir. Je plonge ma queue tout au fond de sa chatte, et la saisit par les hanches. A chaque mouvement, j'augmente la force des coups de reins, jusqu'à ce que mes cuisses heurtent ses fesses. Elle tourna la tête vers moi et chuchota :
- Le cul, maintenant...
Je me retirai de sa chatte. Elle écarta ses fesses avec ses mains. Je posai mon gland sur son petit trou et elle ajouta :
- Très fort !!
D'un seul coup de reins, je me suis enfoncé dans son cul, lui arrachant un râle.
- Plus vite, s'il te plait, plus vite !
J'ai alors tout donné de mes forces et 30 secondes plus tard, j'ai joui dans son cul. Elle m'a attrapé par les hanches en disant :
- Reste jusqu'à la dernière goutte...
Quand ce fut fini, elle me demanda :
- Tu habites l'immeuble ?
- Oui, juste en-dessous de toi.
- Ca te dirait de venir chez moi, ce soir ?
- Bien sûr, pas de problème....
- J'ai un copain qui doit venir, ça te dit, un plan à trois ? J'ai deux trous, vous vous relaierez...
- Pour moi, ça marche !
Le soir, je sonne à sa porte et c'est un putain de beau mec qui vient m'ouvrir.
- Tu viens pour Sonia ? me demanda-t-il. T'habites en dessous ?
- Oui, c'est moi !
- Vas-y, entre. Elle est dans le salon.
Elle était déjà à poil, hormis un string rouge, d'un sexy !!!!
- Lui, c'est Vincent, me dit-elle. Et toi ? J'ai pas eu le temps de te demander.
- Moi, c'est David !
- T'as un beau cul, David, dit Vincent dans mon dos.
- Ah oui ! fit Sonia. J'ai oublié de te dire que Vincent baise aussi bien les mecs que les filles. Ca te gène pas ?
- Je sais pas trop ....
- Tu t'es jamais fait enculer ? s'écrièrent-ils en choeur.
- Il faut que tu essayes, dit Sonia. Tu verras ce que je ressens quand tu me le fais. Mais, j'aimerais être la première, dit-elle en sortant de sous la table un superbe gode-ceinture. J'ai jamais eu un puceau du cul...
Ce fut effectivement le cas. Vincent et moi, avons baisé Sonia, à tour de rôle dans son cul et dans sa chatte, et, toujours ensemble.
- Allez, donne moi ton cul maintenant. Tu te mets à genoux devant l'accoudoir du sofa. Tu couches ta tête sur l'accoudoir et tu me tends ton joli petit cul. Vincent a raison, il est vraiment beau !
Elle posa le gland en plastique sur mon petit trou et poussa. L'anus était trop étroit et Sonia n'avait pas assez de force pour s'enfoncer dans mon cul.
- Retournes-toi, me dit-elle.
Elle présenta l'engin à mes lèvres et dit :
- Lubrifies-le avec ta salive. Sinon Vincent va m'aider et tu risque d'avoir mal. Mouilles-le bien !
J'ouvris la bouche et le sexe factice glissa entre mes lèvres. Vincent regardait la scène et pensait déjà à la suite.
- Reprends la position, dit Sonia.
Je m'éxecutai et Sonia introduit le gode dans mon cul. Comme je le pressentais, Vincent monta sur le sofa et se mit à genoux en face de moi. Il saisit ma tête par les cheveux et me tendit son gros burin.
- Tiens, en voilà un vrai, c'est mieux !
Mes lèvres se refermèrent sur son outil. Il posa ses mains sur ma tête et imprima un va-et-vient à sa grosse bite, allant de plus en plus loin, vers le fond de gorge.
- Vas-y, avale! Ordonna Vincent.
Pris entre deux sexes, un vrai et l'autre factice, j'ai joui comme jamais. J'y ai pris goût, et tous les Vendredi soir, je suis devenu le plat de résistance de mes voisins. Sonia prenait plaisir à prendre des faux sexes de plus en plus gros. Quand à Vincent, son obsession était de tenter d'enfoncer ses couilles dans ma bouche.
Il avait essayé la première fois en tentant de me baiser par la bouche, comme il le faisait dans mon cul. Il me faisait m'allonger sur le dos, et au lieu de planter son membre dans mon cul, il le fourrait dans ma bouche. Quand enfin mes lèvres touchaient les poils de son pubis, il s'appesantissait sur mon visage, me coupant la respiration.
- Allez, ouvre plus grand !
C'était devenu un jeu, presque comme un challenge. J'avais envie de l'aider et j'écartai mes lèvres au maximum. Mais, à ce jour, nous n'y sommes pas encore parvenus.
Je ne désespère pas pour autant. Il reste tellement de Vendredis à vivre pour essayer !
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