Le Fils De Jean 18 Ans Plus Tard Suite Et Ma Vengeance
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
LE FILS DE JEAN 18 ANS PLUS TARD SUITE
Après ses aveux qui me laissent un petit signal de danger, je pensais que la situation était redevenue normale. Pour men assurer, jai posé la question qui fâche « tu ne las pas revu depuis, jespère ? «
La réponse narrive que tardivement « je lui ai appartenu pendant tout ton voyage » stupeur, mais avec calme, je lui demande de continuer son récit.
De bonne heure, le lendemain matin, alors que je déjeunais, la sonnette a retenti ; râlant sur le fait dêtre dérangée ainsi, jai ouvert, et stupeur, cétait ton fils ; je nai pas eu le temps de réagir quil membrassait fougueusement ; jai voulu me dégager de son étreinte, mais me serrant dans ses bras, comme la veille, il ma plaqué contre le mur et refermant la porte dun coup de pied. Sa jambe sest engagée entre les miennes, écartant ainsi ma légère robe de chambre ; très vite il sest rendu compte que jétais nue dessous et me bloquant les épaules avec un bras, il a fini den écarter les pans, dévoilant ainsi mon pubis et ses doigts ont commencé à me fouiller la chatte ; il a fait tomber ma robe de chambres, dévoilant mes seins dont les pointes commençaient à réagir à lemprise de ses doigts. Se penchant sur ma poitrine il sest mis à les mordiller , faisant monter mon plaisir ; mon ventre réclamait, et à la recherche dune possession plus profonde, je poussais mon bassin vers lui, et écartant les jambes, je lui favorisais laccès à ma vulve ; très sûr de lui, il sest brutalement écarté, laissant un grand vide dans mon corps et dans ma tête ; un ho de surprise et de dépit sest échappé de mes lèvres, gémissement que jai aussitôt regretté car je lui prouvais ainsi que javais envie de lui. Pour lui cétait clair et immédiatement, me prenant par la main, il ma emmené dans notre chambre. Ne voulant pas lui appartenir dans notre chambre, jai essayé de refuser, mais me poussant sur le lit, il ma dit :
« Tu vas mappartenir sur votre lit, ainsi tu seras complétement à moi, pas simplement en passade ; je vais te féconder pendant ces trois jours, tu seras ma femme, ce que je voulais déjà lors de nos vacances ; ce soir , Béa viendra nous rejoindre et tu seras à notre disposition, notre jouet ; nous te possèderons tous les deux, tu seras à nous sans possibilité de refus car je sais que tu as envie de nous deux ; et ainsi quand jean reviendra, tu ne pourras plus revenir en arrière »
Dune poussée, il ma plaqué sur le ventre, les jambes pendantes ; ainsi il a pris possession de ma chatte, brutalement, jusquà la garde et à grand coup de piston, il ma amené à la jouissance ; à nouveau jétais à sa merci, mon ventre réclament son sexe et quand il sest répandu, ses jets me percutant le fond de ma matrice, mon bonheur a explosé, bruyamment, longuement ;
« Tu vois, je te fais jouir et ton ventre réclame ma queue ; tu vas mappartenir, tu vas être ma maitresse, tant pis pour ton mari.
En effet le soir, Béa est arrivée ; sans un regard pour lui elle est venu vers moi, offerte car il avait voulu que je lattende nue ; sous ses caresses, je me suis rapidement offerte à ses mains et ses mettant à son tour nue, elle ma fait lamour, doucement ,tendrement ,amoureusement ; comme pour compenser la fougue d son mari, le repoussant quand il a voulu se joindre à nous ; ce nest que bien plus tard quelle ma offert à son mec.
Pendant les deux jours restants avant ton arrivée, je me suis fait prendre, aussi bien par elle, avec mes godes, que par lui, retrouvant avec plaisir à chaque fois, une jouissance profonde. Elle toujours douce et passionne, même amoureuse, lui toujours puissant, prenant son plaisir, sans tenir compte du mien, même si je jouissais à chaque pénétration. Petit à petit, le dégout de ses saillies est monté en moi, alors que je prenais de plus en plus de plaisir avec elle, comme une compensation. Voulant me soumettre à lui, il avait réussi le contraire et quand ils sont partis avant ton arrivée, il a voulu membrasser et me détournant, je lui ai dit que je ne voulais plus le voir ; par contre, autant par provocation, que par envie, jai tendrement enlacé Béa, lui ai dit que javais aimé sa présence et quelle pouvait revenir quand elle voulait, mais avec ton accord.
Voilà tu sais tout. Un peu déconcerté, furieux contre mon fils, je lenlaçais, me promettant dans ma tête de me venger de lui.
La vengeance
Nini a fini de me raconter son aventure, je dirais même sa soumission à mon fils et à sa femme. A priori, tout est fini et nini a repoussé plusieurs fois leurs demandes. Mais cela me reste en travers de la gorge ; non pas quelle ait eu des relations en dehors de notre couple, cela jaime, le fait quils aient monté cette manigance alors que jétais loin, et sans men avertir, ce que jaurais peut être accepté et même favorisé, car jaime voir nini avec un autre homme et que quelle aime beaucoup être avec une femme. Ils mavaient piégés et là non je mappréciais pas et je décidais de me venger, non pas de nini, mais de mon fils et de sa femme. Je décidais alors de monter un scénario, pour quil soit à son tour cocu et quelle subisse la soumission.
Après Quelques coups de fils à mes amis, cest deux vrais copains qui ont répondu présent, après que je leur ai expliqué le pourquoi s de cette expédition un peu spéciale ; rester à trouver le créneau. Loccasion sest présenté alors que mon fis devait rendre visite à sa mère et laisser Béa seule chez elle.
Mes acolytes étant dispos, je téléphonais à Béa, sous un faux prétexte et en lui disant que je serais chez elle dans une heure. A mon arrivée, surprise pour elle, je ne suis pas seul, mes deux amis maccompagnent ; sans lui laisser le temps de sétonner, je la repousse dans la maison et la prenant par la main, je lentraine dans le salon
« Voilà ma chère Béa, tu as profité de mon absence, pour que mon fils me fasse cocu, jai décidé den faire autant avec toi ; mes amis vont pouvoir te prendre et mon fils le saura ; rassure toi, ce sont de bons amants, je les connais bien et je suis sûr que tu vas prendre beaucoup de plaisir et que ta jouissance sera ma vengeance. Sur son visage, létonnement mais pas de révolte ; comme nini, elle aime se faire prendre par plusieurs hommes et je pense quelle va savoir en profiter ;
Rapidement, je lui retire sa robe, découvrant une poitrine nue, les tétons dressés, et un pubis simplement recouvert par un string, déjà enfoncé entre ses deux lobes ; légère crispation de sa part, mais je men tiens pas compte et la faisant pivoter plusieurs fois sur elle-même, je madresse à mes amis :
Elle est à vous, profitez-en, elle sera daccord, car cest une petite salope qui aime les femmes, comme les hommes.
La suite, une série de possession, Béa se livrant sans limite à ses amants dun jour. Sa bouche, sa chatte et son cul furent à tour de rôle comblés par deux fougueux pointeurs ; se faisant, à chaque fois remplir de sperme ; en comme preuve, de nombreuses traces de secrétions, aussi bien sur ses seins, son visage et entre ses cuisses maculées de spermes de de cyprine ; pendant deux heure, elle sest livrée sans complexe réclamant plus de pénétrations, soffrant impudiquement, écartant ses cuisses pour provoquer et faire bander mes amis ;
Pendant ce temps, je filmais, le sexe bandé dans mon jean ; sur le film, on pourrait la voir jouir en continue, sous les diverses saillies ; les yeux révulsés lors de la double vaginale, hurlant de plaisir lors de la double pénétration, ses deux trous étant remplis par deux queues de belles factures. Enfin, épuisés, mes deux comparses ont déposés les armes et leur confiant la camera, à mon tour, je me suis déshabillé, la queue tendu et mapprochant delle :
« Tu tes offerte à mes deux amis, et maintenant je vais te prendre, simplement mais pour moi, il sera cocu ; ce sera la preuve quil nest pas si fort quil le pense et quà lui aussi, cela arrive, et sans quil soit au courant ; il va voir que tu tes fait baiser, sans limite et maintenant je vais te remplir »
Dune seule poussée, je me suis engouffré dans sa chatte, ; elle tenait ses cuisses écartées, sans doute pour mieux me recevoir, et quand ma queue est venue buter au fond de sa matrice, magrippant aux épaules un long feulement sest échappé de ses lèvres et se redressant pour membrasser à pleine bouche elle ma dit « vas-y défonce moi, fais-moi jouir, je tappartiens , fais de moi ta femelle devant ta camera « sans réfléchir, jai commencé à la besogner, furieusement, profondément, oubliant mes rancunes, la baisant pour lamener à la jouissance ; quand soudain, elle est partie dans une longue jouissance, je n ai pas pu me retenir plus longtemps et à mon tour je lai remplie, me retirant avant la fin afin que mon sperme soit visible à lécran.
De retour à la maison, jai montré le film à nini ; sans un mot elle a pris le téléphone, et jai entendu « maintenant tu es cocu, ta femme a été prise par mon homme, en autres, sans que tu le saches et daprès le film, elle en a bien profité » et elle a racroché. Tendrement, je lai prise dans mes bras, et lentrainant dans la chambre, nous avons fait lamour, à nouveau complices.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!