Faites De Moi Votre Sex-Toy ! (Partie 1)
Mes visites au New Fantasme se suivent et se ressemblent, pour mon plus grand bonheur !
Et je dirais même que ça va de mieux en mieux !
J'ai pris l'habitude de me rendre une fois par mois dans ce sex-shop/ciné X/sauna situé à Charleroi.
Cette fois encore, je suis arrivée vers 14h avec l'objectif de rester sur place environ 3h.
Pour résumer en 2 mots : je n'ai pas arrêté un instant !!
A peine sortie du vestiaire, je décide de grimper à l'étage pour voir s'il y a un peu de monde. Là, je suis immédiatement abordée par un homme que j'ai déjà rencontré plusieurs fois dans des clubs. Il me fait comprendre que ça ne lui déplairait pas de passer un moment avec moi.
OK, pas de problème, la grande alcôve est libre, allons-y faire un tour. L'homme s'allonge sur le dos et j'entreprends de le sucer. Un autre homme s'approche au bord du lit, la queue à l'air. Pour moi ce n'est pas facile de m'occuper des 2 à la fois s'ils restent aussi éloignés l'un de l'autre. Je l'invite donc à s'allonger à côté du premier, ce qui me permet de passer d'une queue à l'autre d'un simple mouvement de tête. Comme toujours, de nombreux voyeurs viennent profiter du spectacle. Il faut dire que ma jupe est relevée et que mes fesses rebondies sont à la vue de tous. J'aimerais bien d'ailleurs qu'on y touche, à mes fesses, mais pour l'instant tout le monde reste gentil. Pour l'instant...
Les queues que je suce ne bandent pas assez dur pour passer à l'étape suivante. L'un des 2 hommes décide de jeter l'éponge pour l'instant, tandis que l'autre insiste pour que je continue. Moi, ça ne me motive pas plus que ça. D'après ma longue expérience de suceuse, il ressort que quand la bite ne bande pas après les 2 ou 3 premières minutes, il y a peu de chance que ça évolue dans le bon sens par la suite.
Je propose donc au 2ème larron de refaire une tentative un peu plus tard. Ces 2 hommes sont remplacés par un nouveau venu.
Il prononce ensuite, à l'attention d'un des mecs présents (je saurai ensuite qu'il s'agissait de l'arabe), les mots magiques qu'il me tardait d'entendre : "Vas-y, baise cette pute !"
Aussitôt, je sens une petite queue frénétique s'affairer entre mes fesses ! Ah ! Enfin de la "vraie" action ! J'aime la position dans laquelle je me trouve : debout, jambes écartées, le buste penché en angle droit, une queue en bouche et une autre derrière : le bonheur total. Sans oublier que de nombreux mecs sont occupés à se branler en matant le show qu'on leur offre. Mais voici que ça se termine déjà derrière. Voyant ça, le mec que je suce et qui dirige le jeu depuis quelques minutes continue à orchestrer la suite des évènements. A un autre homme qui s'approche de mon arrière train, il ordonne de me pénétrer. "Vas-y ! Prends la, elle ne demande que ça !!"
Moi, je me demande bien qui est ce type qui a l'air de si bien me connaître ! Mais le moment est mal choisi pour tout interrompre dans le but de l'interroger. Je préfère garder la pose et m'empaler sur le prochain sexe qui s'apprête à m'honorer. Cette queue est un peu plus épaisse que la précédente et l'homme qui me baise va vite jouir. Si les spectateurs sont nombreux, ceux qui ont vraiment l'intention de passer à l'action le sont moins. Et le dominant s'en rend bien compte. Tout à coup, il retire sa queue de ma bouche et le temps que je me redresse, il a disparu ! J'observe chaque homme présent, un énorme point d'interrogation flottant au dessus de mon crâne.
Il m'entraîne dans l'une des cabines où la seule manière de s'isoler est en fermant un rideau. Il me force à m'agenouiller pour que je le suce à fond mais ça ne dure pas : il bande et veut passer au plat de résistance. Moi par contre, je ne résiste pas ;-)
Il me plaque contre le fond de la cabine, où une sorte de fenêtre permet de mater le film de cul qui est projeté dans la salle de ciné. Ca permet aussi aux "cinéphiles" de distinguer le mouvement dans la cabine. Car du mouvement, il y en a : l'homme me pénètre à fond et me punaise littéralement au mur ! Ca va durer comme ça un bon moment jusqu'à ce qu'il m'intime l'ordre de m'accroupir pour lui lécher le cul. Je m'en approche d'abord timidement mais lorsque j'ai la certitude qu'il est bien propre, ma langue fouille goulument son intimité. Un autre mec réclame le même traitement et me voici occupée à léchouiller l'un et l'autre à tour de rôle. Lorsque je me relève, le domi remet le couvert ! Une fois de plus, je suis baisée debout contre le mur ! Et déjà je me dis qu'il ne faut pas que je le laisse partir sans lui avoir demander ses coordonnées car c'est visiblement un homme plein de ressources !
A présent il est temps pour moi de filer aux toilettes pour tenter de me refaire une beauté. En effet, mes vêtements mais aussi mon maquillage ont été mis à rude épreuve.
J'ai à peine le temps d'arriver devant les toilettes que déjà j'y suis rejoint par une vieille connaissance.
"Salut Alexandra, tu vas bien ?"
Il s'agit d'un homme d'origine égyptienne que j'ai déjà rencontré à l'hôtel mais aussi en club. Il a su que je serais présente alors il est venu me "faire un coucou".
"Il n'y a pas un endroit où on peut être un peu tranquille ici ?"
"Ben non, pas vraiment, ya bien possibilité d'avoir une alcôve pour nous pour une heure mais c'est pas gratuit et puis je reste pas longtemps"
"OK, viens, on va dans les toilettes !!"
Ce n'est pas la première fois que j'ai un rapport dans une cabine de toilettes mais aussi loin que je me souvienne aucune de ces expériences ne me laisse un souvenir impérissable.
Je sais que cet homme aime me baiser le cul et d'ailleurs il essaye de le faire, après que je me sois penchée au-dessus de la cuvette (tu parles d'un moment glamour...) mais rien n'y fait : l'espace est trop étroit, je ne peux pas écarter les jambes suffisamment, je ne suis pas à la bonne hauteur. On abandonne donc l'idée de la pénétration et je le termine avec une pipe dont j'ai le secret. Il crache tout dans ma bouche. Je suis tentée de me débarrasser de son sperme dans la cuvette mais finalement je l'avale sans sourciller. Rien ne vaut une bonne dose de vitamines pour tous les microbes.
Ca fait déjà plus d'une heure que je joue sans arrêt et je choisis ce moment pour aller me désaltérer. Après 10 minutes passées au bar, où je fais la connaissance d'un sympathique habitué des lieux, je repars "au combat".
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!