Remplacement - 2/2
« « Vous vous souvenez de Corinne ? Ptêt pas
22 ans, étudiante en kiné, se fait un peu dargent en assurant lintendance dans un club de rugby. Un club quelle connaît bien, où elle était toujours fourrée étant gamine parce que sa mère y travaillait.
Dès le premier jour elle a fait connaissance de Milou et Jonas, les deux deuxième ligne de léquipe, de la copine de Jonas, Christelle. Fait connaissance ? Ben
plus que ça ! Lisez donc la première partie
» »
Le vendredi de cette première semaine, dernier vrai entraînement avant le match du dimanche, Jean-Mi a poussé un coup de gueule : au lieu de sentraîner, les gars me regardaient en rigolant et applaudissaient : je métais mise derrière les poteaux et je rattrapais de volée tous les ballons pendant que le buteur de léquipe sentraînait à taper des pénalités depuis le bord de touche.
Parce que je ne manquais pas un ballon ? ou à cause de mon legging corsaire moulant et de mon tshirt trop court ? Un peu les deux sans doute
Et puis javais oublié de mettre un soutif
et le legging était bien moulant
et cest bête, javais aussi oublié de mettre une culotte
Ce quils ne savaient pas, cest que je jouais au handball et que ballon rond ou ballon ovale, ça ne faisait pas grande différence : jétais adroite.
Les contacts et les chocs non plus ne me faisaient pas peur. Quand jai pris un des boucliers rembourrés quils utilisaient pour sentraîner au placage, ils ont cru à une blague, et puis se sont vite aperçus que je résistais plutôt bien, et jarrivais à détourner limpact des coups dépaule dune rotation le plus souvent ; le hand, cest pas vraiment un sport de fillettes ! Et puis avec mes 1m84 et 72kg, je tiens bien les chocs.
Bon, pas folle quand même, je ne me mettais pas en face des avants ! Là, je ne naurais pas pu résister aux impacts.
Pour faire la maline, je me suis même glissée dans un alignement en touche pendant quils travaillaient les lancements de mauls.
En riant, jai mis une bonne claque sur les fesses de celui que je soupçonnais de tripotages et je suis retournée voir les buteurs. Un des deux, Pascal, grimaçait en se tenant la cuisse. Loccasion de montrer que jétais bonne à autre chose que laver les vestiaires ou me faire peloter
En apprenant labsence prévue de Marie-Jo par une amie, javais vu loccasion de me faire un peu dargent, et à mes profs de fac, javais présenté ma présence dans le Club comme lopportunité dun stage utile à ma formation de kiné : je pouvais quand même pas leur dire que je disparaissais trois semaines pour assurer lintendance et lentretien ! Seul le président du club était au courant de ce mensonge.
Jespérais bien malgré tout avoir loccasion dexercer mes connaissances, et cétait la première occasion. Pascal semblait sêtre blessé et heureux hasard, Pierrick le kiné du club nétait pas là.
Cest sa blessure et un peu plus tard celle de Jonas qui sétait retourné un doigt qui a tout changé
Heureux hasard ? Des blessures ? Eh oui ! Pour moi
Jai accompagné Pascal qui ressentait une tension en haut de la cuisse dans la salle de soins. Il était surpris quand je lai fait sallonger et que jai commencé à le masser, encore plus surpris quand je lui ai dit denlever son short et son slip en lui tendant une serviette :
Et cache tes fesses avec ça ! Je reviens !
Je ne sais pas ce que Milou et Jonas avaient raconté de notre nuit du premier jour, mais Pascal avait un drôle de sourire quand je suis revenue
Eh ! Mais tu fais ça bien, dis-donc !
Quest-ce que tu crois ? Jaurai mon diplôme à la fin de lannée !
Tu déconnes !
Ben non !
Mes pouces remontaient sous la serviette et comment ne pas voir quil avait allongé son sexe vers le bas entre ses jambes, et quil bandait malgré sa verge pliée, son gland tout rose et gonflé et le filet maintenant le prépuce blanchi détirement.
A la fin, jai glissé la main entre ses cuisses et jai pris son sexe à pleine main :
Avec Pierrick aussi, ça te fait cet effet-là ?
Euh
Jai enlevé la serviette et je lui ai claqué les fesses :
Allez retourne-toi que jenveloppe tout ça !
Il avait lair déçu en voyant que je lui tendais entre deux doigts le slip quil avait posé sur la chaise à côté de la table de massage.
Et essaie de remettre le matériel là-dedans, daccord ?
Tes marrante, toi
comment tu veux que je la plie
Essaie toujours !
Jai enveloppé sa cuisse, fini avec de lélasto pour bien maintenir. Il était couché sur le dos, le genou levé. Ma foi
pourquoi pas ?
Jai pris la serviette posée sur le dossier de la chaise et je la lui ai posée sur le visage, en la maintenant dune main quand il a voulu la repousser. Il a laissé faire en sentant ma main sur son slip.
Ça se fait pas ? Moi jaime bien branler un mec ! En plus, celui-là, il était pas mal ! Et puis moccuper de lui sans quil me regarde, franchement, cétait chouette.
Il a tendu une main pour caresser mes fesses à travers le legging, et comme il na rien tenté de plus je nai pas eu à lui taper sur les doigts.
Je lai fait jouir en guettant par la fenêtre en face de moi que personne ne risquait de nous surprendre, et jai pris la serviette de son visage pour essuyer le sperme sur son ventre et mes mains à la fin, avant de remonter son slip :
Voilà ! cest bien, tas été sage !
Tu
faudra dautres massages ?
Tu verras ça avec Pierrick !
Ouais
Il riait et moi aussi. Il ma fait une bise sur la joue en partant pendant que je rangeais le matériel.
Il discutait avec Jean-Mi, qui ma fait signe dapprocher, quand je suis retournée sur le terrain :
Cest vrai ça, Corinne ?
De quoi tu parles, au juste ?
Moi je rigolais mais jai vu que Pascal prenait des couleurs en se mordant les lèvres.
Tes kiné ?
Pas encore, faut attendre la fin de lannée !
Ah ben merde, alors !
il a quoi, Pascal ?
Pas grand-chose, tinquiète pas, une petite contracture, cétait un peu raide mais je lai bien assoupli, ça ira !
Vu comment Pascal me regardait, lui aussi trouvait que je lavais bien assoupli
A la fin de la séance, Jonas sest retourné le majeur de la main droite : le doigt remontant presque à la verticale vers le dos de la main. Ces trucs-là, soit on fait à chaud sans dommage, soit on attend et cest à la fois plus douloureux et plus long à guérir.
Jétais en train de passer un coup de balai dans la salle de muscu quand Milou est venu me chercher en courant :
Jean-Mi tappelle ! Jonas a un pépin.
Grave ?
Non, pas trop, un doigt retourné
pourquoi il veut que tu y ailles, Jean-Mi ?
Peut-être pour que je lui tienne la main et que je lui fasse des bisous ? Il pleure ?
Tu te fous de moi !
Un peu
tu vas pleurer ? Je te ferai des bisous aussi, ten fais pas !
En attendant, cest à Christelle que ten fais !
Eh ! tu vas pas être jaloux !
Je métais arrêtée pour prendre du sparadrap dans la pharmacie avant de rejoindre Jonas :
Allez, baisse-toi que je moccupe de ça !
Quest que tu veux y faire ?
Te couper le doigt ! Oh ! Le majeur en plus ! Cest Christelle qui va être déçue !
Plusieurs des gars sétaient regroupés autour de nous et se marraient.
Bon, donne ta main et pense à un truc drôle !
A quoi ?
Je tattacherai trois doigts ensemble
pense à Christelle ! Tu crois quelle aimera ?
Tes conne ! Aïïïe !!!
Cest fini, tu vas tomber dans les pommes ?
Comment tu sais faire ça toi ?
Au hand, ça arrive souvent, jai appris pour soigner les copines.
Tout autour les gars tendaient loreille et rigolaient pendant que je bandais les doigts de Jonas.
Jean-Mi savait, il avait bien fallu quà lui jexplique après avoir soigné Pascal. Aux autres, je racontais la fac, les études de kiné et bientôt le diplôme, léquipe de hand pour laquelle je jouais. Pascal en rajoutait sur la qualité de mes massages
Il leur dirait comment ça avait fini ? Pour faire le malin, un soir de match, après quelques bières
sans doute !
De toute façon, je savais que Milou et Jonas avaient déjà un peu causé, javais entendu des réflexions dans le vestiaire. Ils navaient pas parlé deux, seulement de Christelle et moi, en conseillant aux autres de planquer leurs copines.
Sans doute parce quils me voyaient autrement que « la fille qui nettoyait derrière eux », ils mont tous donné un coup de main pour ranger les boucliers, les plots, les ballons et les chasubles, cest eux aussi qui ont passé le jet dans le vestiaire et les douches avant de partir, qui ont sorti les grandes poubelles pleines de bouteilles en plastique et des kilomètres délasto dont ils semmaillotaient les poignets, les cuisses, les genoux et les chevilles.
En quatre jours à peine, ils mavaient adoptée ! Jean-Mi ? Les voir faire mon boulot ? Mort de rire !
Je ne les ai pas accompagnés au café de la gare ce soir-là, et je me suis vite doutée le lendemain que Pascal navait pas su tenir sa langue.
Curieusement, ils étaient nombreux à avoir des crampes ou des pointes de contractures méritant un massage ! Pas de chance pour eux, Pierrick, le kiné attitré de l'équipe, était de retour le lendemain, et je les renvoyais vers lui les uns après les autres. Les regards, les sourires pincés
cétait tellement évident ! Pascal avait causé !
Hasard ! Heureux hasard ! Depuis que je suis arrivée au club, ils gagnent ! Et je suis là à tous les matchs, bien sûr, au bord du terrain, un brassard vert autour du bras, pour me précipiter sur le terrain dès quil y a un bobo pendant le match, officiellement chargée des premiers soins, étaler une pommade cicatrisante sur une arcade ou une pommette, emmailloter délasto un genou ou un poignet.
Les copines et les femmes des joueurs me faisaient sérieusement la gueule au début, et puis ça cest calmé, elles ont fini par maccepter ? depuis que je fais officiellement partie du staff médical ? Ce quil se passe dans les vestiaires ou sur la table de massage, heureusement, elles nen savent rien
quoique
jen soupçonne certaines de préférer ne rien savoir
mais à leurs regards, je les sens prêtes à mordre.
Les gars ont triché avec elles pour les calmer en me faisant une réputation de lesbienne, et pour tout dire, jai tout fait pour quelles y croient, et Christelle a joué le jeu, ne se privant pas devant elles de gestes équivoques, ne laissant que peu de doute sur nos relations. Pas très difficile ni pour elle ni pour moi de donner le change, puisque de toute façon cest vrai ! On séclate bien toutes les deux ensemble !
Certaines ricanent et nous regardent de travers, un rien méprisante, et dautres
au moins une en tout cas, ne râlerait pas si je la poussais un peu !
Notre petit jeu, à Christelle et moi, avec les célibataires de léquipe, ça amusait plutôt Milou. Jonas, lui, faisait un peu la tête au début. Mais comme cest chez lui quon se retrouvait le plus souvent en fin de soirée, il a fini par nous accepter comme on est.
Le seul qui faisait vraiment la tête, cest Jean-Mi, lentraîneur. Jaloux ? Non ! Je crois quil avait surtout peur que ça foute la merde entre les gars quand il a su ce qui se passait sur la table de massage
ou que je les fatigue ? Plusieurs fois il a voulu men parler, jai bien vu, mais à chaque fois il sest dégonflé.
Un jour où jai mangé chez lui, cest sa femme qui ma parlé. Ça la faisait rire de le voir tout coincé en me demandant dêtre « moins proche » des gars de léquipe :
Eh ! Cest pas ta fille ! Elle peut bien baiser avec qui elle veut ! Cest parce que cest une fille ? Elles ont pas droit, les filles ? Fous-lui la paix !
En plus, il exagère, je baise pas avec tous !
Peu importe, mais
touche pas à mon homme, daccord ?
Dacc, pas de massage pour lui !
Elle a éclaté de rire :
Parce que
pendant les massages ?
Ça les détend !
Tu métonnes ! pas tous, quand même ?
Jean-Mi sest levé de table en levant les bras au ciel :
Ça suffit, je veux même pas savoir !
Oui chéri, va donc regarder la télé, on cause entre filles ...
Tu
Tu fais avec tous ?
Ben
non. Pas tous ...
La vache ! Pourquoi je suis pas kiné, moi aussi ! les assurances, cest vachement moins drôle ! Et puis des gaillards pareils
Ouais !
Mais
les autres disent que tes avec une fille
Cest une copine.
Ah ! Juste une copine ?
Une
bonne copine.
Eh ben ! Jai limpression davoir raté des étapes, moi !
Avec une fille ?
Elle avait les coudes appuyés sur la table, les mains sur ses joues. Elle riait en se mordant les lèvres, les joues un peu rouges :
Ouais, jai raté ça
Jai pas pu mempêcher ! En partant de chez eux jai planté un baiser sur ses lèvres. Elle faisait les gros yeux en secouant la tête, mais les fois suivantes où je lai croisée, elle avait un drôle de petit sourire, et les soirées daprès-match elle me prenait par la taille en discutant.
Mes relations améliorées avec les autres femmes de joueurs, cest beaucoup à elle que je les dois, sans que je sache ce quelle leur avait dit pour autant
du bien et du rassurant sans doute ! Si elles avaient su !
Parce que leurs bonshommes, mariés ou pas, ils sont presque tous passés sur la table de massage ! Et ils se débrouillaient pour que je sache ce quils espéraient ! Cétait drôle ! Il y avait les timides, qui soupiraient, sans rien oser, mes préférés ! Ceux qui effleuraient mes cuisses comme discrètement pendant que je les massais. Ceux qui me prenaient par le cou dès la salle fermée dans leur dos et posaient un baiser dans mes cheveux.
Ils ne demandaient rien, attendaient, et aucun na jamais essayé de me forcer à quoi que ce soit.
Il me suffisait de dire « Pas aujourdhui » et ils ninsistaient pas.
Ils sétaient donné le mot ? Très certainement ! Aucun nessayait jamais de me peloter vraiment. Ça, quand jen avais envie, cest moi qui leur demandait. Et de ça, jai pu le vérifier, ils ne sen vantaient pas les uns aux autres.
Le plus timide de tous, cétait Bakari. Jamais il nétait venu se faire masser pendant trois semaines. Il attendait toujours que Pierrick soit là, jusquau jour où il a pris une béquille sur une cuisse pendant un entraînement et que jétais seule à être présente.
Vous avez déjà vu un black rougir ? Moi oui : lui. Et il roulait des yeux, évitait mon regard quand je lai accompagné au vestiaire. Il boitait bas et grimaçait mais osait à peine appuyer son bras que javais passé sur mes épaules pour le soutenir.
Lentraînement est fini pour toi aujourdhui. Prends ta douche, je te mettrai de la glace sur la cuisse après.
Cet imbécile navait pas osé se déshabiller devant moi et est parti vers la douche avec son slip, a failli se casser la figure en descendant le petit plan incliné humide qui descendait vers la salle des douches :
Eh ! Va pas te casser un truc en plus, attend, ça glisse !
Je lai rejoint pour le soutenir en tenant son bras jusque sous les pommes de douche.
Il na pas fait exprès, jen suis certaine. Simplement il était troublé, gêné et à peine arrivé il a appuyé sur le bouton déclenchant leau : sauf que je lavais accompagné jusque-là et que je me suis faite arroser moi aussi. Mes cheveux, mon tshirt, mes chaussures étaient mouillés :
ACH ! Hey ! Baka ! Moi je taide, et toi tu me mouilles ! Et tas même pas pris de quoi te laver ! Attend, jy vais
Bon, cétait pas tout à fait innocent ! Bien sûr mon tshirt était mouillé
mais jétais pas obligée de lenlever avant de lui amener le produit de douche que jai pris dans son sac.
On aurait dit que les yeux allaient lui sortir de la tête quand il ma vue le rejoindre en soutif. Il restait immobile, les bras ballants, scotché, les yeux rivés sur mes seins.
Ce quil ma pris ? Lenvie ! Tout bêtement lenvie.
Jai versé une noix de produit dans ma main et jai frotté son torse. Ce type à des pectoraux et des abdos extraordinaires ! Je lai savonné. Pour le laver ? Bien sûr que non ! Son odeur forte de transpiration me plaisait plutôt ! Je le savonnais pour le plaisir de mes mains sur ses tablettes de chocolat, pour sa peau noire si lisse sous mes doigts.
Tes toute mouillée, maintenant
Si tu savais ! Bouge pas ! Te sauve pas !
Jai rincé mes mains et je me suis déshabillée : mes chaussures, mon pantalon de survêtement
Jai hésité ? Peut-être un peu, pas longtemps. Mon soutien-gorge et ma culotte.
Oui, les blacks rougissent ! Et ça se voit ! Moi ? Javais sûrement les joues rouges aussi en mavançant vers lui. Jai recommencé à le laver, ses épaules, ses bras quil gardait le long du corps sans oser bouger, que je soulevais en glissant les mains dessous pour enduire ses flancs de mousse.
Il a poussé un drôle de petit couinement quand jai glissé mes pouces sous la taille de son slip. Je lai étiré pour libérer son sexe qui sest détendu comme un ressort. Je me suis accroupie pour le lui enlever complètement avant de lever les yeux.
Lui était resté scotché sur mes seins, moi je suis restée scotchée devant sa queue. Elle se tenait presque verticale, battait doucement de saccades nerveuses de haut en bas. Un sexe comme on imagine, parfois à tort, dailleurs, mais pour lui à raison, le sexe des blacks.
A peine cambrée en arc, épaisse et veinée, vraiment épaisse, et longue, vraiment longue ! Milou, cétait déjà quelque chose ! Euh
je vous ai pas dit, mais Jérémy, un trois-quart, est plutôt gâté par la nature lui aussi
et je vous ai dit, entre les vestiaires et les massages, lanatomie des gars de léquipe na pas vraiment de secrets pour moi
On peut même dire que je la connais sur le bout des doigts
Mais Baka ! Cest carrément une autre planète !
Eh ! ça peut être vachement beau une queue ! Et la sienne, mes aïeux ! Pas seulement à cause de la taille ! Mais tout ! La proportion, laspect
Et en plus il a pas un poil ! ni sur les pectoraux ni sur les cuisses, ni sur le ventre à la racine de la verge ni sur les couilles. Une jolie peau toute lisse toute noire, et au bout un gros bourgeon gonflé rose brun découvert, un bourrelet violacé à la base, la peau plus claire juste en-dessous et le petits replis de peau de la circoncision. Ouais, une belle queue !
Pour ce qui est de la taille, elle aurait pu faire peur. Si, je vous assure !
Milou, je vous ai dit, est pas mal monté lui aussi, et comme je lavais vu sodomiser Christelle, jai pas vraiment eu peur davoir mal quand il ma demandé sil pouvait.
Avec Baka
jattendrai un peu ! Etre sûre dêtre prête
Christelle
elle aime bien jouer de ses doigts au creux de mes reins. De ses doigts ? De sa main toute entière si je la laissais faire
elle insiste
cest bizarre, mais figurez-vous que jaime bien ça
choqués ? Pas dans ma chatte, ça je veux pas ! Pourquoi ? Cest comme ça
je préfère quelle joue entre mes fesses !
Baka
il nosait pas bouger, les bras écartés du corps, les muscles des cuisses crispés de tension. Moi je ne regardais que sa verge dressée, dessous contre ses cuisses ses couilles roulaient doucement sous la peau fripée, montaient et redescendait au rythme de ses contractions de nervosité.
Jai tout pris en main en même temps, sa queue dont je ne faisais même pas le tour de mes doigts, ses couilles toutes chaudes et lourdes au creux de ma main.
Je ne lai pas branlé bien longtemps avant quil gicle à longs traits qui marrosaient les joues et les seins.
Je me suis relevée en me tenant à ses cuisses. Il est à peine plus grand que moi. Je me collais contre lui pour lembrasser. Je sentais son sexe dressé entre nous contre mon ventre encore tout raide et tendu pendant que je lembrassais. Il a refermé ses bras sur moi, ses mains dans mon dos qui meffleuraient à peine, comme sil nosait pas malgré ce que je venais de faire et malgré le baiser, malgré mes seins pressés contre ses pectoraux et sa verge dressée pressée contre mon ventre.
Jai fait durer le baiser jusquà ce quil ne tremble plus, jusquà ce quil me le rende, jusquà que je sente que ses grandes mains plus fermes dans mon dos me caresse tout doucement.
Je navais quune envie, le sentir en moi, quil pose vraiment ses mains sur mes seins et mon ventre, quil me fasse lamour, là, tout de suite.
Mais le temps filait. Il nétait pas question que les autres nous trouvent nus tous les deux sous la douche.
La première je suis retournée vers le vestiaire en ramassant mes affaires mouillées au passage.
Je venais à peine de traverser le couloir pour aller dans le vestiaire des arbitres que jutilisais pour me changer quand jai entendu le bruit des crampons de ceux qui revenaient de lentraînement.
Jean-Mi est venu frapper à la porte :
Ça va, Bakari ?
Une béquille, pas grave. Quand il sera douché tu me lenvoies ! Eh ! Quil reste en short, je lui mettrai de la glace !
OK ! je te lenvoie !
Je lai entendu de la bouche dune des petites copines
« salope ». Certaines se détournaient, dautres non.
Elle peut bien penser ce quelle veut, cette conne. Parce quil mest arrivé de branler son mec ? Dabord, ça, elle le sait même pas ! ça métonnerait quil sen soit vanté ! Parce que les gars me prennent par le cou et rigolent avec moi ? Ben
elle a quà rigoler avec son mec !
Moi, jaime le sexe, les gars du club aussi, et à 22 ans je vois pas ce qui pourrait mempêcher den profiter. Je lui vole un truc à cette greluche ? Même pas ! Son mec rentre chez elle tous les soirs !
Pour Milou, elles savent. Pour Christelle : aussi, et donc elles se doutent que comme Jonas est dans le coin
Alors ça fait de moi une dépravée !
Une fille qui baise pour le fun, qui est même pas amoureuse, parce que bien sûr, quand on est amoureuse on est exclusive, cest ment une salope ! Et puis baiser avec une fille, cest pas naturel, pas vrai ?
Ben non, je suis pas amoureuse ! Mais vous voulez savoir ? Je les aime ! Tous ! Milou et Jonas, Christelle, et ceux que je branle sur la table de massage, et ceux qui me mettent la main aux fesses, et figurez-vous que de temps en temps je leur roule une pelle et que jaime bien quils me mettent la main dans la culotte ! Cest même moi qui le leur demande !
Et alors ?
Bon, pas amoureuse, mais
Milou, Christelle, Baka
cest des cas à part ! Eux, ce quils pensent de moi, ça compte.
Les autres ? Dans le fond, cest pas bien important. Et puis je vais pas continuer à les branler comme ça tout le temps. Mettons que cest
pour créer des liens ?
Non, honnêtement, cest parce que jaime bien faire jouir un mec, tenir sa queue dans ma main et tripoter ses couilles, les voir se crisper, écouter les petits bruits quils font, voir leurs yeux chavirer. Cest mal ? Tant pis !
Alors « salope », si elle veulent ! Je men fous. Nempêche que moi, je sais ce que leurs mecs ont dans la culotte, les petites et les grosses, les velues et les rasées, je sais les longs à venir et les éjaculateurs précoces, ceux qui savent faire mouiller une fille et les maladroits. Celle qui ma traitée de salope, je comprends : son mec, il cumule un peu ! Une jalouse ! Une coincée ou une frustrée ! Cest quand même pas ma faute à moi, si elle prend pas son pied, si ? Et puis cest pas à elle que jirai titiller labricot ! Par contre, sa copine, Magali, je dirai pas non ! Christelle non plus, dailleurs, et un jour où on en parlait, Milou a dit "je me laisserai bien tenter " .... mais là, ça fait tout de suite partouze, ça pourrait la coincer, la belle Magali !
Vous savez pas ? Je vais marrêter là. Sil se passe quelque chose qui en vaut la peine, je reviendrai vous dire. Promis !
Misa 05/2016
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