La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 666)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°665) - Abaissé au rang desclave -
Tout juste après ce test copulatoire avec Estelle et imposé par le Maître, Endymion MDE avait pu se restaurer rapidement puis avait été enfermé dans un petit réduit sombre et étroit, dans lequel on ne pouvait se tenir complètement debout. Il allait y passer la nuit. Il sétait endormi sans peine, mort de fatigue quasiment brutalement, juste une couverture posée sur sa peau nue. Il avait été surpris que ni Monsieur le Marquis, ni Madame la Cuisinière ne lui aient posé une cage de chasteté. Cela faisait des mois quil navait pas dormit, la queue à lair libre ! Etrange sensation, comme si cette liberté retrouvée le dérangeait
Le jour nétait pas levé, et le soumis MDE dormait profondément encore lorsquil fut saisi par son collier. Il ouvrit les yeux pour entrcevoir une ombre près de Lui. Une lampe torche léblouissait.
- En levrette, chien !
Evidemment, il reconnut la voix du Maître, tenu courbé près de lui. Le soumis MDE sétait exécuté et sitôt dans la posture adéquate, la main de Monsieur le Marquis lui avait saisi les couilles, les lui tirant et comprimant sans ménagement.
- Tu bandes salope ! Constatait le Maître
Endymion MDE se laissait tripoter la nouille et les burnes en geignant et en se trémoussant. La douloureuse pression exercée sur ces parties intimes le faisait terriblement souffrir, mais paradoxalement, sa bandaison devenait plus ferme encore.
- Regarde-moi chien, mets-toi à genoux devant moi !
La Noble main de Monsieur le Marquis lui triturait plus encore les couilles, le souffle coupé, Endymion se redressait difficilement. Son regard croisa lentrejambe du Maître toujours courbé en deux, tant le local était exigu. Son caleçon était déformé par une bosse conséquente.
- Tu as vu ma queue, petite chienne
Tu mexcites salope !
Quel merveilleux compliment
lui soumis MDE excitait le Maître et le faisait sériger.
- Renifle-moi, et estime-toi heureux de pouvoir le faire, Ma pute ! Dailleurs, sais-tu ce que cest que dêtre Ma pute ? interrogeait Monsieur le Marquis.
Le soumis MDE avait bien quelques idées sur la question, bien souvent le Maitre lui avait affublé ce qualificatif, il le baisait et le faisait baiser comme une vraie putain.
- Non tu ne le sais pas
pas encore
mais tu ne vas pas tarder à le savoir. Tends-moi ton cul de pute, mets-toi en levrette !
Lespace était tellement réduit quEndymion MDE eut bien du mal à se tenir dans la plus parfaite position. Mais la préoccupation du Maître nétait point là. Il avait ôté son caleçon et déjà son gland turgescent pointait sur lanus de Son chien soumis. Il le pénétra dun trait et lencula profondément sans douceur, ni fioriture, sans tenir compte de ses plaintes, ni de ses maux causés par une sodomie brutale et sans préambule. Il le sodomisait, point final ! Le cul dEndymion MDE nétait pourtant pas prêt à se faire bourrer ainsi, car son anus bien dilaté la veille, sétait refermé durant la nuit et de recevoir une telle bite épaisse, drue et ferme en lui, qui le limait profondément, sans quaucune préparation préalable ne lui ait été prodiguée. Il ressentit cette pénétration comme un abus sur son corps, sans que pour autant, il puisse en faire le moindre grief au Maître, au contraire même, il lui en était très reconnaissant, lidée dêtre utilisé comme un simple objet lexcitait, et puis se disait-il en lui-même avec bonheur, à chaque vas et viens profonds : « Ce cul, cette bouche sont la pleine propriété du Maître, jen ai fait don ».
Ces intimes réflexions taraudaient le chien soumis, il bandait même, fermement, outrageusement
lesclave MDE comprit bien vite que les assauts répétés du Maitre, sa sauvage Domination et sodomie, sa volonté bestiale navaient quun seul but : lui faire découvrir ce quil était vraiment, ce pourquoi il était fait, pour qui il le faisait. Le Maître voulait le voir grandir encore dans sa soumission, un total et complet asservissement. Endymion MDE lâchait prise, prenait conscience dune réalité, il affichait une généreuse image dun vrai esclave sexuel, sous des coups de butoirs massifs, totalement dépossédé de son être tout entier. Il constatait encore que ce nétait plus une contrainte pour lui, de sabandonner, de donner la totale maitrise de son esprit, de son corps à celui quil reconnaissait comme un Grand et Vénéré Maître. Il se laissait guider et instruire par celui qui lavait apprivoisé et captivé. Être réduit à la captivité, à lobéissance, à la perte de ses repères, le conduisait vers lapaisement, la sérénité desprit, la quiétude de son corps, en se conformant à lautorité, en acceptant sans aucune retenue sa condition. Le collier, les chaines le délivraient et lui permettaient de se détacher de son propre regard, pour se pencher exclusivement sur le bien-être de celui qui lui permettait dêtre enfin ce quil était profondément, celui qui le révélait à ce quil était : un soumis asservi, un soumis-jouet sexuel, un esclave utilisable à la volonté du Maître. Alors pour le remercier de lavoir éclairer et guider sur le chemin dune vie meilleure, son devoir était de le servir en toute humilité, de se conformer strictement à ses désirs, plaisirs et volontés.
Toujours Sa Noble queue enfouie au plus profond des entrailles de son chien soumis, le Maitre tirait sur sa chevelure pour lui relever la tête, pour quil cambre plus encore ses reins, quil ouvre bien son cul et se laisse pilonner selon Ses suprêmes envies et volontés. Surpris, Endymion MDE létait, jamais le Maître navait été ainsi, ne sétait comporté dune telle manière avec lui, avec autant de bestialité, de vigueur, de virilité
Par Ses pulsions, Son excitation, Son regard, Ses mots méprisants, par Sa Domination sauvage et brutale, par Ses ruades et Ses crachats sur la gueule de Son soumis MDE, il affirmait Sa prégnance, Son autorité, Son ascendance.
Sa nouille de chien soumis le titillait, il aurait aimé la prendre dans sa main et se masturber avec vigueur et énergie, mais le Maître ne lui laissa pas lopportunité de le faire. A cet instant précis, il se dégagea de son trou, lobligea à sortir du cagibi et se coucher sur le dos et de relever les jambes sur sa poitrine, décarter les cuisses et doffrir encore son anus. Il fut de nouveau sailli, longuement, sauvagement, pendant plus dune demi-heure, Il était à 90 degrés en équerre, dos au sol, jambes à la verticale et pieds posés toujours sur les épaules de Monsieur le Marquis jusquau moment où celui-ci libéra son excitation en arrosant copieusement et généreusement son antre tout en poussant des râles comme ceux dune longue agonie
Il resta encore longuement encastré dans son chien soumis, malgré sa jouissance, son chibre gardait un calibre impressionnant. Il le toisait dun air vicieux et pervers
- Suce-moi maintenant, Ma pute !
La fellation dura encore longtemps, très longuement, parfois le Maître, tout en se faisant sucer, fouillait le cul dEndymion avec ses doigts, puis au bout dun certain temps, lui planta profondément un gode dans le fion !
- Jai mal Maître !
- Suce et tais-toi
un esclave obéit simplement, sans se plaindre ! Telle fut la simple réponse du Maître
Alors lesclave MDE oublia ses tourments et suçait ce pieu vibrant sous sa langue, tout en le masturbant et branlant généreusement selon Ses ordres.
- Regarde-moi, chien jai à te parler !
Timidement, le soumis MDE leva les yeux et croisa le regard déterminé du Maître. Dun ton très sérieux il sadressa à lui :
- As-tu bien compris qui tu es, ce que tu es, pour qui tu es ?
- Je suis un chien, Votre chien soumis Maître !
- Pas seulement ?
- Je suis aussi Votre pute, Vénéré Maître,
- Oui mais encore ?
- Heu
, votre soumis Maître ?
- Nas-tu pas ressenti ces profondes enculades comme brutales et bestiales ?
- Si Maître.
- Nas-tu pas ressenti Ma Volonté de te plonger dans la plus parfaite abnégation, dans le renoncement et le sacrifice volontaire ?
- Si Maître.
- Ne comprends-tu point Mon souhait de te conduire dans un monde différent de celui de ta condition actuelle, avec pour seule ambition ta pleine et heureuse satisfaction ?
- Je sais Maître que vous êtes attentif à mon épanouissement et mon bonheur auprès de vous, à vos Nobles Pieds.
- Oui effectivement je suis très attentif à toi, et cest bien pour ça que je vais exiger encore plus de toi. Jusquà aujourdhui tu étais Ma petite chienne, Ma petite pute, Mon soumis, mais jai pleinement conscience que tout ceci nest plus suffisant, jai compris que tu attendais plus pour tépanouir plus
Alors à partir daujourdhui même, tu vas devenir non plus ce soumis parfait, mais MON PARFAIT ET RÉEL ESCLAVE !
Le Maître avait encore choppé Endymion MDE par les couilles les lui serrait, les lui broyait !
- Donne-toi Mon esclave, accepte la douleur, accepte la pression sur tes couilles, libère ton esprit pour mieux te donner afin de mieux me servir, mobéir et me vénérer.
Lesclave Endymion MDE bandait terriblement, alors que ses couilles étaient torturées et malmenées, mais il bandait parce que tellement excité et si heureux de devenir cet esclave, un grand honneur, une immense fierté dêtre désormais lesclave de Monsieur le Marquis dEvans ! Oui désormais, il était pleinement lesclave Endymion MDE..
(A suivre
)
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