Bastien - Chapitre 2 : Made Fantasies
Partie 3 / Bartender
« Cest là que je travaille, vas y entre
mets toi à laise
tu veux boire quelque chose ? »
« Non ça va. Merci
tu es barman ? »
« Oui
ça fait deux ans que je bosse ici
cest plutôt sympa
cest surtout des vieux mais ya pas mal de jeunes qui traînent ici en semaine, des étudiants
cest plutôt cool. Ils viennent là la journée entre leurs cours. On est pas loin de la fac, à pied même pas 10 minutes ... »
« Tu ramènes souvent des mecs ici ? »
« Tu es le deuxième
» et il sapproche de moi, en mode « prédateur », genre « je vais te chopper, mec ». Et je suis pleinement consentant, jeune faon de 23 ans, loin dêtre puceau et très excité par son approche, ses envies et sa proposition inédite et surtout pas vraiment explicitée.
« Viens par là, on sera plus à laise » et il membrasse fougueusement. Son jean est déformé par une jolie trique. Ça me déclenche une même bosse à lentrejambe. Sa langue fouille dans ma bouche, je me laisse faire, jai décidé de me laisser aller, cest le mec pour cela, cest lendroit et la situation idéale et je kiffe grave !
-----
Deux heures que je traîne dans ce lieu de drague en plein centre-ville. Mes hormones bouillonnent. Il faut laisser sortir la bête, ne pas lutter ce serait pire ! Alors jattends le coup de trique de ma vie ou de ma soirée. Il commence à se faire tard, je bosse demain, mais cest pas grave. Il faut contenter le mâle en mal de sexe.
Ici, les mecs ont pour habitude de passer en voiture, de mater la chair en tête de gondole. Si ça plait, ils sarrêtent direct et foncent dans un coin sombre. Sinon, ils passent une fois, puis une seconde 5 minutes plus tard, puis une 3ème fois, une 4ème fois. Avec Fred, un ami rencontré ici il y a deux ans, on sest marré de ce jeu en début de soirée : deux gars nous ont fait le coup. Je passe, je repasse et il ny a que le sexe qui trépasse ! A chaque fois, on leur crie « merci dêtre passés ! Cest sympa ! ».
Fred est parti depuis un bon moment, il a vu à lentrée du parc un de ces potes de sexe, Thibaud, alors il la rejoint et ils sont partis ensemble. A cette heure-ci, ils sont au pieu enlacés ou emboités. Et jsuis content pour Fred. Cest un mec bien, il mérite vraiment de trouver un mec bien. Ça na pas lair dêtre Thibaud. Un an quils couchent ensemble mais ya pas de sentiments. Par contre ils séclatent au lit !
Moi, je ne suis pas loin de me mettre le pénis derrière loreille et daller me coucher. Ya vraiment personne ce soir. Cest mort. Ils font quoi les pédés un soir de semaine ? Y matent la télé ? Bordel
fait un peu froid aussi, faut dire. Cest sans doute ça. Alors même si je suis aussi chaud que la braise, je crois que je vais devoir rentrer bredouille, la bite en berne comme on dit.
Au coin de la rue, alors quil me reste 100 mètres à faire avant de me mettre dans ma voiture, je croise un jeune type, beau gosse, brun, plus grand que moi, élancé, typé sportif à vue dil. Il me dépasse sans trop me regarder, moi je me retourne
je marrête et le regarde fixement. Il a un beau cul. Je ne regarde pas, je mate. Il me plait.
Il a dû le sentir car il se retourne. Il sarrête. Me regarde, me fixe, me sourit.
« Jte connais, non ? »
« Je ne sais pas »
« Si
tes le mec du parc
»
Là je reste sans rien dire
je cherche
quel parc ? Qui il lest cuici ?
« Lautre soir, ya deux mois
tes le mec qui se faisait furieusement baiser
à oilpé dans le parc
je suis sûr »
Bon là ça me revient direct
faut dire que ce soir là, je ne lavais pas regardé de la tête au pied, jétais dans mes petits souliers. Le mec venait de me mater me faire furieusement ramoner, limer, défoncer pendant plus dune demi-heure. Il avait à priori tout maté. Et aujourdhui il me confirme cela mais en plus que cest bien rester gravé dans sa tête.
Il sapproche de moi. Il sourit. Je le dévisage, il est beau ce mec
mais vraiment beau.
Bises
et la conversation commence : tu viens souvent ici, oui et toi
des banalités de pédés qui se cherchent, tentent damorcer le coup en vue dun plan cul
et chacun espère quil viendra vite ce plan, mais fait la conversation, histoire de ne pas paraître rustre ou obsédé sexuel.
Toujours est-il que 20 minutes plus tard jentre avec lui dans le bar fermé où il travaille.
Et 25 minutes plus tard, il membrasse fougueusement
et jaime ça !
-----
Il mentraîne dans le fond du bar. Il menlève mon blouson puis mon sweat. Entre chaque vêtement enlevé, il reprend son baiser de plus en haut chaud bouillant. En moins de deux, je suis à moitié à poil et lui aussi. Il nest pas juste beau, il est top sexy
musclé sec, des pectoraux saillants, des tétons appétissants et pointus, des abdos alléchants et bien dessinés, des hanches fines
et un boxer qui ne masque pas du tout une érection du feu de Dieu ! Fuck
quil est canon !
Il est imberbe. Je préfère les poils, les chemins vers les nombrils des mecs, les torse velus où cest si bon de passer les doigts, les fesses bombées et légèrement duveteuses
rrrrrrraou ! Bon côté fesses, cest bombé, musclé même
mais ya des poils ? mmmmm je ne le sais pas encore
je ne vois pas.
Il membrasse, enroule ma langue et la mélange avec la sienne. Puis ses lèvres prennent possession de mon cou, mes épaules, mes tétons, mon nombril, mon chemin vers le pubis. Il saccroupit. Il att mon boxer de chaque côté, le baisse rapidement. Ma queue se prend dans le tissus de coton, se baisse avec lui et dun coup se libère en venant claquer sur mon bas-ventre.
Je soulève mes pieds et il enlève mon boxer de mes jambes. Il caresse mes jambes, lintérieur de mes cuisses puis mes testicules, il les soupèse, les flatte. Ça me fait bander un peu plus.
Trois coups de langue sur ma queue et il se lève rapidement. Il enlève rapidement son boxer. Il matt par les hanches, membrasse sur les lèvres, puis me retourne. Je navais pas encore remarqué que cette partie du bar était en fait une grande verrière, une véranda. Javais reculé dos tourné puisquil membrassait et me guidait pendant le mouvement. De grandes maisons de maître surplombent la verrière au fond dun jardin attenant à larrière du bar. Heureusement on ne peut pas nous voir du jardin, un mur nous sépare et il fait très noir. Par contre, si quelquun est dans les étages des maisons, il a tout loisir de nous mater. A ceci près que mon hôte a pris soin de nallumer les lumières que du comptoir du bar et nous sommes dans la pénombre.
Il me fait pencher, me dit de me tenir au dossier de la banquette. Je mexécute. Il saccroupit de nouveau et sa langue vient directement fouiller mon anus. Il pointe vers son objectif et enfonce le plus loin sa langue durcie. Il mouille mon conduit, lèche, écarte. Il bouffe mon cul. Jaime vraiment ça. Je me laisse faire, je me sens vraiment très passif ce soir. Les minutes passent, son anulingus dure. Il a lair de kiffer me brouter. Et je ne suis pas près de le désavouer. Je nai pas découvert ça si tôt que ça et vraiment cest un plaisir que je ne dissimule pas : je souffle, gémis et lui exprime par la voix tout le bien quil me fait.
Un doigt saventure doucement, joue avec les plis de ma rosette et étale la salive quil a laissée à cet endroit.
« Monte sur le bar, allonge toi là ».
Il écarte les bouteilles et me fait une place de choix. Je monte avec son aide (cest étroit ce comptoir) et je mallonge. Il reprend ses baisers fougues, il les prolonge de caresses sur mon ventre. Il att ma queue, la branle, caresse de nouveau mes couilles, il les malaxe même. Puis il passe son majeur dans sa bouche, il mouille bien son doigt avant de venir le placer dans mon anus. Il lenfonce bien au fond et commence à le tourner pour écarter les chairs, élargir le trou. Il commence des va-et-vient et sa langue vient fouiller ma bouche de nouveau. Mes jambes sont relevées, les pieds à plat sur le comptoir, mon cul lui est entièrement accessible.
Sa bouche descend sur mes tétons, il les lèche, les pince de ces lèvres, les cageole de sa langue alors quun second doigt vient fouiller mon cul. Sa bouche change de téton, à gauche, à droite, toujours le même programme qui me fait du bien. Mon excitation est au summum. Ses deux doigts sagitent dans mon fondement. Sa langue vient fouiller mon nombril, il pointe dans ce trou (décidemment il veut découvrir tous mes trous !). Il sarrête
sort ses doigts, crache sur son majeur et lenfonce de nouveau dans mon anus.
Alors que ma queue arrive au fond de sa gorge et quil commence une splendide pipe, son majeur fouille et finit par caresser ma prostate, il dessine de belles arabesques sur ma glande qui petit à petit sexcite. La chaleur se diffuse dans mon bas ventre. Mon cerveau est déconnecté. Je ne vis plus que pour le plaisir quil me procure : prostate et verge en feu
il sarrête quand il faut, histoire de prolonger mon supplice et mon délice. Puis il reprend sans trop attendre. Il ne faudrait pas faire disparaître totalement le désir, lenvie. Alors cest reparti de plus belle. Le massage de la prostate dintensifie. Jai chaud, je brûle de lintérieur. Le feu se propage et bientôt mon corps ondule avec les mouvements de son doigt et de sa branle que ses lèvres mimposent. Sa langue senroule autour de mon gland. Je râle. Je gémis. Je jouis déjà. Lorgasme pointe, monte en flèche.
Mais mon bartender sarrête. Sa main droite att sa queue, il caresse son gland, a un frisson de plaisir. Il se branle. Il glisse mon gland entre ses lèvres, sa langue senroule autour, sa glotte frotte sur mon méat, et il recule. Sa branle sactive en rythme avec sa pipe. Je bascule ma tête en arrière, je ferme les yeux. Son doigt glisse davant en arrière et tape dans ma prostate. Il le tourne. Il gémit, je jouis. Je râle. Je crache dans sa gorge. Mes sphincters se serre tout contre son doigt qui simmobilise et masse durement la surface de ma glande prostextatique.
Il avale mon jus dhomme comblé. Je relâche tous mes muscles. Il se raidit. Sa branle lemmène dans les limbes du plaisir et jouit dans sa main. Une ou deux gouttes de liquide blanchâtre tombe au sol. Son pied étale le jus, dans 5 minutes cela aura séché. Je souffle, les yeux mi-clos, je le devine. Il sourit, il est heureux. Sa langue sattarde sur mon gland pour ne pas gâcher ma semence.
Il se redresse, son doigt quitte mon cul, sa langue abandonne mon gland, et il lèche sa main poisseuse.
« Qui a le meilleur goût daprès toi ? »
Je souris. Il nattend pas ma réponse.
« Cest toi
tu aimes le sucre ? ».
Mon jus est sucré plutôt quamer. Jamais goûté mais jy penserai
histoire de voir quil ne ment pas. Il membrasse doucement.
« Merci
». Toi aussi.
Pendant que nous nous rhabillons, il me dit quil a aimé ce plan, que jétais beau allongé sur son bar et quil penserait à moi tous les jours maintenant. Je lui réponds que jai aimé poser mes petites fesses sur son comptoir. Et que je compte bien goûter à sa queue la prochaine fois, par ma bouche et mon cul.
« Tu sais
je suis passif comme toi
mais tu es bien plus endurant que moi »
Dommage.
-----
A la sortie du bar, il est parti à droite, et moi à gauche. Nous nous sommes retournés au même moment, encore synchrones et intimes. Il a levé la main pour me saluer. Je ne lai jamais revu, mais il est resté dans mes meilleurs souvenirs. Mon seul bar tender et mon seul plan allongé sur un comptoir !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!