Valérie, Parisienne Et Libertine
Valérie Parisienne et Libertine
Crise sanitaire oblige, jétais comme nous toutes, enfermée dans cette routine entêtante télétravail, repas, dodo !
Créatrice de bijoux, mes crayons, feutres, et dessins comme les réunions « zoom » rythmaient mes journées dans le confort de mon appartement parisien. Mes nuits, elles, létaient peu (rythmées) !
Célibataire, femme bi et libertine cela faisait 4 mois que ma vie sexuelle était en pause !
Joubliais de me présenter ! Je mappelle Valérie, 54 ans, encore appétissante (je pense). Je mesure 1,72m, un peu ronde, des seins de bonne taille, brune au teint mat, souvenir dorigines ibériques (pilosité comprise !).
Élevée à Paris dans une famille classique, je ne me suis jamais mariée. Après un collège de jeunes filles jai étudié dans une école dart où je me suis spécialisée dans le design ; après une assez longue carrière chez de grands couturiers à créer des bijoux, il y a 10 ans jai monté mon cabinet. Japprécie cette indépendance et sans être devenue une nouvelle Loulou de la Falaise je réussis bien ce qui me donne un certain confort et beaucoup de satisfaction.
Le sexe a toujours tenu une place importante dans ma vie avec les hommes bien sur mais jaime aussi le corps des femmes et mes aventures saphiques sont nombreuses.
Elles ont débuté au collège où dès ladolescence je menhardissais à attirer des filles dans mes filets ; période de baisers volés et caresses intimes dans les toilettes. Cest à 16 ans que jai prodigué mon premier cunni ; elle sappelait Aline et avait le même âge que moi. Il mavait fallu une belle dose de persuasion pour lamener là ! Aline, élevée dans une famille de 5 s était profondément délurée et espiègle mais tout cela était enfoui sous son éducation stricte qui lui interdisait à son âge toute sexualité.
Nous étions amies et ses regards empreints de désir ne mavaient pas échappées. Je me souviens de ce fameux jour où nous nous étions retrouvées dans les toilettes et sous le prétexte quil ny avait pas de papier je lui avais demandé de men apporter.
Je me souviens quelle ait protesté, mollement, lorsque je me suis agenouillée et que jai collé ma bouche sur sa vulve pour la lécher sans doute sans grande finesse !
Nous sommes bien sûr allées plus loin lorsquAline venait dormir à la maison ou le contraire tout ça sous le prétexte de notre amitié ou de nos révisions.
Aline est aujourdhui une mère de famille et une femme qui réussit très bien ; nous déjeunons ensemble régulièrement comme de vieilles amies. Même si je sens bien quelle aimerait céder de nouveau, son statut de femme mariée comme son environnement social agissent cependant comme un frein, puissant.
Ainsi, déjà adolescente, je conduisais ma vie sentimentale comme je lentendais. Cette liberté presque masculine était évidemment diversement appréciée et je traînais une réputation un peu sulfureuse au collège comme parmi mes amis. Je men moquais ! Bonne élève mes parents bienveillants et finalement assez ouverts faisaient taire ces rumeurs.
Seule la sur Thérèse, principale du collège mavait un jour sermonnée ; cétait une femme intelligente qui même dans son rôle dont elle ne se sortait jamais, savait employer les bons mots. « Prends toujours soin de toi et sois prudente. Les sens peuvent parfois temmener là où tu ne voudrais pas aller. Songes-y ; si tu dois les suivre noublies jamais de rester clairvoyante ».
Soumise avec les hommes, je préfère dominer les femmes encore quavec la bonne partenaire je me laisse parfois aller à partager les rôles.
Cest à lâge de 35 ans que jai voulu assouvir mes envies de soumission. Si ces envies étaient très présentes il mavait fallu du temps pour « sauter le pas » non pas pour des raisons morales mais simplement parce que je percevais le double danger celui, physique, de rencontrer la mauvaise personne et celui, plus intime, de pressentir que ces « jeux » pourraient être sans retour.
Au début des années 2000, les sites de rencontres fleurissaient ; inscrite sur plusieurs dentre eux je partis à la recherche de ma première expérience de soumise.
Je me connais et savais que mon choix serait difficile ; dirigeante dune équipe (certes petite) dans ma vie professionnelle, il me fallait accepter de lâcher prise, voire de mabandonner et pour ça il fallait un homme avec une intelligence, un savoir-faire et des « manières ». On sait toutes que ça ne court pas les rues !
Javais à lépoque une relation sexuellement intense avec Justine une femme de 50 ans, mariée et mère de famille. Sans vivre dans la « misère » sexuelle, Justine nen avait pas moins de grandes frustrations. Elle avait depuis toujours le gout des femmes comme celui de la soumission comme elle me lavoua vite.
Je la rencontrai dans un diner à Paris un soir de 2018 ; Justine, grande femme un peu ronde avait ce regard timide et gourmand que je connaissais si bien, celui dune femme que je pourrais emmener vers dautres horizons.
Nous avons longuement échangé ce soir-là sur nos vies, elle aimait les bijoux, un sujet sur lequel je pouvais être intarissable ; de fil en aiguille nous échangeâmes nos téléphones avec la promesse quelle viendrait visiter mon atelier. En nous quittant au milieu des autres invités, je lembrassais en lui chuchotant que parmi mes bijoux je pourrais lui présenter aussi des bijoux intimes.
« A très vite ; jai hâte de découvrir toutes vos créations » lâcha-t-elle.
Justine mappela dès le lendemain matin et vint le jour même prendre un café.
Cétait lété, et lorsque jouvris ma porte, elle se présenta avec une robe chemisier colorée mais un peu courte et le col ouvert plus que nécessaire.
Je la laissai au salon pour préparer les cafés et lorsque je revins elle se tenait debout le dos tourné, son regard sur les toits de la ville quelle découvrait depuis la porte-fenêtre ; le soleil lentourait et je pouvais voir les courbures de son corps que la lumière découpait à travers le fin tissu.
Cherchait-elle à me provoquer ? Si cétait le cas je nallais surement pas tomber dans ce piège, il fallait quelle sache dès maintenant qui dominerait.
Assise nous bavardions, je lui montrais me plus jolies créations, ses yeux brillaient ; comme beaucoup dentre nous, elle aimait les bijoux. Après avoir vu, touché et essayé, colliers bracelets et bagues, il y eut un léger silence que je ne rompis pas, gardant un regard insistant sur ses yeux.
Elle bredouilla enfin : « Tu mas parlé de bijoux intimes hier ; je suis intriguée quest ce que cest ?
Posé sur la table basse se trouvait un écrin que je lui tendis.
« Ouvre-le ! »
Justine sexécuta et jai savouré ce moment où, le visage empourpré, elle découvrit ce plug de métal doré, poli, serti dune pierre de couleur.
Cétait un test, soit elle refermait lécrin et se retirait poliment soit elle restait ; sans jouer gros je reconnais que je la provoquais à dessein. Inutile de perdre trop de temps !
Elle ne partit pas !
« Tu te sers de cet objet ? » demanda-t-elle
-Oui régulièrement pourquoi ?
-Je voulais dire tu ten sers pour toi ?
-Un peu pour moi, beaucoup pour les autres ?
-Tu ten sers avec tes amants ?
-Non, avec mes amantes
Ce faisant je posais ma main légèrement à lintérieur de son genou sur lequel jimprimai une légère pression pour linviter à écarter les jambes ; elle ne résista pas.
Nous ne prononcions aucun mot, je retirai ma main et lorsquà ce moment elle commença à refermer les jambes je pris une voix sèche
« Tu restes comme ça »
Elle obéit, baissa la tête mais je pus voir ses yeux devenir humides.
« Maintenant tu écartes complètement tes cuisses »
Jappréciais ce moment ; Justine pris cette pose inhabituelle quaucune femme ne lui avait sans doute jamais imposée.
« Maintenant, relève ta robe et déboutonne-la »
Ses gestes étaient lents, un peu hésitants mais elle les fit.
Je pouvais voir ses seins un peu lourds comme je les aime ; elle portait une culotte blanche et sage.
« Écarte ta culotte et mets tes doigts dans ta chatte »
« Je ne peux pas faire ça Valérie, je ne peux pas
-Si tu ne peux pas, restons-en là »
Je me levai en attendant quelle fasse de même ; Justine resta assise, leva son regard embué vers moi, sans bouger.
Je mapprochai, lui caressai le visage comme un encouragement, pris sa main que je dirigeai vers son sexe ; elle se laissa faire et arriva à son but.
Son autre main écarta le fin tissu de sa culotte tandis que je voyais ses doigts pénétrer dans sa fente.
« Je ne peux pas me caresser devant toi !
-Je ne te le demande pas. Contente-toi de mettre 2 doigts dans ta vulve »
Je métais déplacée et maintenant, agenouillée devant elle je la regardais faire. Elle fit quelques va-et-vient.
« Donne-moi ta main »
Elle sortit ses 2 doigts quelle me tendit ; ils étaient comme je limaginais, mouillés et odorants !
Je les léchai longuement en la regardant ; jaimais ce moment où elle commençait à lentement sabandonner.
Je devais instaurer la confiance et la faire parler. Elle garda les jambes écartées sans que je le lui demanda.
« Parle-moi un peu de toi et de tes envies
-Je suis mariée depuis 24 ans et jaime mon mari, mais notre « intimité » est aujourdhui classique, en fait elle la toujours été.
-Tu as déjà eu des expériences avec des femmes ?
-Jamais, ça fait longtemps que jen ai envie
-Tu me plais beaucoup et jai envie de te faire découvrir ces plaisirs-là entre autres
-Moi aussi tu me plais tu as lair tellement libre !
-Je le suis depuis toujours
-Que veux-tu dire par entre autres ?
-Et bien jaime les jeux de soumission ; tu vois ce que je veux dire ?
-Un peu, enfin pas très bien. Ca mest arrivée de regarder des vidéos et même de lire à ce sujet
-Ah oui ! Quas-tu lu ?
-Pauline Réage bien sûr et même Sade !
-Et alors quen penses-tu ?
-Il y a dans chacun des passages très excitants mais je ne me vois pas bien encore entrer là-dedans
-Tu as honte, peur ?
-Les deux oui, honte bien sûr mais je vois bien que ce que tu viens de mimposer, je ne lai pas rejeté alors là je suis un peu perdu
-Tu as aimé être un peu humiliée ?
-Beaucoup !
-Je peux faire bien pire lui dis-je avec une moue denvie
Son visage séclaira dun grand sourire
-Je nai pas de doutes là-dessus ! Tu as lair tellement coquine !
-Parle-moi de tes peurs
-Je crois quavec une femme jaurais moins peur, un peu quand même
-Peur davoir mal et aussi peur de ne pas satisfaire ma M
Elle ne prononça pas le mot de Maitresse mais elle en avait déjà beaucoup dit.
-Tu y penses souvent à ces « jeux », tu y penses depuis longtemps ?
-Oh oui ! Je dis ça alors que je te connais à peine ! Mais ça fait si longtemps que jy pense.
-Je comprends ; moi je lai su très vite et très vite aussi jai assouvi ces fantasmes mais tu nes pas la première qui mouline tout ça dans sa tête ; tu sais la plupart ne font jamais rien !
Jen savais déjà beaucoup et comme toujours ce cheminement de mes consurs me touchait.
Je mapprochais delle pour échanger un long baiser, passionné et intime.
Je pris sa main pour la guider vers ma chambre
-Aujourdhui tu nauras que du plaisir, la prochaine fois je commencerai ton éducation de soumise.
Allongée elle se serra contre moi.
Accroupie sur son ventre je caressai ses seins longuement avant de dattr ses tétons que je pinçai fermement mais sans violence ; je sentais sous mes fesses son bassin onduler comme je sentais ses tétons durcir sous la morsure de mes doigts.
Je maccroupis sur son visage, écartais mes fesses pour poser mon petit trou sur sa bouche. Je sentis sa langue sans hésitation me lécher de haut en bas (bon début) avant de sentir sa langue pousser pour me pénétrer. Justine savait se servir de sa langue comme de sa bouche !
Je me soulevai pour lui offrir ma chatte et me penchai pour lui prodiguer la même caresse.
Sa vulve me plaisait, un clitoris assez proéminent de jolies lèvres charnues, promesse de jeux intéressants ; Justine mouillait beaucoup et, à son parfum, jimaginais bien que notre rencontre lavait excitée toute la journée.
En la léchant, je descendis mes doigts pour la pénétrer tandis que de lautre main je caressais son petit trou serré dans lequel jintroduisis un doigt, profondément ; elle y répondit en poussant ses fesses pour amplifier la pénétration. Je navais pas besoin de plus pour frayer un chemin avec un deuxième doigt. Je lui branlais le cul en la léchant et je la sentis vite partir dans un long et puissant orgasme que jaccompagnais du mien.
Lorsquelle accompagna sa bouche de ses doigts je ne pus retenir un écoulement que je lentendis laper avec gourmandise .
Bonne pioche Justine !
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