La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°669)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°668) -

Le lendemain Vanessa se lève aux aurores, elle prépare le petit-déjeuner et sort faire son footing avec son chien avant de rentrer avec des croissants. Laurent se lève tout juste lorsqu’elle passe la porte de la maison. Elle s’approche de lui avec un large sourire et l’embrasse avec passion.

- Des croissants, en quel honneur ?
- C’est aujourd’hui le jour officiel où je m’installe définitivement chez toi, dit-elle d’un ton enjoué.
- Chez nous tu veux dire, la reprend Laurent, qui souhaite plus que tout qu’elle se sente totalement chez elle en sa demeure.
- Chez nous, confirme-t-elle souriante. Bien mangeons, Monsieur Walter arrive avec quelques esclaves de Monsieur Le Marquis à 9h chez moi pour déménager, et je ne voudrais pas le faire attendre, il n’aime pas les retards…
- Craindrais-tu le Majordome de ton Maître ? s’amuse Laurent.
- Oui et Non, ce n’est pas de la crainte, c’est du respect, être à l’heure est une marque de respect envers les personnes qui nous attendent.

Laurent ne répond pas, mais est ravi de la façon de penser de sa compagne. Ils s’installent à table et déjeunent copieusement avant de se préparer à aller chez Vanessa. Celle-ci prend une douche rapide et passe un jogging pour être à l’aise dans le déménagement. Laurent la rejoint dans la voiture et ils prennent la route vers sa maison. Arrivés chez elle, ils ouvrent les volets et font le point sur ce qui doit être fait, Vanessa donne les directives à Laurent qui se chargera du déménagement de l’étage pendant qu’elle gérera le sous-sol. A 9h pile la sonnette retentit, Vanessa remonte rapidement les escaliers pour aller ouvrir la porte, c’est Walter, le Majordome de son Maître en personne qui se présente.

- Bonjour Monsieur, dit-elle, en s’agenouillant sans attendre et les mains dans le dos.
- Voyons Vanessa, relevez-vous, je vous en prie, je ne suis pas venu voir la soumise et vous le savez, dit-il en la prenant par les épaules pour la redresser.


- Je suis désolée Monsieur, je voulais simplement ne pas vous manquer de respect.
- C’est tout à votre honneur, bien, vous n’avez pas encore emballé le café j’espère, histoire que l’on planifie cette journée autour d’une tasse.
- Non mais mon café est de la poudre soluble, je n’ai pas mieux à vous proposer, étant donné que je n’en bois pas, je ne suis pas équipée, répond-t-elle désolée.
- Ça fera parfaitement l’affaire, je vous suis.

Vanessa va à la cuisine, où Walter s’assoit à la table regardant la jeune femme remplir la bouilloire d’eau alors que Laurent les rejoint.

- Bonjour commandant.
- Walter, comment allez-vous ?
- Parfaitement bien, nous allions planifier les opérations.
- Tout est planifié, je serai à l’étage, je pourrai gérer les esclaves qui seront avec moi, il serait peut-être plus simple que vous soyez avec Vanessa au sous-sol.
- Inutile, Vanessa a tous pouvoirs sur les esclaves de Monsieur Le Marquis aujourd’hui, ils ont été briefés, et elle a le droit de sévir si besoin.
- Je ne pourrai pas Monsieur, intervient Vanessa.
- Nous le savons, mais eux ne le savent pas, la crainte suffit à ce qu’ils travaillent vite et bien, répond d’un ton pervers le Majordome. Je serai donc dehors à gérer le chargement du camion.
- Parfait, avant midi tout devrait être fait, où sont les esclaves ? interroge le Commandant.
- Dans le camion, sourit Walter.

Ils se lèvent, Vanessa range le café et file au sous-sol où 5 minutes plus tard quatre soumis de son Maître sortis du camion sous les ordres de Walter, la rejoignent. Elle donne à chacun une tâche et supervise avec savoir-faire le rangement de ses affaires. Les cartons sont très vite remplis à l’étage comme au sous-sol et en quelques heures la maison est vidée, seuls les meubles restent pour le moment. Vanessa monte vérifier que tout est bon à l’étage. Elle découvre un spectacle qui l’interpelle et reste les yeux fixés sur ce qu’elle voit : Son amant est en train d’r d’un soumis plus exactement de sodomiser avec un long et épais gode un des esclaves positionné immobile sur la moquette en levrette, cul largement écarté.
Le Commandant fait aller et venir ce phallus en plastique sans ménagement et de son autre main il lui donne une volée de fessées en même temps qu’il s’exclame :

- Tient, ça t’apprendra à avoir fait tomber ce carton de livres et ensuite tu auras ma grosse queue bien profondément dans ton cul et à la place de ce gode pour avoir corné le livre du dessus du carton dans sa chute...

Vanessa sourit face à cette situation et part vite rejoindre Walter dehors qui termine de superviser le chargement.

- Tout est bon de votre côté ? interroge-t-il.
- Oui, oui tout est vidé.
- Bien, nous allons laisser quelques esclaves pour le ménage, et nous allons chez vous pour décharger les cartons.
- Entendu, je vous précède pour aller ouvrir la maison et vous me rejoignez avec Laurent qui termine une punition avec un des esclaves.

Le Majordome, ayant eu connaissance de cette punition, est fasciné de voir avec quel naturel la jeune femme accepte de voir son amant r sexuellement d’un autre qu’elle. Il se surprend à envier le commandant d’avoir trouvé un équilibre aussi parfait… Vanessa arrive en sa nouvelle demeure, elle ouvre le portail et prépare de la place dans le garage pour le déchargement du camion. Quelques minutes après Walter arrive avec son amant et le camion rempli de ses affaires. Walter ouvre le camion et en fait descendre les esclaves de son Maître, pendant que le Commandant ferme le portail cachant la vue de ce qui se passe au voisinage. Alors s’adressant aux esclaves :

- Retirez vos vêtements, ils sont inutiles ici, ensuite vous déchargerez les cartons dans le garage.

Les soumis obéissent promptement, découvrant leurs corps nus, seulement munis d’une cage de chasteté et de leur collier au cou. Ils commencent à décharger, mais l’un d’eux fait tomber encore un autre carton par maladresse. Il ramasse immédiatement le carton et s’agenouille devant le Majordome qui s’est approché, la cravache à la main.


- Monsieur, je suis désolée, je vous prie de bien vouloir sanctionner ma faute, annonce rapidement l’homme fautif.
- Et que penses-tu mériter, espèce de chien maladroit ?
- Dix coups de cravache, ose-t-il proposer.
- Hum…entendu, à condition que ce soit la propriétaire de ce carton qui te les administre, sinon ce sera le double.

A ces mots le jeune homme envoie un regard implorant vers Vanessa pour la supplier de bien vouloir prendre la cravache que Walter lui tend.

- Monsieur, je ne peux pas, annonce Vanessa à Walter.
- Et pourquoi pas ?
- Je ne m’en sens pas capable, ça me dérange.
- Il te faut un ordre pour pouvoir le faire ? accuse-t-il.
- Je…je…
- Voyons chérie, ce n’est pas si compliqué, intervient le Commandant qui s’est approché, prenant la jeune femme par la taille.
- Je ne peux pas…
- Ce ne sont que dix petits coups, fais-moi ce plaisir, je veux te voir le sanctionner, lui dit-il en l’embrassant.

Vanessa trouve dans ce baiser la force de se saisir de la cravache, elle s’approche de l’homme qui lui présente son postérieur en se positionnant en levrette, ses mains écartant son anus, et sans réfléchir, elle abat un premier coup sans trop de force sur le rond du fessier.

- Si son fessier n’est pas marqué, je recommencerais la sanction pour vingt coups, intervient Walter.

La jeune femme se reprend, elle ferme les yeux pour trouver le courage et abat avec force la cravache plusieurs fois de suite sur le fessier du jeune homme. La série des dix coups effectuée, elle rend tremblante la cravache au Majordome, culpabilisant de son geste. Le Commandant sourit, il la prend dans ses bras, lui caresse doucement les cheveux et lui souffle tendrement à l’oreille :

- Ne t’inquiètes pas, ce jeune soumis t’est reconnaissant de lui avoir évité dix coups de plus.
- Je déteste ça.
- Pourquoi donc ?
- Parce qu’il ne le méritait pas.

- Tu penses que Walter est injuste ?
- Non, mais je ne peux pas réagir comme vous, je suis soumise moi, je ne sais pas dominer.
- Hum, ce n’est pas ce que disent les hommes de la caserne et encore moins les stagiaires qui passent entre tes mains…
- C’est différent, je ne sanctionne que les erreurs importantes.
- Hum, celles que tu considères importantes, tout comme Walter en ce moment. Tu considères que la chute de ce carton n’était pas une faute grave, mais tu vas devoir apprendre que l’éducation d’un soumis ou d’une soumise passe par des sanctions à la moindre erreur, même involontaire, tout comme tes stagiaires, c’est ainsi qu’ils apprennent et qu’ils se perfectionnent.
- Je ne veux pas tenir la cravache, ce n’est pas ma place.
- Tu apprendras à aimer, c’est la volonté de ton Maître, lui apprend son amant.
- Pourquoi, demande la jeune femme surprise.
- Tu le sauras en temps voulu, mais tu dois apprendre à comprendre le côté des dominants, c’est important pour moi.

La fin du déménagement se passe sans autre incident, et Walter attache les esclaves dans le camion avant de refermer la porte…

(A suivre …)

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