Lydie, Du Cinéma Au Sado-Maso

Elle s'appelle Lydie. Je l'ai connue dans un cinéma. J'avais déjà lu dans des BD érotiques, que de jeunes amazones allaient dans les salles obscures, pour branler ou sucer des vieux messieurs. Je ne pensais pas rencontrer LE SEXE dans ce refuge pour mâles de tous âges. J'étais allé voir un épisode des X-Men. La salle était bondée. Dans le cas contraire, je me serai demandé pourquoi une fille aussi sexy s'était assise à côté de moi. Pour l'instant, je ne sentais que son parfum. Je jetai un coup d'oeil sur elle. Elle me regardait. Sa main vint se poser sur ma cuisse. Lentement, ses doigts se rapprochèrent de ma bite. Je sentais ses ongles me piquer la peau, comme des gouttes de pluie qui s'abattent sur vous, pendant un orage. J'étais tendu, attendant avec appréhension, la suite de leur progression. Experte, elle saisit la fermeture éclair de mon pantalon et l'ouvrit pour se frayer le passage vers l'objet de son désir, mon sexe. Sa main passa par l'ouverture et s'introduit dans mon slip. Ses doigts s'enroulèrent autour de ma pine et la sortirent de son logement. Alors, elle se pencha vers moi, et la prit délicatement entre ses dents.
Elle mordilla le bout du gland, et sa langue vint exciter la petite fente déjà brûlante. Elle enduit de salive la hampe de mon braquemart et les couilles aussi. Enfin, m'arrachant un soupir d'aise, ses lèvres mouillées se sont refermées autour du gland. Elles ont glissé le long du manche jusqu'à gober les oeufs, cachés dans les poils. Elle a pris son temps pour remonter et a relâché son emprise. Elle s'est relevée, me laissant pantelant. Elle me regarda et dit :
- Tu vas rester là, à regretter, ou tu viens chez moi, finir le programme ?
J'ai pris sa main, me suis levé et nous sommes sorti du cinéma. Elle m'a emmené jusqu'à sa voiture. Elle a pris l'autoroute de l'ouest et nous avons quitté Paris.
- T'as déjà fait du sado-maso ? Demanda-t-elle.

- Je n'aime pas avoir mal...
- La douleur, c'est pas obligatoire ! Ca peut se simuler. Moi, ce qui m'excite, c'est de dominer un mec. M'habiller de cuir, le déshabiller, l'attacher, le réduire à ma merci, et à la fin, me donner à lui. Ca te dirait ?
- On peut essayer....
On afait une trentaine de kilomètres pour s'arrêter devant une maison plutôt cossue. Elle commanda l'ouverture du portail avec un bip bip. Elle alla se garer derrière la bâtisse. Bizarrement, il n'y avait pas d'étage. Pas de fenêtre non plus. Juste une porte, qu'elle ouvrit. Dans son sac, une télécommande alluma la lumière. Elle me fit entrer, et je poussai un sifflement. Les murs étaient peints en noir et des échelles, des poulies et autres instruments "décoraient" la pièce. Des battes de base-ball, des fouets, des pinces, des martinets, enfin pleins d'objets, garnissaient les parties laissées blanches, sur les murs. Il y avait des cordes, des menottes, enfin tout l'attirail décrit par Le Divin Marquis.
- Tu m'as dit qu'on allait chez toi ?
- Mais nous sommes chez moi ! Mon père m'a laissé cette ancienne grange en mourant. Il avait plein d'argent et j'en ai utilisé une partie pour aménager ma cour de récréation. Tu veux bien patienter, je vais me préparer, dit-elle, en se dirigeant vers la porte du fond. Toi, tu restes là, mes autres invités ne vont pas tarder.
Devant mon air surpris, elle a ajouté :
- J'ai jamais dit qu'on serait seuls ! Et puis, l'invité principal est déjà là !
- Qui ? Moi ?
- Ben oui, toi ! Qu'est-ce que tu crois que je faisais au cinéma ? Je chasse, moi-aussi !
- Si je suis l'invité principal, tu peux rien me refuser ?
- Qu'est-ce que tu veux ?
- J'aimerai te voir te préparer...
- Pourquoi pas, après tout. Allez viens !
Je passai la porte avec elle. Elle se déshabilla entièrement. Elle avait un corps fabuleux. Des seins volumineux, des hanches bien rondes, des fesses, idem. Sa bouche ressemblait à celle des dessins de Peyné. Bref, elle était belle.
Elle ouvrit le tiroir d'une commode et en sortit un rasoir pour femme. Les poils de sa chatte disparurent en un instant, sous l'effet de l'appareil. Ses cheveux aussi. Elle sortit un flacon rempli d'un liquide huileux et s'en frotta tout le corps.
- C'est pour éviter les brûlures du latex !
Enfin, elle dévoila son habit. Un pantalon en latex, extrêmement ajusté. On pouvait voir les détails de son anatomie. Ses fesses étaient fermes et et bien ouvertes. Une ouverture dans la combinaison, laissait voir son petit trou. Devant, le caoutchouc épousait les lèvres de sa chatte. Le haut était aussi moulant que le bas. Ses seins se transformèrent en obus. J'avais devant moi, l'ange déchu, et pourtant triomphant, affublé de son fouet et de son trident. De sa jolie tête, ne restait que le masque noir, où luisait des dents d'une blancheur éclatante.
- Et maintenant ?
- Maintenant, on va rencontrer tes hôtes.
- Mes hôtes ?
- Oui, dit-elle. Le personnage principal c'est toi. Mais, il faut te préparer, toi aussi...
- Ah bon !
D'un autre tiroir, elle sortit un costume à paillettes et un sac en plastique.
- Déshabilles-toi, me dit-elle.
Une fois le costume enfilé, elle dit :
- Tends-moi tes mains !
Du sac plastique, elle sortit une paire de menottes qu'elle me passa aux poignets. Saisissant la chaîne, elle me tira jusqu'au milieu de la pièce. Tout avait changé. Je compris pourquoi, Lydie avait gagné du temps. Des tribunes avaient été montées le long des murs. Elles étaient noires de monde. Au centre de la pièce, une longue table, chargée d'instruments plus terrifiants les uns que les autres. Deux armoires à glaces, déguisés en bourreaux se tenaient debout, les bras croisés sur leur torses nus et musclés, montaient la garde, devant la table. Lisant la peur dans mes yeux, Lydie s'adressa aux spectateurs :
- Amis, après bien des jours de chasse, j'ai enfin trouvé ma proie. Elle tremble de peur. Va-t-on lui faire du mal ?
- Non ! répondirent-ils, nous ne sommes pas des sauvages !
- Va-t-il souffrir ?
- Non, puisqu'il est consentant.
- Voulez-vous qu'il vous le dise ?
- Pourquoi pas, lancèrent quelques voix.
Lydie approcha le micro de ma bouche :
- Dis-leur que tu es là de ton plein gré....
- C'est vrai, j'ai accepté !
Le premier bourreau s'approcha de moi et glissa entre mes dents, une balle en caoutchouc dur, percée d'un cordon qu'il m'attacha derrière la nuque. Lydie s'approcha de moi et me donna un coup de fouet sur les fesses.
- A genoux ! Cria-t-elle.
Je fus étonné de ne rien sentir. Les lanières étaient en soie. Je m'exécutai et le second ordre arriva :
- La tête au sol !
L'un des bourreaux se saisit d'un grand couteau et vint découper mon pantalon. Un spot puissant vint éclairer mon cul offert. Le second bourreau vint vers moi avec un plug, et me l'enfonça dans le cul. Lydie vint me relever. Avec le couteau du bourreau, elle coupa la ceinture du pantalon et je me retrouvai à poil. Elle passa un fourreau en maille de fer, qui donnait l'impression que j'étais en érection permanente. Elle me coucha sur un brancard peint en noir. Des tribunes, on ne pouvait pas le voir. Elle prit une corde et la passa autour de mes parties génitales. Dans l'ombre, des officiants, tenaient les cordes qui manoeuvraient le brancard. Elles étaient noires et invisibles, elles aussi. Ils tirèrent sur les cordes et je sentis soulevé. Des tribunes, on avait l'impression que je flottais dans l'air, suspendu par les couilles.
Revenu en position debout, Lydie m'attacha les poignets à un anneau accroché au plafond. Les deux bourreaux se sont approchés, armés de fouets. Ils m'ont roué de coups. Les lanières de soie, trempées dans un colorant rouge vif, laissaient des marques sur mon corps, ressemblant étrangement à .
Après toutes ces agapes, Lydie m'a rendu mes vêtements et m'a emmené au sous-sol. Elle a enlevé son latex et m'a poussé vers le lit. Elle s'est agenouillée au bord du lit et a embouché ma queue. Une fois bien tendue, Lydie est montée sur le lit et s'est fourrée ma bite dans sa chatte. Après s'être bien ramonée, elle s'est empalée dessus.
Lydie m'a ramené chez moi et j'ai accepté de la revoir, pour une séance, vraie celle-là. Mais, c'est une autre histoire.