Une Ingénue Prise Au Piège I

Alors que le train qui relie Poitiers à Strasbourg est déjà lancé depuis une heure, je commence ma tournée de contrôle. J'enfile ma veste et ma casquette, prend mon équipement et m'engouffre dans les premiers wagons.
Mon regard traîne sur les passagers avant de contrôler leur billet. La plupart était quelconque. Certains décolletés ou jambes decouvertes attiraient cependant mon attention. Mais je ne m'y attardai pas plus que de raison.
Je continuai à enchaîner les wagons jusqu'à tomber sur une jolie demoiselle à la peau claire. Aucun décolleté ou jambes qui abreuveraient mes yeux et mon desir lubrique cependant cette femme dégageait une grande sensualité. Habillée d'un haut blanc et d'une veste d'un rouge qui se mariait bien avec la teinte de sa peau. Ses jambes étaient moulées dans un jean qui laissait deviner que madame entretenait son corps. Des bottines noires à talon finissaient de compléter cette tenue des plus classes. Son visage était fin, délicat, entouré d'une longue chevelure couleur châtain légèrement ondulée. Derrière ses grandes lunettes à monture noire se cachaient des yeux verts aux reflets marrons légèrement mis en valeur par un fin maquillage. Cette femme était classe et sexy. Elle devait avoir la vingtaine passée.
Mon cerveau ne fit qu'un tour et c'est bien malgré moi qu'une bosse se forma dans mon pantalon. Cependant des désirs bien plus pervers qu'un simple relucage prirent le dessus en un rien de temps et je m'imaginais déjà recouvrir ce beau visage harmonieux de ma semence visqueuse.
Mon analyse de cette beauté et la répression de mes idées perverses ne prirent qu'une seconde. Espérant que personne n'avait noté mon arrêt et encore moins la bosse que l'on devinait entre mes jambes, je m'approchai d'elle.
Je demandai son billet et elle me repondit poliment en me le tendant. C'est alors que j'ai pu remaquer une autre partie de son visage que j'avais négligemment omis de regarder. Et quelle partie.

Sa bouche. Ou plutôt deux magnifiques lèvres légèrement pulpeuses qui, quand elles se fendaient d'un sourire ou bougeaient alors que madame parlait, étaient un appel quasiment irrésistible à leur faire subir tous les outrages.
Ma perversité revint à la charge, plus forte encore. Cette fois je ne pus la refouler et ce fut comme un déclic dans mon esprit. Je réfléchis rapidement. Bien plus rapidement que d'ordinaire.
Tenant le billet dans ma main je le scannai. Évidemment tout était en ordre. Cependant je connaissais assez la machine pour lui faire afficher un message d'erreur.
Je fis part à la jeune femme que son billet n'était pas en règle. Elle s'en étonna et blémit. Je m'en étais douté, elle ne pouvait pas se permettre de payer une amende.
Je lui demandai de me suivre. D'abord confuse, elle obtempéra néanmoins. Elle se glissa d'un mouvement souple dans l'allée. Je l'invitai à passer devant en lui indiquant notre destination, l'arrière du train.
Je pus alors admirer une autre partie de son corps. Sous mes yeux, deux magnifiques globes se trémoussaient au rythme de sa marche. Son cul bombé incitait fortement à la fessée. Je dus cruellement me retenir de ne pas palper ses fesses rebondies.
Arrivé à l'arrière du train, je passai devant elle. Ma main effleura son bras et elle tressaillit, visiblement légèrement apeurée. J'ouvris la porte de ma cabine et l'invitai à entrer. Elle hésita mais un regard sévère de ma part la fit avancer.
Ma cabine était sobre. Une chaise avec une petite table fixée au mur. Une banquette sur laquelle je pouvais me reposer.
Je contournai la jeune femme pour m'asseoir sur la chaise. Elle resta debout de l'autre côté de la table. Je la fixai longuement alors qu'elle gardait les yeux baissés.
- Bien, fis-je. Votre billet... est un faux.
Elle releva la tête, confuse et voulut protester. Je l'arrêtai en levant une main.
- Je ne veux pas de vos explications. Je ne veux pas de vos mensonges.
Je ne veux savoir ni comment ni pourquoi vous êtes une fraudeuse. Je m'en fiche.
Je marquai une pause et repris :
- Ce que je veux c'est vous laisser le choix. Soit vous payez l'amende de 1500€ soit...
Je laissai ma phrase en suspens.
- Oui ? demanda-t-elle d'une petite voix hésitante.
- Soit vous et moi passons un agréable moment.
Je lui laissai le temps de comprendre en la detaillant à nouveau. Debout devant moi, elle était à la fois sexy et terriblement vulnérable. Je bandais de plus en plus.
- C'est hors de question, tenta-t-elle. Mon billet est un vrai j'en suis sûre ! Vous n'êtes qu'un pervers degueulasse !
Je souris.
Je me levai tranquillement alors qu'elle me toisait d'un air féroce. Je m'approchai d'elle doucement jusqu'à la dominer de toute ma hauteur. Je plongeai mon regard dans le sien. Ses yeux étaient encore plus beaux de près.
- Dites moi, dois-je appeler un collègue pour qu'il contrôle à nouveau votre billet ?
Elle plongea tête baissée dans le piège.
- Oui ! Appelez votre collègue.
Je penchai la tête.
- Je dois cependant vous mettre en garde. Je suis le plus gentil et intègre de l'équipe.
Son visage se décomposa et elle perdit de sa stature.
C'était faux bien sûr. J'étais le pire. Le plus pervers. Le plus sadique. Et malheureusement pour elle, aussi le plus intelligent.
- Vous voulez dire que ?
Je lui indiquai le mur derriere elle d'un hochement de tête.
- Il y a deux jours. Contre ce mur, une femme d'à peu près votre âge. La semaine dernière, une quinquagénaire sur la banquette. Le jour suivant, un charmant jeune homme sur cette table. Le mois d'avant juste là où on se tient, deux sœurs à même le sol.
A chaque énumération son regard suivait mes gestes. Le dernier était fait pour qu'elle baisse le regard et voit l'effet qu'elle provoquait sur ce que mon pantalon emprisonnait.
Bien entendu tout cela était faux. Une simple manœuvre pour qu'elle croit être tombée dans un piège savamment ficelé.
Une équipe complète et organisée pour r sans scrupules des passagers. Ceci dans le seul but qu'elle se croit dépassée, qu'elle perde espoir de pouvoir échapper à cette situation. Qu'elle se pense confronter à l'inéluctabilité de ma demande... et de ses conséquences.
- Alors qu'en dites vous ?
Elle continuait de regarder en bas. Quelque chose l'interessait-elle ?
- Je n'ai pas 1500 €, souffla-t-elle.
Je souris et allai me rasseoir.
- Alors déshabille-toi... lentement. Nous avons le temps.
Elle sembla considérer ma requête avant de se résigner.
Elle fit glisser doucement sa veste le long de ses bras avant de l'envoyer sur la banquette. Se penchant en avant, elle défit ses bottines une à une et enleva ses petites chaussettes. Elle plongea ensuite son regard dans le mien puis ses mains caressèrent ses jambes jusqu'à remonter vers ses hanches. Là, elle prit lentement son top qu'elle remonta pour découvrir son ventre où se dessinaient ses petits abdos, comme de petits pains qui ne demandaient qu'à être dévorer. Le top rejoignit la veste. Sa poitrine était emprisonnée dans un soutien gorge en dentelle noire des plus sexy. Ses mains firent le chemin inverse pour venir défaire la fermeture de son pantalon. Ce dernier glissa le long de ses fines jambes jusqu'au sol, laissant apparaître un string assorti à son soutien gorge. Alors qu'elle s'apprêtait à retirer ses dessous sexy, je l'arrêtai en levant le doigt. Puis je le fis tourner en l'air. Elle comprit et fit demi-tour. J'admirai un instant les deux globes devant moi, sphères parfaites ô combien tentatrices.
Je vins derrière elle sans faire de bruit. Elle sursauta quand je posai une main sur son épaule. Elle fit volte-face et me regarda d'un air de défi. Ma main se faufila derrière sa nuque et je me penchai. Mes lèvres goutèrent les siennes qui restèrent fermées. Je sentis l'odeur de pêche. Agréable. Doux. Me détachant d'elle je lui ordonnai :
- A mon tour maintenant.

Elle ouvrit ma veste, écarta les pans et la fit tomber au sol. Posant ses mains sur mes hanches elle me retira mon t-shirt. Ses yeux s'attardèrent sur ma musculature un instant. Elle sembla apprécier même si elle ne l'avouerait jamais. Elle descendit à genoux pour défaire mes chaussures. Une fois mes pieds nus elle ne se releva pas et défit ma ceinture avant de s'attaquer à la fermeture de mon pantalon. Elle prit bien soin de ne pas toucher mon érection flagrante alors qu'elle me l'enlevait, semblant en proie à un dilemne intérieur. Je posai un doigt sous son menton pour la faire se relever avant qu'elle n'aille plus loin. Un éclair de frustration passa dans ses yeux et je surpris son regard lorgner sur la bosse de mon boxer.
Je passai une main dans son dos et défit l'attache de son soutien gorge qui tomba au sol. Sa poitrine libérée, je pus admirer son 90B en forme de poire. Je pris un de ses tétons qui pointaient de manière arrogante et le fis rouler entre mes doigts. Puis je pris ces deux seins dans mes mains et jouai avec, tantôt les caressant doucement, tantôt les pétrissant avec force. Ma petite ingénue rougit et soupira malgré elle.
Je délaissai ses mamelons pour faire courir mes mains le long de son ventre. Je fis glisser son string le long de ses cuisses avant qu'il ne tombe au sol. Je découvris une superbe petite chatte entièrement épilée. D'une poussée de la main je la fis écarter les jambes pour y passer un doigt. Je la sentis sensiblement humide. Je portai alors mon doigt à mon nez pour le renifler. Une odeur enivrante.
Je pris ensuite sa main et l'entraînait vers ma verge encore prisonnière de mon boxer. Ses doigts effleurèrent le tissu alors que je la sentis les tendre comme pour l'attr. Je la laissai caresser l'étoffe un instant sans lui accorder plus.
D'un coup je l'attirai à moi pour coller mon corps contre le sien. Ma bosse se logea contre son antre chaude. Une main sur sa nuque, je plaquai mes lèvres contre les siennes. Elle n'eut pas le temps de les verrouiller cette fois-ci ou elle ne voulut pas. Ma langue força l'entrée de sa bouche et vint assaillir la sienne. Inconsciemment elle posa une main dans mon cou.
Je rompis notre baiser. Je pus lire la confusion dans ses yeux ainsi que la honte de s'être abandonnée si facilement.
Sans lui laisser le temps de comprendre, je lui indiquai la table. Elle s'assit dessus. D'autorité, je la fis se pencher en arrière et tourner sur elle-même. Elle dut replier les jambes sur elle et poser les pieds sur le mur. Sa tête au bord de la table à quelques centimètres de ma verge qui déformait toujours mon boxer. Je glissai une main sur sa cuisse et lui fit écarter les jambes en grand. Ma main gauche vint lui caresser les cheveux.
- Brave petite, tu es belle ainsi offerte.

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