Quand Maud (42 Ans) Dévergonde Caroline (51 Ans)
La scène se passe dans une association humanitaire. Bénévoles, Maud et Caroline trient des vêtements. La première, âgée de 42 ans, est blonde aux yeux verts, la seconde (51 ans) brune aux yeux bleus. Toutes deux sont mères de famille, à cette différence près que Maud vient de divorcer en raison de l'infidélité de son mari, alors que l'autre compte 25 ans de mariage. Physiquement, elles sont assez semblables avec un corps fin, des seins menus, juste un peu plus de fesses chez Caroline sans oublier (mais c'est un détail intime) que la brune a conservé un pubis très fourni alors que la blonde est parfaitement épilée.
Nous sommes à la fin de l'été et tout en triant les vêtements, elles parlent de leurs vacances. Sans être vraiment proches, elles se connaissent depuis suffisamment longtemps pour parler librement. C'est Maud qui ouvre la discussion :
- Alors, tu es allée où, finalement, en vacances ?
- Comme d'habitude, en camping avec Pierre et mon petit dernier. Du côté de Royan. On a eu un temps pourri la moitié du temps. On voulait en profiter avec Pierre pour faire un peu de naturisme car il y a des plages réservées là-bas et résultat, c'est à peine si j'ai pris un coup de soleil sur les fesses. Mais dis-donc, toi, tu es drôlement bronzée. Tu étais où ? Tu devais partir seule, non, sans tes gosses puisqu'ils étaient pris en charge par leur père ?
- Oui, je suis partie seule. A Ibiza.
- A Ibiza ? Cette Babylone du sexe, de la fête et de la drogue ?
- Ben oui. J'avais envie de m'éclater et que mon ex le sache. Mais rassure-toi, je n'ai pas consommé de drogue. Et j'ai beaucoup dansé.
- Et... le sexe ?
- Petite curieuse. Tu ne crois quand même pas que maintenant que je suis libre, j'allais revenir sans avoir baisé.
- Raconte. Tu as trouvé ton Don Juan ?
- Hem. C'est plus compliqué que ça. Je n'allais pas là-bas pour trouver un joli coeur qui me ferait le coup du romantisme. Sans compter que, soyons objective, je ne suis plus une jeunesse.
- Et tu as... baisé ?
- Yes. Et pas qu'un peu.
- Tu me donne des détails ?
- Dis donc, tu deviens cochonne, madame la mère de famille ! Et tu vas raconter à ton petit mari ?
- Bien sûr que non, ça restera entre nous, promis juré.
- Bon. Cela a commencé en boite, évidemment. Un bel Andalou en vacances m'a fait du gringue. Chaine en or sur chemise ouverte, tu vois le genre. La trentaine. On a dansé, picolé un peu et ça a fini par "on va chez toi ou chez moi ?" Il m'a emmenée dans sa chambre d'hôtel qui n'était pas loin. Et là, le truc classique : pipe, cunni et pénétration avec une bonne grosse bite andalouse. Par devant, par derrière, dessus, dessous, bref tu vois. Et après, salut et bonsoir.
- Tu as joui au moins ?
- Bien sûr que j'ai joui. Je n'avais pas baisé depuis longtemps et ça m'a fait un bien fou. Je me suis sentie redevenir femme après les sombres mois du divorce. En plus, le gars savait y faire, il était endurant et a remis deux fois le couvert.
- Veinarde. Tu l'as revu après ?
- Oui mais je suis passée à autre chose. J'avais rencontré en me baladant un Allemand comme il y en a beaucoup là-bas. La quarantaine comme moi, chauve, barbu et tatoué. Pas vraiment mon genre a priori mais sympa. Bien sûr, il voulait me baiser. Il faut dire que je me baladais en short et débardeur sans rien dessous. C'était franchement de l'appel au sexe. Je te passe les détails mais il m'a entrainée dans un bain de minuit. A poil évidemment. Il m'a baisée sur la plage devant une dizaine de voyeurs car j'ai appris plus tard que cette plage était réputée pour ça. Heureusement que c'était la nuit. Mais cette situation inhabituelle m'a fait prendre un pied incroyable. Et pourtant, le mec n'était pas très sexy. Mais c'était un vrai et bon baiseur. Il avait une caravane mais trop peu pour moi. On a remis ça dans ma chambre.
- Ben dis donc.
- Eh, ça reste entre nous, hein ? Surtout qu'il y a eu encore autre chose.
- Ah bon ?
- Dieter, mon Allemand, avait des potes. Ils organisaient une soirée barbecue et j'étais invitée. Elle a commencé tranquillou mais elle s'est terminée en véritable orgie. Quatre mecs et quatre femmes dont moi.
- Tu veux dire... une partouze ?
- Affirmative. Et les quatre mecs me sont passés dessus tour de rôle, sur les autres filles aussi d'ailleurs. J'étais complètement à l'ouest. Mais j'insiste, je n'étais pas e, juste éméchée.
- Je suis sidérée que tu aies pu faire ça.
- Et ça te choque, hein ?
- Ben, un peu quand même. Mais bon, si tu as pris ton plaisir, c'est le principal.
- Merci. Oui, j'ai pris mon plaisir, un énorme plaisir pour être franche. A dire vrai, dans ma vie, je n'avais jamais été vraiment baisée. A Ibiza, je me suis rendue compte que j'aimais vraiment la bite. Pour la bite. Le reste, pfff...
- En somme, tu es devenue libertine.
- En quelque sorte. Et tu en penses quoi, madame la femme mariée mère de famille ?
- Que tu as été, je te le rappelle. Ce que j'en pense ? Que tu as bien fait, tiens. Pour un peu, je t'envierais presque. Mais bon, je ne me vois pas fiche ma vie en l'air pour du cul.
- Qui te parle de fiche ta vie en l'air ? Dis-moi, tu aimes le cul ou pas ?
- Le cul conjugal, oui. Enfin, j'essaye.
- Pourquoi ? Vous êtes tombé dans la routine, avec Pierre ?
- Un peu, oui, je le reconnais, mais c'est dans l'ordre des choses et je suis heureuse comme ça.
-Il faudra qu'on en reparle. Bon, l'heure tourne et il faut que je retrouve mes filles. Dépêchons-nous de finir ce boulot.
Et c'est ainsi que s'est clôt une discussion à ne pas mettre entre toutes les oreilles humanitaires...
******
Le lendemain, Maud fit une proposition à Caroline :
- Dis-moi, ça te dirait de sortir avec moi demain soir ? Je connais une boite sympa, pas trop bruyante mais j'en ai marre d'y aller seule.
- En boite ? Eh ben, ça fait un bail que je n'y suis pas allée. Tiens, justement, il y a un match de foot à la télé et Pierre va la monopoliser. Cela me fera l'occasion de sortir. C'est quoi, comme genre, cette boite ?
- Décontractée. Je la connais depuis longtemps, j'y allais quand j'étais jeune. Il y a un peu tous les âges. Habille-toi quand même un peu mieux que d'habitude, tu es fagotée comme un sac.
- Merci. Bon, j'ai compris. Tu me prends pour une ringarde, hein ?
- C'est à toi de me prouver le contraire.
Et c'est ainsi que fut conclu ce rendez-vous nocturne.
******
Le lendemain soir, Maud attendait Caroline devant la porte de la boite de nuit. Vêtue d'une robe qui lui arrivait à mi-cuisses, sans soutien-gorge comme l'attestait son décolleté dorsal, son corps bronzé mis en valeur, la blonde jouait manifestement sur sa sexualité. Mais quand elle vit Caroline, elle en eut le souffle coupé. Elle portait une combinaison-short faite d'un tissu tellement fin que son corps s'y révélait avec une précision anatomique : seins en poire, fesses charnues, pubis renflé, tant et si bien qu'elle semblait aussi nue que nue.
- Ben dis donc ! Tu l'as trouvé où, cette combi ?
- Cet après-midi. Je l'ai achetée exprès. J'en avais marre de passer pour une pot au feu. Qu'en penses-tu ?
- C'est simple, c'est comme si tu étais à poil. On voit tout. Heureusement que tu es bien foutue. Tous les mecs vont voir que tu es venue pour baiser.
- Parle pour toi. Je ne suis pas venue pour allumer mais pour m'amuser, danser etc.
- Petite hypocrite. Pas à moi. Mais bon, je préfère encore ça. Au moins, tu ne me feras pas honte... Mais dis moi, ton mari, quand il t'a vue, il n'a rien dit ?
- Il ne m'a pas vue. Je n'ai pas osé me montrer avec cette tenue. Le match avait commencé et je suis partie en catimini.
Et c'est ainsi que les deux amies firent leur entrée dans la boite, suscitant aussitôt les regards intéressés des regards mâles, mais aussi des femelles, celles-ci décelant immédiatement deux rivales de poids en dépit de leur âge.
********
A peine se furent-elles installées à une table qu'un brouhaha survint, provoqué par l'entrée en masse d'un groupe qui s'avéra être l'équipe de rugby locale. Elle venait de gagner un match et fêtait sa victoire dans la boite. Les joueurs étaient accompagnés qui de leurs épouses, qui de leurs copines, à quelques exceptions près. Cette intrusion donna à Maud l'occasion de rappeler un vieux souvenir à Caroline :
- C'est depuis longtemps le rendez-vous des rugbymen ici. Quand j'étais jeune, je jouais dans l'équipe locale de volley ball et un soir, on s'est retrouvées avec eux. Bien entendu, ils nous draguaient, du moins ceux qui n'étaient pas "en mains". Il y avait de jolies filles dans notre équipe, en particulier Karen, notre contreuse centrale, une grande asperge au corps de mannequin. Mais ce soir là, la boite organisait l'élection de miss strip tease. Karen et moi, on a été les deux seules de l'équipe à oser y participer. On était six filles invitées à aller en scène, passant une par une. Je te dis pas l'ambiance. "Le slip ! Le slip !" gueulait le public quand chaque fille se déshabillait, mais sans aller jusque là. Karen obtint le plus grand succès mais je fus la seule à oser ôter mon slip et c'est moi qui ai gagné devant un public en délire ! Du coup, Karen et moi, on était entourées de mecs et trois nous ont embarquées. Avec bien entendu l'intention de nous baiser toutes les deux. On avait vingt ans et chaud au cul et on s'est tapé les trois mecs à tour de rôle dans la piaule de Karen. Un sacré souvenir !
- Tu m'étonnes. J'étais bien sage à côté, remarqua Caroline.
A peine Maud achevait sa narration que trois joueurs se présentèrent à la table. C'étaient les trois qui n'étaient pas accompagnés d'une femme. Maud les invita à s'asseoir. Elles se retrouvèrent face à un grand rouquin pesant au moins 100 kg, un Noir élancé qui s'annonça comme Fidjien et un petit mec brun et râblé qui s'avéra être un ancien joueur devenu vice-président du club, proche de la quarantaine. Les deux premiers étant anglophones, le troisième se proposa pour les traductions mais Maud parlant anglais et Caroline le comprenant, les échanges purent se poursuivre, à haute voix compte tenu du bruit ambiant. Les deux femmes furent entrainées sur la piste de danse, exposant leur tenue ultra légère au trio de mâle qui commençait à concocter un scénario. Deux femmes mûres seules dans une boite affichant clairement leur sexualité, pas besoin d'être grand clerc pour comprendre qu'elles étaient disposées à baiser. Et les trois étaient justement venus pour ça. Ils avaient trouvé deux "vraies femmes", pas de ces bimbos qui hantent les boites en allumant sans ment passer à l'acte. Juste pour se faire payer à boire.
Au bout d'un moment, le trio proposa au duo d'aller "faire un tour" et plus précisément prendre un bain de minuit dans la piscine privée du petit mec râblé, prénommé Sébastien et annoncé divorcé, occupant seul sa maison. Le grand rouquin s'appelait Josh, Néo Zélandais, et le Fidjien Rima. Maud était tout excitée par la perspective, Caroline beaucoup moins. Elle se rendait compte que la soirée prenait un tour qu'elle n'avait pas prévu. Elle émit à l'oreille de Maud son intention de rentrer mais la blonde l'arrêta net :
- Ah non ! Ne me laisse pas tomber maintenant. Tu n'en es quand même plus à la permission de minuit. Ton mari t'attendra. Pour une fois que tu as un bon de sortie, profites-en.
Caroline finit par céder. Mais dans la voiture, la main insistante du Fidjien sur sa cuisse dénudée lui fit comprendre qu'elle aurait beaucoup de mal à résister aux avances de ces trois mâles en rut. Lorsque Sébastien se gara devant sa maison, elle sut qu'elle ne pouvait plus reculer. D'autant que le Fidjien, en frôlant son sexe sous sa très légère combinaison, avait déclenché dans son bas-ventre une onde de chaleur qui l'édifia sur la réalité de son corps. Il lui échappait.
Sebastien eut à peine sorti verres et carafes sur la terrasse jouxtant sa piscine que Maud fit passer sa robe par-dessus sa tête et fit valser ses sandales aussitôt accompagnées de son string. Absolument nue, elle plongea tête la première dans la piscine sous l'oeil ravi des trois hommes. Le Fidjien et le Néo Zélandais l'imitèrent aussitôt et Caroline ne put qu'admirer leurs corps athlétiques. Quels hommes ! Pas un pouce de graisse, des muscles apparents, difficile pour une femme de rester insensible.
- Tu ne vas pas te baigner toi aussi ?
Sébastien venait de prendre Caroline par le cou. Assise sur un bain de soleil, elle tenta de se dégager mais la main de l'homme se posa sur un sein libre sous la toile légère et ne put que constater la pointe érigée. Caroline mollit et se laissa peloter tandis que dans la piscine, les deux joueurs entouraient désormais Maud de très près, dans les rires et les éclaboussures. Pendant ce temps, Sébastien déboutonnait la combinaison de Caroline, qui ne résistait plus. Elle décolla même les fesses du siège pour l'aider à faire glisser le vêtement le long de ses cuisses et découvrit son corps dépourvu de tout sous-vêtement. L'homme poursuivit son exploration, conscient qu'il devait d'abord amadouer cette femme à la réticence fuyante.
Quant à Maud, elleétait maintenant assise sur le bord de la piscine, le visage du Fidjien, toujours dans l'eau, entre ses cuisses. Pendant qu'elle se faisait lécher, le Néo Zélandais était sorti et lui tendait sa grosse bite à sucer. Cette scène n'échappait évidemment pas à Caroline, qui ne vit pas que Sébastien s'était déshabillé à son tour. Quand il présenta à son tour son visage entre ses cuisses, Caroline se laissa aller en arrière et s'ouvrit. Cette fois, ça y était. Elle avait basculé dans la tromperie. Son sexe avait pris le pouvoir. A 51 ans, elle allait tromper son mari pour la première fois. Mais ces considérations morales disparurent peu à peu pour se concentrer sur cette langue qui la faisait bouillir. Elle redressait parfois la tête pour regarder le visage de l'homme, comme pour vérifier la nature de son plaisir, car c'en était un. Elle capta aussi que Maud se trouvait désormais en pleine euphorie sexuelle sur le bord de la piscine, prise en levrette par le grand rouquin et la queue du Fidjien dans sa bouche.
Quand l'hôte des lieux se releva de son cunni, Caroline n'aspirait plus qu'à une chose : être remplie à son tour. Elle vit l'homme coiffer son préservatif, lui saisir les chevilles, les écarter, viser et elle ressentit aussitôt la sensation ô combien bienfaisante de la pénétration. L'homme était doté d'un sexe court mais épais et son envahissement massif ne laissa par d'autre alternative à Caroline que de crier de plaisir. Encouragé, validé, il la pilonna avec vigueur, faisant trembler sur ses bases le frêle bain de soleil. Ecartelée, fouillée, ponctuant chaque coup de boutoir d'une bruyante onomatopée, Caroline connut un orgasme rapide et fulgurant comme elle n'en avait jamais éprouvé, justifiant à la fois son infidélité et l'embarquement de Maud. Sébastien retint à grand peine son éjaculation devant une telle extase.
- On va dans ta chambre maintenant ?
C'était Maud qui interpellait son hôte, flanquée des deux joueurs à la queue à demi érigée. Caroline se laissa tirer par la main, chancelante. Et c'est ainsi que trois hommes et deux femmes, nus comme des vers, entrèrent dans une vaste chambre où trônait un lit XXL. Caroline comprit alors qu'elle allait vivre une expérience inédite qui allait la faire basculer dans un autre monde sexuel.
*******
Quand elle revint plus tard par la pensée sur cette fin de soirée censée être seulement ludique et dansante, Caroline se demanda si elle n'avait pas rêvé. Si c'était bien elle qui l'avait vécue. En triant les vêtements de l'organisation humanitaire, elle alla même jusqu'à poser la question à Maud, qui ne put s'empêcher d'en rire :
- Mais oui, c'était bien toi. Et c'était bien moi. On s'est comporté comme deux grosses salopes. Mais on a pris un pied d'enfer. Et tu m'as vraiment épatée. Je ne te croyais pas capable de tout ça.
Caroline dut se rendre à l'évidence. C'était bien elle qui avait basculé nue sur le grand lit, implorant qu'on la baise pendant que Maud se faisait déjà enfiler par le petit brun râblé qui avait changé de monture sans crier gare. C'était bien elle, Caroline, qui était venue s'empaler sur la queue dressée du rugbyman fidjien, qui s'était régalée de son corps sculptural pendant qu'elle le chevauchait, les mains posées sur son damier. C'était bien elle qui, tout en cavalant, avait gobé le bite du Néo-Zélandais et s'était mis plein la bouche de ce morceau de viande mâle. Pire : c'était bien elle qui s'était fait sodomiser par le Noir et qui en avait bavé de plaisir dans le drap. Le rouquin lui était aussi passé dessus en la pliant comme un portefeuille et en la pénétrant si loin qu'elle en avait eu la voix rauque à force de crier. Le petit brun râblé était même revenu à la charge en relais du rouquin qui avait fini par éjaculer, Caroline ne donnant aucun signe de lassitude tandis que Maud observait, ravie, cette ultime copulation qui mit le corps de Caroline en arc de cercle, en proie à un orgasme tonitruant. Oui, c'était bien elle, Caroline, qui avait connu ça : une vraie baise en groupe qui lui avait mis la chatte et le cul en ébullition et fait exploser son cerveau de femme mariée.
Elle se souvint être rentrée au petit matin, en vrac, s'être couchée à côté de son mari qui lui demanda à moitié endormi si elle s'était bien amusée et avait répondu par un oui mezzo voce, comme si elle avait peur de se trahir. Il n'avait pas été étonné de la voir aussi fatiguée le lendemain, disant que ces soirées n'étaient plus de son âge et que Maud devrait un peu la ménager. Mais quelques jours plus tard, elle était à nouveau en pleine possession de ses moyens car on se remet vite d'une extase sexuelle, fût-elle éprouvante. Et quand Maud lui proposa une nouvelle sortie, elle ne s'y opposa pas, mais avec une condition impérative : que son mari l'accompagne.
C'était pour elle une façon de maîtriser ses instincts dont elle avait eu la révélation. Mais c'était aussi, au fond d'elle-même et sans qu'elle le formulât clairement, l'espoir d'entrainer son conjoint vers une expérience en duo qui les ferait sortir de leur routine sexuelle. Fine mouche, Maud le prit ainsi. Et se promit d'aider le couple ami à connaitre une nuit qui les éloignerait du devoir conjugal.
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