Le Voisin

LE VOISIN


Jeunes mariés, ma femme et moi nous habitions en région parisienne dans une ville dortoir, comme l’on dit, avec des grandes tours de quatorze à dix huit étages, toutes les unes près des autres, provoquant une promiscuité et un vis-à-vis sans failles.

Le soir tombé, il nous suffisait de nous mettre à la fenêtre pour apercevoir en détails la vie des voisins du quartier, certains se cloitraient derrière d’épais doubles rideaux pour se protéger des regards curieux et inquisiteurs, alors que d’autres étalaient leur intimité sans aucune pudeur ou parfois naïvement sans imaginer être espionnés.

Il est vrai que le soir, protégé par nos rideaux voile et avec toutes les lumières allumés on oublis rapidement que de l’autre coté des fenêtres on peut facilement voir ce qui se passe dans nos maisons, phénomène facilité par la proximité des autres immeubles, parfois à moins de vingt à trente mètres.

D’ailleurs je me surprenais moi-même, les soirs d’ennui à épier la vie des autres, voir au travers des vitres les familles dans leur quotidien m’apportais une simple distraction, un peut comme si, assis sur un banc je regardais les gens passer, il n’y avait là aucune ambigüité dans mon esprit.

Avec le temps je me suis aperçu que la majorité des gens avaient des rituels dans leur vie, chaque soir, ils reproduisaient les même scénarios, retirer son manteau, embrasser sa femme et ses s, passer à table, s’asseoir sur le canapé devant la télé, coucher les s, boire un dernier café, éteindre la télé, entrer dans la salle de bain puis se coucher.

Je me suis pris d’intérêt pour ces rituels, cherchant à tenter de comprendre le pourquoi du comment, si tous les gens vivaient de façon identique, les familles avec s, les couples sans s, les célibataires, les français ou les étrangers, etc.…

Dans la grande majorité, à quelques variables près, ceux qui travaillaient avaient le même rythme et les mêmes habitudes bien orchestrés par le quotidien de la vie, mais parfois il pouvait y avoir de l’inattendu, de l’exceptionnel ou d’agréables surprises.



Effectivement, un soir bien tard dans la soirée, alors que la majorité des gens dormaient déjà, il restait encore de ci et de là quelques fenêtres éclairés pour attirer mon regard, et alors que j’étais resté dans le noir une d’elle ma particulièrement troublé.

Un bref instant, j’ai cru voir à travers les voilages un corps nu traverser ce qui devait être le salon de cet appartement, mes sens se sont mis en éveil et mon regard s’est fixé sur ce point précis, je n’avais pas eu le temps de voir si c’était une femme ou un homme, peut m’importais car cela créai l’évènement dans ce quotidien monotone.

Mon attente fut récompensé après une à deux minutes et j’ai vu de nouveau ce corps apparaître, c’était une belle femme brune entièrement nue, elle se soulevait régulièrement les cheveux comme pour leurs donner du volume et cela lui procurait une grâce particulière.

Par chance elle marqua un arrêt en plein centre de son salon et semblait parler à quelqu’un qui devait se trouver dans une autre pièce de la maison, elle était très belle et bien roulée, j’apercevais parfaitement ses beaux nichons lourds et d’un bon bonnet.

Elle devait être encore assez jeune et était vraiment attirante, de belles fesses charnues perchées sur des longues jambes fuselés et une taille bien marqué par des anches très appétissantes.

J’étais totalement concentré sur cette belle image lorsque j’ai vu un homme venir la prendre dans ces bras, lui était habillé et il lui a roulé une pelle magistrale en la serrant contre lui, j’ai distingué ses mains qui parcouraient son dos pour venir palper et agripper ses magnifiques fesses rebondies.

La scène était plutôt érotique et je n’aurai manqué cela pour rien au monde, cette femme se faisait peloté de plus belle sans s’apercevoir que mon regard et peut être d’autres l’observaient au travers des rideaux trop fin pour cacher quoi que ce soit de la scène.

Je commençais à éprouver un certain émoi physique en regardant ce couple très intime, je me sentais très concentré mais conscient de la perversité de ma curiosité, mon sexe palpitait avec un agréable début d’érection et j’attendais la suite avec émotion.


Mais à mon grand regret, l’homme à éteint la lumière du salon ce qui les à immédiatement transformés en ombres chinoises grâce à un filet de lumière qui venait encore d’une autre pièce.

La scène venait de perdre de son intensité mais je pouvais encore distinguer leurs silhouettes qui restaient suffisamment nettes pour maintenir mon excitation naissante.

Petit à petit mes yeux se sont habitués à la pénombre et il me semblais distinguer de mieux en mieux leurs corps dans cette pièce faiblement éclairé, le couple s’est installé sur le canapé et l’homme à retiré ses vêtements tout en continuant à embrasser sa partenaire qui l’aidait à se dénuder.

C’était la première fois que je voyais une telle scène et mon excitation était à son comble, mon sang bouillonnait jusqu’aux tempes et mon sexe atteignait sa tension maximum.

J’aurai bien voulu que ma femme voit ca elle aussi, cela aurai pimenté nos futures parties intimes, mais elle dormait déjà, alors je poursuivais mon premier acte de voyeurisme, seul dans le noir et derrière ma fenêtre en espérant ne pas être découvert.

J’ai vu la femme se pencher vers le ventre de son homme, lui a posé sa tête en arrière et écarté ses deux bras, ce n’était que des ombres mais suffisamment explicites pour me permettre d’imaginer qu’elle lui prodiguait une fellation en bonne et du forme.

Sa tête oscillait d’avant en arrière, d’un mouvement lent mais régulier, sur toute la longueur du sexe de son partenaire, je ne saurais comment l’exprimer, mais c’était plus qu’érotique.

C’était vraiment électrisant et excitant à souhait, au point que je me paluchais le membre tout en observant cette délicieuse et perverse image.

L’homme devait y prendre goût car il a déposé ses mains sur la tête qui l’embouchait délicieusement, il accompagnait les mouvements de ce beau visage sur sa verge bandé, savourant chaque enfoncement vers la glotte qui devait abondement saliver.


Tout en regardant ce couple, dans mon esprit, je revoyais ma propre femme me sucer délicatement comme elle sait si bien le faire, ceinturant ma verge de ses lèvres délicates, chaudes et savoureuses, salivant toute la tige pour lui procurer encore plus de plaisir.

J’aime qu’en elle remonte doucement vers le gland en faisant vibrer sa langue tout en conservant ma queue dans sa bouche chaude et humide, elle sait quelle me régale, quelle me tient et me domine pendant ses minutes que j’espère les plus longues possibles.

Mais déjà la belle dans face se relevait, pour mieux chevaucher son mâle elle passa ses jambes de chaque coté des cuisses que l’homme venait de refermer, il empoigna ses deux fesses à pleine mains pour les guider vers son pieux dressé.

J’ai vu la femme passer sa main entre ses cuisses pour pouvoir diriger l’engin en elle, elle plia ses reins et se laissa choir doucement en tenant son homme aux épaules.

J’aurai tant aimé être à la place de son mec, ressentir la dilatation de ses chairs intimes sur mon membre durci par le désir, rien que dit penser je me branlais de plus belle.

J’ai vu cette beauté secouer sa tête vers l’arrière libérant sa crinière d’un mouvement ample et naturel, déployant fièrement sa poitrine généreuse juste devant le visage de son baiseur qui aussitôt emboucha un des tétons exposé.

Il agrippait fermement sa belle par la taille, la laissant se lover vers l’arrière tout en se concentrant sur ses superbes seins qu’il mordillait à tour de rôle, déclenchant les premiers spasmes de plaisir dans ce corps qui lui était offert.

Quant à elle, elle se déhanchait furieusement pour faire coulisser la verge en elle, d’avant en arrière sur un rythme effréné elle se pourfendait profondément, venant buté à chaque coup de reins sur les couilles encore pleines de son mâle.

L’homme lui malaxait le cul et les fesses à pleines mains, il se régalait sur les lobes gélatineux qui se déformaient à chaque mouvement, les seins lourds se balançaient dans tous les sens apportant à la scène une perversité incroyable.


Je me régalais de cette vision inattendue et torride, jamais je n’aurai pensé pouvoir assister à un tel spectacle, c’était d’un érotisme fantastique et je m’astiquais de plus en plus vite, mon souffle s’accélérait gonflant ma poitrine au maximum, rythmé par les caresses de ma main sur ma queue qui se gorgeait de plaisir.

Les yeux fixés sur ce couple en rut je sentais le plaisir monter en moi, je m’imaginais à la place de cet homme en train de culbuter cette femelle magnifique.

Imaginant la moiteur gluante de sa chatte sur ma verge, mon gland buttant au plus profond de sa cavité brulante, avec le soubresaut de ses mamelles pleines se dandinant devant mes yeux à chaque coup de bite.

J’entendais presque ses gloussements et gémissements m’indiquant le transfert de plaisir que je lui procurais en la défonçant, les tétons durcis par la jouissance proche elle se laissait aller les yeux à demi clos à savourer la monté de ma sève.

Sans m’en rendre compte je calquais la monté de mon excitation sur leurs propre plaisir, épiant les vibrations de leurs corps enlacés, sensible au moindre tremblement de leurs membres qui frémissaient en cœur.

J’attendais l’ultime coup de reins libérateur pour lâcher moi aussi ma semence, ce moment ne tarda pas, je les ai vus se crisper l’un dans l’autre, figeant tous leurs muscles sous la vague de plaisir qui les envahissait mutuellement.

J’ai ressenti que le mâle se déversait sans retenu en elle, lâchant toute sa liqueur féconde, inondant et maculant les parois de sa vulve de son jus gluant et chaud, pendant qu’elle criait son plaisir en secouant son corps dans tous les sens.

C’est aussi là que j’ai lâché ma purée bouillante, parcouru de spasmes torrides, j’ai déversé mon sperme sur ma main et par saccades j’ai tapissé le sous-bassement de la fenêtre, ne pouvant retenir la quantité déversé je me suis vidé les couilles sur le papier peint.

La pression est très vite retombé, j’ai regardé ma main, elle était maculé de sperme encore tiède, puis mon regard est retourné sur notre couple, ils étaient encore enlacé sur le canapé, savourant surement l’après jouissance avec tendresse, attendant que le sexe ramollisse dans le conduit dilaté de la belle.

Il était bien tard, ma femme dormait toujours et plus aucune fenêtre n’était éclairée dans la cité, mais mon regard fut attiré par une ombre à la fenêtre d’un immeuble voisin, lui aussi face à notre couple exhibitionniste.

Dans la pénombre j’ai distingué un homme, plutôt jeune lui aussi, il se faisait discret et je pense que lui aussi venait de se régaler les yeux.

M’avait il vu ?

Impossible à dire, mais j’ai cru un instant qu’il regardait dans ma direction, je n’étais pas le seul voyeur de la cité, comme quoi même dans la perversité beaucoup de gens se ressemble sans le savoir.

Je me suis essuyé et j’ai nettoyé mes traces de jouissance sur le mur, le sperme ne tache pas c’est déjà bien, puis je suis parti me blottir contre ma femme qui dormait tendrement sous la couette.

En cherchant le sommeil, mes pensées sont retournés sur la scène, mémorisant les personnages et les lieux, le couple était au douzième étage du bâtiment à notre gauche, c’était la bonne adresse du moment.

J’essayais d’enregistrer et de déchiffrer les visages, arriverais-je à reconnaître cette jolie femme brune à l’extérieur ?

Puis j’ai fait de même avec le voyeur dans face, lui était dans le bâtiment légèrement à notre droite, au même étage que nous, sa fenêtre était presque en face de notre chambre à coucher.

Mais je n’arrivais pas à lui reconstruire un visage, je n’avais vu qu’une ombre et très rapidement, cela m’a frustré, il fallait que dans les prochains jours, je découvre qui il était.

Malgré toutes ses pensées, la fatigue m’a terrassé et je me suis endormi comme un bébé

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