Corps De Ballet

Corps de ballet (1)

Cette histoire vécue s'est déroulée il y a déjà deux ou trois ans
Les professeurs du conservatoire municipal de la danse souhaitent effec un voyage de fin d'année avec les deux plus grandes classes. Avec leurs élèves ils ont projeté durant ce déplacement un temps touristique mais aussi se produire dans certaines villes étapes avec un spectacle.
Cette troupe bien évidemment comporte nettement plus de filles que de garçons. La troupe se compose de cinq professeurs féminins, deux professeurs masculins, trente danseuses et cinq danseurs.
Je suis administrateur de ce conservatoire, ce qui m'a permis de profiter de ce voyage en accompagnant les jeunes de cette troupe. Ceux-ci sont de jeunes adultes de dix-huit ans à vingt deux ans. Ce n'est pas la peine de vous dire qu'ils sont tous beaux et même très beaux.
Les deux premiers jours sont consacrés au trajet avec quelques arrêts pour des visites culturelles. Nous arrivons en fin de journée à la première ville étape. Cette ville d'accueil nous héberge tous dans un très bel hôtel trois étoiles très confortable
La distribution des chambres s'effectue. Les jeunes sont deux ou trois par chambre, quant à l'encadrement il bénéficie d'une chambre individuelle. Tout le monde s'installe et une heure plus tard descend pour le dîner durant lequel je suis obligé de me déplacer pour distribuer des documents à chacun, ce qui me permet de faire un peu connaissance .
Le lendemain de notre arrivée, est prévu une journée de travail et de répétition. Nous nous dirigeons tous à pied vers la salle qui va servir tant pour les répétitions que pour les représentations. Pour moi, je suis seulement spectateur, et peux observer ce qu'est une répétition et tout le travail que cela représente pour ces danseurs bien qu'amateurs de très très bon et haut niveau.
La répétition s'est déroulée dans un premier temps qu'avec le corps de ballet uniquement féminin.

Ensuite, une répétition du corps de ballet au complet en magnifiques costumes du final. A la suite de cette phase toute la gente féminine a pu partir pour se détendre et visiter la ville. Il ne reste que les danseurs et leurs professeurs.
Et là, c'est un régal visuel auquel je profite. Les exercices effectués par ces garçons sont effectués uniquement avec le traditionnel juste-au-corps. Vous vous doutez bien que je regarde les mouvements, les arabesques sans compter aussi avec mes jumelles de théâtre les corps et plus particulièrement la bosse bien visible avec ce style de vêtement.
Les cinq garçons effectuent des exercices de chorégraphie pour enchaîner deux œuvres de leur spectacle. Je regardais la beauté de cet art, et en suivant avec mes jumelles, je constate qu'ils n'ont pas mis la coquille sous leur collant beige. Et ! ! ! je peux voir de ce fait des verges placées à droite, d'autres positionnées vers le haut et même une vers le bas. Avec tous les efforts les queues sont bien visibles bien qu'au au repos mais il y en a une qui doit être en érection je distingue en haut de verge un renflement et son gland.
C'est très beau à voir et regarder. Après une heure de cet entraînement Un des professeurs s'est joint au ballet - Stéphane – Un homme de trente ans, châtain cl,air au corps bien dessiné et sculpté - Son collant est également beige clair. Mes yeux se sont portés immédiatement sur sa bosse. Mais je suis surpris par ce que je voyais. Comme c'était la répétition, il n'avait pas non plus mis cette traditionnelle coquille. Je peux voir (et admirer) que son sexe était bien apparent. Il l'avait bien mis en place. C'est-à-dire bien vertical. Je peux voir ses testicules et suivre des yeux ensuite sa colonne de chair et enfin admirer au bout son gland très bien dessiné, avec un petit trait noir au bout, c'était son méat et est luisant. Différentes figures se forment au rythme de la musique. A un moment une figure se déroule, les jeunes entourent Stéphane qui a le rôle principal, puis repartent en étoile.
Mais pour moi stupeur, la queue de Stéphane a changé de place. Oui, le collant est complètement étiré et déformé par son érection. Sa bite est droite et raide à l'équerre par rapport à son corps. J'ajuste mes jumelles. Effectivement il est en pleine érection. Je peux voir cet impressionnant cylindre de chair et même son gland avec l'épissure de sa couronne avec son bourrelet C'est impressionnant. J'espère qu'à la représentation sa coquille sera mise sous son collant. Mais en attendant je peux encore mieux profiter de son bel organe qui me semble un peu hors du commun, je le serai plus tard. Mais c'est sûr elle est très importante. Le ballet continue. Le jeune danseur de tout à l'heure qui avait sa queue vers le bas, a changée de place et de forme. En voyant cela je commence à me caresser, car je ne peux pas me retenir en voyant de telles images. Mon excitation monte encore car presque à la fin de l'œuvre ce danseur presque immobile lève un bras vers le haut en se cambrant vers l'arrière. L'harmonie de cette figure chorégraphique est impressionnante car l'arc qui s'effectue avec son pied, sa jambe, son buste de son bras est parfait, mais la beauté de cette courbe est rompue par sa verge qui pointe vers le haut Ce qui me fait ouvrir ma braguette pour rentrer ma main et commencer à me branler. Mais il faut que je me calme si je ne veux pas me tâcher en j'éjaculant comme un adolescent en cachette.
Tellement absorbé par ces images de corps parfaits, et ces érections intempestives me font rêver augmentées par le plaisir de mes caresses sur son sexe grossissant. Pendant ce temps je ne me suis pas aperçu que le second professeur est venu s'installer à deux sièges de moi. C'est Marc encore plus beau que Stéphane mais brun avec une chevelure plus épaisse et des cheveux coiffés en arrière mettant son visage en valeur lui donne l'apparence d'un ange.
Je calme ma main, afin qu'il ne se rende compte de rien, mais je ne sais pas depuis combien de temps il est là.
Et comme pour m'ôter de mon rêve il sifflote l'air de l'œuvre musicale. Instinctivement ma main se calme et reste immobile. Je tourne la tête, il regarde avec grande attention tous les mouvements des danseurs et prend de nombreuses notes, et fait des tas de petits dessins et-croquis. Et comme si de rien, je reprends mes jumelles, il ne bronche pas. Mais au moment où Stéphane danse en solo, sa queue se détache encore plus de son corps, Marc toussote. Et d'un seul coup prononce :
Marc :"Quand même il exagère".
Sur le moment je ne veux pas intervenir ou rehausser, puis lui dit
Moi : "Mais qu'est-ce qui vous arrive ?
Marc : Eudes, vous avez tout de même vu, vous n'êtes pas aveugle, – je sais qu'il aime la montrer, mais c'est d'une grande indécence ici. Il a pourtant de nombreuses occasions de la montrer pendant le voyage.
Cette phrase n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Que veut insinuer Marc et que va me réserver le voyage.
Moi : Oui, j'ai vu, mais pourquoi n'ont-ils pas mis leur coquille.
Marc : C'est inconfortable surtout pour ces pas de chorégraphie compliqués, mais ne vous inquiétez pas pour demain au spectacle, ils l'auront tous
Moi : Evidemment, pour les répétitions, ils sont plus à l'aise. Mais il se montre comme cela à ses élèves?
Marc : Ahh ! Non pas vraiment. Mais de façon insidieuse et pseudo inconsciente. Il aime qu'on lui fasse des compliments à ce sujet, car il faut avouer ses attributs sont très très bien dotés par la nature.
Je ne réplique pas, mais les propos de Marc m'interpellent tout de même. Moi, je continue de regarder la répétition, mais Marc lui se remet à noter les imperceptibles défauts des pas et mouvements de la chorégraphie de chacun des danseurs. La répétition terminée, les danseurs après s'être changés, je retrouve le corps de ballet masculin pour faire le chemin du retour vers notre hôtel. En marchant je félicite les jeunes danseurs, nous avançons à notre pas, et je m'arrange de bavarder plus longuement avec le jeune danseur que j'avais repéré.
Et en m'adressant à Adalbert (ce jeune danseur)
Moi : J'ai beaucoup apprécié à tous votre répétition. Cela demande beaucoup de travail, n'est-ce pas Adalbert ?
Adalbert : Oui, monsieur, parfois j'en ai les larmes aux jeux, et malgré l'entraînement presque quotidien, j'ai très mal à mes muscles. De les toucher parfois est intolérable.
Moi : Cela peut se comprendre. Mais lors d'une des figures que tu as magnifiquement exécutée, il y a tout de même quelque chose qui m'a beaucoup dérangé dans toute cette harmonie, (je marque un temps d'arrêt) j'ose te le dire, nous pouvions voir ton érection. çà t'excite tant que cela malgré les efforts.
Adalbert : Vous avez-vu de la salle ?
Moi : et comment que cela se voit. J'ai pu observer que ta queue était bien fière.
Adalbert : Pendant les représentations nous avons une coquille pour tout cacher, mais lorsque je commence à bander, cela me fait mal et me gène dans mes mouvements.
Moi : Oui, oui, remarque cela m'a permis d'observer ta belle bite.
Adalbert (il rougit) Ah , mais tu n'as pas vu celle de Stéphane. Il a une de ces chances lui, elle fait très envie.
Moi : Je crois, car il était à un certain moment dans le même état que toi, cela se voyait aussi. Tu as vu en réel sa queue à ton professeur ?
Après un temps de réflexion et de silence
Adalbert : Une fois, après le cours, je lui ai dit : "Stéphane, ce que vous avez là devant m'impressionne". Et a baissé immédiatement son collant et me la montrée, j'en crois pas mes yeux. Elle est belle et énorme.
Moi : C'est bien ce qui me semble.
La conversation s'est terminée en passant à un autre sujet avec d'autres jeunes danseurs. Une fois arrivés dans le hall de l'hôtel chacun a demandé sa clef au chef réceptionniste. Avant que le groupe s'éparpille Marc conseille à chacun de se reposer un peu après ces plus de quatre heures de répétition. L'ascenseur à chaque étage déversait quelques jeunes. Il ne restait pour la cinquième étage les trois adultes Stéphane, Marc et moi. Arrivés, Stéphane nous demande
Stéphane : Vous venez dans un moment prendre un verre dans ma chambre (qui est également une suite)
Marc : Je vais me reposer, c'est plus sage
Moi : nous pouvons nos retrouver au bar en bas dans une heure
Stéphane : C'est plus sympa dans la chambre surtout qu'elle est grande et on an une belle vue.
Moi : Ok J'accepte – j'arrive dans un petit moment
Stéphane : bien, je prends mùa douche vous venez
Nous nous séparons pour aller dans nos suites et prendre une douche et se changer. Après ce bref moment je frappe à la porte de la chambez de Stéphane. Il m'ouvre. Il a encore les cheveux mouillés et a revêtu un magnifique vêtement d'intérieur en soie légèrement moulant et à peine opaque. Il m'invite à prendre place sur un des deux canapés. Il a préparé des verres et s'assoit en face.
De la manière dont il est assis, avec ses jambes légèrement écartées, son paquet est bien dessiné.
Moi : Votre répétition a été très intéressante pour moi. C'est très instructif avec toutes les remarques ques vous avez faites aux jeunes. C'est une belle troupe amateurs que vous dirigez
Stéphane : Oui, j'ai de la chance avec ces jeunes, ils sont tous motivés et en plus leur beauté est homogène. Pour moi c'est un véritable plaisir de les regarder.
Moi : (je ricane un peu) Ah, oui, cela s'est bien vu
Stéphane : (inconsciemment il me tutoie) Tu l'as donc vue ?
Moi : Ne faites l'ignorant, à un moment, je voyais que votre sexe dressé à l'équerre.
Stéphane ; T'as donc vu comme elle est belle.
Moi : Votre justaucorps mettait votre sexe bien en évidence, et j'ai constaté que la Nature ne vous a pas raté.
Stéphane : oui c'est vrai. T'as donc vu mon cylindre de vingt trois et pas moins de cinq de diamètre. Tu veux la voir? je te montre
Moi : (ne voulant pas aller trop vite et ne voulant pas me dévoiler immédiatement) - nous aurons l'occasion durant le séjour.
Pendant notre échange de dialogue, son paquet prenait apparemment du volume.
Stéphane : Pendant que nous prenons ce verre, il faut que j'appelle un jeune pour faire quelques arabesques qui n'étaient pas parfaites tout à l'heure. Vous pouvez rester, cela ne sera pas trop long.
Il décroche le téléphone qui est à côté du canapé
Stéphane : C'est Stéphane ! il faudrait que tu viennes un instant pour tes exercices de port de bras position deux. Je t'attends. Ma suite est 534. A tout'
Après quelques échanges culturels sur la beauté architecturale de la ville qui nous accueille, quelqu'un frappe à la porte. Stéphane se lève et je peux de nouveau admirer son sexe en pleine érection qui distant son pantalon de jogging. Faisant fi de situation il va ouvrir. Sur le seuil de la porte, j'aperçois de jeune Adalbert en justaucorps et un gilet sur les épaules.
Stéphane : Entre ! Tu veux boir un jus avant que nous commencions. Tu dois encore travailler tes ports-de-bras.
Adalbert : Non non, Stéphane, je veux répondre les autres qui vont sortir tout à l'heure.
Je revois ce jeune si bien foutu et qui n'a pas encore mis de coquille. Stéphane s'approche de lui. Prend son bras pour accompagner le mouvement de l'exercice. La bosse, plutôt le sexe de Stéphane est tou contre la cuisse de l'élève. Ce dernier commence à bander. Le vêtement se tend de plus en plus. A un moment le grand bras de Stéphane lors du mouvement frôle la queue du jeune Et ! ! ! du creux de sa main masse le gland protubérant d'Adalbert.
Stéphane : C'est bien Adalbert. Ton bras est bien tendu pour l'arabesque, c'est comme ta queue. Tu es bien en forme.
Adalbert : OUI, mais toi aussi Stéphane. Je t'ai bien senti tout à l'heurer.
Stéphane : Alors enchaîne !
Stéphane lâche le bras de son élève et saisit de ses deux mains la ceinture de son jogging pour le descendre. Et là je ne sais plus où me mettre en voyant ses splendides attributs tout lisses. C'est impressionnant de voir cet organe. Effectivement il doit atteindre au moins vingt quatre centimètres mais surtout sa circonférence. En même temps qu'Adalbert se met à genoux, il a enlevé son justaucorps. Lui aussi est complètement imberbe et lisse. Que c'est beau de voir ces corps si bien sculptés. Adalbert rentre dans sa bouche cette impressionnante matraque. Stéphane lui tien la tête pour avoir droit à une gorge profonde. Il lui force réellement le fond de la bouche. Adalbert est plus que cramoisi, avec la respiration qui a l'air de lui manquer. Stéphane relâche l'emprise et de ce fait Adalbert lèche tout le hampe qui est devenue toute luisante. Stéphane fait relever le jeune pour l'embrasser à pleine bouche. Des bruits de langues se font entendre. Je ne reste pas insensible par ces deux scènes successives. J'ai ouvert mon pantalon pour plonger ma main à l'intérieur, et je sens mon méat mouiller de quelques gouttes pré-séminales. En continuant de s'embrasser, Stéphane fait avant son élève vers le canapé pour le faire s'allonger. Il lui caresse tout le corps La queue du jeune n'est pas mal non plus pour son âge. Je ne tiens plus j'enlève mes chaussures et mon pantalon pour aller les rejoindre sur le canapé. Je m'approche et m'assois sur l'épaisse moquette pour saisir avec grand plaisir la queue d'acier d'Adalbert. Je crache dans le creux de ma min pour lui masser le gland. Il commence à légèrement gémir. Est-ce mon massage de queue ou les caresses de Stéphane ? Adalbert se tortille. Stéphane pousse sa longue et fine main sur le dos du jeune, et de l'autre saisi son incomparable sexe pour le diriger vers le peit trou imberbe d'Adalbert. Je suis assez surpris car aucune once de gel a été déposée. Au moment où l'énorme gland frôle la rosette, Stéphane crache à deux reprises de sa salive sur celle-ci
Adalbert : Non, non, je ne veux pas de çà, je te l'ai déjà dit. Je t'ai dit que je veux seulement la toucher et surtout la sucer mais pas çà.
Stéphane : Tu te rends compte Eudes, il fait tout pour m'exciter, il ne veut toucher qu'à ma fierté dont il est jaloux et maintenant il ne veut pas ce petit plaisir que je veux lui offrir. C'est certain il est vrai qu'il suce admirable bien et en plus il va jusqu'au bout sans qu'on lui demande
Doucement Stéphane appuie légèrement sur le dos d'Adalbert, approche sa bouche, il commence à lécher s on petit trou. Ace moment là, Adalbert bouge un peu et fait onduler son corps en poussant de petits gémissements
Moi (m'adressant à Stéphane) Mais c'est la première que vous vous amusez avec lui ?
Stéphane : Pas tout à fait jusqu'à présent après les répétitions il vient me provoquer et m'excite. Il voulait toucher, je l'ai laissé faire et progressivement il m'a sucer, et tellement il le fait bien, je lui demande de venir recueillir mon jus et il a droit à des massages de sa bite et roulage de pelles, ce qu'il aime bien. Maintenant il faut qu'il connaisse autre chose, et ce voyage y est propice.
Avec ces paroles et voir ce tableau me fait réellement bander. Stéphane se remet à sucer le cul du jeune. Ma doutant de son intention, de mon autre main, je commence à caresser la joue de Adalbert
Moi : N'ai pas peur, il est doux, il est très attentionné, tout va bien se passer.
Pendant mes phrases, Stéphane, se redresse un peu et de sa main droite positionne sur tuyau face au trop assoupli par les cops de langue. Et là, il commence très lentement et doucement à forcer pour essayer de rentrer. A peine au bord, Adalbert réitère son refus et dire qu'il a mal. Je continue à lui caresser la joue et lui donner un baiser sur le front A ce moment Stéphane me fait signe qu'il va rentrer. Stéphane pousse, pousse et introduit son énorme chibre. Adalbert poue un cri de douleur.
Moi : Ne pleure pas, il fait çà doucement, tu vas avoir du plaisir dans un instant.
Adalbert : Non, non, j'ai trop mal, c'est horrible.
Cela n'arrête pas Stéphane qui continue toujours à poursuivre sans descente de ses vingt-trois centimètre dans cette grotte vierge. Il marque un petit temps d'arrêt et commence son pistonnage avec de lents va et vient. Les cris se sont stoppés, pour laisser place à de courtes onomatopées hum, hum, puis progressivement de petits gémissements. Les va et vient sont de plus en plus amples ce qui fait pousser des oui, oui, doucement c'est bon. Stéphane à son visage qui s'éclaire par le plaisir qu' Adalbert commence à découvrir avec cette sodomie inattendue. Adalbert accélère ses mouvements de reins et vient buter à chaque poussée. Des gouttes de sueur apparaissent sur le front du professeur, et au bout de plus de cinq minutes de ce splendide spectacle, en observant ce trou s'ouvrant par cet énorme sexe
Stéphane : C'est bon , c'est bon, il va me faire jouir; çà vient, çà viennnnt ! !je jouiiis je jouiiiiis
Des giclées sont déversées dans le cul d'Adalbert, mais Stéphane se retire d'un seul coup, ce qui fait retourner la tête du jeune qui reçoit encore en pleine figure trois énormes jets épais blancs de la précieuse semence de son professeur. Adalbert s'affale sur le canapé, Stéphane se déplace pour aller embrasser son élève à peine bouche en le remerciant de s'être si bien donné.
Adalbert : Tu sais j'ai eu très mal, mais après tu as eu raison d'insister, tu m'as donné un grand plaisir c'à faisait du bien à l'intérieur, je pourrai venir après la représentation ?

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