La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 671)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°666) - Gang bang à bord –

Le Noble emmenait celui qui était désormais Son esclave total, le tirant sans le moindre ménagement par les cheveux le tenant plié en deux, pour le conduire au pont supérieur du Croix-Rousse. Le Maître semblait déterminé, il voulait que Son esclave comprenne bien, une bonne fois pour toute, qu’un virage à cent quatre-vingts degrés, venait d’être pris ce matin aux aurores, sa vie entre les mains de Monsieur le Marquis serait désormais bien différente de celle connue jusqu’ici ! Il voulait l’imprégner de sa totale Domination d’ailleurs, tout en le trainant, Le Maitre l’exprimait encore plus clairement :

- Tu es à MOI, tu entends bien esclave Endymion MDE, à MOI ! tu es MA PROPRIETE ABSOLUE, tu M’APPARTIENS CORPS ET AME, ne l’oublie JAMAIS, tu n’es plus RIEN sans MOI !

Plus prégnante était encore la Noble main, ses doigts se crispaient et se serraient plus encore dans sa chevelure, l’agrippant pour lui secouer la tête énergiquement.

- Plus RIEN, plus qu’un esclave à Ma totale disposition et Mon Service. Tiens-toi le pour dit !

En montant les escaliers, l’esclave MDE faillit trébucher, heureusement retenu par sa tignasse, le Maître lui évita de chuter.

- Tu vois esclave, c’est bien ce que je te disais, il y a tout juste un instant, sans Moi tu te serais fichu en l’air, tu vois que tu as besoin de moi… (Le Maître se tut quelques secondes, puis il reprit)… Comment oses-tu ne point exagérément cambrer tes lombes et écarter les cuisses. Je Veux, tu entends bien, JE VEUX… que tu creuses en permanence tes reins pour faire ressortir ton cul et que tu gardes les cuisses largement ouvertes, pour laisser accès en permanence à ton trou de pute et à tes burnes de chien !

Le changement était radical, l’humiliation omniprésente et malgré ces deux observations, l’esclave MDE était des plus sereins, des plus heureux.

Il aimait se voir traiter ainsi, quelque peu malmené physiquement et mentalement. Sa nouille ne pouvait le contredire, elle était plus que droite et fière, presque altière ! L’esclave Endymion MDE arborait sa virilité sans complexe lorsqu’il fut obligé de se tenir droit devant le Maître. Celui-ci attrapa sa nouille érigée et la lui tordit douloureusement.

- J’aime te voir bander mon esclave, ainsi tu exprimes ta fierté de m’appartenir. Pour cette raison, sauf exception, tu ne porteras plus de cage de chasteté, pour le moment. Ecarte plus les cuisses et tend mieux encore ton cul de pute.

Endymion MDE se campait dans une posture des plus outrageuses et des plus provocantes, pliant un peu les genoux, avec insolence il écartait les cuisses, creusait ses reins, dégageait son cul pour faire s’entrouvrir sa raie. Le Maître l’observait avec un sourire pervers.

- Tu es beau ainsi, un bel objet sexuel que tu fais, mais peut-être vas-tu regretter d’avoir un trou du cul et une bouche de catin aujourd’hui…

Monsieur le Marquis n’en disait pas plus. Près de lui étaient venus les deux skippers, eux aussi regardaient attentivement l’esclave MDE se dévergonder sans scrupule ni honte, se contentant d’obéir strictement. Etienne lui caressa les fesses, au moment même où le Maitre lui enfonçait des bouchons dans ses conduits auditifs, l’empêchant d’entendre le moindre bruit, le moindre son…

Endymion MDE les voyait parler ensemble mais ne comprenait rien de leur conversation, il ne distinguait aucun son, mais comprenait qu’eux trois devaient parler de lui, de se moquer de lui, leur regard était d’une rare perversité. Ensuite, Le Maître lui glissait les mêmes bouchons dans les narines, l’obligeant à respirer par la bouche, et de la garder ouverte. Peu après Maximilien posait une cagoule de cuir sur son visage, l’empêchant de voir, le plongeant dans l’obscurité parfaite. Cette cagoule était maintenue attachée par des liens derrière son crâne.
Les liens étaient tellement serrés que cette cagoule lui écrasait le nez, seule sa bouche restait dégagée. L’esclave MDE se sentait partir et plonger dans un isolement total, on venait de lui ôter la vue, l’ouïe, l’odorat, jusqu’où allait-on l’entrainer ?

Il sentit qu’on l’attrapait par les bras, qu’on l’obligeait à se plier en deux, à poser son ventre sur un cousin moelleux, alors qu’il avait encore les pieds au sol. Des lanières de cuir entouraient ses cuisses, ces sangles en cuir lui maintenaient les jambes grandes ouvertes. Ses pieds étaient eux aussi entravés et ligotés, comme ses avant-bras et ses poignets. Un autre coussin était placé sous son menton, lui maintenant douloureusement la tête relevée, sa nuque en équerre. D’autres sangles bardaient son corps, lui tenant les reins arqués, lui faisant rebondir son cul. Il sentit encore qu’on lui glissait un objet froid dans l’anus, une sensation étrange surtout lorsqu’il se rendit compte que le dit objet s’écartait en lui, obligeant son trou à s’ouvrir largement. Ce spéculum l’élargissement, le dilatait grandement. Autre sensation étrange, lorsqu’on lui installa un écarteur de bouche, maintenant ses mâchoires crispées et grandes ouvertes… Puis plus rien, plus rien du tout !

L’esclave MDE était exposé, ses deux trous grands ouverts, tenu fermement attaché, sans comprendre pourquoi il se trouvait là, anéanti, affligé, dans l’inertie obligée, dans la contrainte la plus stricte. Il attendait patiemment et… bandait sauvagement ! Cette ignoble posture, totalement inhumaine, l’excitait au plus haut point. Alors qu’il était privé de la vue, il s’imaginait ainsi tenu et écartelé, offert, obligé et c’était bien cette vulnérabilité qui l’excitait le plus. Ce sentir n’être plus qu’un trou (et même deux trous !) à vide-couilles lui procurait une incroyable excitation autant physique que mentale. Il était exhibé, largement ouvert, pénétrable à souhait, réceptif et prêt pour la ou les saillies ! Il resta ainsi longtemps, très longtemps, jusqu’au moment, enfin, où une main lui caressa sa croupe.
Elle eut un effet terrible sur sa bandaison, cette caresse l’avait transcendé. Était-ce parce que privé de trois de ses cinq sens qu’il percevait mieux encore ce contact tactile comme une arme de persuasion massive. Ce simple toucher inquisiteur lui avait apporté du plaisir mais pas que, une réceptivité émotionnelle bien différente qu’habituellement, une sensation de soumission plus exacerbée, une attractivité, une puissance Dominante. Était-ce la main du Maître ?

Deux choses dont ne pouvait se douter l’esclave de Monsieur le Marquis. La première chose, à quelques pas de lui, soumise Estelle, avait été, elle aussi, installée dans la même posture que lui. Elle aussi avait été plongée dans le silence et dans le noir absolu, elle offrait sa croupe aux doux alizés. Sa chatte et son cul étaient encombrés par un spéculum et un gros plug, sa bouche était tenue largement écartée. Elle gémissait doucement, agréablement, visiblement se trouver dans cette position exhibée, l’excitait également, énormément. Ce petit vent chaud s’engouffrant dans sa chatte béante la faisait frissonner… La seconde chose était l’organisation de cette journée, préparée depuis plus de quarante-huit heures, dans le plus grand secret, avec grand soin, par Monsieur le Marquis lui-même aidée par les autres Dominants et les deux skippers. Et quelle organisation !… un gang bang sur le Croix-Rousse, une grosse partouze en pleine mer des Caraïbes ! Grace à un carnet d’adresse bien rempli, à internet, et à ses très nombreuses relations, Le Maître avait « recruté et sélectionné », amis et connaissances croisant ici ou habitant à plein temps ou temporairement sur ces iles somptueuses. Tous étaient des personnes honorables, souvent richissimes, avec des fonctions importantes : Médecins, avocats, hauts fonctionnaires de l’état, politiques et même un député ! Évidemment tous avaient répondu à l’invitation du Noble Maître, connaissant sa parfaite discrétion, sa bienséance et son savoir-vivre. Une trentaine de personnes étaient donc attendues ici, hommes et femmes allaient pouvoir se dévergonder, se débaucher sans retenue ni complexe et disposer à volonté, de la femelle soumise et de l’esclave mâle pour satisfaire leurs besoins sexuelles et bas instincts dans la dépravation la plus totale.


Cette main caressante, n’était autre que celle du skipper Maximilien, mais ça, Endymion MDE ne pouvait pas le savoir ! Il sentit les mâchoires du spéculum se desserrer, on lui ôtait même l’engin de son cul. Tout lui laissait à penser que l’opération dilatation au grand air matinal était terminée, surtout que sa bouche, elle aussi, était libérée et débarrassée de ce contraignant écarteur. Un doigt glissait dans son cul, comme pour vérifier si la dilatation était bien suffisante. Ce doigt lui écartait son anus, imprimait des cercles en tirant sur ses sphincters. L’esclave se pâmait, son cul s’enfiévrait littéralement, il poussait des petits cris jouissifs à chaque fois que ce doigt s’enfonçait en lui. Le même doigt glissa peu après dans sa bouche, lui écartant les lèvres, glissant sur sa langue. Ce doigt avait une saveur particulière, un gout de sperme évident. Il faut dire que le Maître, ce matin même lui avait copieusement dosé le fion, quoi de plus normal ! Son excitation redoublait, savoir qu’il goûtait au nectar du Maître le mettait en appétit. Alors qu’il était en train de se délecter de ces sucs intimes, subitement, il sentit une bite brûlante lui envahir l’arrière train, d’un seul coup net et profond sans prémices. Elle glissait sans peine profondément en lui. A qui pouvait appartenir ce chibre ? Cette queue lui semblait longue mais guère épaisse… Cette bite lui avait-elle déjà exploré le derrière ? A moins que son cul soit vraiment dilaté, à ne plus la reconnaitre. Etait-ce celle de Monsieur Henri, d’Etienne ou encore celle de Maximilien ? Une chose dont il savait, ce n’était pas la Noble Queue de Monsieur le Marquis, il en mettait sa tête à couper…

Et ce doux minou qui venait de se coller sur ses lèvres, était-ce celui de Madame Marie, de Madame Gabriella ? Non ce ne pouvait pas être celui de Madame la cuisinière, car cette chatte qu’il dévorait maintenant à pleine bouche n’était pas totalement épilée, ce clitoris tendu semblait plus large et plus épais que celui de Madame Marie. Ce sexe ne pouvait qu’appartenir à Madame Gabriella, il ne l’avait jamais encore goutté… En fait, la femme se tenant cuisses écartées et sexe posé sur la bouche de l’esclave, était une femme d’affaire d’une grande entreprise américaine. Elle était grande, très élancée, un corps svelte et musclé, une poitrine généreuse, un fessier bien rebondi et ferme. Une femme à faire retourner un bon nombre d’hétéros en manque. La bite qui l’enfournait copieusement appartenait à un grand avocat italien de renommé international. Il était plutôt râblais, costaud, très poilu… Mais tout ça l’esclave MDE ne pouvait le savoir. Il se laissait ramoner le fion, tout en glissant sa langue dans cette cavité brulante et ruisselante, tout en bandant fermement à en avoir mal aux couilles… De nombreux voiliers et autres prestigieux yachts avaient jeté l’ancre près du Croix-Rousse, ils s’amalgamaient les uns aux autres. Les convives débarquaient au fur et à mesure et Monsieur le Marquis lui-même, accompagné de Madame Marie les accueillaient avec un savoir-faire et une élégance à toute épreuve. Tous semblaient plus ou moins se connaitre, s’étaient croisés lors de parties fines, alors sans hésité, et sans la moindre gène, ils se dénudaient entièrement et rapidement s’abandonnaient aux délices de la chair, entre eux, mais aussi et surtout avec l’esclave Endymion MDE de Monsieur le Marquis et la chienne femelle Estelle de Madame Gabriella et Monsieur Henri. Il était trop bon d’exploiter les trous de ces deux-là, totalement harnachés et offerts à souhaits.

Endymion MDE avait enfin compris que ces bites le ramonant, tant la bouche que le cul, que ces mains le caressant ou le triturant, que ces vulves enflammées, ces clitoris échauffés, que ces foutres giclés sur son corps sanglé, que ces jus avalés lui étaient totalement inconnus et que sans doute il ne les connaitrait jamais ! Il en prenait plein les fesses et plein le gosier : des petites, des grosses, des épaisses, des longues, des charnues, des gluantes, des indigestes, des grasses, des lourdes, des volumineuses et des visqueuses. Il n’était plus qu’un défouloir à bites, un vide-couilles, une parfaite putain enculée et avaleuses de queues… des vraies, mais aussi des fausses en latex fixées sur des ceintures… Il n’était qu’un décompresseur à vulves charnues et endiablées, un excitateur de clitoris, un avaleur de cyprine et de foutre, un lécheur de cul… Il n’était plus qu’un esclave sexuel, un simple jouet à plaisirs, conduit à la perversion et obligé à la dépravation. Dépravés et humiliés l’esclave MDE et la soumis Estelle, eurent du mal à tenir debout, lorsqu’ils furent délivrés de leurs entraves. Et pourtant, toujours aveuglés et murés dans le silence, eux deux tenus côte à côte, furent encore soumis à un affront supplémentaire, des doigts glissaient dans la chatte béante de la belle Estelle, une main empoignait le membre tendu de l’esclave MDE. Là, au milieu de ceux présents, ils furent masturbés et branlés de force. Une nouvelle : chacun d’eux tentaient désespérément de retenir leur jouissance…. En vain, l’excitation était trop forte à tenir et ils jouissaient l’un et l’autre, l’un après l’autre en hurlant leur plaisir, en beuglant leurs perverses émotions !

Sans attendre, logiquement la punition tomba, l’esclave Endymion MDE appuyé sur le bastingage reçu la badine, une trentaine de coups appuyés sur son fessier tendu, quant à Estelle, debout sans bouger, reçut le fouet, la fine lanière lui zébra dix fois sa belle et plantureuse poitrine. Ils furent ensuite redescendus dans la cale du bateau et purent prendre enfin un peu de repos...

(A suivre…)

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