Le Métis Nu
Ce récit se déroule dans la région toulousaine où je vis désormais.
Une belle journée de printemps, jai pris un jour de récupération. Je saute sur mon VTT et file vers le lac gersois à 20 km de ma fermette.
Mon plaisir est de concilier le sport, la détente, le plaisir dêtre dans la nature, lair pur aux senteurs de campagne, loin des villes polluées.
Après le vélo, je nagerai dans le lac et me reposerai, nu, dans un coin tranquille.
Adepte du naturisme, jaime me baigner et bronzer au soleil. Quand des promeneurs maperçoivent, ils respectent mon intimité. Parfois, une exclamation de surprise, sans plus. Dautres fois, un pêcheur sattarde, et lair de rien mate un peu.
Ce jour-là, en milieu de semaine, les bords du lac sont peu fréquentés. Cependant, à distance, japerçois un homme seul, qui se repose lui aussi au bord du lac. En regardant mieux, je maperçois quil est nu lui aussi. Sa silhouette semble athlétique. Je décide daller voir plus près. Le coin quil a choisi est bien visible depuis les berges et lautre côté du lac. Il est gonflé, me dis-je. Tous les promeneurs peuvent le voir. En mapprochant, je découvre un homme de taille moyenne, mais bien musclé. Détail croustillant : entre ses cuisses une verge dune dimension hors norme au repos.
Je nai pas lhabitude daborder facilement des inconnus. Mais, jai des points communs avec ce gars. Le goût pour la nudité, lexhibition et la musculation. Je mapproche et propose de lui tenir compagnie. Il accepte bien volontiers. La trentaine, métissé, couleur « café au lait », cest un beau mâle musclé, très membré. Je nen reviens pas de voir ce sexe hors norme et esthétiquement superbe.
Son visage ne m'est pas inconnu. Je me rappelle alors une mésaventure survenue quelques mois auparavant. Je m'étais rendu en VTT dans un coin coquin de la forêt proche de mon village, lieu de rencontres entre hommes. J'avais attiré 2 ou 3 hommes autour de moi, qui commençaient à me butiner quand ce gars-là a surgi en nous provoquant.
Apparemment, je lui étais inconnu. Il me semblait paisible, pacifique. je décidai d'entamer la conversation le plus naturellement du monde, tout en restant sur mes gardes.
Je lui dis mon étonnement de le trouver nu dans un endroit si exposé. N'était-il pas ennuyé par les promeneurs choqués par son impudeur ? Il me répondit que les gens parfois venaient lui reprocher, mais qu'ils en profitaient aussi pour le mater de près. En particulier les femmes et certains hommes. Et que les choses n'allaient pas plus loin. Evidemment, face à un tel spécimen, je comprenais que l'on préfère se rincer l'oeil plutôt que de polémiquer ou faire la morale.
Et je ne m'en privais pas de le mater, mais sans ostentation. je conservais une attitude sobre et réservée. Nous discutâmes de choses et d'autres, il se vantait de son succès en camp naturiste où il était vigile et de son travail actuel, steward dans une compagnie aérienne. cela était-ce vrai ou pas, ça n'avait pas d'importance. Ce qui était certain, c'est qu'il avait besoin de reconnaissance, d'admiration.
Il semblait à l'aise en ma présence. Au bout d'un moment, je me mis sur le ventre pour bronzer le dos. Il me surprit alors me disant que j'avais un beau cul. La conversation se poursuivit banalement. il jetait des coups d'oeil de plus en plus fréquents sur mon postérieur. Son sexe commença à grossir. Quant à moi, mon regard était immanquablement attiré par sa superbe virilité. Il me dit "j'ai envie de ton cul", et il commença à me caresser les fesses. Son pénis prenait de l'ampleur. Dieu qu'il était beau ! il voulait me prendre,là, sur ce petit bout de plage au bord du lac. Il n'avait peur de rien.
Il me suit, son lourd phallus tendu à l'horizontal. A l'abri des regards, je me régale de ce sexe magnifique. je le flatte, le caresse, le léche, le hume, prend en bouche le gland, je ne peux guère plus. Mes mains caressent ses fesses rondes et musclées, malaxe ses couilles. Quel privilège de savourer un tel mâle. Au bout d'un moment, il décide de me prendre. Avec difficulté, je couvre la moitié du braquemart d'un préservatif bien trop petit pour lui, l'enduit de lubrifiant ainsi que ma rondelle. Arc-bouté sur un arbre, je lui présente ma croupe. j'avoue être craintif à ce moment-là. je n'ai jamais été baisé par un sexe aussi gros et long. Va-t-il me faire mal, me déchirer ? Je le supplie de s'introduire en douceur. Il me rassure, positionne son gland sur ma rondelle et pousse fermement en me tenant les hanches. Je sens le gland écarter l'anneau plissé et entrer. C'est douloureux. j'ai un cri de douleur. Heureusement, il ne force pas, sûr de sa puissance. centimètre par centimètre, il s'introduit entre les fesses. j'ai l'impression d'être empalé par un gros bâton. C'est douloureux et jouissif en même temps. je le veux en moi. Me sentir très rempli, le cul dilaté. J'aimerais voir son chibre glisser entre mes fesses épanouies. la vision d'un gros et beau sexe décuple mon envie, même si je sais que ce ne sont pas les plus agréables, car trop invasifs. C'est une délicieuse d'être sailli par un gros sexe. j'ai envie en même temps de le rejeter et de le sentir aller et venir encore et encore dans mon anus. Jouir de cette douleur.
Soudain, je sens ses spasmes. il éjacule et jouit dans mon cul. Vidé de son foutre, il se retire.
Rassasiés tous deux, la rencontre s'achève sur la petite plage. Quand il décide de partir, je le raccompagne à son véhicule garé plus loin sur la route. il n'est plus nu. l'image que je conserve de cet instant, c'est la forme de sa longue verge apparente sous le petit short blanc.
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