La Soumise Du Bar.

C’était un soir ou je m’ennuyais. J’avais décidé, même étant seul, d’aller prendre un verre. Le premier bar que je vis était le genre un peu miteux, ou l’on pourrait rencontrer des personnes louches ou mal intentionnées.
Finalement je me dis « pourquoi pas », après tout je voulais juste prendre un verre. J’entrais, le bar était crasseux, des hommes à la mine patibulaire étaient dispersés au bar et dans la salle, certains accompagnés de femmes qu’on n’aimerait pas croiser sans qu’elles aient pris un bain, idem pour tous ces hommes.

Je m’installai au bar. Le barman s’approcha pour me demander ce que je prenais et revint une minute plus tard avec mon whisky. Le jour déclinait, mais la lumière des néons était vive, c’est pour ça que je l’ai tout de suite remarqué quand elle est entrée. Elle avait environ la trentaine, une brune aux yeux marron. Plutôt grande, surtout percher sur ces hauts talons. Elle resta un moment dans l’encadrement de la porte, comme figé par le regard de tous ces hommes qui la déshabillait. Elle était franchement bien roulé, un petit cul bien rond, une paire de seins qui tiens dans la main et dont son haut moulait parfaitement la forme. Une jupe noire assez courte finissait ces longues jambes tapissées de bas noir eux aussi.

Elle remit une mèche de ces cheveux mi- longs derrière son oreille avant de s’avancer dans la salle. Elle s’installa à une table, l’air pas du tout rassuré. Je la regardais tout en buvant mon whisky. J’admirais ces jambes, fines, longues. D’où je me trouvais elles semblaient si douces. Je laissais vagabonder mon imagination, quand tout à coup je fus sorti de mes rêveries par un homme qui entra dans le bar. Il chercha la femme du regard et vint s’asseoir près d’elle. Visiblement ils se connaissaient.

Il la dévorait des yeux, elle lui souriait. Puis il lui susurra un mot à l’oreille ce qui lui fit perdre son sourire. Le ton monta légèrement entre eux et j’entendis : - Va y, fait le, obéis.

La femme regarda autour d’elle pour savoir si on la regardait. Puis discrètement je la vis remonter sa jupe, découvrant un string rouge vif, qu’elle le fit glisser doucement à ces pieds. J’entrevu sa petite chatte pendant une fraction de seconde, mais elle s’empressa de serrer les jambes. Cette situation m’excitait et elle m’excita encore plus quand en ramassant son string à ces pieds elle me surprit à la regarder. Elle avait compris que j’avais tout vu, confuse elle baissa la tête et rougit.

Elle tendit discrètement le string à l’homme qui sans aucune pudeur le senti. Il avança une main vers son haut et commença à pincer un téton à le faire rouler entre ces doigts. Elle se pinça les lèvres comme pour empêcher un petit cri de sortir. Je voyais qu’elle appréciait. L’homme lâcha son téton caressa sa joue en lui faisant sucer son pouce. Elle jetait de petit coup d’œil vers moi pour voir si je regardais, elle semblait gênée mais continuait de sucer le pouce de l’homme. C’est là que je compris qu’elle était soumise à cet homme et qu’elle ferait tout ce qu’il lui demanderait.

Cela m’excitait encore plus et j’avais hâte de voir ce qu’il allait lui faire subir. Mais j’étais loin de me douter de ce qui allait se passer. L’homme continua un moment ces petits jeux, téton, pouce dans la bouche, baisers humides. Puis il la regarda fixement et lui dit : - Choisis.
Elle regarda autour d’elle, puis dans ma direction. Elle susurra à son tour à l’oreille de l’homme tout en me regardant. J’étais intriguer et exciter, qu’est-ce que tout cela signifier, j’allais vite comprendre. Elle sourit à l’homme, se leva, pris la direction des toilettes tout en me dévisageant. J’avais compris mais n’osait pas la suivre. Puis l’homme qui étais de dos se retourna et me fit signe de la tête de la suivre. J’hésitai une seconde, puis fini mon whisky cul sec, me leva et tranquillement, pour que les autres ne se doute de rien, je me dirigeais vers les toilettes.

Tout en m’assurant que l’on ne me voyait pas, j’entrais discrètement dans les toilettes femme. Elle était là devant le miroir, elle mettait du rouge à lèvres. Elle me vit entrer dans le miroir, me fit un sourire. Et tout en se maquillant me dit : - J’avais peur que vous ne veniez pas.
- J‘avoue, j’ai hésité à cause de votre ami, mais il m’a fait signe de vous suivre.
Elle s’approcha : - Disons que lui et moi, on aime certains divertissement avec d’autres.
- J’avais compris rassure toi, me permettant de la tutoyer.
- Je ne suis pas inquiète dit-elle en gloussant.
Elle sorti son string, qu’elle avait caché dans son soutif. Me le colla sous le nez en souriant. Humm j’humais son parfum, son string sentait si bon.
- Il me semblait que tu avais envie de le sentir quand tu m’as vu l’enlever n’est-ce pas ?
- Ce n’était pas ma seule envie et je dois dire que vos petits jeux m’ont excité.
Elle poussa la porte d’une cabine, me tira à l’intérieur par le haut de mon t-shirt. L’homme entra et bloqua la porte derrière lui mais resta en dehors de la cabine.
- Ne t’inquiète pas il ne fait que regarder.
J’avais le dos qui bloquait la porte de la cabine, elle devant moi à quelques centimètres, elle était magnifique vu de près son parfum m’enivrait. Je n’osais pas bouger et elle restait là devant moi immobile.
- Elle est à toi, fait tout ce que tu as envie elle obéira, me dit l’homme comme impatient de voir ce qui allait se passer.
Je la plaquai contre la paroi de la cabine en tenant ces mains contre celle-ci. J’entrepris de l’embrasser, posa mes lèvres sur les siennes, les entrouvris avec ma langue qui rejoint la sienne. J’étais très excité, l’embrassait sauvagement, goulument, tandis qu’avec mon genou j’écartais ses cuisses. Passant celui-ci sous sa jupe je senti l’humidité de sa chatte passer à travers mon pantalon, je bandais. J’enlevai son haut rapidement elle ne portait pas de soutif. Pris ses seins à pleines mains dévora ses tétons un à un, je l’entendais gémir de plaisir, et mordillais ses tétons de plus belle. Une main glissa le long de sa hanche jusqu’à sa cuisse. Je remontai ma main sous sa jupe jusqu’à la sentir sou ma main. Sa chatte, chaude, trempée à présent et complètement lisse. Elle sursauta et gémis quand je glissai mon majeur entre ses lèvres et commença à frotter sans la pénétrer. Je pinçais ses lèvres entre mes doigts et agitais ma main pendant que je continuai à l’embrasser et à manger ses seins. Mes doigts maintenant recouvert de son jus, j’entrepris de sortir son bouton de sa cachette. Je le pinçai, le frottai, le sentais gonflé entre mes doigts et elle de pousser des petits cris et des gémissements.
- Continue oui c’est si bon, tu sens comme je mouille pour toi dit-elle dans un râle.
- Oui t’as pas idée à quelle point tu me fais bander.
- Non-dit moi.
- Elle est si dur et à l’étroit dans mon caleçon.
Je sentais que ça l’émoustillais encore plus que je lui parle de ma queue. Je la pénétrais vigoureusement avec deux doigts, sa respiration s’accélérait et ses cris devinrent plus forts.
- Je vais jouir c’est trop bon.
J’accélérais encore je la regardais, elle était magnifique et encore plus belle quand l’orgasme envahit son corps dans un long râle de plaisir et son jus chaud qui coulais sur mes doigts. Je pris mes doigts les mis dans sa bouche pour qu’elle goutte à son plaisir. Je défis ma ceinture sorti ma queue elle était si tendue si raide. J’entendis un bruit de braguette et je compris que l’homme avait de même.
- Suce-moi
- Elle est belle, elle donne envie dit-elle en l’engouffrant dans sa bouche.
Je poussais en râle de plaisir en sentant sa bouche autour de mon membre. Je regardais ses lèvres aller et venir tout le long de ma queue, elle me regardait aussi comme pour savoir si elle le faisait bien. Ses lèvres glissaient, sa bouche m’aspirait, sa langue titillait mon gland. Par moment elle me branlait en aspirant mon gland alternait avec une gorge profonde ou elle s’étouffait presque. Je ne m’étais jamais fait sucer comme ça, c’était divin. L’homme lui regardait le spectacle tout en se branlant. Je n’en pouvais plus, il fallait que je la prenne. Je la relevai, la tourna lui plaquant le visage sur la paroi de la cabine. Je remontai bien sa jupe sur son petit cul. Je m’approchais de son oreille.
- Tu la veux dis-moi ?
- Oui s’il te plait, mets là moi.
- Supplie-moi
- Je t’en supplie, j’en ai besoin, je veux la sentir en moi.
- Tu es sure ?
- Prends moi, prends moi, je la veux.
A ces mots je m’enfonçai d’un coup sec dans sa chatte trempée, elle cria. Je restai quelque seconde tout au fond lui léchant le cou, l’embrassant, lui mordillant l’oreille. Si je bougeais j’avais peur de jouir tellement elle m’avait excité. Puis je commençai un petit va et vient dans ses chairs. Elle gémissait doucement, j’accélérais en la prenant de plus en plus fort. Ces gémissements devinrent des cris, mes couilles claquaient contre ses fesses. J’y allais franchement c’était si bon.
- Oui, oui baise moi aaaaahhhh.
Plus elle me criait de la baiser plus j’y allais fort. J’allais et venait comme un fou dans cette chatte si accueillante. Je la sentis se contracter autour de ma queue et dans un long cri elle jouis de nouveau. Je n’en pouvais plus, impossible de me retenir plus longtemps. Je me retirai, appuya sur sa tête pour qu’elle s’agenouille et jouis dans un long râle en lui crachant de long jets de ma semence au visage et dans la bouche. Elle prit ma queue d’une main et finit de récolter la dernière goutte en me branlant et me pompant le gland. L’homme s’approcha à son tour et jouis sur ses seins.
- Merci me dit-elle en se relevant c’était super.
- Non merci à toi tu m’as bien fait jouir.
Sur ces mots elle remit son haut, baissa sa jupe, essuya sa bouche et son visage, puis disparue avec l’homme.
Je remontai mon pantalon, retourna m’asseoir et commander un autre whisky. Qui sait, si je restais ici assez longtemps peut-être pourrais-je suivre une autre femme dans les toilettes.