Le Voisin 3
LE VOISIN 3
Le lendemain, une autre journée de travail nous attendait, comme dhabitude ma femme était déjà sous la douche et comme un gros matou, je métirais les membres sur le lit.
Je me suis levé à mon tour pur la rejoindre, ma chérie était encore nue et séclaircissait le maillot au rasoir.
- Waouh
tu te fais belle, cest pour qui la bonne miam ?
- Pour personne, ou plutôt si
pour moi, cest pour me plaire à moi-même.
- Mais cela ne se vois pas, il ny a que toi qui le sait
à moins que cela ne soit pour moi ?
- Rien du tout, tu veux tout savoir et rien payer
cest pour mes amants, voilà tes content ?
- Tes amants ? Car tu en as plusieurs ?
- Tu es bête, allez lave toi vite car lheure tourne et nous naurons pas le temps de déjeuner.
Jai pris ma douche pendant quelle sest apprêtée et je lai rejoint un peut plus tard dans la cuisine pour boire mon petit café.
Jen ai encore pris plein la vue, elle était radieuse, une petite jupe sombre à mi-cuisses presque un peut trop courte à mon gout, mais cétait surement ma jalousie qui le pensait.
Une fine tunique écru boutonnée devant et à la taille une ceinture large en cuir noir qui orientait les regards sur ses jolies anches pulpeuses.
Les jambes gainées dun collant ou de bas en voile noir opaque qui lui prodiguait un coté plus que sexy et des escarpins à haut talon noir vernis.
La tunique était suffisamment déboutonné sur sa poitrine ou trônait un joli collier de perles nacrés et qui ne faisait quaugmenter lenvie de plonger le regard entre ses seins.
Cétait la tenue parfaite de la secrétaire de direction tel que je les adore.
- Ben dit donc, tu es bien sexy ce matin, faut il que je minquiète ?
- Mais non, pourquoi tu dis ça ?
- Dison que tu es plus que désirable dans cette tenue et puis tu tes fait belle
foufoune rasée et tout et tout, donc je me demandais en quel honneur ?
- Ho cest mignon, mais cest quil devient jaloux mon petit homme, si je te fais de leffet comme ça alors quest ce que cela sera des autres ?
- Vas y rajoute en, justement cest un peut racoleur, tu vas tous les exciter sur ton passage.
- Et alors ? Cest peut être le but recherché, il faut savoir prendre des risques et puis tu naime pas que ta petite femme soit belle et désirable ?
- Si bien sur, mais cest plus fort que moi, je taime
- Et bien si tu maime alors laisse moi faire comme je veux, il faut jamais mettre une jolie femme en cage car à la moindre occasion elle senvolerait vers sa liberté.
- Je suis bien daccord, ça nempêche que les oiseaux en liberté peuvent être attrapés par les chasseurs, et alors ?
- Cest un risque à prendre, tu ne crois pas ?
Cest sur ces dernières paroles que nous sommes partis pour la journée, chacun de notre coté, mais je nai pu mempêcher de penser à sa tenue trop sexy.
Mon coté jaloux me provoquait avec un nud au ventre, toute la journée lexcitation ma maintenu un début de bandaison bien agréable, mon imagination était florissante, parfois inquiétante mais toujours très excitante.
Jétais impatient darriver au soir pour la retrouver et discuter de ce quelle me faisait subir malgré elle, je lui ferais comprendre que je naime pas ça et que cela minquiète aussi pour notre couple.
Après tout, elle peut tomber sur un fou ou pire, un violeur quelle aurait aguiché sans le vouloir, on voit de tout dans ce bas monde et les femmes ne sont pas toujours conscientes des risques quelles provoquent.
Bon ça cest le pire, mais cela peut être aussi un collègue de travail qui deviendrait plus insistant pensant que sa tenue serait une porte ouverte sur laventure ou même son boss qui aurait soudain la nostalgie du droit de cuissage.
Dans mon esprit, les scénarios ne manquaient pas, tous plus pervers les uns que les autres, ce qui narrangeait pas du tout mon angoisse et ma jalousie, mais il y avait aussi mon coté pervers qui lui y trouvait plus que son compte.
Cest donc très excité que je suis rentré ce soir là pour retrouver ma belle petite femme.
Je suis arrivé le premier ce qui nétait pas dans nos habitudes, jai bu un café en faisant les cent pas dans la cuisine, après de longues minutes je suis allé dans notre chambre tel un paumé je regardais dans tous les coins cherchant je ne sais même pas quoi.
Ce matin, son retard était anormal et je faisais le rapport avec sa tenue vestimentaire ainsi que toutes ses idées malsaines que je me suis fait, tiraillé entre langoisse, linquiétude et une très forte jalousie.
Jai même ouvert le tiroir de sa commode, là ou elle range ses culottes, essayant de découvrir laquelle elle avait mis ce matin, surement une des plus sexy ou un de ces minuscules strings en dentelle.
Et puis cétait un collant ou des bas ? Détail important, car avec une jupe aussi courte, si elle a mis des bas, alors là
je pouvais en être sur quelle avait un amant.
Les hommes jaloux sont stupides et je néchappais pas à la règle, plus je pensais et plus je fantasmais sur une éventuelle liaison de ma femme.
Plus je trouvais de preuves tangibles et plus je me concentrais sur cette hypothèse, me sentant sensible et excité par le fait dêtre cocu, je ne le comprenais pas moi-même mais il était évident que je ressentais du plaisir rien que dy penser.
Ce nétait pas la première fois bien sur, dés que ma femme se fait belle, quelle shabille sexy, quon la regarde dans la rue, etc.
Je dois vous avouer que cela marrive assez souvent depuis un ou deux ans, au début cela ma vraiment perturbé au point de me demander si je nétais pas fou.
Comme cela perdurais dans le temps, jai fait des recherches sur ce fait très particulier et jai découvert que je nétais pas du tout seul dans ce cas là, mais loin de me rassurer cela à développé ma curiosité.
Jai découvert que cela sappelait le candaulisme, je vous passe les détails mais il sagit dhommes qui aiment imaginer ou voir leur femme faire lamour avec dautres hommes.
Surprenant, non ? Et bien oui, même si pour ma part ce nen était pas encore à ce point il était évident que jéprouvais de lexcitation à imaginer ma femme convoité et désirée.
Lexpérience du voyeur épiant ma femme nue ne mavait pas déplu non plus, le fait quelle aime sexhiber et que cela lexcite fortement était aussi très agréable.
Je me suis même surpris à limaginer parfois dans les bras dun autre homme, avec tous les détails croustillants, croyiez moi sur linstant jétais sincèrement excité alors quaprès coup javais des remords et ma jalousie reprenais le dessus.
Néanmoins rassuré, car ce nétait pas une maladie, je nétais pas fou non plus, mais plutôt inquiet davoir ce genre de pensées en moi, cétait plus que pervers et il métait difficile den parler avec qui que ce soit.
Mes amis, hommes ou femmes, ne comprendraient pas et me prendraient pour un pervers complètement taré et ma famille encore pire, alors je vivais avec, espérant que cela sestompe avec le temps.
Mais vous lavez compris cela ne sestompe pas, bien au contraire et ma femme trop jolie ne fait rien pour arranger les choses, toujours belle et appétissante, un brin aguicheuse elle alimentait sans le vouloir mes pensées candauliste.
En plus nous avions une activité sexuelle très riche et assez ouverte, ma femme sans être une libertine savait se laissé aller dans mes bras et presque rien ne métait interdit.
Pour notre grand plaisir à tout les deux, je savais la faire jouir et elle aimait ça sans jamais oser lavouer, nous nous aimions sincèrement et il ny avait rien de sale entre nous.
Avec patience et douceur je pouvais tout me permettre avec son beau corps, et depuis plusieurs mois jexplorais nos fantasmes en lui racontant des perversités pendant que nous faisions lamour.
Vous laurez compris, ces perversités avaient un rapport évident avec mes propres fantasmes candauliste, peut être une façon à moi de tester sa réactivité à cette éventualité.
Quoi quil en soit, dans la pratique cétait très excitant pour moi comme pour elle, et les résultats dépassaient toutes mes espérances, sa sensibilité aux mots et à la perversité dune telle hypothèse mon sincèrement surprit.
Ses jouissances se sont décuplées en fréquence autant quen intensité, ses sécrétions étaient bien plus abondantes prouvant une excitation hors normes, elle était aussi devenue plus disposé aux câlins qui devenaient plus fréquents.
Cest ainsi que je lui ai partagé mes fantasmes candauliste, petit à petit jai glissé dans nos ébats des partenaires imaginaires, ils étaient beaux, musclés, de bonne éducation mais suffisamment pervers pour la rendre folle.
Plus je la provoquais sexuellement et plus elle aimait ça, cétait presque devenu incontournable pour quelle atteigne la jouissance, sans vraiment me comprendre elle me laissait faire
se laissait faire.
Pour ma part jacceptais de plus en plus ce fantasme candauliste et me prenais aux jeux plus facilement, jétais aussi heureux que ma femme puisse en profiter dans nos ébats.
Mais jétais encore très loin davoir envie de le concrétiser un jour, il fallait que cela reste cérébral avant tout, seule et unique condition pour que je ne me dégoute pas de ces pensées encore difficiles à accepter pour un homme.
Sur ses bases, nous en avons usé et abusé, ma femme semblait aux anges avec cette forme de perversité que nous avions instaurée dans notre sexualité quotidienne.
Je me demandais donc si son nouvel attrait pour lexhibitionnisme nétait pas la résultante de nos fantasmes, aurait elle prit goût a ce plaisir sans oser me lavouer, conserverait elle des fantasmes inavouables,
Toujours dans mes pensées, je ne lavais pas entendu ouvrir la porte, elle avait une petite demi-heure de retard qui ma paru une éternité.
- Et bien mon amour, tu en as mit du temps.
- Il y a eu un accident sur la ligne et cela à tout perturbé comme à chaque fois, mais bon je suis là.
La regardant, toujours aussi belle dans sa tenue plus que sexy, avec en plus toutes ses pensées qui mon hanté depuis le matin, jai eu lenvie soudaine de la câliner.
- Vient part là ma belle, approche-toi
Elle est venue devant moi, je lai prise par la taille et jai déposé un baisé sur ses lèvres
- Tu sais que je me suis inquiété ?
- Mais il ne fallait pas, ce nes pas la première fois que jai un petit retard.
- Ce nest pas a cause du retard, mais plutôt parce que tu étais trop désirable aujourdhui
- Nimporte quoi, voilà que tu recommence
- Je ne recommence pas, tu vas me dire que tu na pas fait sensations au travail ou dans les transports, hein ? Allez avoue.
- Ben non
peut être que si
un peut, mais cest normal dêtre jolie.
- Jolie oui, mais là tu es plutôt bandante.
- Nimporte quoi, tu a trop lesprit tordu
- Tu vas me dire que les mecs que tu croise dans la rue non pas lesprit tordu ?
- Si surement, mais ce nest pas pour ça que
- Que quoi, que tu mets une jupe aussi courte et sexy mettant tes jambes en valeur, ce nest pas pour quon regarde tes jambes ?
- Si mais, je ne le fait pas exprès pour ça
jaime quon me regarde mais je ne cherche pas à exciter les hommes
- Je le sais, mais cest le résultat qui compte, non ? Et tu sais très bien leffet que tu leur fait, je me trompe ?
- Non
je ladmets, cest involontaire mais cela ne me déplait pas, mais je ne veux pas que tu sois jaloux et que tu men veuille.
- Donc tu ten veux, dexciter tous ses mecs ?
- Un peut
mais cest amusant
- Dés que je ne suis pas là, tu te comporte comme une fille facile
- Arrête
dit pas ça, ça me gène vraiment.
Dune main jai caressé ses cheveux tous en lembrassant tandis que lautre main lui caressait tendrement les fesses.
- Peut être
mais le mal est fait, que vont-ils tous penser de toi tous ces mecs en manque.
- Chérie
sil te plait
ne dit pas ça
Toujours en lembrassant, jai glissé ma main sur son ventre, elle respirait fort, puis je lai glissé sous sa jupe jusquau contact de sa peau tiède.
Ce nétait donc pas des collants quelle avait mis ce matin mais bien des bas auto-fixant, sen était encore bien plus excitant.
- Hum
je vois que tu frémi, serait ce que tout cela texcite ?
- Mais
non, arrête
ce nest pas drôle.
Elle cherchait à se raccrocher à la morale pour éviter de dévoiler la face caché que toute femme possède bien malgré elle.
Elles sont prêtes à tout pour plaire et attirer lattention, mais naïvement inconscientes des réactions quelles provoquent.
Jai poussé ma main à la rencontre de son fin duvet, juste à lorée de la fine dentelle de la petite culotte, son ventre frémissait, je la sentais légèrement anxieuse cherchant presque à se dérober à ma future caresse.
Notre baisé est devenu plus goulu, nos langues se mêlaient en mélangeant nos salives et sa respiration sest accéléré.
- Tu vois ma belle
dans quel état ça te met tout ça
Mes doigts se sont glissés entre lélastique et sa peau tremblante, poussant mon avantage vers son sillon moite, jai réussi à y glisser doucement un doigt.
- Non
hum
fait pas ça
sil te plait, chéri
- Comment ça, tu naime plus que je te caresse ?
- Si bien sur
mais pas là
- Comment ça pas là ? Ho mais dit donc
toi tu as quelque chose à me cacher, cest ça
hein
dit moi tout
- Mais non
soit pas bête
je ne te cache rien
jamais
- Alors laisse-moi découvrir dans quel état ils ton mit tous ces mecs.
Et effectivement ce que jattendais était bien là, logé entre ses muqueuses lexcitation avait parfaitement huilé son sexe, mon doigt coulissait dans la cyprine si facilement que sen était déconcertant.
Sa chatte était tellement humide que mon doigt a glissé sans efforts dans son conduit brulant, ni tenant plus jai vite invité deux autres doigts à la fête, frôlant son clitoris déjà gonflé je lui ai arraché un premier gémissement.
- Humm mm
.
- Tu vois chérie, cest trop sensible
tu as du te retenir toute la journée, cest quils ton fait de leffet à ce que je vois.
- Ouuuiiiii
tu ne peux pas
savoir
à quel point
- Je le savais, tu aime ça être désirée, taime ça que les mecs bande pour toi
hein que taime ça ma belle.
- Humm
oui
jaime bien ça
mais je
taime
- Bien sur que tu maime
mais ça tempêche pas de mouiller comme une petite salope
Mes doigts étaient maintenant en train de la fouiller plus profondément, dégoulinants de cyprine ils pénétraient très facilement son vagin bien ouvert, je les ressortais à chaque fois pour venir frotter son petit bouton.
A chaque passage je le triturais et le pinçais entre mes doigts ce qui lui procurait de bonnes décharges dhormones, de puissantes vibrations de plaisir traversaient son corps et je la sentais qui se laissait enfin aller au plaisir.
Sa respiration devenait saccadée et son baisé de plus en plus humide, nous avalions nos salives respectives, emportés par le plaisir naissant qui commençait à nous étourdir.
- Hum
regarde ma petite salope
dans quel état tu me mets moi aussi
Dune main agile elle ouvrit ma ceinture et ma braguette, glissa sa main dans mon slip pour saisir ma verge bien tendue.
- Effectivement
je vois ça
.il vat falloir faire quelque chose
Je laissais mes doigts faire des vas et vient rapides dans sa cavité gluante, pénétrant plus profondément pour son plaisir quelle exprimait de plus en plus bruyamment, elle ondulait son bassin pour mieux ressentir la pénétration de mes doigts.
- Hum
Ouiiii
vas y
cest trop bon
- Mais cest que taime ça
ils ton bien excité tous ses salauds
je vois que taime bien faire bander les mecs
hein
dit le que taime ça
- Hum
oui
jaime ça
- Taime quoi ?
- Faire
bander les mecs
- Jnai pas entendu ?
- Ouuuuiiii
jaime
faire bander les mecs
- Voilà, cest bien
tu es une bonne petite salope comme je les aime
Elle venait de jouir une première fois, sollicitée par mes doigts inquisiteurs qui la fouillaient sans ménagement et la perversité des mots crus que je lui susurrais à loreille.
Je lai prise dans mes bras et lai porté jusqu'à la cuisine en la déposant sur la table, je lai poussé en arrière pour quelle se couche et jai relevé complètement sa jupe sur son buste tout en écartant et relevant ses jambes pour faire apparaître sa chatte béante.
Ainsi exposé elle était obscène, sa liqueur coulait abondamment entre ses cuisses jusqu'à venir huiler la raie des fesses, en lui écartant encore plus les jambes jai fait apparaître son petit trou fripé suintant de mouille.
- Hum
ma putain
ce que tes bonne
jaime quant les mecs texcitent
jaime quant ils te font mouiller comme une pute
sils savaient comment que taime ça
que tes une vrai salope
hum
Jen ai profité pour lui laper la fente, ma langue râpeuse sest glissé entre les grandes lèvres, ondulant et vibrant jusqu'au bouton interdit, je lui ai mordillé le clito en déclenchant une nouvelle vague de plaisir.
- Putain
mais tu jouie encore
quelle salope tu fais mon amour
- Ouuiii
bouffe moi
dévore moi
A grands coups de langue jai étalé son jus sur toute son intimité noubliant surtout pas son petit illet intime quelle acceptait parfois de moffrir lorsque je lexcitais suffisamment.
Et sincèrement, là je la sentais à point, tout en titillant le clito de la pointe de la langue je lui appuyais lindex sur la rondelle, petite contraction des fesses pour la forme et mon doigt à le passage trop bien lubrifié.
- Hum
non
pas par là
tu sais bien
- Chuuuuut
. Laisse-toi faire
ne fait pas la pucelle.
Pendant que ma langue vibrait sur le clito gonflé mon doigt coulissait profondément dans son conduit anal, il rentrait et sortait tellement facilement que je lui ai mit un deuxième doigt pour dilater un peut plus le passage.
- Tu vois ma belle
que taime ça
avoue le
Excitée comme elle létait, elle ne pouvait quaimer ça.
- Vas y ma salope
ouvre toi bien, écarte bien tes fesses pour que je te la mette profond
cest ce que tu veux
hein
cest ça que tu veux
ma pute.
- Hum
non
si
hum
tarrête pas
- Tu imagine ma petite salope
tous ces mecs qui on maté ton beau cul
hein tu les imagines ?
- Ouuuiii
les salauds
.
- Tu sais quils aimeraient te la mettre, hein que tu le sais ?
- Ouuiiii
je sais
- Cest où
quils aimeraient te la mettre ? Hein
dit moi
cest où ils te la mettraient
- Haaaaa
.ouuuiiii
.dans
le
.humm
.cul
Emporté par une nouvelle jouissance elle sest lâchée sur la table de la cuisine, se contorsionnant comme une anguille sous mes coups de langue avec mes deux doigts plantés profondément dans son fion.
- Putain de jouisseuse, tes vraiment insatiable
ten veut toujours plus
salope
Je nen pouvais plus, ma bite me faisait mal tellement je bandais dur, il fallait que je me vide les couilles à mon tour, je me suis redressé et lai empoigné par la taille pour la tirer jusquau bord de la table plaçant ses jambes sur mes épaules.
Ainsi positionnée jallais pouvoir la prendre sans efforts, la table était à une hauteur idéale pour me présenter ses conduits intimes qui reluisaient de mouille.
- Putain ce que tu es trempée, tu ne fais vraiment pas semblant
Ma bite sest retrouvé juste à lentrée de sa petite chatte et je me devais de bien la lubrifier avant de lenculer comme il se doit, alors sans ménagement je lai plongée dans la moiteur suave de ses muqueuses.
Comme dans du beurre tiède, oui cétait encore mieux que ça, tellement elle était bien lubrifiée et dilatée.
- Dit donc ma salope
on dirait que quelquun ta déjà ramoné aujourdhui pour que tu sois aussi ouverte et humide, hein
qui ta baisé ? Allez dit moi qui ta bien baisé.
- Hum
mais personne
je
te jure
Tout en lui parlant je commençais à la limer de plus belle, à grands coups de bite jusqu'à venir cogner mes couilles contre ses fesses.
- Arrête de mentir espèce de putain
je suis sur quun mec ta baisé
quil te la mit bien profond
dans ta chatte de salope
alors dit moi qui
- Personne
hum
ils auraient
tous voulu
mais
je te jure
Continuant à la pilonner de plus belle, claquant ses fesses à chaque pénétration.
- Cest bien ma belle, cest comme ça que je taime
jaime quand les mecs texcitent
jaime que tu sois ma putain
jaime te baiser comme une salope
- Ouuiii
moi aussi
jaime ça
hum
baise moi bien
- Oui ma belle, ils ton bien excité et cest moi qui vais te prendre le cul
- Ouuiii
non, non
sil te plait
- Comment ça, non ? Tu sais bien que tu vas y passer
nous savons que taime bien te faire enculer
- Oui
mais pas
à chaque fois
- Je tencule quand je le veux, cest compris
allez dit le
- Oui
non
si
- Allez, dit le, espèce de putain
dépêche toi
Au même instant je lui ai asséné une claque magistrale sur la fesse, faisant rougir la chair tendre
- Alors, jattends
- Ouuiiii
quant tu veux
Une nouvelle claque vigoureuse a fait trembler ses nichons devant mes yeux
- Quant je veux quoi ?
- Tu
hum
mencule
quant tu veux
ouuuiiii
Là elle était à point et il fallait que jen profite avant quelle ne jouisse à nouveau, car la pression retombé elle ne me laisserait plus faire, jai empoigné ma queue pour la présenter sur son illet fripé qui se resserrait dans un dernier soubresaut de pudeur.
Jai appuyé le gland fermement et entamé une poussé ferme et régulière, parfaitement huilé lanneau sest petit à petit relâché pour céder à la pénétration du gland qui sest logé bien au chaud.
Jai attendu quelques secondes pour poursuivre mon avancée, lui laissant le temps de shabi à la douleur, son visage grimaçait comme a chaque fois que je lenculais, les premiers centimètres sont toujours douloureux puis elle shabitue et fini par adorer.
Je sais que par pudeur elle ne me le dira jamais, mais elle aime vraiment jouir du cul, il suffit de savoir si prendre, de la chauffer comme il faut et là tout est permis.
Pour preuve depuis quelques mois jarrive à lenculer une a deux fois par semaine et sans forcer, jespère quun jour cest elle-même qui me réclamera que je la prenne par le cul.
Sa douleur étant atténuée, je pouvais reprendre ma progression dans ce cul magnifiquement bandant, agrippé fermement à ses poignées damour je lui insérais la totalité de ma queue dans les entrailles.
Elle grimaçait encore un peut et tenait solidement les bords de la table comme pour atténuer le reste de la douleur encore présente, mes premiers vas et vient se sont fait en douceur mais sur toute la longueur de ma tige pour bien lui lubrifier le conduit.
Cest à partir de là quelle se relâche doucement, a chaque fois cest pareil, presque un rituel, il me faut passer par là pour lenculer dignement.
Je ressens ses muscles qui se libèrent, elle est moins crispée et se laisse aller sous mes coups de bite, sa respiration reprend du rythme et ses yeux se ferment pour mieux savourer le plaisir.
- Oui
cest bien ma belle
taime bien ça quon tencule
hein que cest bon ?
- Humm
oui
oui
jaime
ça
- Taime bien te faire enculer par ma grosse bite
hein que taime ça ma pute
- Ouuuiii
Il me fallait accélérer la cadence car à ce petit jeux elle ne tiendrait pas bien longtemps sans jouir à nouveau, il me fallait lui parler pour maintenir son excitation au maximum mais éviter quelle ne jouisse trop vite.
De mon coté à force de lexciter avec mes paroles je finissais par mexciter moi même au plus haut point, la voir ainsi offerte sur la table, cuisses largement ouvertes, le cul bien rempli et défoncé par ma queue congestionné ne tarderait pas à me finir.
Il me fallait coordonner nos plaisirs mutuels, je me concentrais sur son visage déformé par le plaisir montant et sur les soubresauts de son bassin que je ressentais à chaque coup de queue entre ses fesses.
La souplesse de sa rondelle était aussi un bon avertisseur, de plus en plus dilatée elle finissait par se relâcher parfaitement au point quon aurait pu lui mettre une deuxième bite dans le cul, mais cela ne dure que quelques secondes avant lextase finale.
Et justement je sentais que ce moment fatidique approchais, alors je lui ai pilonné le cul de toutes mes forces, claquant ses fesses le plus fort possible au point quelle glissait sur la table et que je devais la retenir au bord.
Cest là que ses yeux se révulsent, que son corps se cabre et tremble de toutes parts, muscles tendus à lextrême elle ouvre les vannes du plaisir, cest aussi là quil faut que je linsulte et lhumilie au maximum pour augmenter la puissance de sa jouissance.
- Sale pute, je nai jamais vu une salope comme toi, qui aime autant se faire prendre par le cul, tu te rends compte de la salope que tu es ?
- Ouuuuiiii
encule
moi
défonce
moi
ouuuiii
.je suis
.ta
salope
.
A mon tour je lui déverse toute ma liqueur dans le cul, profondément je lui repeins les boyaux, je lui tapisse le conduit anal de ma bonne crème poisseuse.
- Sale putaiiiinnnn
tu me
vide
les couilles
Jadore lui juter dedans, engrossant ma petite salope avec ma semence épaisse, jusqu'à la dernière goute je me déverse en elle pour ensuite laisser ma bite ramollir doucement à lintérieur de ses fesses.
Nous avons besoin elle et moi de quelques minutes pour reprendre nos esprits, mon sexe est ressorti de son conduit et pendouille entre ses jambes encore relevées.
Je lui caresse tendrement les cuisses, le ventre et les seins pour la récompenser de nos ébats, cest un moment agréable ou le silence est réciproque entre nous, seules mes mains parcourent son corps tiède et satiné.
Elle est parfaitement détendue, exténuée et semble heureuse, ses yeux nosent pas encore croiser les miens, pudeur de femme de bonne morale ou de femme légèrement humiliée, je ne sais pas vraiment lanalyser mais je sais quaprès de telles jouissances elle naime pas en parler.
Je laide à se relever et laccompagne vers la salle de bain dans laquelle elle va se refaire une beauté pendant que je vais nous préparer un repas léger, il est déjà tard et nous travaillons encore le lendemain.
Après toutes ces émotions cest blottis lun contre lautre que nous nous sommes endormis en faisant de très beaux rêves érotiques.
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