Embroché Au Cinéma

Quand je m'ennuie, quand j'ai froid ou quand quelque chose ne va pas, je me réfugie à l'Etoile. Rien de mieux que la chaleur humaine. Je me suis habillé pour l'occasion. Que des trucs sexy et faciles à enlever. Nous sommes en été, rien de plus facile. Un short en soie, ça tient dans la poche. Dans l'autre poche, un slip blanc, deux tailles en-dessous et une jupe, ras la touffe, rouge. Rouge et blanc, c'est très sexy. En tout cas, ça marche
J'ai 25 ans, mais j'en parais dix de moins. Tout le monde me dit que je fais très jeune. Quand je vais dans des lieux réservés aux adultes, comme les bars, les tabacs ou les cinémas pornos, on me demande ma carte d'identité. Sauf ici. Je suis venu tellement souvent que tous les caissiers me connaissent. Mon atout, c'est mon cul. Petit, rond et cambré. Ma dernière copine me disait :
- Ton joli mignon, j'appelle ça, un aimant à mains balladeuses.
Bon nombre de messieurs y ont touché, des femmes, un peu moins. J'entre dans les WC pour revêtir ma tenue de chasse. Je rejoins ma position favorite, les bras croisés sur le dossier d'un fauteuil, et j'attends.
Ca n'a pas trainé. Dix minutes d'exposition et une main se glisse sous le tutu. Elle accroche le petit slip blanc distendu et tire dessus. J'imagine les yeux exorbités du mec, à la vue du galbe de mes fesses. Il glisse un doigt dans la raie et s'arrête sur le petit trou. Il vient se coller à moi. A travers le mince tissu, je sens son membre bien raide. Pendant qu'il me caresse le cul, il passe sa main devant et explore le terrain. Il tâte ma pine, et voit que je suis prêt. Il se recule, et je devine qu'il vient de sortir son engin. J'ai entendu le son caractèristique de la fermeture éclair qu'on ouvre. Il cherche ma main, et, après l'avoir trouvée, il l'attire dans mon dos. Il y fourre son gros dard. Mes doigts n'arrivent pas à s'enrouler autour du formidable membre. Le gars approche sa bouche de mon oreille et murmure :
- Tu sens ce que tu vas prendre dans ton cul ? Mais avant, tu vas le déguster !
Il me retourne vers lui et pose ses mains sur mes épaules.

Il appuie doucement, et je comprends qu'il veux me mettre à genoux. Je m'exécute, et lui, me tend sa grosse queue à sucer. J'ouvre la bouche, mais la pine est trop grosse.
- Lèche-la d'abord, et mouilles un maximum, si tu veux pas que je te défonce ce joli cul.
J'ai d'abord gobé le gros gland. Le gars a pris ma tête entre ses mains et a poussé lentement son énorme pieu entre mes lèvres. Petit à petit, aidé par la salive, la bite pénétrait dans ma bouche.
- Respire par le nez ! Commanda mon
Non seulement le sexe était gros, mais sa longueur n'avait rien à envier à sa grosseur. Bientôt, le gland pénétra dans ma gorge. Il s'enfonça si loin que mes lèvres touchèrent les poils du mec. Il glissa un doigt dans mon cul et me branla l'anus. J'ai failli m'étoufer quand le sperme s'écoula dans ma gorge. Alors, il me releva et me dit :
- Tiens-toi au dossier et penches-toi en arrière !
Je sentis le gros gland se poser sur mon petit trou.
- Attention ! Dit le gars.
Il posa ses mains sur mes hanches, pour m'immobiliser, et, d'un violent coup de reins, le quidam enfonça sa pine au fond de mon cul. Il avait passé sa main sur ma bouche pour le cri de douleur que j'ai poussé. Ses cuisses s'écrasèrent sur mes fesses, ses poils chatouillant ma raie. S'ils n'étaient pas morts à cet instant, je pense que j'aurai compris ce qu'auraient ressentis les moutons empalés sur les broches pour le méchoui. Il prit ma queue dans sa main et me branla. Dans le même temps, il s'activa entre mes fesses. Sous l'action de sa pine et de ses doigts, j'ai joui dans sa main, et lui dans mon cul.

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