En Déplacement Pro
Loïc avait atterri à Turin Caselle quelques minutes plus tôt et venait de monter dans un taxi direction le centre ville. Il bandait déjà. Les à-côtés de ce déplacement professionnel sannonçait intéressants.
Quelques semaines plus tôt, il était tombé sur une photo de Sofia sur Instagram : une photo de profil de la jeune femme dune trentaine dannées, légèrement cambrée, en maillot de bain une pièce noir, le regard dur devant une maison bleu Méditerranée. Il avait immédiatement remarqué quelle avait retouché la photo pour marquer sa taille et accen sa chute de reins. Il lui avait immédiatement envoyé un message gentiment moqueur. La conversation sétait poursuivie, échauffée et il avait reçu une photo légèrement dénudée, mais rien dobscène : une photo en sous-vêtements rouges, de dos, un regard à la dérobée. Juste de quoi le rendre dingue bien sûr.
Leur échange suivant avait immédiatement démarré sur leurs expériences respectives et il ne leur fallut pas très longtemps pour partager leurs fantasmes. Sofia le mit rapidement au défi de venir en réaliser certains, avec elle à Turin. Loïc voyageait beaucoup pour raisons professionnelles et il venait régulièrement à Turin - il pris cela comme un signe du destin - un destin facétieux et aguicheur. Ils définirent donc ensemble un plan très précis de leurs rencontres cette semaine-là, choréographiant les moindres détails.
Il transpirait un peu en cette après midi du mois daoût et son érection rendait le trajet en taxi peu agréable - dautant quil avait la gorge sèche et hâte darriver. Le taxi le déposa devant un hôtel situé sur le côté sud de la gare de Porta Nuova. Il sagissait dune version boutique hôtel de la grande chaîne Best Western : agréable, design, le personnel était sympathique, Loïc avait donc pris ses habitudes ici. Point positif supplémentaire, lhôtel bénéficiait dun roof top avec un jacuzzi.
Loïc salua le jeune homme debout à la réception et fit son check in.
Contente de te voir, mais n'oublie pas : tu ne me baiseras pas avant le 3ème jour
Elle se dirigea alors vers la porte de l'hôtel et disparut à l'extérieur.
Le lendemain, il sinstalla à une des tables du rooftop avec un livre - de manière surprenante, aucun autre client de l'hôtel ne profitait de la terrasse en cette fin d'après-midi. Il avait pris soin de s'installer juste en face du jacuzzi. Pas un nuage à lhorizon, un léger souffle dair frais et déjà, une tension montait dans son bas ventre. Il attendait la suite avec impatience. Il venait tout juste dentamer le chapitre 2 dun roman policier lorsque Sofia sortit de lascenseur. Elle portait un paréo aux couleurs orangées, des lunettes de soleil et délégantes sandales noires. Elle lui jeta un regard amusé. Elle marcha alors lentement vers le jacuzzi, dos à lui. Elle dégrafa son paréo d'un geste volontairement théâtral. Il pouvait contempler son maillot de bain deux pièces bleu azur. Le bas était très échancré, presque un string. Il ne quittait pas ses fesses des yeux et fut même presque gêné lorsqu'elle tourna la tête vers lui, d'un air amusé. Elle rentra alors dans l'eau, sans le quitter du regard. Il avait la gorge sèche. Elle passa alors ses mains derrière son dos, se cambra, et retira son haut. Ses seins ronds, légèrement lourds, le firent immédiatement bander. Elle ressorti un peu de l'eau et commença à jouer avec l'élastique de son bas de maillot. Il observait tout cela, caressant instinctivement sa queue, un sourire nerveux aux lèvres. La porte de l'ascenseur menant au rooftop s'ouvrit alors et un groupe de 4 personnes en sortit, des quinquagénaires en pleine discussion animée sur les mérites de la ville.
Il fit mine de lire son livre pendant que le groupe sinstallait, croisant les jambes afin de masquer son érection. Comme il lavait convenu avec Sofia, au bout de 10 minutes, il reprit le chemin de sa chambre, légèrement déçu.
Le jour suivant sécoula sans encombre, de nombreux meetings intéressant, mais lesprit de Loïc était clairement ailleurs. Une fois rentré à l'hôtel, à 19:00 pile, il descendit dun étage, se rendit devant la chambre 203. Comme prévu, la porte était entrouverte. Sofia était sur le lit, à plat ventre, les yeux bandés, nue à lexception dun bas de maillot de bain noir très fin. Elle avait placé une grande serviette éponge sous elle. Il avança, lentement, pris son temps pour mater son dos, ses jambes, son cul. Il devinait quelle se cambrait légèrement pour marquer sa chute de rein et rendre ses fesses irrésistibles. Il devinait un sourire en coin se dessiner sur ses lèvres.
La bouteille dhuile de massage était sur la table de nuit. Il nota quelle avait pris soin de la chauffer légèrement en la passant sous leau. Comme convenu, il lui arrosa le dos copieusement, pris son temps pour retrousser ses manches de chemise tandis que lhuile sécoulait lentement sur son corps avant de venir séchouer sur la serviette. Il commença à lui masser les mollets, puis remonta sur les cuisses avant de sarrêter à la naissance des fesses. Il lui massait les cuisses à pleines mains, remontant parfois un peu plus loin ...
Il passa ensuite à son dos et la massa lentement, prenant soin de sarrêter à la chute des reins, mais sattardant un peu sur la naissance de ses seins. Elle soupira puis se cambra un peu plus.
Il saisit alors ses fesses, les massant en profondeur. Il bandait dur, ça en était presque douloureux, mais il savait que ça ne serait pas pour maintenant, suivant le plan quils avaient minutieusement défini ensemble.
De retour dans sa chambre, il se branla immédiatement et éjacula en quelques minutes.
Le troisième jour se déroula également sans problème, même si Loïc avait limpression cette fois-ci que ses meetings séternisaient. A 21h, il laissa la porte de sa chambre ouverte, et s'installa, nu, sous les draps - il bandait déjà. La porte ne tarda pas à s'ouvrir et Sofia rentra dans sa chambre, en peignoir. Elle avait les cheveux détachés, une expression sûre d'elle et se rapprocha du lit. Elle tira sur les draps puis observa, longuement, la queue de Loïc, satisfaite. Elle entrouvrit son peignoir : Loïc put observer sa chatte rasée de près, ses jambes musclées et la naissance de ses seins. Il se redressa mais elle monta sur le lit et lui imposa d'une main sur le torse de rester allongé. Elle saisit sa bite d'une main ferme et commença à le branler tandis qu'elle montait à califourchon sur une de ses cuisses. Il sentait le contact chaud de sa chatte alors qu'elle serrait les cuisses et se déplaçait d'avant en arrière. L'exercice dura quelques dizaines de secondes. Elle vint ensuite placer sa tête dans son cou, ses seins écrasés contre son torse, puis lui mordilla l'oreille avant de lui dire :
Désolé, je crois que j'ai changé d'avis !
Avant qu'il ait vraiment eu le temps de réagir, elle était descendue du lit et passait déjà la porte, sans même prendre le soin de nouer à nouveau son peignoir.
Loïc étouffa un juron, soupira et entreprit de se branler à nouveau
Le lendemain en fin d'après-midi, Loïc effectuait son check out à la réception. Lorsque lemployé de l'hôtel lui demanda machinalement si son séjour sétait bien passé, il ne put s'empêcher de répondre ironiquement que tout ne sétait pas aussi bien passé que prévu.
Au bout de quelques minutes, une Fiat 500 bleu métallisé s'arrêta devant lui en pilant. A lintérieur, Sofia, goguenarde, vêtue dune robe à fleur lui demanda :
Besoin que je te dépose à laéroport ?
Hésitant entre son égo meurtri, sa libido et sa curiosité, Loïc, fit, comme souvent, confiance aux deux derniers, et déposa sa valise à larrière avant de sinstaller à côté de Sofia. Celle-ci démarra et commença à lui parler de Turin, sa ville natale, comme si de rien nétait. Au bout de quelques minutes, Loïc se détendit et lui posa quelques questions sur la ville.
Alors quils se dirigeaient vers l'aéroport, Sofia sorti de lautoroute, pris une petite route de campagne avant de s'arrêter sur un chemin menant à un champ, de sortir de la voiture en lançant à Loïc :
Arrête de tirer cette tronche, je vais tenir parole !
Elle vint alors ouvrir la porte côté passager puis remonta sa robe afin de lui montrer quelle ne portait rien dessous, dévoilant sa chatte et tournant sur elle-même afin quil puisse admirer son cul.
Elle saffaira ensuite, prenant tout son temps, à ouvrir sa braguette et à le lécher avec un grand sourire. Il ne fallut que quelques secondes pour que sa bite durcit et quelle ne commence à lui tailler une pipe énergique.
Au bout de quelques minutes, il la repoussa alors, la bascula sur le capot et remonta sa robe. Il lui fallut une trentaine de secondes pour enfiler le préservatif quil avait gardé dans sa veste, pendant quelle l'observait du coin de loeil, se mordant les lèvres et affichant un sourire un peu provocateur.
Il la pénétra enfin rageusement pendant de longues minutes. Tandis quil la baisait tout en empoignant ses fesses à pleines mains, il vint placer son pouce contre son cul et, après avoir joué un instant avec son anus, le glissa dans le trou qui soffrait à lui. Il ne fallut que quelques minutes pour que Sofia jouisse et quil se libère enfin, éjaculant en longs spasmes...
***
Une vingtaine de minutes plus tard, Sofia le déposait à laéroport. Elle vint placer une bise sur sa joue avant de lui glisser :
Si tu reviens, la prochaine fois, on pourra repartir là où on sest arreté
Il avait à peine récupéré sa valise et fermé sa portière quelle partie en trombe.
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