La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 673)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°671) - Estelle et Endymion entre les mains des 2 skippers -
Le lendemain de ce pervers et intense gang-bang, et après une nuit de navigation, les quatre Dominants décidèrent, sur le chemin du retour vers Fort de France, de visiter Sainte-Lucie et plus particulièrement la ville de Castries, capitale de ce petit Etat insulaire. Tous les quatre choisirent de laisser soumise Estelle et Endymion MDE à bord du Croix Rousse surveillés par les deux skippers. Tous quatre voulaient en effet, prendre un peu de bon temps, faire du tourisme et du shopping sans sembarrasser et sencombrer de leur chienne et esclave respectifs. Etienne et Maximilien se faisant une joie dêtre les maîtres à bord, une occasion rêvée pour eux deux de soccuper de ce mâle et de cette femelle, un gage de confiance que leur accordaient aussi Monsieur le Marquis dEvans comme Madame Gabriella et Monsieur Henri.
- Amusez-vous bien ! avait lancé le Maître avec un sourire malicieux, en quittant le navire amarré au port.
A peine sétaient-ils éloignés de la jetée, quEtienne et Maximilien passèrent à laction. Il ne fallait pas perdre trop de temps... Après avoir redressé la passerelle et baissé les rideaux du salon, Etienne fit remonter de la cale dabord lesclave Endymion MDE. Evidemment quelques quolibets, noms doiseaux et railleries fusèrent. Etienne était une grande gueule et se faisait fort dêtre cassant et humiliant. Il attacha les mains de lesclave mâle dans le dos et lui ordonna de se coucher sur le tapis en lui recommandant de ne point trop serrer les cuisses, sil ne voulait pas subir la badine ou tout autres instruments douloureux. Ce fut Maximilien qui récupéra soumise Estelle, lui sans un mot la fit tenir debout.
Maximilien était sans aucun doute le plus pervers des deux skippers. Plutôt taiseux, il savait agir avec pertinence et méthode. Il installait un bandeau sur les yeux dEstelle, puis lui caressait vicieusement son corps, tout son corps, doucement puis plus intimement.
soumise Estelle espérait que ces langues viennent lui lécher son doux coquillage, pour faire venir son jus et le boire
Des bouches qui savaient déjà tout delle, de ses vilaines et vicieuses pensées. Elle sabandonnait en gémissant de plus en plus. Langue dans sa chatte, doigts dans sa bouche, ou peut-être linverse, elle ne le savait plus, et ces doigts maintenant qui lui pinçaient les tétons pour lexciter plus encore
Quant à lesclave mâle Endymion MDE, lui ne bougeait pas, il exhibait outrageusement son sexe dru et ferme, en écartant les jambes au maximum.
- Hummmmmm ! trop bon ! Quelle chienne, quelle salope ! Lançait Etienne
Effectivement Estelle se sentait chienne, elle se cabrait, se cambrait et bougeait les hanches en rythme rapide
sauvagement
longuement
Elle se sentait prête à jouir de ce membre actif et endurant qui lui ramonait sa chatte dune bien belle façon. Etienne après avoir longuement assisté à ce coït, entrait à son tour en action. Il saisit Estelle par son collier et forçait lentrée de sa bouche. Cette queue sengouffrait en elle et tapait son fond de gorge. Elle nallait pas pouvoir tenir bien longtemps, elle se sentait partir presque à défaillir
Dans un parfait ensemble, soudainement les deux skippers se retirèrent, lun de son vagin, lautre de sa bouche. Elle fut saisie à pleines mains et retournée comme une crêpe, mise à quatre pattes sur limmense sofa, la raie de son cul enduite de gel lubrifiant.
Pendant ce temps Maximilien sétait assis
assis sur le visage de lesclave mâle MDE, il se faisait lécher le cul, le périnée et les couilles en faisant avancer ou reculer son bassin. En même temps, il triturait les couilles de lesclave, pressant ses burnes entre ses mains. Etienne toujours ancré entre les fesses de soumise Estelle, lenlaça fermement contre lui et roula dos sur le sofa. Estelle se retrouva jambes en lair, grandes ouvertes
Maximilien qui avait déjà goûté à sa chatte, se releva subitement dEndymion MDE et retourna fouiller ce petit minou exposé et inondé. La chienne Estelle était maintenant entreprise et investie des deux cotés à la fois en sandwich. Elle devenait une bête à plaisir, offerte à deux jeunes hommes puissants et endurants qui lutilisaient vigoureusement
dune façon peu orthodoxe. Entre eux, elle se laissait aller à la débauche totale, de femme sandwich, bestialement prise des deux cotés à la fois. Une bite dans le cul, lautre dans sa chatte, elle sentait leur sexe se toucher, sentrechoquer, ils sagitaient et la baisaient telle une femelle, une petite salope !
Un carillon se mit à sonner légèrement
Pour peu, ils auraient tous les trois jouis à lheure. Les hommes se retirèrent de leur ouvrage et donnèrent à lécher leur queue à lesclave MDE, toujours en rut. Puis ils lui ordonnèrent de glisser sa langue de putain sur le cul et le minou dEstelle, pour bien la nettoyer
Le soumis MDE penché, et sous contrôle de Maximilien tout proche, posait sa langue délicate sur les orifices de soumise Estelle. Elle était encore toute émoustillée et toute trempée tant sa jouissance lavait emporté
Elle se laissait sucer et titiller, son bassin ondulait encore
Alors quEndymion MDE sactivait, il sentit des mâchoires dacier se refermer sur ses tétons.
- Je ne veux pas tentendre ! Compris ? ordonnait Maximilien
Les pinces étaient du modèle réglable, Endymion MDE serrait les dents, lorsque Maximilien donnait sans ménagement le premier tour de vis
- Et bien, on dirait que tu commences à piger. Tu vas avoir ta récompense
Cinq coups claquèrent de nouveau sur son cul ! Quelle logique, deux pour punir, trois pour récompenser
Etienne sapprochait de lesclave MDE, le tirait par les cheveux pour le dégager de la vulve de la chienne Estelle et lui plaçait un bâillon-mors. Les deux skippers le firent alors mettre debout, lui laissèrent les mains attachées dans le dos, des doigts commencèrent à explorer son intimité. La crème était mentholée, elle chauffait son rectum et faisait monter dans son ventre, le désir dêtre davantage « rempli ». Un désir dont il naurait pas trop longtemps à patienter avant quil soit
comblé : Le premier des godes dont il avait reconnu la silhouette dans le contre-jour, pour être le plus petit de ceux exposés, semblait déjà dune taille respectable. Il glissa néanmoins sans trop de difficulté et se logea en lui en apportant un plaisir inouï. Sa queue se mit à bander violemment. Mais Endymion MDE neut guère le temps de sextasier. Etienne debout devant lui tirait sur la chaînette reliant les deux pinces tout en serrant un peu plus la vis
cétait dur, douloureux mais cétait bon ! Puis il porta son attention vers les couilles de lesclave, les frappait, sans beaucoup de force mais à coups brefs et répétés, du bout de sa ceinture. Maximilien derrière, soccupait de pousser un plug au diamètre un peu plus important que le gode quil venait de retirer, lesclave MDE, sil en jugeait la sensation de
fraîcheur et de poids, ce plug devait être en métal. Toutes ses sensations lui provoquèrent une érection hors norme, ce qui néchappa aux regards des deux skippers.
Une fois installé, Maximilien fit écarter un peu plus encore les jambes de lesclave et emprisonnait chacune de ses chevilles dans des entraves sans doute fixées aux deux extrémités dune tige de métal. La vis tourna encore une dernière fois, elle arrivait à bout de course. Ses chairs broyées le faisaient souffrir mais terriblement bander ! Mais déjà un lacet senroulait autours de ses burnes. Etienne serrait et presque immédiatement après exerçait une vigoureuse traction vers le bas, comme pour tester lélasticité de ses couilles à moins de tester la résistance des matériaux. Au même moment, il lui enlevait les pinces. Endymion MDE hurlait
de douleur
de plaisir aussi, à lévidence car sa nouille bandée montrait des soubresauts répétitifs ! Tout juste même sil néjacula pas, lorsquEtienne entreprit de lui masser les tétons avec ses doigts humides de salive, puis sans un mot, lui assujettit deux autres pinces, munies de petits poids. Maximilien lui détachait les mains puis lui commandait aussitôt de pencher son torse à léquerre en prenant appui de ses bras sur le rebord du dossier du sofa. Les poids tiraient ainsi bien mieux sur ses tétons. Lesclave MDE sentit une pesanteur au bout du lacet enserrant ses génitaux. On venait de lui attacher une paire de rangers
- Tu sais compter la lope ! Demandait Etienne
- Euh
oui !
- Oui qui salope ! Deux claques tombèrent sur son visage, deux autres sur son cul.
- Oui Monsieur !
Ce nétait pas la ceinture cette fois-ci, mais un battoir en bois qui sabattait tantôt sur sa fesse gauche, tantôt sur la droite, tantôt sur lensemble de son postérieur, deux fois de suite sur le bas de son dos, une seule sur le haut des cuisses, la fois daprès dans lentrejambe, plus doucement, histoire de donner un mouvement de balancier aux rangers !
- Treize
quatorze
quinze !
Le soumis MDE nen pouvait plus, pourtant de son postérieur, une douce chaleur irradiait tout son être
- Encore Monsieur, sil vous plait ! Sentendait-il demander à sa propre stupeur et avec une queue bandant à son maximum, prête à exploser son foutre.
Cinq coups supplémentaires. Plus espacés, plus forts aussi, lui procurèrent magnanimement la satisfaction quémandée. Sa queue giclait, sans même quon la lui toucha ! ...
(A suivre
)
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