Le Voisin 4

LE VOISIN 4



Ces trois derniers jours avaient été, comment dire…. plutôt chauds et pleins de découvertes sur les petits secrets charnels de ma belle épouse.

Moi qui pensais que les femmes étaient moins attirées par le sexe que nous les hommes, j’avais l’agréable surprise de constater que cela n’était pas aussi simple que cela.

Leur rapport au sexe est plus secret, plus pudique et surtout plus ambiguë, leur sexe ne contrôle pas leur esprit comme nous les hommes, du moins dans la généralité, car il existera toujours des exceptions à la règle.

Il est vrai que la femme se contrôle par l’esprit, le cœur et les sentiments, coté sexe elles ne dérogent pas à cette évidence, il faut les clefs du verrou.

Elles aiment le sexe, c’est par nature, les hormones et la prédisposition à procréer, cela toute femme l’accepte mais le sexe juste pour jouir et prendre du plaisir, là c’est moins évident, pas conventionnel et pas très moral.

Cela reste souvent leur jardin secret qu’elles consomment seules, en cachette, sans risqué d’être jugé pour ce qui est encore trop souvent assimilé à un péché.

Il faut que cela reste des fantasmes, qu’il ne faut surtout pas partager, ne pas subir la honte d’être découverte avec de si mauvaises pensées.

Comme tout être sensible la femme à cette fâcheuse tendance à culpabiliser de ne pas être ou paraître celle que la société veut qu’elle soit, que ses parents ont formaté et éduqué sur de bons principes.

Celle que le mari à choisi et pire encore, celle qui se doit d’être exemplaire aux yeux de ses s, chair de sa chair, à qui elle doit donner l’exemple et forger la morale de ces futurs adultes.

C’est bien pour tout cela que les femmes ont du mal à se laissé aller dans la luxure, peut être pas toutes, bien sur, mais la grande majorité d’entre elles.

Et bien sur, ma femme fait partie de ces dames qui ont du mal à avouer leurs désirs, à surmonter cette sensation humiliante d’être comparé à une salope, tel que notre société dépeint les femmes dîtes faciles.



Qu’a cela ne tienne, pour ma part, je les adores toutes ces femmes qui se laissent aller pour leur plus grand plaisir, qui savent faire la part des choses, revêtir le costume de la petite salope l’instant d’une soirée ou d’une heure pour ensuite revenir à la réalité des choses.

Oui j’adore ces femmes exceptionnelles, ces libertines qui font rêver tous les hommes sans exception, qui rêvent de les avoir pour maitresses mais qui on peur de les avoir pour femme.


Seuls les candauliste ont réellement compris tout le plaisir que l’on peut en retenir, ressentir du plaisir au travers de la jalousie que ces femmes peuvent nous faire subir, selon leur bon vouloir et au gré de leurs envies.

Cette femme, consciente de sa force et de sa liberté, propriétaire de son corps et des plaisirs qu’elle peut en retirer, cette femme toujours plus belle que les autres au travers de sa sensualité exacerbé en permanence.

Cette femme toujours bien apprêté, maquillé et parfumé avec délicatesse, celle qui sait le pouvoir qu’elle dégage sur son passage, d’un joli bas, d’une simple jupe fendue ou de la cambrure de ses escarpins.

Oui, ces femmes qui nous rendent fou au quotidien, celles qui alimentent nos plus profonds fantasmes, celle que l’on croise parfois sur notre chemin et dont on a du mal à oublier la silhouette tellement elles nous hantent.

Et bien moi, je veux cette femme en permanence auprès de moi, qu’elle m’embellisse la vie chaque matin par son rayonnement, sa beauté et son sourire, qu’elle soit fière de la femme quelle est, avec toutes les ambigüités liés à ses désirs les plus intimes.

Je veux que ma femme soit cette femme merveilleuse, celle qui comblera mes désirs au travers de ses propres envies, celle qui se dévoilera entièrement à mes yeux et à mon cœur.

Cette femme qui me laissera approcher son égo le plus profond, qui me laissera découvrir ses secrets les plus inavouables, en toute confiance, sans aucune crainte, tout simplement pour me combler dans ma complexité personnelle.


Vous l’avez compris, je suis candauliste, c’est l’appellation que l’on donne aux hommes qui comme moi sont excités par le fait de voir leur femme aux bras d’un autre homme, de l’imaginer faire l’amour avec d’autres hommes, d’être trompé et délicieusement cocufié.

Pourquoi ? Et bien pour casser la routine, exacerber la libido du couple, satisfaire ce coté pervers de pouvoir offrir sa femme, de pouvoir satisfaire ce besoin sexuel silencieux que les femmes n’osent pas révéler à leur mari.

De voir sa femme s’épanouir de jour en jour, de la voir prendre confiance en elle, de la voir se libérer sexuellement pour notre plaisir commun.

Et croyez moi, les hommes n’imaginent vraiment pas tout ce qu’ils peuvent récolter en retour, une femme ainsi comblé n’économise pas ses efforts pour vous surprendre et vous régaler, dans tous les sens du terme.

Elle devient la femme idéale, femme et mère de nos s et surtout la maitresse parfaite, toujours en état d’excitation, plus perverse que la moyenne et prête à tout pour combler ses fantasmes les plus inavouables.

Il nous faut juste savoir où, quand et avec qui, ne pas en r et surtout ne rien lui imposer, il faut la décrypter, l’observer, être à l’affut du langage silencieux qui nous indiquera que c’est là le bon moment, que c’est là qu’elle en a envie, que c’est là qu’elle veut se donner.

Du moins pour ma femme c’est ainsi qu’il faut pratiquer, à chacun de découvrir sous quel angle aborder le sujet avec sa compagne, quels arguments, gestes, signes, mots il lui faudra utiliser pour la faire succomber.

C’est en quelle sorte un jeu, c’est comme cela qu’il faut le prendre, subtil et cérébral, plus que l’acte c’est au travers des préparatifs que le candauliste prend beaucoup de plaisir, l’imaginaire lui n’est jamais décevant alors qu’un mauvais partenaire, lui il peut l’être.

Il faut que cela soit presque attendu et désiré par la beauté qui partage notre vie, telle une récompense, une sucrerie offerte à cette femme très, très sage qui attend impatiemment qu’on la partage et ou la prête à un beau mâle en rut.


Car c’est au travers de l’excitation des hommes qui la convoite quelle se rassure au quotidien sur la beauté de son corps, comme toutes les femmes, elle doute, se vois vieillir vite, bien trop vite et cela lui fait peur.

Pourtant elle se regarde chaque jour dans le miroir, elle prend du temps pour se faire belle et désirable, se pare de belles toilettes, de dessous chics et affriolants, se parfume divinement et même avec tous ses atouts elle doute encore et perd confiance.

Les femmes sont des êtres sensibles et très complexes, le divin leur a confié la mission de perpé l’humanité en leur faisant cadeaux des plus beaux atouts, féminité, élégance e sex-appeal, tout ce qu’il faut pour nous rendre fou.

C’est bien pour cela que beaucoup d’hommes, de religions et de croyances ne peuvent donner à la femme sa vraie place, ils ont peur de la puissance féminine, de leur bonté et compassion, de leur pouvoir d’attirance, tous savent que le monde serait bien meilleur sous le pouvoir des femmes.

Mais les hommes ont encore plus peur de perdre le contrôle, de perdre leur statut de mâle dominant, l’idée même de leur toute puissance, ils aiment se sentir forts et dominateur et sont prêt à tout pour maintenir cette croyance.

Pourtant, s’ils savaient… la puissance de l’amour est bien plus extraordinaire que n’importe quelle arme de destruction massive, que la compassion donne plus de satisfaction que toutes les meilleures situations sociales de notre société, et que la tendresse apaise tous les maux.

Les hommes seraient bien meilleurs s’ils exploraient la part de féminité qui sommeille en eux, ainsi ils comprendraient mieux les femmes et les rendraient bien plus heureuses.

Et croyez moi, cela ne retire rien à la virilité, nous ne serons pas castré par le trop plein de d’amour, bien au contraire nous pouvons atteindre des niveaux de plaisir inimaginables au travers du plaisir de nos partenaires, de nos femmes, de nos amours.


Mais bon, il me faut revenir à notre histoire, il me faut découvrir ce qui se trame avec le voisin d’en face et ma femme qui ces derniers jours me semble toute excitée, au point de se faire jouir toute seule comme une petite perverse d‘égoïste.



Il y a ment une part d’interdit pour quelle me cache ses désirs, elle doit culpabiliser de désirer un autre homme, de ressentir du plaisir en pensant a quelqu’un d’autre, ou bien elle ne culpabilise pas et assume parfaitement mais ne veut pas me faire de la peine, ne me sent pas apte à comprendre ses fantasmes.

Quoi qu’il en soit il me faut découvrir les détails de cette situation, discrètement sans éveiller les soupçons de ma belle, l’enquête est ouverte.

Ce vendredi, nous sommes partis au travail comme à nos habitudes, elle toujours aussi belle et désirable, plus bandante que jamais, moi préoccupé par sa beauté qui me rend jaloux, me serre le ventre et qui pourtant m’excite toujours au plus haut point.

C’est cette cruelle ambigüité qui maintient mon désir allumé en permanence, qui exacerbe ma libido et développe ma perversité, sorte de sadomasochisme cérébral, délicieux et amer à la fois.

Avec toutes ses pensées dans la tête j’ai patienté toute la journée pour pouvoir rentrer chez nous et mettre en pratique le plan qui je l’espère, me permettra de tout découvrir.

Elle est rentrée à son tour, radieuse et rayonnante comme à chaque fois, j’adore me plonger dans ses yeux pétillants, la serrer contre moi pour parcourir ses courbes de mes mains goulues.

-Non…non, non, tu ne va pas commencer… je te vois venir… pas touche…

J’adore la faire raller, jamais elle ne se laissera faire sans résister, sans tenter de s’échapper, c’est là aussi un rituel, toute femme doit savoir se faire désirer et en agissant ainsi elle monte le désir d’un cran sans pour autant fermer la porte à mes envies.

- Ok, d’accord… tu ne m’aime pas, j’en prends note, tant pis…

- Ne fait pas le bébé, tu sais bien que j’ai plein de choses à faire le soir en rentrant, il y a un temps pour tout, ce soir peut être… si tu es sage.

- A non, ce soir j’ai promis à Sandro que je lui donnerai un coup de main pour démonter son armoire, je vais surement rentrer tard.

- Et bien tant pis pour toi, mais là… rien du tout… tu n’aura qu’a te plaindre auprès de Sandro, après tout c’est de sa faute.

- Ca c’est facile, c’est méchant et mesquin, tant pis pour toi tu ne te régaleras pas.

- Ca… tu n’en sais rien, je n’ai pas besoin de toi pour me faire plaisir

- Ha bon, comment ca ?

- Tu ne sauras rien de plus, tu veux tout savoir et rien payer

- Aller dit moi… pourquoi tu n’a pas besoin de moi ?

- Stop, je ne dit rien de plus, nous les femmes ont n’a pas besoin des hommes pour nous donner du plaisir, un point c’est tout.

- Mais…

- Il n’y a pas de mais… tu dois voir Sandro alors que moi je vais rester toute seule un vendredi soir, donc tant pis pour toi.

En fait je ne devais pas voir mon ami, c’était un stratagème pour pouvoir justifier mon absence pour la soirée et revenir discrètement pour épier ce quelle allait bien faire se croyant toute seule, à l’abri de ma présence et de mon éventuel regard.

Sa réaction instinctive me laissait croire que rien de particulier n’était prévu pour la soirée, peut être que je me faisais des idées, si j’étais bien sur que le voisin épiait ma femme, rien ne me permettais de penser qu’elle s’en soit aperçue.

Ses caresses intimes de l’autre soir dans la salle de bain n’avaient surement rien à voir avec son exhibition, je faisais peut être fausse route, serait ce plutôt du coté de son travail que tout se passait ?

Après tout elle se faisait de plus en plus belle pour se rendre au travail, m’a avoué que les hommes la désiraient et qu’elle y prenait plaisir, serait ce aussi simple ?

Il me fallait en être sur et mon plan était engagé pour la soirée, donc comme prévu après notre repas je suis parti comme si j’allais rejoindre mon ami en laissant ma belle et tendre devant la télé, je lui ai fait un bisou et lui ai dit.

- Bon j’y vais, j’espère que tu seras bien sage en mon absence ?

- Ca, tu ne le sauras jamais… et les absents ont toujours tord, non ?

Une fois la porte fermé derrière moi, j’ai fait style que je partais en me cachant dans le couloir du pallier, en silence j’allais attendre quelques minutes pour revenir écouter à la porte.

La nuit était déjà tombée et nous approchions de l’heure habituelle où ma femme se dénudait dans la chambre.

Alors je me suis rapproché de la porte d’entrée et j’ai placé mon oreille contre pour tenter d’écouter ce qui pouvait se tramer.

Je n’entendais plus la télé et le silence semblait total ce qui exacerbait encore plus ma curiosité, il me fallait attendre un bruit repère, qui me permettre de si mon épouse dans la maison afin de pouvoir rentrer sans me faire repérer.

Après quelques longues minutes j’ai entendu des bruits de talons dans le couloir à gauche de la porte d’entrée, les pas s’éloignaient vers le fond du couloir où se trouvait notre chambre, mon cœur s’est accéléré comme pour me dire que le moment était venu.

Très doucement j’ai inséré la clé dans la serrure, puis j’ai tourné la gâche en retenant la poignée afin de faire le moins de bruit possible.

Une fois la porte entrebâillée j’ai glissé mon oreille pour me confirmer que je pouvais y aller, le silence était total et seul un halo de lumière provenant de notre chambre éclairait légèrement le couloir.

Je suis donc rentré tel un félin, refermant la porte derrière moi, j’ai retiré mes chaussures pour rester le plus discret possible et je me suis approché de notre chambre.

La porte de la chambre était resté légèrement entre ouverte, malgré ma proximité je n’entendais aucun bruit ce qui encourageait encore plus ma curiosité.

Presque appuyé contre la porte, j’ai glissé un œil sur la petite ouverture pour pouvoir observer à l’intérieur, mon cœur battait très fort et j’avais vraiment très chand, mes mains étaient moites et quelques perles de sueur glissaient sur mes tempes.

Ma femme était bien là, debout au centre de la chambre et juste en face de la fenêtre dont les rideaux étaient presque ouverts, là c’était sur que notre voyeur ne pouvait rien rater de la scène, lumière allumée et rideaux presque tirés, ma femme ne pouvait ignorer son exhibition.

Elle était en petite nuisette transparente, celle-ci était ouverte et laissait apparaître ses jolis seins encore parés d’un soutien-gorge raffiné et une minuscule petite culotte en dentelle qui embellissait encore plus ses jambes habillées de bas auto fixant noir.

Une à une elle a posé ses jambes sur un petit tabouret pour retirer ses bas tout en fixant son regard vers la fenêtre, ses gestes étaient lents et très glamour, tel les magnifiques pin-up de mes fantasmes, elle roulait lentement ses bas de soie le long de ses jolies jambes, dévoilant ainsi sa chair délicate.

Quelle était belle ainsi exhibée et offerte aux regards pervers, la jalousie commençait à me tirailler le ventre et j’avais naturellement envie d’intervenir pour faire cesser ce manège mais une autre partie de moi trouvait de nombreux prétextes pour la laisser faire.

D’ailleurs un de ces prétextes commençait à prendre de l’ampleur dans mon slip, délicatement j’ai ouvert ma braguette pour extirper mon sexe qui avait déjà un beau volume entre mes doigts.

Par petits soubresauts mon sang affluait dans les grosses veines qui longeaient ma verge, elle devenait très dure et prenait doucement sa longueur de confort, mon excitation était forte et dépassait largement mon sentiment de jalousie.

Tout en poursuivant mon espionnage je me branlais doucement pour satisfaire mon envie de plaisir sans pour autant divulguer ma présence.

Ma femme poursuivait son exhibition, après avoir retiré ses bas elle a délicatement passé une crème de beauté sur la peau tiède de ses cuises, très doucement elle étalait un liquide parfumé en se caressant sensuellement.

Ses mains venaient même effleurer l’intérieur de ses cuisses jusqu'à toucher la dentelle de sa culotte, ses gestes étaient vraiment très excitants et j’imaginais bien le regard pervers de notre voisin sur ce magnifique corps presque dénudé.

Comme si elle m’avait entendu, j’ai vu ma femme faire glisser tout doucement sa culotte vers le sol, dévoilant le fruit de son entre jambes, qu’elle a levé une à une, afin d’ôter le minuscule petit bout de tissu qui de toutes les façons avait bien du mal à cacher quoi que ce soit.

Elle à rouler cette fine dentelle en boule dans sa main, puis la jeté par-dessus son épaule d’un geste provocateur, sa main a ensuite caressé ses cheveux, redescendant lentement sur son visage elle a effleuré son cou et est venu se poser sur sa poitrine juste au-dessus des seins.

Marquant un temps d’arrêt comme pour mieux attirer les regards, très lentement elle a glissé jusqu’au mamelon, tourné autour du sein pour ensuite venir le soupeser comme pour montrer la qualité de la marchandise.

J’avais l’esprit en feu, le ventre noué et les couilles bien pleines, l’exhibition de ma femme face à ce mec, là de l’autre coté de la rue, ce type que nous ne connaissions pas et qui se rinçait l’œil sur ma bien aimé.

J’étais tiraillé de contradictions, envie de tout stopper, de crier ma colère et ma jalousie, mais j’étais tétanisé par cette puissante excitation, par mes idées perverses et le véritable plaisir que me procurait cette situation particulière.

A cet instant précis, je crois même que j’aurais aimé que cet inconnu soit là, dans la chambre avec ma femme, qu’il puisse la regarder de prêt, voir même la caresser devant mes yeux pour me rendre fou de jalousie.

Pendant ce temps ma chérie se pelotait carrément les deux seins avec des gestes plutôt évocateurs, là c’était vraiment fait pour exciter, toute idée de naïveté de sa part venait de s’envoler, elle s’avait très bien qu’on la matait, là juste en face et elle assurait le spectacle.

Ses mains sont venu parcourir le duvet de son ventre, une d’elle est remonté astiquer ses tétons durcis pendant que l’autre plongeait vers sa vulve, cela devenait plus torride et elle a lâché un premier gémissement.

Soudain, elle est venu prêt de la porte pour éteindre la lumière principale et a ensuite allumé sa lampe de chevet pour enfin se replacer devant la fenêtre comme si de rien n’était, cela avait atténué l’éclairage apportant une lueur plus feutré à la pièce, c’était plus romantique en quelque sorte.

Là je l’ai vu appuyer son corps et poser son front contre la vitre, elle continuait à caresser ses mamelons pour les maintenir bien dur et de son autre main elle commença la prospection de sa vulve.

Pendant que ses doigts coulissaient entre les muqueuses, ouvrant au fur et à mesure le passage vers l’entrée de son vagin, sa respiration de plus en plus saccadé emplissait la vitre de buée, cela annonçait la suite des festivités.

Je crois qu’à ce moment là, elle ne regardait plus au travers des carreaux, elle s’abandonnait à son seul plaisir, le voyeur maintenait le fantasme de par sa présence mais il n’était plus le moteur de son plaisir.

Ses doigts s’activaient de plus en plus entre ses cuisses, titillant plus sérieusement son petit bouton qui se gorgeait de sang avec la monté du plaisir, ses gémissements étaient maintenant réguliers, presque inaudibles mais rythmés sur les vas et vient de ses doigts sur le clitoris.

Je la connaissais si bien, c’était dans ces moments là qu’elle ne pouvait plus rien refuser, presque au point de non retour comme on dit, c’est aussi à ce moment que j’ai pris mon courage pour entrer dans la chambre.

Doucement pour ne pas lui faire peur, je me suis approché d’elle par l’arrière, ne s’apercevant de rien elle continuait de s’astiquer la chatte devant notre voisin, là juste en face.

Juste derrière elle, presque contre son corps, j’ai regardé vers l’immeuble d’en face, il était bien là, lui aussi contre sa fenêtre et lui aussi s’emblait se donner du plaisir au regard des mouvements que faisait son avant bras.

Ni tenant plus, j’ai posé mes mains sur les épaules de ma femme, j’ai penché ma tête pour venir lui susurrer à l’oreille :

- N’ai pas peur mon amour, ce n’est que moi…

A ma stupéfaction, je l’ai entendu me répondre :

- Je sais… depuis le début…est que tu m’en veux ?

- Non, pas du tout… mais ne t’arrête pas… tu ne vas quant même pas frustrer ton admirateur

- Hum… oui… tu l’as vu ?

- Bien sur mon amour, il est là juste en face dans la pénombre mais il ne se cache pas.

- Ca fait longtemps qu’il m’observe ainsi, presque chaque soir… depuis des semaines

Mes mains sont passées de ses épaules à ses seins que j’ai saisis fermement tout en titillant les bouts avec mes pouces.

- Laisse toi allez, continue… montre lui ta beauté

- Tu sais, au début je ne m’en étais pas aperçu… c’est un soir, en venant fermé les doubles rideaux après mettre dévêtu que je l’ai vu…

- Et alors ?

Maintenant elle appuyait son corps contre le mien et tout en me répondant entre deux soupirs elle continuait à se caresser la vulve pour maintenir son plaisir.

- J’ai eu honte… je ne voulais pas…

- Mais maintenant tu veux bien… à ce que je vois

- Ca à mit du temps… ça ma hanté les nuits… c’est devenu un… fantasme

- Pas qu’un fantasme mon amour, une véritable envie… regarde ce mec… regarde comme il te désire

- Ca te plait de t’exhiber comme une petite salope… tu oublie que tu es une femme mariée.

- Non… je t’aime… je n’aime que toi…

- Je sais, mais tu aime que ce mec te regarde, tu aime qu’il matte ton corps, qu’il te montre son désir pour toi… je me trompe ?

- Oui, heu… non, hum… oui … j’aime l’exciter… regarde… il doit en avoir une grosse… a chaque fois il se branle pour moi.

- Effectivement, je te confirme qu’il a un sacré engin entre ses cuisses… ce n’est pas une bite pour les débutantes…

- Donc les grosses bites… t’excitent ?

- Je… ne sais pas, la première fois que je l’ai vu… cela m’a fait peur… mais toutes les nuits cela m’a hanté l’esprit… elle est vraiment énorme… comment…

- Comment une femme peut prendre un engin pareil, c’est ça qui te préoccupe ma chérie ?

- Oui… tu te rends compte… déjà toi tu me remplis bien… mais là… il fait au moins le double…

- En tout cas, vu comment que ta chatte est inondée, je dirais que cela ne te déplairait pas de l’essayer.

Effectivement, je n’avais jamais senti ma femme mouiller autant, surement l’excitation de s’exhiber devant cette belle queue.

- Tu es fou… elle est trop grosse… et puis jamais de la vie… je t’aime…

- Lui par contre… il aimerait bien te la fourrer… sa grosse bite, regarde comme il se l’astique en te regardant.

- Hum… là avec toi… c’est encore plus…excitant… et ca te fait bien bander… mon salaud

- Je ne dis pas que je n’aime pas ça… je trouve ça même, très excitant

Ma femme profitait vraiment du moment, elle ondulait lentement ses magnifiques fesses contre ma queue comme pour me remercier de lui laisser vivre son fantasme.

- Ca fait longtemps que dure votre petit manège ?
- Hum… oui… plusieurs semaines….

- Donc cela devient sérieux, il va falloir que je vous surveille

- Mais non… je t’aime… et je suis une femme… sérieuse…

- Oui ma chérie… mais lui il ne le sait pas et avec ce que tu lui montre, il peut se faire des idées, non ?

- Ca… il s’en est déjà fait…

- Comment ça ?

- Hum… il a déjà tenté… sa chance…

Elle était vraiment excitée pour m’avouer cela, surtout dans notre position, moi exhibant ma femme nue au regard de ce type qui allume ma femme et qui a essayé de se la faire.

Ma chérie ne se rendait surement pas compte dans qu’elle situation elle me mettait, elle me rendait complice de sa dépravation, complice de son désir pour ce mec ou plutôt pour sa bite, car c’était bien là le problème, c’est sa bite qui faisait fantasmer mon épouse.

Depuis des semaines, elle attendait chaque soir de pouvoir admirer le membre que ce mec branlait devant ses yeux, comme hypnotisée par la taille de l’engin qui maintenant la faisait rêver les nuits.

Et aujourd’hui, elle a poussé le vice à lui montrer que moi, son mari, je n’avais rien contre le fait qu’elle se laisse aller comme une véritable salope, que j’y prenais même du plaisir et que je l’exhibait encore plus.

Comment ma femme pouvait elle penser que j’allais accepter tout cela

- Alors, il a tenté sa chance, raconte moi…

Pour qu’elle se libère totalement, il me fallait monter la pression et rien de mieux que quelques mots crus au creux de l’oreille pour la faire mouiller encore plus.

Mes mains ne restaient pas inactives, je malaxais ses nichons en faisant rouler les pointes entre mes doigts, je l’embrassais dans le coup tout en lui disant des obscénités.

- Vas-y ma belle, raconte-moi…

- Hum… mon amour… j’espère que…tu ne m’en veux pas…

- Pourquoi devrais-je… vous avez fait des bêtises ?

- Non… hum… un peu…

Là cela devenait plus glauque pour moi, mon ventre se nouait sévèrement et mon cœur s’est accéléré soudainement pris par une vague de jalousie, mais là encore l’excitation était encore plus forte et il me fallait entendre la suite.

- Comment ca… un peu… petite salope, il ta déjà baisé ?

- Non… je te jure que non… mais il voudrait bien…

- Il te la dit ?

- Oui… hum… plusieurs fois…dans la rue, lorsqu’on se croise… il vient me parler…

- Et tu le laisse faire ?

- Mais… il n’y a rien de mal, je lui ai dit, non… que cela n’était pas possible… que j’étais mariée…

- Et alors, c’est vraiment ce que tu pense ?

- Oui… car je t’aime…et je ne veux pas…hum… te faire souffrir…

- Ca ma belle, ca veut dire que tu aimerais bien qu’il te la mette, avoue !

- Hum… oui… c’est vrai… c’est un fantasme… un rêve, mais je t’aime…

Je la sentais chaude comme la braise, elle était allumée comme jamais, sa chatte ruisselait sous mes doigts qui la fouillaient depuis un bon moment, elle était comme une bête en rut, prête à tout pour assouvir ses bas instincts.

Là encore, je me surpris malgré la jalousie qui me tiraillait à m’entendre lui dire :

- Tu aimerais que je le laisse te baiser ?

- Mais tu es… fou… mon amour…

- Tu m’a pas répondu… tu aimerais qu’il te baise, oui ou non ?

- Hum… non, heu… peut être…que oui…mais…

Je l’ai sentie complètement surprise, elle ne s’attendait vraiment pas à ça, du coup j’ai accéléré mes doigts sur son clitoris comme l’électriser encore plus.

- Je suis sérieux ma belle, tu veux qu’il te baise… oui ou non ?

- Haaaaa…non… ouiiiiii…

A ces mots elle sait mise à jouir comme jamais, j’ai retenu son corps qui se laissait tomber envahie par le plaisir

- Alors, tu veux qu’il te baise…. Dit le, salope…
- Ouiiiiiii…

Mes doigts ont plongés dans sa moule visqueuse en faisant déborder le trop plein de jus, je lui ai attrapé le visage de mon autre main pour le retourner vers moi.

- Alors tu le dit… salope !

- Ouiiiii… je veux… qu’il… me baise….haaaaaa….

La vague de plaisir à dépassé tout ce qu’elle pouvait attendre, je l’ai sentie trembler de tout ses membres, prise de convulsions elle a crié son extase.

Je l’ai maintenu fermement pour ne pas la laisser tombé et je l’ai laissé jouir tant qu’elle voulait

- Oui, vas y ma belle, laisse toi jouir… elle te fait envie… cette grosse queue… hein, qu’elle te fait envie ?

La voix roque, presque inaudible elle me répondait

- Oui… elle… doit être…bonne…sa… queue…

Quelques derniers spasmes secouaient son corps, ses jambes se resserraient fortement sur mes doigts encore plongés dans sa vulve et elle revenait lentement à la réalité.

- Mon amour… excuse…moi, je t’ai dit… des…horreurs…

- Non ma chérie, c’est ce que tu ressens… une femme qui jouie ne peut mentir et vu comment tu as joui, je pense que cela te travaille sérieusement.

- Peut être… mais je ne le ferais jamais…je t’aime trop…

- Je sais que tu m’aime et moi aussi je t’aime… mais là, tu m’as vraiment excité et donné envie de te laissé faire.

- Tu es fou, il ne faut pas… c’est trop risqué et puis non, je ne voudrais jamais te faire ça.

- D’accord, alors n’en parlons plus, cela sera notre fantasme à tous les deux

Nous reprenions nos esprits et j’ai voulu tirer les doubles rideaux pour nous redonner l’intimité dont nous avions maintenant besoin, le voisin était toujours là, en face il me fixait comme pour me cl émender encore un peu de spectacle.

Maintenant il s’avait que j’étais au courant de son manège et c’est avec un peu de mépris que j’ai refermé la scène à son regard, comme pour me venger et lui montrer que c’était moi qui possédait cette beauté qu’il convoitait.

Ca aussi, ca m’a excité au plus haut point, ce sentiment de possession, d’être le maître absolu de cette jolie femme tant convoitée, cet agréable sentiment de puissance, d’être celui qui décide, qui accepte ou qui donne selon son bon vouloir.
Je sentais venir doucement le piège, n’importe quel homme sensé aurait refoulé immédiatement ce qui venait de ce passer, acceptant peut être les fantasmes de son épouse mais jamais il n’aurait voulu aller plus loin.

D’ailleurs ma femme l’aurait bien compris, évidement que je n’accepterais pas de l’offrir à cet espèce de vicelard, voisin de surcroit, qui en plus possède une bitte énorme qui ne peut que me rendre jaloux de son avantageuse anatomie.

Mais une autre partie de moi me demandait d’être plus pervers, idéalisant la formidable excitation que m’a procurée ma femme, jouissant en pensant à cette grosse bite qui la fait fantasmer depuis des semaines.

Je sentais monter l’envie de découvrir ses fantasmes les plus inavouables, de voir jusqu’où ma femme pouvait se laissé aller aux plaisirs de la chair, de constater avec qu’elle facilité elle pouvait s’offrir à d’autres.

L’excitation allait surement l’emporter sur tout le reste, sur la jalousie, sur les appréhensions et une certaine peur, oui, le piège se refermait petit à petit.

Une fois les doubles rideaux fermé, je me suis retourné et j’ai enlacé ma chérie qui ruminait déjà des remords de s’être ainsi laissé aller.

- Chérie… tu m’en veux ?

- Jamais de la vie, mon amour, je t’aime et j’aime que tu prennes du plaisir, tu as bien vu que moi-même je n’étais pas insensible à la situation.

- Oui… tu bandais dur… mais ça c’est sur le coup… comme moi… mais après, je regrette.

- Il ne faut pas avoir de regrets, tu n’as rien fait de mal et nous avons pris beaucoup de plaisir.

- oui… mais ce n’est pas bien… de faire ça… une femme respectable…et mariée

- Ca, c’est nous qui décidons ce qui est ou non respectable…et moi cela me convient qui tu sois ainsi.

- Merci… je m’en veux un peut moins… mais vient il est temps que l’on se couche

- Déjà ?

- Si tu veux que je m’occupe de toi à mon tour… vient là, tu la vraiment mérité

A peine couché à ses coté sur notre lit qu’elle s’est jeté bouche ouverte sur mon sexe encore bien dur et m’a prodigué la meilleure gâterie qu’elle ne m’a jamais fait jusqu’à là.

Laissant monté le plaisir au rythme des vibrations de sa langue sur mon gland, mon esprit est partis s’alimenter de mes nouveaux fantasmes, j’avais de plus en plus envie de lui offrir la bite du voisin, restait à savoir comment, quant et où.

Rien qu’en pensant a ce futur plan, j’ai senti ma sève partir au fond de sa bouche sans avoir le temps de la prévenir, sachant qu’elle n’aimait pas ca, j’ai eu comme un mouvement de recul, mais là elle s’est agrippée à ma tige pour finir le travail.

Pour la première fois, elle avalait ma liqueur avec une sorte de gourmandise dans le regard, car elle déglutissait ma semence en me fixant au fond des yeux, comme pour vérifier mon niveau de plaisir et me faire comprendre :

Tu vois ce qui t’attend si tu es vraiment sage, si tu es compréhensible avec ton épouse volage, avec ta petite femme qui veux te tromper, te cocufier, jouir avec une grosse queue.

Je me suis laissé partir dans la jouissance…

- Ouiiiii…. ma salope… suce…avale mon jus… Haaaaaa…

Je l’ai vu laper la dernière goutte qui pointait sur le méat, tout en maintenant la paume de sa main sur mes couilles pour bien les vider.

- Tu as aimé ?

- Hummm… putain que oui, tu es terrible quant tu veux, le plaisir te fait faire des choses…

- Nous les femmes s’avons remercié ceux qui le mérite et je dois avouer que ce soir tu as été fantastique, gentil et compréhensible.

Jamais je n’aurai imaginé que tu es l’esprit aussi ouvert et tolérant envers mes pulsions sexuelles.

Tu m’as libéré de ma honte et de mes remords, je m’en voulais sincèrement de ne pas réussir à évacuer ce fantasme qui me hante, c’est plus fort que moi et j’en retire un énorme plaisir.

Tu sais que je t’aime et cela restera un fantasme, mais je te remercie de me laissé jouir ainsi et je te le rendrais au centuple.

- Fait attention de ne rien promettre que tu ne puisses tenir, tu me connais…

- Cela ne fait rien, tout ce que tu veux et quand tu veux, mon amour

Nous nous sommes embrassé tendrement et endormis comme deux bébés l’un contre l’autre, elle dans ses rêves et moi dans l’élaboration de mon futur plan qui me faisait déjà rebander.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!