Le Chantier (44)

Après avoir montré aux apôtres Luc et Mathieu ma cave à vin et que je leur aie expliqué comment ranger le vin dans les casiers et dans la liste des stocks je les ai entraînés à l’étage ou après Criss, le mari de ma copine Soso je leur ai fait voir nos chambres avec les lits ou je les ai contraints à être à ma disposition.
Ils pensaient comme la plupart des hommes être les maitres de nos jeux érotiques mais les pieds et les mains entravées c’est moi qui même le bal comme il sera d’usage dans ma boîte libertine que je vais ouvrir après les travaux.
Ils se tiendront sous les directives de Criss et géré par Christian qui vient de me demander en mariage et en confiant sa gestion à Éliane qui vient de retrouver son amour de jeunesse en la personne de Flavie, la pharmacienne.

Après quatre éjaculations chacun je les quitte pour aller à l’étage inférieur me baigner dans la piscine.
Je récupère mon portable et j’appelle Nadia qui dormait dans les bras de son nouvel amant le proprio de l’autoécole qui lui fait passer son permis en accéléré.
Quand je lui dis que j’ai besoin de ses services, elle est là en quelques minutes.
Quand la porte s’ouvre malgré l’heure, ma petite est pimpante.

• Tu as besoin de moi.

C’est presque en courant que nous montons les marches pour rejoindre nos amis après que je l’ai mises brifer sur le début de soirée que je leur fas subir et que ce sont eux qui sont à notre disposition contrairement au moment où nous les avions sucés dans leur étude sur leur bureau afin qu’ils acceptent de rentrer dans nos équipes de campagne pour la mairie.

• Non, pas Nadia, c’est bon Valérie, nos couilles sont vides.
• Celui de droite ou de gauche.
• Bof ils ont des bites semblables, prends celui-là moi je m’attaque à l’autre.
• Les filles soyez sympa, on fera tout ce que vous voulez dans les jours prochains, laissez-nous nous reposer, on vous aime à un point que si vous le saviez, vous en seriez étonné.


On travaille demain, vous allez nous épuiser.

Deux bouches deux sexes, deux filles à genoux côte à côte et ces deux mâles qui sont nos proies doivent reconnaitre que les hommes ont des réserves insoupçonnées en eux.

• Ils bandent, on les enfourche.
• Ils m’ont déjà enfilé chacun une fois une petite sodomie serait la bienvenue.
• Claude m’a bien baisé, mais rechigne à me la mettre dans le petit, il va falloir qu’il s’y mette s’il veut que nos rapports continus mais tu sais en attendant d’avoir mon permis, c’est un bon coup je te le préterais.
• Messieurs et vous que pensez-vous d’une petite pénétration anale.
• Vous êtes insatiable et vous êtes démoniaque, mais frérot, quelle nuit nous passons. On bande, profitez-en pour nous la sodomie est naturelle et nous apprécions surtout avec deux jolies petits culs comme les vôtres.

C’est comme cela qu’en cœur nous enfourchons ces deux verges et qu’après les avoir faits éclater mutuellement une cinquième fois dans cette nuit nos sexes sur pattes nous donne leur dernière goutte de sperme.
Mon apôtre à même le toupet de s’endormir tout en déchargeant.

• Viens, leurs bites deviennent inutiles, allons dormir dans l’appartement.

Je détache les deux garçons sans qu’ils aient la moindre réaction, je prends Nadia par la main après un passage dans la piscine pour refroidir nos trains arrière nous entrons et nous nous enfermons dans l’appartement.
Comme d’habitude toujours prévoyante Nadia a fait sonner son portable à 9 heures, car il faut que nous partions pour prendre notre avion à Toulouse.
Lorsque nous sortons de la chambre posée à côté de la porte un petit mot de nos amants.

« Merci pour cette nuit, nous rentrons nous coucher, vous nous avez massacrés, mais prêt à recommencer quand vous voudrez et où vous voudrez ».

Elle remonte un Mathusalem de 6 litres et nous changeons de maison préparer nos valises.

Christian nous propose de nous déposer à l’aéroport mais préalablement, nous l’emmenons visiter la cave à vin sans Petrov qui est en réunion au stade des sports que Maryse a organisés.

Nous passons devant l’étude et sur la porte je vois un papier.

• Christian arrête et recule afin que je lise ce qu’il y a de marquer.
Nadia regarde, fermeture exceptionnelle pour raisons personnelles jusqu’à mercredi matin, ce sont des petits joueurs.

Nous partons d’un grand éclat de rire laissant mon homme interloqué.

• Je peux savoir ce qui vous fait rire, qu’avez-vous encore fait à ces pauvres garçons ?

Je le tiens informé de nos turpitudes et de la façon dont j’ai commencé puis fini avec Nadia de leur vider les couilles attachées sur l’un des lits.
J’en profite pour vérifier si en acceptant qu’il m’épouse je suis à ses yeux la même femme libre et sa réaction est assez étonnante.

• Encore deux qui ont eu de la chance de vous rencontrer, en rentrant j’irais laver le cuir du lit, je suis persuadé que vos amants ont laissé de nombreuses traces de spermes et vous des traces de cyprine.

Une telle abnégation vos biens le petit baiser que je pose sur sa joue et ses lèvres sur les miennes quand il tourne la tête quittant la route des yeux un petit instant.
Arrivés à l’aéroport nous récupérons nos valises et le Mathusalem dans sa caisse en bois et nous allons nous enregistrer.
Un moment un peu spéciale pendant la première partie du vol, l’hôtesse de l’air est venue vers nous nous demander si tout allait bien et j’ai éternué.
Voulant sortir mon mouchoir de la poche de mon manteau, c’est le gode que j’ai sortie ayant complètement oublié qu’au moment de le reprendre pour retourner préparer les valises je l’avais remis là.

• Je vois que madame sait voyager, j’ai le même en bleu, j’en suis très contente et vous.

C’est Nadia qui lui répond.

• On l’a essayé cette nuit pour la plus grande satisfaction de nos chattes.


C’est à ce moment que le commandant de bord fait son inspection et qu’il saisit les mots qu’elle prononce.
Après qu’il est entré dans sa cabine quelques minutes après l’hôtesse revient lui faire une proposition.

• Voulez-vous visiter le cockpit, pendant que le vol est calme ?

Je la vois partir sans penser qu’elle soit capable de faire ce qu’elle m’avoue à son retour.

• Était-ce bien ?
• Oui, l’avion vole grâce au pilote automatique, ce qui les a libérés.
• Tu veux dire que.
• Oui, deux bites à sucer, il m’était difficile de refuser, j’ai failli te faire appeler, mais il fallait bien que tu gardes la bouteille.

Bouteille que j’ai eue marre de tenir sur mes genoux et que j’ai placé sous mes pieds.

• Mesdames, le commandant vous offre le champagne et espère vous revoir sur l’un de ses vols.

A plus de 17 heures après escale à Bruxelles, nous débarquons à Anvers.
La caisse lourde à porter est le centre d’intérêt et malgré la liberté de circulation dans les vols intérieurs nous avons droit à un passage dans les bureaux de la douane qui sont étonnés de notre caisse.
Libérés, la caisse posée sur un chariot à bagage que le responsable à fait allé chercher nous sortons après avoir récupéré nos valises et nous voyons Hilda qui nous fait des grands gestes pour que nous la rejoignons.

• Bonjour vous avez fait bon voyage, que faîte vous avec cette caisse encombrante.
• C’est pour toi, nous t’apportons un peu de carburant, j’espère que tu prendras le temps de la boire.
• Du Don-Pérignon vous me gâtez, elle trônera sur le bar dans ma dernière acquisition.
C’est pour l’inauguration de mon nouvel établissement que je vous ai invité,
• Tu as acheté une nouvelle usine pour le retraitement du bois.

Hilda éclate de rire.

• Non, rien à voir, j’ai simplement racheté un établissement de ma connaissance, vous allez voir.


Nous montons dans sa limousine de plusieurs mètres et son chauffeur referme la porte dernière nous.

• Les filles maintenant que nous sommes chez nous dans cette voiture la vitre sans teint nous protègent de mon chauffeur, venez m’embrasser, vos bouches m’ont manqué.

En quelques minutes avec Nadia, la coquine le grand espace aussi grand que le salon chez moi devient un lieu de luxure, pendant que j’embrasse Hilda qui m’a ouvert le corsage pour me câliner un sein, la petite à glisser aux pieds de la Hollandaise et lui a relevé la jupe très courte et s’attaque à sa chatte.
Il faut peu de temps pour que notre hôtesse démarre et me chante le plaisir qui monte en elle dans sa bouche.
Quelle route nous prenons, combien de temps avons-nous roulez, comment était le paysage, dieu seule le sait, ce qui nous intéresse, c’est la chaleur qui monte dans nos corps de plus en plus dénudés et nos chattes de plus en plus émoustillées.
Nadia en léchant au plus profond Hilda a glissé sa main sous ma jupe et me caresse le vagin qui en coule de plaisir, déversant sur ses doigts de la cyprine dont l’odeur emplit l’habitacle.
La voiture s’arrête Hilda envoie un ordre au chauffeur par l’Interphone qu’il attende pour ouvrir la porte de la limousine le temps de retrouver nos vêtements éparpillés.
La porte ouverte nous descendons devant un établissement brillant de mille feux, où sur le fronton ait marqué « le paradis »…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!