La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 674)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°673) - Maximilien testé comme sodomite -
Par un savant bondage, soumise Estelle et Endymion MDE étaient tenus plaqués lun contre lautre, couchés en chien de fusil, sur le côté, tête-bêche, le museau de lun coincé entre les jambes tenues fermement attachées de lautre et réciproquement. Chacun deux, avait une vision sur lintimité de lautre, un gros plan sur une chatte et un cul pour lun ou des burnes et un trou de balle pour lautre. De temps en temps, pour aiguiser leur appétit et titiller leurs sens, les skippers leur ordonnaient de se bouffer la raie, de glisser leur langue sur et dans lanus, pour se lubrifier mutuellement. De temps à autre, un doigt les pénétrait pour vérifier si leur intérieur était suffisamment « huiler » et prêt à lemploi
Cest ainsi que les Dominants, à leur retour, retrouvèrent leur chienne et esclave. Les bras chargés de divers cadeaux, ils se laissèrent tomber épuisés sur les sofas. Le Maître semblait gai et joyeux. Il caressa avec la pointe de ses pieds nus, gentiment les deux soumis posés à terre.
- Bien beau bondage !
mais il va être difficile dexiger deux quils nous servent à boire ! Fit-il remarquer malicieusement aux deux skippers.
Maximilien se précipita alors en cuisine et revint avec quelques bouteilles et jus de fruits frais.
- Holà cher ami, pas dalcool pour moi, avec cette chaleur, un bon verre de jus de fruit bien frais me suffira.
Maximilien, très dévoué, servit dabord Monsieur le Marquis, puis ensuite ses hôtes. Tous réclamèrent un second verre de ce divin et rafraichissant breuvage.
- Tenez approchés Messieurs, voilà pour vous remercier
Vous avez été un excellent équipage, nous tous tenons à vous gratifier dun petit présent en sus de votre salaire bien mérité.
Monsieur le Marquis tendit à Étienne et Maximilien deux coffrets dans lequel se trouvait une bouteille de rhum mais également de gros cigares de la Havane et dans chacun des coffrets, il y avait aussi un pourboire de 500 euros pour chacun deux
- Tout ça, à consommer avec modération bien sûr, contrairement à nos esclaves à consommer sans modération ! Reprenait Monsieur Henri avec humour, ce qui fit rire toute lassemblée.
Étienne et Maximilien étaient émus, très touchés ils remercièrent sincèrement et chaleureusement les quatre Dominants.
- Vous nous avez fait vivre dintenses et dexcellents moments vous tous, ce nest pas si souvent que des croisières comme la vôtre nous régale autant. En plus, vos deux salopes nous ont bien gentiment occupé, et pas que lesprit ! Riait Étienne.
- Quallez-vous faire après notre retour ! Questionnait le Maître.
- Pour ma part, reprit Étienne, une autre croisière, sans doute beaucoup moins
comment dire
fun et frugale, des septuagénaires et octogénaires à transporter diles en iles, ce sera redevenu la routine !
Étienne semblait quelque peu dépité
- Et toi Maximilien ? interrogeait encore le Noble.
- Pour moi, Monsieur le Marquis, cest un peu plus flou, linconnu même
Je nai pas de boulot en vue. Peut-être vais-je rentrer en Métropole. Peut-être que là-bas jaurai un peu plus de chance. Je sais tout faire de mes dix doigts, alors
Le Maître regardait sérieusement Maximilien
- Tu nas plus de travail, et tu me dis vouloir en chercher en Métropole, cest bien ça ?
- Oui Monsieur le Marquis.
Le Maître resta silencieux quelques instants, il réfléchissait longuement.
- Peut-être, aurai-je du travail pour toi, en mon Auguste Demeure.
- Ah oui ? vraiment Monsieur le Marquis ? Les yeux sombres de Maximilien séclairaient de nouveau avec un large sourire.
- Tu me dis savoir tout faire de tes mains ?
- Oui, exactement Monsieur le Marquis, jaime bricoler, je sais faire de la menuiserie, de la maçonnerie, poser du carrelage, de la plomberie, du jardinage, toute maintenance quoi ! mais aussi
-
Aussi très bien toccuper de soumis et soumises, de chiennes et chiens sinon desclaves ! Dit le Maître toujours sur un ton très sérieux.
- Jaime ça aussi Monsieur le Marquis ! Répondit dune façon amusée mais perverse Maximilien.
- Je pense que je pourrai te nommer responsables des gardes de mon Domaine, sous la hiérarchie directe de mon Cher Walter, le Majordome du Château qui reste le grand patron en mon absence. Il sera certainement très content davoir un homme de main sur lequel il puisse compter et se sentir épaulé car aujourdhui, il est un peu surbooké, notre Homme, avec tout ce que je lui demande de faire pour Moi. Crois-tu quun travail comme celui que je te propose puisse tintéresser ?
- Je le crois sérieusement Monsieur le Marquis, sincèrement.
- Bien, nous allons en reparler ce soir. Tu viendras dans ma cabine après le dîner pour déterminer quelques modalités supplémentaires.
- A vos ordres Monsieur le Marquis et je vous remercie déjà de votre aimable proposition si intéressante en temps de crise de lemploi !
Les deux skippers regagnèrent la cabine de pilotage. Monsieur le Marquis continua cet échange avec Madame Marie restée près de lui, alors que Madame Gabriella et Monsieur Henri sétaient retirés discrètement tous deux, prendre une douche et se changer.
- Que penses-tu de ma décision ma Chère Marie ?
- Excellente initiative, jen connais un qui va être heureux !
- Notre Ami Walter ?
- Oui, notre Ami Walter, depuis le temps quil me disait quil ne sen sortait plus
Manager ces lourdauds de gardes, ce nest pas toujours évident.
- Je lapprécie bien ce petit Maximilien, il parle peu, semble être discret, pour autant efficace, et lorsque je le vois faire, il sait prendre des initiatives. Son seul défaut sa jeunesse
quel âge a-til à ton avis ?
- Je lui donne une petite trentaine
- Crois-tu quil saura simposer avec mes rustres gardes plus âgés ?
- Je le crois manager, avec un savoir-faire sans doute efficace, je lai vu uvré auprès de son coéquipier, auprès de ces deux salopes vautrées à nos pieds. Et puis, il ne manque pas de charme, ni de perversité
- Allons, allons Marie
je te parle sérieusement, et toi, vicieuse comme tu es, tu le vois déjà dans ton lit ! Mais bon, je dois bien le constater, il est assez mignon
et qui plus est, parfaitement bisexuel, un atout supplémentaire pour soccuper de Mon cheptel, sans distinction de sexe !
La conversation sarrêta là, Madame Marie la cuisinière se retira, Monsieur le Marquis sintéressa à ceux couchés devant lui.
- Approche près de moi Maximilien !
Le skipper avança sans hésiter :
- Que puis-je pour vous Monsieur le Marquis ?
- Jaimerai te voir utiliser ces deux chiennes, jaimerai te voir les prendre devant moi. As-tu la forme nécessaire pour les enculer copieusement, lun et lautre ?
- Oh, je ne me fais pas de souci pour ça ! Je suis en pleine force de lâge ! Je vais la trouver
la forme
Monsieur le Marquis ! lui répondit Maximilien avec un sourire illuminant son visage.
- Approche-toi de moi !
Le skipper avança encore de deux pas et lorsquil fut juste devant le Maître, celui-ci, tâta son entrejambes en soupesant ses couilles au travers de son caleçon de bain. Maximilien sans sourciller se laissait faire, sans lombre dune quelconque pudeur. Il ne bougea pas non plus dun iota lorsque Monsieur le Marquis lui baissa son slip de bain pour dégager sa queue semi-molle. Il ferma simplement les yeux, lorsquIl lui happa sa queue avec ses Nobles lèvres. Monsieur le Marquis voulait-il simplement le tester, tester son dévouement, son comportement ? Sa bite prit vite de lampleur et lorsquelle atteignit son paroxysme le Maitre sen dégagea et ordonna :
- Encule dabord cette chienne dEstelle !
Là encore, sans hésiter, il sagenouilla près du cul de la femelle soumise et pointa son sexe dru et luisant de la salive du Maître, sur la rondelle de la chienne. Son chibre lemboita dun trait sous le regard du Maître mais aussi et surtout de celui de lesclave MDE. Lesclave navait jamais vu une sodomie daussi près.
- Cest bien Maximilien, prends-là bien à fond cette petite salope, elle aime ça ! Haranguait le Maître.
En effet soumise Estelle mouillait dexcitation de cette sodomie sauvage et bestiale. Leffet fut impressionnant dans lénergie produite du sodomite, avec des coups de reins et de butoirs inouïs, puissants, un véritable étalon pour une saillie des plus animales. Maximilien défonçait ce cul frénétiquement
En haletant, il interpella le Maître.
- Dois jouir, Monsieur le Marquis ?
Le Maître ne le voulait pas, il demanda alors à Maximilien de se dégager de la femelle et daller remplir lautre cul à disposition, celui de Son esclave MDE. Ni une ni deux, la queue de Maximilien changea dorifice et de soumis, la pénétration fut de même puissance, insensée, démente, tel un forcené, il besognait, niquait ardemment, mécaniquement avec toujours cette vigueur incroyable. Une virilité exceptionnelle aux yeux du Noble. Le corps dEndymion MDE tremblait de la tête aux pieds. Ses chairs intimes lui semblaient être à vif, pourtant sa queue cherchait désespérément à se frayer un chemin contre la joue et sous le cou dEstelle. Pour ne pas gueuler tel un veau quon allait abattre, il happait le sexe de la femelle, se trouvant juste à portée de bouche. Il se mit à laspirer, à gober ce petit morceau de chair tendue et fort humide. En un éclair, alors que Maximilien lui arrosait le cul copieusement, soumise Estelle sépanchait dans sa bouche en laissant couler un flot ininterrompu de cyprine. Le soumis MDE eut bien du mal à se remettre dun tel coït, pendant une bonne dizaine de minute, son corps continua à trembler, à frémir et flageoler et cela lexcitait grandement
- Cest bien mon Cher Maximilien, tu as su remplir ta mission avec fougue et détermination
Japprécie.
Maximilien avait mis du cur à louvrage, il était désormais sûr et certain que Monsieur le Marquis dEvans venait de le tester, de tester tout au moins ses capacités sexuelles et donc cétait un véritable plus pour lemploi proposé au Château en France ...
(A suivre
)
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