Sauter Le Pas.... La Confirmation.
Une fois que lon a sauté le pas, on ne regarde plus les mecs de la même manière. En tout cas, cest comme ça pour moi. Dès le 15 avril, lendemain de mon trentième anniversaire et de ma première fois avec un mec, je me suis mis à mater les mecs comme les meufs. Pas tout à fait aux mêmes endroits bien sûr !
Les seins des femmes agissent comme un aimant sur moi, je dois parfois me faire violence pour bien les regarder dans les yeux. Leurs lèvres mattirent également puis leurs jambes, surtout si elles sont en jupe. Enfin, leurs fesses, lorsquelles se retournent finissent de me conquérir, pourvu quelles se retournent et me fassent un sourire, alors là, je suis KO, ou plutôt raide et en chasse jusquà ce que jai possédé « ma proie ». Bon, ça, je pense que tous les mecs hétéros sont comme moi. Pendant mes 7 années de mariage, jai pris un nombre incalculable de coups de coude dans les côtes pour me ramener à la réalité. En général, cétait suivi dun : « Tu veux de laide ? ». Ça avait un effet tue-lamour immédiat mais malheureusement pas très durable !
Depuis le 15 avril, je me surprends à mater les mecs qui mentourent au boulot ou que je croise en les côtoyant plus ou moins. Je mate leur silhouette, un mec plutôt grand, fin mais un peu baraqué, bien fringué déclenche une petite alarme. Cest comme si une petite voix intérieure me demandait : « Tu crois quil est gay celui-ci ? ». Alors, je scrute le moindre indice ! Est-il un peu maniéré, a-t-il tendance à se montrer un tantinet plus sensuel avec les mecs, ses expressions du visage et verbales trahissent-elles quelque chose ? Après je mate sa bouche tout en me disant : « Est-ce quil suce bien ? ». Je mate son paquet pour deviner, à travers une éventuelle bosse, ses mensurations et pour tenter de déceler un début dérection ou dexcitation. Sil se retourne, mes yeux sont littéralement scotchés sur son cul, je me vois parfois en train de le lui bouffer avant de le lui ramoner.
Avant, un mec était juste un pote, un collègue, une personne que je croisais dans ma vie mais aucune idée sexuelle ne me venait. Il y a quelques temps, en parcourant une histoire gay, jai lu : « une fois quon y a goûté, on ne peut plus faire marche arrière ! ». Eh bien, cest vrai !
Pourtant jai lutté pour me prouver que je suis, comme on dit, un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro.
Jétais super troublé après avoir couché avec Paul, le barman. Jy pensais sans cesse, jétais tantôt dégoûté, tantôt en colère mais toujours un peu (beaucoup) excité. Quand il ma envoyé un texto quatre jours après, je me suis vu comme un ado boutonneux, gonflé aux hormones sexuelles, qui se disait avec la voix qui mue : « Putain, je lui réponds quoi ? ». Cétait un lundi soir vers 22h, il débauchait et ma juste écrit : « Salut, ça va ? ». Moi je pensais : « Non ça va pas, jai la bite raide et humide, je me la branle à travers mon jeans, je crois même que je bave tellement jai envie de remettre ça avec toi », mais comme je suis un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro, jai renvoyé : «Salut, ouais ça va, et toi ? ». Il a répondu : « Bof, je suis seul, tu veux pas passer ? ». Jai envoyé : « Jsais pas, peut-être, ouais, ça peut. » Cest parfois con un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro. Au moment où jenvoyais ce message, jétais déjà dans la rue, les clés de ma bagnole à la main !
Dès mon arrivée, on sest embrassés, rapprochant et mélangeant nos langues dans sa bouche, mes mains étaient déjà posées sur ses deux fesses et les malaxaient, je le collais à mon bassin, je sentais nos deux sexes tendus frotter lun contre lautre à travers nos jeans. Il a détaché sa bouche de la mienne pour se pencher, il ma enlevé mon pull, a mordillé mes tétons marrachant quelques gémissements. Je lui caressais la tête et lui déboutonnait mon pantalon. Il sest longuement occupé de mon torse et de mon ventre, les sensations étaient intenses et tellement bonnes.
« Maintenant, tu es à moi ! »
Tout en me regardant droit dans les yeux, il a englouti mon gland et une bonne partie de mon sexe. Il avait raison, je mabandonnais totalement, jai rejeté ma tête en arrière et jai poussé un long souffle venu du tréfonds de mon ventre. Jai senti ses va-et-vient réguliers, doux, humides et, dun coup, il sest enfoncé au maximum, jai senti mon gland buter sur sa glotte et passer au-delà, dans sa gorge. Je navais jamais ressenti une telle sensation. Jai maintenu sa tête contre mon ventre pendant quelques secondes afin de profiter de cet instant inédit pour moi et terriblement excitant. Jai relâché mon étreinte, il sest reculé, a repris son souffle puis a repris sa fellation. Je sentais sa salive couler sur mes couilles et le long de mes cuisses. Il alternait les léchages du méat et du gland jusquau frein puis reprenait les va-et-vient et me gratifiant de quelques gorges profondes. Au bout dun bon moment, je lui ai dit que jallais venir, il a relevé les yeux vers moi, ma saisi les couilles dans une main, les a serrées et a intensifié les mouvements, jai expulsé toute ma semence dans sa bouche. Il a continué à me sucer jusquà aspirer la dernière goutte, il sest relevé, ma embrassé et ma dit :
« Finis dentrer, on va boire un coup ! »
On a parlé plus de deux heures de nos vies, il a 26 ans, il est gay (le scoop !), il a un mec plus ou moins attitré mais qui bosse dans une autre ville, ils ne se voient que le week-end. Je lui ai donc dit quil lavait cocufié deux fois avec moi et là, il me répond :
« Sucer et baiser avec une capote, cest pas tromper ! »
Ah, comme quoi, ça ne vient pas que de moi ! Ça doit être un truc de mecs uniquement ! Je lui ai dit que mon ex-femme ne voyait pas ça comme ça mais que moi, cest bien ce que je pense !
Il ma beaucoup questionné, notamment sur le fait quil est le premier mec avec lequel jai sauté le pas.
Je me suis livré comme jamais mais la tournure des questions mexcitait de plus en plus, vers 1h du matin, je lui ai dit :
« Bon là, jen ai un peu marre de linterrogatoire, tu veux pas quon se couche ? »
On sest levé, il ma mis la main au paquet et a massé, je recommençais à être dur, il ma retourné et poussé dans sa chambre. On sest déshabillés en se défiant du regard, il sest allongé le premier sur le lit, sur le dos, le sexe en érection, il se branlait. Je me suis allongé sur lui, je lai embrassé dans le cou, je suis descendu pour moccuper de ses tétons puis de son ventre, jallais remonter mais il ma stoppé en posant ses mains sur la tête, jai hésité une seconde, il a appuyé plus fort et ma dit : « Aller, vas-y, cest le moment », je suis descendu un peu plus, sa bite était dressée devant moi, un bon 18 cm par 4cm surmontant deux belles couilles pendantes totalement rasées. Jai ouvert la bouche, son gland est entré et a touché ma langue, cétait à la fois dur mais chaud et doux, je lai léché, le précum était très salé mais cela ne ma pas du tout dégoûté, jai avancé la tête pour mieux lavaler. Jétais en train de faire ma première fellation à 30 ans ! Jai reproduit, comme je le pouvais, ce quil mavait fait un peu plus tôt : léchage du gland, va-et-vient plus ou moins rapides. Je caressais son ventre et son torse, il gémissait ce qui mencourageait à poursuivre. Je lai sucé pendant un bon moment en alternant avec le gobage de ses couilles si douces. Il me félicitait, me demandait de continuer, que cétait bon, que je lui donnais beaucoup de plaisir. Il ma dit de ralentir pour quil ne vienne pas trop vite, du coup, je me suis concentré sur son trou, il a relevé les jambes pour moffrir sa rondelle, jai plongé ma langue entre ses fesses et je lui ai longuement lubrifié la fente, il mouillait abondamment.
Jai reconnu le bruit du tiroir de la table de nuit, un préservatif est tombé sur le lit à côté de moi.
« Tes prêt, tu me veux ? »
« Oui, viens en moi ! »
« Ce coup-ci cest à toi de jouer, fais-toi plaisir ! »
Je me suis allongé sur le dos, il est monté sur moi, ma embrassé, a saisi ma bite pour la guider vers son trou et sest empalé très lentement, cétait divin. Jai saisi ses hanches et, par mes mouvements, jai accompagné les siens. Il me faisait face, montait et descendait à un bon rythme en poussant des petits cris aigus, son sexe, bien dur, tapait contre mon ventre, son gland était mouillé de précum. Je le complimentais en lui disant que je le trouvais bon, que je prenais mon pied et que je voulais quil prenne le sien. Par habitude, mes mains sont allé masser sa poitrine, il a gémi un peu plus fort et sest mis à se branler. Après plusieurs minutes, jai reçu de longs jets bouillants sur le torse et sur le menton, il criait son plaisir en de longs râles, je lui donnais de puissants coups de reins, jadorais cette sensation de donner un orgasme à un homme, ma bite était comprimée à chaque éjaculation. Il a pris un peu de son jus dans sa main et la porté à ma bouche, jai sucé et avalé du jus dhomme pour la première fois. Le goût était salé, la texture un peu épaisse, jai trouvé ça chaud et bizarre, ni bon ni mauvais, il a recommencé plusieurs fois, jai tout avalé, jai fini par mhabi au goût et à la texture. Puis cest mon plaisir qui est venu, jai joui abondamment au fond de lui tandis quil semblait avoir un deuxième orgasme encore plus intense que le premier. Il sest allongé à mes côtés et ma dit quil venait de jouir du cul en même temps que moi.
On sest calmés, je suis allé me doucher, puis il ma demandé de repartir car dormir ensemble, selon lui, cest un peu tromper ! Cest bien ce que je pense aussi, décidément !
Je suis rentré chez moi vers 4 heures du matin, je bossais à 8h ! Ce fut difficile ce jour-là ! Mon trouble est réapparu le jour suivant : javais baisé avec un mec, javais sucé une bite et, en plus, javais avalé du sperme et pas le mien ! Tout ça en prenant un pied denfer ! Quest-ce qui marrivait, quest-ce que je devenais ?
Pour me prouver que je suis toujours un mec, vrai, viril et uniquement hétéro, je nai baisé, pendant les trois semaines suivantes, quavec des meufs à gros seins de préférence ! Javais peur que ce ne soit plus pareil, en fait, si ! Nempêche que Paul était toujours dans mes pensées, jusquà ce que je croise Jonathan
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Merci les mecs pour vos messages dencouragements et pour avoir été aussi nombreux à lire ma première histoire (plus de 7000 vues, jy crois pas !).
Nhésitez pas à me faire signe, ça fait tellement plaisir ;-)
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