La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 675)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°674) - Retour en terre Beaujolaise -
Lannonce à soumise Estelle :
soumise Estelle se tenait debout, tête basse, devant sa Maîtresse Madame Gabriella. La Dominante la toisait en palpant fermement sa poitrine, ses doigts saccrochaient parfois à ses mamelons, les pinçaient et les tiraillaient jusquà ce que la soumise émette de petits soupirs douloureux, à moins dextase. Bien difficile pour ceux présents, de dire à ce moment précis, ce quéprouvait cette petite chienne soumise !
- Au terme de ce voyage, jai à te parler, petite catin.
La main de la Dominante avait glissé sur son corps, caressait son pubis, puis soudainement empoignait la vulve, son majeur glissant dans cette cavité intime, faisant sursauter soumise Estelle.
- Maître Henri et Moi-même, partons demain pour les Etats-Unis. Toi, je te confie pour quelques temps à Monsieur le Marquis dEvans, tu repartiras donc ce soir même avec Lui et tu regagneras son Auguste Demeure dans cette merveilleuse région quest le Beaujolais, en Métropole. Tu y séjourneras le temps quil faudra pour y recevoir une stricte éducation, une domination exigeante, pour que tu sois réellement une vraie petite salope, une véritable débauchée, une adorable pute, une magnifique catin, une parfaite chienne
Estelle semblait totalement désarçonnée par cette annonce. Elle sattendait à tout sauf à rejoindre le cheptel de Monsieur le Marquis dEvans. Elle voulut exprimer sa tristesse, peut-être même son désarroi. Mais elle en était totalement incapable tant ce doigt ancré dans sa chatte lexcitait
- Ah, oh
mais oh, oooohhhh
. Maîtresse !
Madame Gabriella lui assenait une gifle, alors que Monsieur Henri, derrière la soumise, lui écartait le cul de ses deux mains posées sur ses lobes fessiers.
- Tais-toi petite chienne, prends le plaisir que je taccorde silencieusement et surtout ne fais pas le moindre commentaire sur ce qui concerne mes exigences et volontés.
La jeune soumise serrait les dents, se les mordait même rageusement les lèvres, tant elle avait envie de laisser échapper ses cris ! Cétait peine perdu, elle ne pouvait sempêcher de gémir et de pousser un râle lorsque le majeur droit de Monsieur Henri lui forçait lanus et glissait en elle ! De grosses larmes roulaient sur ses joues. Monsieur le Marquis dEvans, plus mesuré, intervenait à son tour en lui caressant sa belle poitrine, en lui essuyant aussi, dun revers de main, ses pleurs
- Jespère que tu exprimes à travers ces larmes une véritable émotion et une sincère gaieté à venir Chez Moi en mon Noble Château. Tu vas pouvoir tépanouir dans la débauche, la luxure et la parfaite impudeur. Tu le sais petite chienne que tu es faite pour ça ?
Le Maître se tut laissant répondre soumise Estelle.
- Ah
Oh
Oui Monsieur le Marquis Ah
!! Oui
. je suis
oui, je suis née pour être ce que vous voulez que je sois.
soumise Estelle sursauta encore et se mit à gémir, ces deux doigts la pénétrant lui exacerbait les sens, lui chauffait le sang, elle sentit monter un doux frisson le long de sa colonne vertébrale. Elle se mit à haleter, à se tordre et à gigoter, telle une chienne en chaleur
- Tu sais aussi petite chienne que je nai jamais retenu une personne de force. Libre à toi daccepter ou de refuser cette proposition, je ne ten tiendrai pas rigueur.
Estelle savait surtout quau fond delle-même, une envie irrésistible la tiraillait, elle savait que ce besoin de soumission la taraudait chaque jour un peu plus.
- Oh
Ah
Oui
Jaccepte Monsieur le Marquis, ah
. Je suis
je suis trop honorée de ce cadeau
Aaahhh
Merci Monsieur le Marquis, merci de bien vouloir maccueillir dans votre Château
je mesure ce privilège
A ce moment précis les deux doigts la pénétrant se retirèrent dun coup dun seul, laissant ses trois orifices béants, oui même sa bouche resta grande ouverte. Le Maître dune main ferme, lui pressa alors les joues, l'obligeant à soutenir son regard.
- Tu es désormais ma chienne, ma pute, ma salope
Tes Maîtres te cèdent temporairement et tu deviens donc, pendant ce temps, ce prêt, ma pleine et entière propriété. Est-ce bien compris ?
- Oui Monsieur le Marquis.
Une claque tomba sur sa joue, Le Maître la gifla une fois seulement, mais quelle gifle !
- Désormais tu mappelles Maître, comme tous Mes chiennes et chiens, tous mes soumis et soumises mappartenant.
soumise Estelle humblement baissa les yeux, de ses lèvres tremblantes, elle remercia de nouveau le Noble Maître, puis à quatre pattes, elle suivit Madame Gabriella et Monsieur Henri dans leur cabine
Le vol Pointe-à-Pitre-Lyon :
Par chance, ce vol nétait pas complet, et Maximilien avait trouvé, aussi, une place à bord. Après un long entretien la veille au soir avec Monsieur le Marquis dEvans, il avait accepté la proposition de travail du Noble. Deux contrats avaient été signés, lun officiel et en règle avec la législation française, lautre plus « spécial » sur lequel avait été noté toutes les attributions et contributions de Maximilien.
Monsieur le Marquis et Madame Marie, avait pris place en classe affaire, Maximilien assis entre soumise Estelle et lesclave Endymion MDE voyageaient, quant à eux, en classe économique. La nuit venait tout juste de tomber lorsque lavion décollait. Lesclave MDE était à la fois triste de quitter ces merveilleuses terres insulaires, mais tellement heureux de retrouver le Château. Cela faisait plus de deux mois quil était parti, laissant derrière lui, ses deux plus fidèles surs de soumission les soumises Phryné MDE et Laïs MDE. Enfin il allait pouvoir revoir tous celles et ceux qui lui étaient devenus familiers
Il rêvassait tranquillement lorsquil reçut un coup de coude sur le côté.
- Tiens salope, prends cette couverture, et recouvre-toi de celle-ci ! Ordonnait Maximilien.
Une fois la couverture posée sur ses jambes et son abdomen, Maximilien exigea quEndymion MDE dégrafe son jean et le laisse baisser à mi-cuisses pendant tout le voyage. Discrètement lesclave sexécuta. Moins discrètement Maximilien lui colla entre les lèvres, un petit gode quil lui fit lécher, puis au bout de deux ou trois minutes, il lui glissa à loreille.
- Cest dans ton cul que je veux le voir disparaître désormais petite salope.
Alors Endymion MDE, furtivement se hissa, pointa le gode sur son anus et saffaissa lourdement pour senfoncer lobjet en lui.
Sur le chemin du retour au Château :
Monsieur Walter, trop occupé par la gestion de la Noble et Prestigieuse Demeure avait délégué Ahmed, un jeune tunisien doté dune musculature puissante et dun regard noir luisant, garde au Château, de venir chercher à laéroport Saint-Exupéry de Lyon, Monsieur le Marquis dEvans et sa suite. soumise Estelle et Endymion MDE furent installés dans le coffre de la massive Range Rover, dans deux cages, celles utilisées pour les chiens lorsque Monsieur le Marquis partait chasser, avec lordre de se dépoiler sitôt que le véhicule aurait quitté le parking souterrain de laérogare ! Pas simple de se dévêtir dans un espace aussi réduit, dans le noir de ce coffre, à devoir se cramponner à chaque virage
De surcroit, il pleuvait, un vrai déluge
La voiture roulait à faible allure, tant cet orage davril était violent. Au bout dune demi-heure de route, la pluie avait enfin cessé. La voiture quittait lautoroute et prenait maintenant la direction de Villefranche-sur-Saône. La ville était encombrée par linstallation du Marché sur la grande place vers la Halle. Sitôt la ville quittée, la Range Rover reprenait sa vitesse de croisière. Au bout dun certain temps encore, le véhicule bifurqua brutalement sur la gauche. Le soumis MDE et la femelle soumise chavirèrent tant le virage avait été sec et brutal. Tous deux cherchaient à se cramponner, la voiture était secouée dans tous les sens. Elle roulait lentement sur un chemin de terre, avec de belles ornières. Elle sarrêta enfin, le moteur se coupa
trois portières claquèrent. La portière arrière du coffre souvrit. La lumière éblouissait les deux soumis enfermés. Monsieur le Marquis ouvrit la cage de lesclave MDE.
- Descends salope et à quatre pattes ! Lui ordonnait-il.
Le centre du chemin était herbeux mais très humide, de chaque côté, un profond sillon rempli deau boueuse. Le Maître attrapait le soumis MDE par sa chevelure et le tirait sur le bas-côté du chemin.
- Je veux que tu pisses ici, dans ce bourbier, salope, tel un chien, en relevant la patte ! Dictait encore Monsieur le Marquis.
Le Maître, comme dailleurs Ahmed et Maximilien, eux aussi en profitèrent pour se soulager. Ils sortirent leur membre et urinaient dans cette flaque immonde, visant parfois le dos ou le cul du soumis transformé en vulgaire clébard levant la patte. Une fois que tous eurent fini, le Maître ordonnait encore en désignant de son index la flaque boueuse.
- Vas te rouler là-dedans salope !
Lesclave MDE hésitait, dès quil posa une main dans cette eau froide et souillée durine, celle-ci senfonça dans la boue.
- Tu vas te dépêcher salope ! Exigeait le Maître.
Toujours à quatre pattes, Endymion MDE mit un genou, son autre main, puis son autre genou. Il se tenait campé ainsi en quadrupédie lorsque le Maître lui asséna une magistrale gifle
- Je tai exigé de te rouler dedans, mon ordre nest suffisamment clair !
Alors le soumis MDE sallongea de tout son long, tenant simplement la tête hors de leau. Il sentit son corps se dérober dans cette fange glaiseuse.
- Ta tête maintenant, plonge la !
Lesclave MDE alors retint alors sa respiration, et simmergea totalement
Il sentit un pied se poser sur son crâne celui sans doute de Monsieur le Marquis. A bout de souffle, lorsque le pied se dégagea, il releva le visage pour prendre une grande bouffée dair.
- Sur le dos maintenant, retourne-toi !
Endymion MDE fit volte-face et sallongea de nouveau dans cette infâme boue. De lui-même, il bascula sa tête à la renverse pour simmerger totalement. Tout son corps, ou presque baignait dans cette ornière boueuse, seule sa queue, raide et pointée vers le ciel sortait de ce cloaque ! Cette sordide humiliation dêtre considéré comme un cochon dans sa porcherie, lexcitait terriblement. A bout de souffle, il releva la tête et entendit le Maître lui dire que son bain de boue était terminé, quil devait en sortir et se tenir maintenant debout sur la partie herbeuse du chemin.
- Branle-toi maintenant mais ne jouis pas, tu entends bien, ne jouis pas ! lui ordonnait-il encore.
De sa main droite glaiseuse, il attrapa sa bite boueuse et déjà bien dressée et se masturba devant Monsieur le Marquis et ses deux servants. Il avait bien du mal à se saisir de sa queue, tant elle était visqueuse, il dut la serrer fermement pour se branler énergiquement. Madame Marie restée dans la voiture, assistait, elle aussi au spectacle, tout en souriant de perversité. Ses bras appuyés sur la banquette arrière, la tête posée dans le creux de ses mains, elle regardait avec un sourire vicieux lesclave MDE sastiquer. Il avait froid, la boue dégoulinait et glissait lentement de son corps. Alors le Maître lui intima encore de se rouler dans lherbe humide pour sessuyer un peu et de remonter dans le coffre de la voiture. Juste à ce moment-là Maximilien intervint :
- Monsieur le Marquis puis-je vous soumettre une petite idée perverse ?
- Oui Maximilien, toute idée perverse est la bienvenue ici en ces terres beaujolaises !
Alors Maximilien respectueusement lui susurra quelques mots dans le creux de loreille
- Excellente idée ! Répondit le Maître.
Lesclave MDE et la soumise Estelle durent alors sortir de leur enclos respectif, se tenir à léquerre, ventres couchés sur le fond des cages, pieds au sol, cuisses écartées. Maximilien interpella Ahmed et lui demanda daller cueillir, tout près de larrière du véhicule, une belle brassée dorties bien fraîches. Ahmed sexécuta après avoir chaussé une paire de gants. Ce fut lui encore qui fut chargé de passer sur le corps des deux soumis, ces plantes urticantes. Dabord leur dos, puis les fesses, lintérieur des cuisses, leur raie anale, leur sexe
Les deux soumis sentirent cette brûlure les attaquer de tout côté, tous deux se mirent à geindre et à gesticuler surtout lorsque Ahmed insistait en passant plusieurs fois ces satanés orties sur leur sexe et leur cul, pourtant et lun et lautre prenaient un vrai plaisir, un plaisir mental inouï
La queue du soumis MDE était dune impressionnante raideur alors que soumise Estelle laissait couler sa cyprine le long de ses cuisses : Leur masochisme était de nouveau en marche, comme d'ailleurs la voiture, cette fois-ci elle roulait en direction de la Noble Demeure !
(A suivre
)
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