Sous Mon Contrôle 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il est 13h45, je suis posté équipé du matériel photo de Denis, bien camouflé dans une sorte de sac de couchage qu'il utilisait pour prendre les animaux en photo. Je me sens invisible … mais surtout impatient. Quelques minutes passent, ma femme arrive enfin, observe les environs. Son regard passe au-dessus de moi. Je la sens nerveuse mais elle a suivi les consignes: elle porte une robe sous laquelle je devine facilement ses seins nus, les bouts étant bien visibles. Lorsqu'elle se déplace j'observe ses fesses qui semblent assez libres. Il faut dire qu'elle possède un bon petit popotin qui me plait particulièrement. Denis arrive, je me mets en position pour prendre les photos. Le zoom me la fait voir en gros plan. Je lis sa stupéfaction quand elle reconnait Denis, lequel arbore un petit sourire narquois qui semble dire: surprise hein ?
Un court dialogue s'engage entre eux et je le saurai plus tard elle tentera d'en savoir plus sur ses intentions mais admettra qu'elle prend son pied à ces situations qui lui sont imposées.
Ils se déplacent à l'endroit précis des prises de vue et là je vois Denis se tenir à 2 mètres d'elle. Visiblement il lui intime de déboutonner le haut de sa robe et de mettre ses seins à l'air. Il la fait se déplacer vers un banc qui est en limite de mon angle de prise de vue et je la vois s'appuyer sur ce banc, relever lentement sa robe et écarter son string. C'est tellement excitant que je reste bloqué, sans penser à prendre une photo. Je me ressaisi et comprend ce qu'il veut: l'obliger à lui demander de se faire prendre, la montrer demandeuse. On est dans de la vraie soumission, là ! Je zoome sur son visage et je la vois, fixant Denis, son visage semblant l'implorer de venir l'honorer. Une pointe de jalousie me pique quelque part dans mon ventre mais l'excitation est plus forte et je ne veux rien rater de ce qui va suivre. Denis s'avance mais s'arrête à un mètre, elle se retourne alors, laisse retomber sa robe, s'agenouille devant lui et entreprend de lui libérer son sexe qu'elle prend immédiatement en bouche pour quelques aller-retour.

Elle se repositionne ensuite jupe relevée et string écarté et je la vois lui parler, elle semble lui dire: prends-moi. Il la prend alors mais ne semble s'occuper que de son propre plaisir. Au bout d'un moment, il l'a prend par les épaules et la fait se retourner et se pencher en avant, il lui remet alors son sexe en bouche. Quelques allers retours puis il la fait se positionner pour la pénétrer de nouveau, il s’enfonce en elle et jouit rapidement. Il s'écarte d'elle et la fait s'asseoir sur le banc, seins toujours visibles, jambes bien écartées et robe relevée. Il lui ordonne alors de se caresser et je vois ma femme jouir en quelques secondes. Elle n'est pas encore remise que Denis a déjà tourné les talons et elle se retrouve là, moitié honteuse, moitié encore excitée. Décidément mon choix de prendre Denis comme comparse est payant, c'est vraiment le genre de dominant que je cherchais, il n'a pas besoin d'utiliser la force pour dominer et comme mon but est que ma femme trouve du plaisir et se libère, il est exactement celui dont j'avais besoin.
Denis m'appelle peu après pour me demander si ce que j'ai vu m'a plu. Je le rassure et le félicite, lui disant dans quel état je me trouvais encore alors que je quittais la place. Il me dit alors à quel point il a trouvé excitant et jouissif de dominer ma femme ainsi et me garanti que, comme convenu, il ne dépassera jamais les limites fixées.
Pas le temps de me remettre, il me faut maintenant découvrir qui est l'homme qui a reçu sa photo complète et qui la connait assez bien pour l'appeler par son prénom.
Avec une demi-heure d'avance je me poste en face de la cabane des Marais. Je peux à la fois suivre ce qu'il va se passer à l'extérieur et me déplacer rapidement pour couper la route qui amène à la cabane. Je serai également à proximité au cas où ma femme aurait des problèmes et j'interviendrai sans hésiter si quelque chose se passe mal. J'ai même avec moi de quoi forcer la porte en bois, pas très solide il faut bien le dire.

Je suis à peine installé lorsque je vois un homme arriver à pied. J'ai l'appareil photo de Denis et je ne mets qu'une petite seconde à reconnaitre l'homme qui ouvre la cabane. Il s'appelle Michel et nous nous connaissons pour avoir couru derrière une même fille à l'époque. J'avais, cette fois-là, gagné les faveurs de celle qui fût ensuite ma compagne pendant deux ans et je me rappelle bien que, comme deux jeunes coqs, nous nous étions défiés pour sa conquête. Il avait ensuite reconnu sa défaite et nous avions régulièrement bu un verre ensemble parlant avec le sourire de cette époque. Par la suite il est devenu patron d'une start-up et président d'un club sportif important dans la région. Pas un saint mais certainement pas un salaud. J'imagine assez bien son sentiment de revanche, pas malsain, plutôt amusé, qui doit l'habiter en ce moment. Je me sens rassuré pour la sécurité de ma femme et n’aurais pas besoin de le suivre pour savoir à qui j’ai à faire, enfin à qui elle a à faire surtout.
Ma femme arrive pile à l’heure et je vois Michel enfiler une cagoule et entrer dans la cabane. Ma femme se parque à proximité et s’approche de la cabane, voit la porte ouverte et entre. Je me précipite et viens me coller contre la cabane. Elle n’est pas très bien isolée et je devrais pouvoir entendre ce qui se dit. Mais voilà pas de bruit. Je ne peux me risquer à regarder par la seule fenêtre. Il me faut encore une bonne minute, et c’est long croyez-moi, avant d’entendre un bruit. Puis quelques frottements. Les minutes passent et soudain je sursaute lorsque j’entends ma femme jouir, visiblement elle a un bel orgasme, long et intense. Quelques gémissements, un ou deux un peu plus fort et plus rien. Je m’éloigne rapidement et me mets à couvert juste à temps pour voir Michel sortir et marcher rapidement puis disparaitre sa cagoule toujours sur sa tête. Un petit moment passe, ma femme sort, cherche visiblement à voir où il est, puis finalement monte dans sa voiture et part. Cinq minutes plus tard Michel est de retour, passe quelques minutes dans la cabane et en ressort.
Il sort une clé, ferme la porte et la place dans une cache prévue pour et s’en va. Je pars à mon tour imaginant ce qui s’est passé.
En rentrant je trouve ma femme occupée à nous préparer le repas, tout semble normal. Qui peut mieux qu’une femme cacher ses émotions si nécessaire ?
Après le repas, je me connecte et lis le message suivant :
- Ma chère Anne, tu m’as donné beaucoup de plaisir, tu suces bien et pénétrer ton sexe trempé m’a donné un énorme sentiment de puissance. J’en ai profité pour filmer nos ébats, rassure toi, on te reconnait bien ahah. Maintenant je vais t’utiliser chaque fois que j’en aurais envie. Cerise sur le gâteau nous allons nous revoir avec nos conjoints et là je te dévoilerai mon identité. Imagine si on commence à se voir régulièrement toutes les situations que l’on va vivre. On baisera à quelques mètres de ton mari et de ma femme. Qui sait si on partait en vacances tous les plans que l’on pourrait réaliser. J’en bande déjà !!
Ah la vache, il y va fort là. Je ne suis pas sûr de tout contrôler du coup, mais bon c’est aussi excitant à mort. Et dire qu’elle doit encore rencontrer les hommes qu’elle a sélectionné !!
A suivre

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