Maman Est Morte (1/2)
Ce matin maman ma quitté, elle avait 79 ans et avait vécu une vie de none.
Elle mavait élevé seule, trimant toute sa vie du moins dans ma jeunesse jusquau moment où jai trouvé une place importante dans une usine comme ingénieur et où je lui ai acheté la petite maison en Bourgogne dans ses vignes lieu de sa naissance et où elle rêvait de revenir finir ses jours.
Je suis né en 1944 le 19 août juste le jour de la libération de Paris.
En ce qui concerne les hommes, je lai toujours connu seul, pas de père et pas dhomme, même la moindre aventure ou alors elle a été très discrète.
Deux fois seulement je lui ai demandé qui était mon père, sa réponse a été très ferme, il est mort à la guerre.
Je lui ai même demandé sur quel monument aux morts je pouvais voir son nom, sa réponse a été quils lont oublié dans son village, cest ce quelle ma dit sans jamais me dire le nom de ce village.
Mes demandes se sont arrêtées là, quoiquen vieillissant des questions sans réponse sur un homme-mort à la guerre pire que le soldat inconnu minterpellait.
Lorsque jétais adolescent, je me suis pris à voir en rêve que ce soldat inconnu sus lArc de Triomphe de Paris était mon père avant de déchanter dans ma douzième année dapprendre par un copain à qui je répondais à sa question sur mon géniteur que ce soldat inconnu avait fait 14 - 18 et non pas 39 - 45.
Après, la cérémonie, où jétais seul avec le curé et le maire venu assister à lenterrement dune de ses administrées, je me suis interrogé alors que javais fait passer lavis de décès et lheure de lenterrement pourquoi aucune femme de son âge ayant dû la connaître dans sa jeunesse nétait venue.
Je cherche si maman a laissé un testament la seule chose que je trouve, cest ladresse dun notaire.
Je me rends à létude où on me stipule que chez eux aucun testament na été déposé au nom de Marie Germain.
Germain est son nom de jeune fille et nom que je porte.
Dans la cave voûtée sous la salle à manger dont je trouve fortuitement la trappe en voulant changer le lino dégradé avant de vendre la maison, je trouve un bric-à-brac. Quelques bouteilles des années 1950 à 1990 années où jai acheté la maison sans savoir que cette cave était là et une malle en fer avec un cadenas.
Je la remonte difficilement me demandant si elle pouvait contenir un trésor.
Le trésor de ma mère amassé au fil de sa vie ou par les personnes ayant habité avant elle.
À lintérieur je retrouve des centaines de dessins de moi étant petit que je lui offrais pour le moindre événement.
Je constate que jaurais dû être artiste peintre, car le style et le coup de crayon évoluent pour finir par ceux que jai dessinés vers mes 12 ans et qui sont de vraies peintures.
Mamam avec sa belle écriture mettait la date derrière chacun deux.
Mon thème principal tout au long de ces années était Maman en grand, moi en moyen et papa au loin en deuxième plan.
Dessous ces dessins, je trouve son livret de famille ou ladministration a marqué Julien, fils de sa mère puisque je porte son nom.
Aucune allusion à mon père.
Dans le fond de la malle comme si lon avait voulu, les cacher des lettres attachées comme le faisaient les jeunes filles dans ces années-là avec un ruban.
La seule différence, cest que le ruban qui les entoure est noir comme si maman avait voulu mettre un crêpe noir autour de ces documents
Je lenlève et je maperçois quil y a deux écritures différentes sur les enveloppes et des numéros identiques. 1 et 1, 2 et 2.
Je prends le numéro 1 que je reconnais être lécriture de maman.
Lettre N° 1.
Paris 20 juillet 1942.
Claude.
Quelle chance tu as eu de quitter Paris suite à linvasion des Allemands sur notre ville et surtout depuis que le gouvernement français a décidé de vous coudre du jaune sur la poitrine.
Tu apprendras les malheurs qui sont arrivés à ceux de ta confession, mais jévite den parler, car je crains que mes courriers ne soient contrôlés.
Jétais au ministère, lorsquun Allemand dont jignore le grade nous à toute réunie.
Trois dentre nous ont été choisis et jai été amené à lhôtel Majestic rue Kléber.
Dans un premier temps, un bureau ma été assigné.
Jai compris que cétait un nouveau général qui prenait les commandes et jai été choisi pour être la secrétaire personnelle du numéro deux de la place de Paris.
Je crois quil faut que nous soyons franches entre nous, jai nettement compris que cest grâce à mon joli petit cul que ce choix a été fait lorsque jai vu quils avaient viré une dénommée Lucienne, grosse à lunettes qui était la responsable des services et surtout une peau de vache avec toutes celles qui étaient plutôt attrayantes quelles.
Entre elles, celles qui sont restées la surnommaient la mal-baisée.
En plus du bureau, jai été installé dans une chambre que jaimerais que tu voies.
Cest de là que je técris ayant retrouvé un peu dautonomie.
La salle de bain est magnifique et jaime prendre des bains chaque fois que je peux.
Jespère que ton voyage, cest bien passé et que tu es tranquille dans le village que tu voulais rejoindre dans le Tarn où une tante théberge.
Raconte-moi !
Une autre chose, avant dêtre choisi pour venir dans cet hôtel, jai perdu mon pucelage avec Anatole, le fils du garagiste qui est en dessous de mon appartement.
Cest en allant chercher mon pain quil ma apostrophé et quil ma demandé un service décriture pour une extension de bail.
À vingt ans, il a appris à démonter des moteurs de voitures et dautres pièces mécaniques mais lire et écrire, il a oublié.
Dès que je suis entré au lieu de me montrer les papiers, cest sa bite quil a sortie.
Je savais quun jour par les temps qui courent je serais confronté à cette situation alors lui ou un autre, je me suis laissé faire.
Lorsquil me la mise dans la main, jai trouvé ça chaud et doux à caresser.
Le moment qui a été le plus désagréable, cest quand il ma embrassé, son hygiène dentaire était loin dêtre du niveau de la nôtre.
Tu te souviens qua la maison, nous passions des heures à nous laver dans le bac à lessive que nous remplissions deau chaude.
Cest là que grace à toi jai eu mes premiers émois lorsquen me savonnant ta main sest égaré sur ma fantine que tu appelais mon abricot doré.
La première fois, nous avons arrêtée rapidement de peur des interdits de notre enfance, après quelques jours dabstinence tes doigts plus ta bouche ont démarré en moi plus de plaisir que la verge dAnatole au moment où il a déchiré mon hymen mayant assis sur le bureau de son père parti livrer une voiture.
Dans nos jeux, cest toi qui mas donné nos premiers plaisirs, mais cest moi qui tai imité et qui tai procuré chaque fois que nous restions seules les jouissances les plus fortes.
En ce qui concerne Anatole, il restera mon premier homme, mais il est impossible que je retourne dans son bureau, jai dautres vues pour avoir un avenir radieux avec le général qui est fort bel homme.
Jai hâte de te retrouver pour te serrer dans mes bras.
Jattends ta lettre si celle-ci tarrive.
Cest signé Marie.
De suite jai une interrogation, comment maman peut-elle avoir les lettres quelle a écrites et qui ont bien été postées.
Réponse N° 1.
Les cabanes 5 août 1942.
Chère Marie.
Jai bien reçu ta lettre ce matin chez ma tante qui mhéberge dans sa mercerie.
Anna qui est la demi-sur de ma mère accepte de me recevoir, car, en fait, elle a été élevée dans la religion catholique et a été mariée avec un bon catholique.
Rien ne rattache cette nièce obligée de venir vivre au soleil après une maladie à ceux qui portent du jaune.
Jarrête là sur ce sujet, mais sache que je suis tranquille malgré un voyage mouvementé.
Moi aussi jai perdu mon pucelage sur la route qui ma conduite ici.
Au café du village près de la ligne de démarcation, une femme voyant que je semblais esseulé et ayant lhabitude de voir des personnes comme moi ma indiqué une grange où je trouverais une barque qui me permettrait de traverser sans que les soldats surveillant le pont ne me remarquent.
Grâce aux quelques points de repère quelle ma donnés, jai pu retrouver cette grange.
La barque était bien là, je lai dégagée et jai essayé de la tirer jusquà leau.
Tu sais comme je suis frêle et elle est restée sans bouger.
Jallais repartir quand un chien-loup est venu derrière moi et à grogner en me montrant ses crocs.
Jétais pétrifié lorsque jai entendu la voix dun homme.
Au pied Dick, bien travaillé, tu en as encore coincé une.
Alors ma belle, on essaye de me voler ma barque sans payer le droit de passage.
Jai de largent, je vais vous payer, combien demandez-vous pour me faire traverser ?
Dick, elle est drôle celle-là, du fric, dit lui que je suis le plus riche de la région et que sa seule monnaie déchange, cest son joli petit cul.
Cest comme cela que jai compris sans aucune garantie que cet homme peu avenant me baise et quaprès risque de se barrer, mais vu que javais déchiré mes papiers à Paris avant de partir il métait impossible de passer par le pont alors jai pris le risque.
Si toi tu tes fait dépuceler sur un coin de table, moi cest le foin qui me grattait le cul sur lequel il ma couché et après mavoir enlevé ma culotte, il sest couché sur moi et ma pénétré.
Il était très massif et quand il ma retourné dune seule main pour me placer à quatre pattes dans un premier temps, il ma repris par ma chatte.
Ces allers et retours étaient interminables et duraient jusquau moment où il est sorti.
Jétais contente que cela se termine, mais jai vite déchanté lorsque jai senti quil avait décidé à sattaquer à mon anus aussi vierge que ma fente.
Jai senti une barre de fer rougie au rouge entré entre mes fesses à me faire hurler.
Dans ma grotte resserrée autour de sa verge, il a vite éjaculé.
Même si javais mal au cul, jai aimé quil me remplisse lanus, car javais peur quil ne me remplisse la chatte au risque de me retrouver enceinte.
Jai attendu dans la grange cachée sous un vieux tracteur, lhomme était parti laissant son chien qui me surveillait.
Jai entendu des voix dhomme passé parlant certainement en allemand, Dick est sorti et je le voyais sur la devant de la grange leur montrer ses crocs.
Ils ont parlé entre eux et jai entendu le nom de Dick prononcé.
La nuit tombée, jai vu une ombre entrée sans que le chien réagisse.
Cétait le passeur qui revenait.
Tu as entendu les Allemands cette après-midi, tu vois, mon chien sert à ce quils restent en dehors de la grange, ils le connaissent bien et savent ce que cela coûte aux leurs sils passent trop près de lui et tu as été tranquille.
Viens, je suis de parole, je vais te faire traverser, dommage que le temps nous soit compté jaurais aimé ten remettre un petit coup.
Tu sais baiser le gros cul de Janine comparé au tient est une vraie sinécure.
Nous avons tiré la barque à leau et en quelques minutes nous étions de lautre côté.
Nous venions daccoster et jallais passer près de lui quand il ma fait maplatir.
Tais-toi, évite de bouger, une patrouille.
Il avait louïe fine, car je nentendais rien.
Ils sont passés, puisque tu es à bonne hauteur, suce-moi, je pense que je lai bien mérité.
Il avait déjà sorti sa verge et sans que je puisse lempêcher, je lai sucé.
As-tu déjà fait une fellation et avaler le sperme dun homme ?
Sur le coup il ma été difficile de tout avaler malgré tout ce quil mavait mis dans le cul, laprès-midi.
Comme toi, jarrête ici mes aventures, car ma tante mappelle pour aller manger et après jirai envoyer ma lettre.
Signé Claude.
Extraordinaire, ce que je viens de découvrir, jai limpression dêtre un voyeur dans lintimité de ma mère et aussi de sa copine dont elle ma toujours caché lexistence.
Apprendre comment ces deux filles ont été dépucelées après avoir eu des gestes lesbiens entre elles mont passionné et malgré ma réticence, je prends la lettre n° 2
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