La Déchéance 1
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Maintenant la descente en enfer commence.
C'est une belle journée de printemps. Seule à la maison j'ai envie d'en profiter.
Je mets un short moulant, enfile un maillot qui l'est tout autant et chausse des tennis.
Je pars en vélo, quitte la ville en empruntant des routes secondaires et en chemin je décide de rendre visite à une cousine de mon mari dans un village situé à une vingtaine de kilomètres.
J'arrive sur une nationale, les hommes qui passent en voiture me klaxonnent et me font des signes car avec ma tenue je suis désirable.
Pas trop habituée à faire du vélo à un moment je fatigue et je m'arrête en bordure de forêt pour me reposer assise dans l'herbe à l'ombre à l'entrée d'un chemin.
Une voiture s'arrête, un homme en descend. Je pense qu'il va entrer dans le bois pour soulager une envie pressante, pas du tout, il vient vers moi et m'apostrophe.
<<tu prends combien>>.
D'abord surprise je comprends vite ou il veut en venir et je décide de m'amuser un peu.
<<ça dépend pourquoi>>.
<<pour une pipe>>.
<<le prix habituel>>.
<<d'accord, on y va>>.
Il pénètre dans le bois, je le suis en lui disant que je ne fais pas ça.
Nous discutons, il s'énerve me demandant ce qui me deplait pour que je ne veuille pas le soulager.
Seule avec lui dans ce bois je me vois mal partie, le risque auquel je m'expose est grand et le moindre mal serait que je le suçe. J'accepte sa proposition.
Il sort de sa poche des billets qu'il me tend ensuite il déboutonne et baisse son pantalon puis son slip.
Je m'accroupis, caresse sa queue qui est mignonne et de taille moyenne puis l'enfonce dans ma bouche. Je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur son sexe, il ne tient pas longtemps et éjacule en enfonçant ses ongles dans la peau de mes épaules sur lesquelles il avait posé ses mains.
Il se rhabille, me quitte et monte dans sa voiture.
Il n'a pas encore démarré qu'un camion s'arrête, le chauffeur descend et m'aborde.
<<c'est combien la pipe>>.
Je me sens piégée et lui dis une somme qu'il accepte et qui correspond à ce que l'homme précédent m'a donné.
Retour dans le bois, le routier sors son pénis qui est de petite taille et accroupie je le suce quelques minutes et il se vide dans ma bouche. je recrache son sperme pendant qu'il rajuste ses vêtements.
Avant de partir il me dit:
<<tu n'est pas une professionnelle toi>>.
<<cela fait une différence pour toi>>.
<<non, c'est histoire de parler>>.
Une fois le routier parti rapidement je remonte sur mon vélo avant qu'un autre véhicule ne s'arrête et je rentre chez moi troublée par ce qui vient de se passer et ou j'en suis arrivée.
Le lendemain je repense à se qui s'est passé et me dis que ça peut être amusant de soulager des hommes de temps en temps.
Je passe à la pharmacie ou j'achète une boîte de préservatifs pour ne plus être souillée par le sperme et pour l'hygiène.
En début d'après-midi vêtue d'un survêtement je retourne au même endroit que la veille, je cache mon vélo et me change. J'ai amené une mini jupe, un maillot moulant et des chaussures à talons dans un sac.
Une voiture s'arrête, un homme âgé en descend, il veut une pipe car il adore se faire sucer.
Dans le bois il baisse son pantalon et son slip, je mets un préservatif sur sa queue qui ne bande pas beaucoup.
Je le masturbe jusqu'à qu'il aie une érection correcte puis je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur son sexe, il est long à venir.
Il parle beaucoup: sa femme ne veut plus faire l'amour, je suis belle. Ses bavardages ne l'aident pas à rester concentré sur ce que je lui fais.
Je m'active en suçant et masturbant en même temps et après un temps qui m'a paru interminable son sperme coule dans la capote pendant qu'il râle.
Il retire le préservatif, le jette puis se rhabille et me quitte en disant que c'était bon et qu'il a aimé.
Un fourgon stoppe, c'est un homme en bleu de travail qui veut pénétrer mon sexe.
Quand il a baissé pantalon et slip je lui mets le préservatif et j'enlève ma culotte, il est bien membré.
Je me penche en avant les jambes écartées en me tenant à un tronc d'arbre. il se positionne derrière moi, soulève ma jupe et enfonce sa queue dans mon vagin. Il se met en mouvement les mains cramponnées à mes hanches, je remue en même temps et très vite il se raidit et éjacule.
Il jette la capote, se rhabille pendant que je remets ma culotte et il s'en va après m'avoir dit quelques paroles.
Une vieille auto s'arrête, un homme à la tenue douteuse m'aborde pour une pipe, j'hésite et me dis qu'avec le préservatif le risque est minime.
Pendant que je lui fais la fellation je suis au bord de la nausée à cause de l'odeur désagréable qu'il dégage alors je m'active pour en finir au plus vite.
Je ne suis pas mécontente quand il remonte dans sa voiture qui envoie un nuage de fumée quand il démarre.
Je fais encore une pipe à un représentant costumé et cravaté.
Je me change et retour à la maison
Dans la semaine je reviens encore une fois au même endroit et je fais éjaculer cinq hommes: deux dans ma chatte en levrette et pour les trois autres je leur fait une pipe.
Un sixième homme arrive qui ne se contente pas d'un coup vite fait et veut faire l'amour dans une chambre d'hôtel.
Je me laisse convaincre car il insiste et je monte dans sa voiture. Il dit se prénommer Didier. Arrivés dans la ville voisine il prend une chambre.
Nous nous déshabillons puis il s'approche de moi en disant que je suis belle et m'embrasse, je réponds à son baiser et nos langues se battent comme des chiens.
Il s'allonge sur le dos, je me mets à genoux sur lui les jambes de chaque côté de son corps et introduis sa queue longue et fine dans ma chatte puis je fais des mouvements de va-et-vient pendant qu'il caresse mes seins, mon ventre et mes cuisses.
Je vais m'essuyer et reviens me coucher sur le dos, il bande toujours et s'allonge sur moi. Sa verge gluante s'enfonce dans ma chatte et nous remuons de concert, il m'embrasse et caresse mes seins. Il met plus de temps avant d'éjaculer, je commence à mouiller sérieusement et je suis au bord de la jouissance quand son sperme coule dans ma chatte.
Positionnée de façon qu'il puisse caresser mon intimité je prend son sexe ramolli dans ma bouche et après l'avoir léché je lui fais une pipe tout en le masturbant avec une main.
Il apprécie en gémissant et rebande vite.
Je me couche sur le dos, je soulève et replie mes jambes en les écartant, mes genoux sont au niveau de ma poitrine. Il apprécie la vue sur mon intimité puis se colle contre moi et introduit sa queue dans ma chatte.
Il fait des va-et-vient rapides tout en m'embrassant pendant que je caresse et agace ses testicules.
Il est long à venir, je mouille beaucoup et le plaisir monte dans mon ventre et je jouis bien avant qu'il n'éjacule dans mon vagin.
Nous allons nous nettoyer dans la salle de bains et une fois rhabillés il glisse des billets dans mon sac à main puis me ramène à l'endroit ou mon vélo est caché.
Didier veut me revoir et me fixe un rendez-vous.
Quelques jours plus tard Pierre mon mari cherche un numéro de téléphone qu'il avait noté et ne le trouve pas, je lui dis qu'il figure sur une page du calepin qui se trouve dans mon sac à main et qu'il n'a qu'à regarder.
Erreur fatale: Pierre trouve une quantité anormale d'argent dans le sac et me réclame des comptes. Ce n'est pas facile à expliquer mais par bribes de phrases je le fais.
Je prends une belle raclée et il me traite de putain et autres qualificatifs ce que je suis est la réalité je ne peux le nier.
Les punitions s'enchaînent: privée de repas un soir sur deux, nuits attachée et bâillonnée couchée sur le sol, fessée ou martinet pendant une semaine et pas de queue dans ma chatte ni de caresses pendant un mois, juste sodomisée car c'est le seul orifice qui est resté honnête.
Cela ne m'empêche pas de retourner au même endroit soulager des hommes (j'appelle ça mon lieu de travail, ce qui n'est pas faux). Je suis accroc pas pour ce que ça rapporte mais parce que c'est devenu un besoin viscéral et ça m'amuse.
Je change deux fois d'endroit mais la présence de garde chasse puis de travestis vindicatifs fait que je reviens au premier endroit qui me réussit mieux.
Je revois plusieurs fois Didier et nous faisons l'amour dans une chambre d'hôtel, bien que je ne lui demande rien il n'est pas ingrat et me récompense toujours.
Mon mari s'en aperçoit et après que je lui aie affirmé, pour répondre à une de ses questions, qu'avec mon tempérament je ne peux pas lui promettre que je ne recommencerais pas, de guerre lasse il me suggère autre chose.
Dans le journal de petites annonces que l'on reçoit toutes les semaines il me montre une rubrique: homme xx ans généreux cherche jeune femme pour relation intime.
<<c'est moins dangereux et certainement plus intéressant que de faire ça dans la forêt surtout si un jour tu te fais pincer par la maréchaussée>>.
Je réponds en me décrivant à plusieurs annonces et en mettant une adresse poste restante pour la réponse de l'annonceur.
Les réponses ne tardent pas avec des propositions de rendez-vous et ce qu'ils attendent de moi.
J'essaie de rencontrer deux hommes le même jour quand c'est dans la même ville.
En réalité ils veulent tous la même chose: des caresses, surtout des fellations et éjaculer dans mon sexe ce qui ne me pose pas de problème.
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