La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 676)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°675) - De bien agréables retrouvailles au Château -
Monsieur Walter était là, dans un habit impeccablement taillé et de bonne facture dans lélégance même du strict domestique. Il était debout tout en haut du vaste perron en pierre du Château attendant Monsieur le Marquis. Derrière lui, la grande et massive double porte dentrée en bois, vernie et sculptée. Partant sur chacun de ses côtés, sur les larges marches descaliers du perron du haut et en continuité jusquen bas de ces mêmes marches jusquaux graviers se tenaient agenouillés tout le cheptel du Noble soit au total, une cinquantaine desclaves tous dévoués corps et âme à leur Maître. Ils formaient ainsi tous ensemble une véritable haie dhonneur, en cette position de soumission sur leurs genoux et qui allait de pair avec leur tête baissée. Ils étaient nus, portant tous un collier avec pour les mâles une cage de chasteté et pour les femelles des pinces aux tétons munies dune chaînette à leurs seins. Se tenaient aussi aux pieds du Majordome Walter, en laisse et nues, tenues à quatre pattes, reins cambrées, les deux femelles soumises les plus reconnues du cheptel puisque elles avaient lhonneur dêtre titrées MDE. Les soumises Laïs MDE et Phryné MDE patientaient donc sagement, ne montrant ni leur excitation, ni leur plaisir sans borne de retrouver enfin leur Maître, Monsieur le Marquis dEvans. Elles avaient appris, comme tous les soumis ici, à ne pas montrer leurs sentiments, leurs émotions, seul le devoir de fierté dappartenir devait transparaitre. Leur tenue était irréprochable, altières, elles dévoilaient leur croupe, écartant légèrement leurs cuisses pour afficher ostensiblement leur intimité. Près delles, il y avait aussi, dans la même posture et tenue, un mâle soumis, celui quon appelait ici, chien docile qui se détachait un peu du haut de la haie dhonneur des autres esclaves.
Les pneus de la Ranger Rover crissaient sous le gravier très soigneusement ratissé.
- Ha ! Je suis si heureux de vous retrouver Monsieur le Marquis, soyez le bienvenu dans Votre Château.
- Mon cher Walter, bonjour mon vieil ami, comment vas-tu ? lui répondit le Maître dans une chaleureuse poignée de mains et sur un ton destime empli de considération amicale pour son Majordome.
Monsieur le Marquis ne fit pas cas de ses deux chiennes MDE et du mâle prosternés tous les trois, en levrette, à Ses Nobles Pieds. Il continua à converser tranquillement avec Son Majordome. Madame Marie, la cuisinière, embrassait chaleureusement Walter, on aurait dit deux frères et surs se retrouvant dans leur amicale accolade puis elle disparaissait rapidement. Ahmed et Maximilien étaient sortis eux aussi du véhicule, et maintenant Le Maître faisait les présentations.
- Voilà Maximilien lequel je viens de recruter, pour te seconder Mon cher Walter, car jai pleinement conscience des lourdes tâches qui tincombent ici et que tu as donc vraiment besoin dêtre épaulé.
- Bonjour Monsieur ! heureux de vous connaitre, fit Maximilien respectueusement, en tendant la main à Walter.
- Bonjour Maximilien, soyez le bienvenue ici en cette prestigieuse demeure.
- Je sais quentre vous les Monsieurs ne dureront pas, tout comme le vouvoiement ! Et que vous deviendrez très vite deux amis et que naturellement le tutoiement deviendra une normalité ! répliqua le Noble
Pendant ce temps, Ahmed avait fait sortir soumise Estelle et Endymion MDE de leur cage, et les tenait par les cheveux pour les rapprocher des trois autres soumis toujours impeccablement galbés. Eux aussi se positionnèrent dans cette tenue provocante mais familière. Monsieur le Majordome alors en discussion avec le Maître marqua un temps darrêt en voyant Endymion MDE.
- Dites-moi, Monsieur le Marquis vous vous lancez dans lélevage de porcs ?
Lesclave MDE était dune saleté repoussante, tout son corps était couvert de boue, il puait
- Ahmed et Maximilien, allez nettoyer ce chien MDE et sitôt propre, vous le ramènerez dans le grand salon.
Endymion MDE était conduit dans les écuries du Château. Là à grandes eaux, il fut lavé, nettoyé, savonné, étrillé, brossé, frotté, aseptisé. Ce traitement énergique lui raviva quelques belles démangeaison à la suite de la séance dorties peu avant son arrivée ici. Mais là nétait pas limportant, sitôt propre et sec, il regagna le Grand Salon. Dans cette fastueuse pièce richement meublée et décorée, Monsieur le Marquis était assis dans un petit fauteuil crapaud, avec toujours près de Lui, Laïs MDE et Phryné MDE, cette fois-ci affairées, à sucer la belle tige épaisse du Noble. En effet, Monsieur le Marquis avait baissé son pantalon aux chevilles, avait quitté ses chaussettes et chaussures et se laissait léchouiller ses testicules et pomper sa bite par Ses deux petites chiennes soumises. Chien docile, sa nouille enfermée dans une cage, se contentait de lui lécher les pieds. Monsieur Walter était à genoux devant la croupe de soumise Estelle. Il lui écartait ses lèvres intimes et examinait ses chairs cachées. Il releva les yeux en direction du Maître :
- Monsieur le Marquis, si je puis me permettre, vous nêtes vraiment pas raisonnable
une chienne supplémentaire ! Ne croyez-vous pas quil ny en a pas suffisamment ici ?
- Mon cher Walter, jai promis à un couple de vieux amis de moccuper de leur soumise et de leur la rendre parfaitement dressée dici quelques mois, alors je compte aussi sur toi pour maider à ce dressage qui devra être parfait. Ma réputation est en jeu, alors on devra faire un travail impeccable afin de rendre cette chienne parfaitement comme elle doit devenir
Il se tut un instant, posa de nouveau et attentivement son regard sur cette vulve.
- Aucun souci, vous savez bien que vous pouvez compter sur moi. .. Mais que sont ces cloques et boursouflures sur cette chatte et ce trou ?
- Rien de grave, mon cher Walter, simplement quelques frottements dorties passés ici ou là.
Le Noble interpella Son esclave dun claquement de doigt. Endymion MDE approchait près de lui, tête baissée, bras croisés dans le dos. Monsieur le Marquis lattrapa par sa nouille, la lui souleva, la lui retroussa, pour bien dégager son gland.
- Regarde Mon cher Walter, ce chien lui aussi à de beaux dèmes sur sa queue, son gland et ses couilles. Ma grand-mère, la Marquis Angèle-Marie-Antoinette dEvans me disait toujours quil ny avait rien de mieux pour la circulation sanguine que des piqûres dorties
Walter palpait sans ménagement la bite et les burnes du chien MDE, puis ordonna à chien docile de venir lécher les génitaux dEndymion MDE.
- La mienne, ma grand-mère disait, langue de chien vaut mieux que langue de médecin ! affirmait le Majordome en riant
.
Maximilien croyait rêver, il nimaginait pas un instant quun univers aussi vicieux et pervers puisse exister. Il regardait, avec de grands yeux, les deux dominants joués avec celles soumises et heureuses de lêtre, il les entendait humilier ces mâles heureux dêtre accablés et bafoués. Tout ça lui paraissait incroyable, il ne lavait même pas imaginé, même pas en rêve
Evidemment son excitation était à son apogée, son jean déformé
Et visiblement, il ne regrettait absolument pas son nouvel emploi ! Son admiration envers lunivers de son patron ne cesser pas de saccroître !
- Te plairait-il mon cher Maximilien de tester lune de mes deux chiennes ! interrogeait le Maître.
Monsieur le Marquis nétait pas dupe, il ne lui laissa même pas le temps de répondre.
- Tiens, choisi celle que tu veux et prends là, à quatre pattes, là, devant nous
Ce fut la soumise Laïs MDE quil sélectionna
La femelle soumise à regret laissa la queue du Maître, et sinstalla au centre de la pièce à quatre pattes, reins parfaitement cambrés, vulve offerte, bouche entrouverte, alors que Maximilien tombait son jean.
- Oh Monsieur le Marquis, votre chienne MDE est une véritable machine à vider des couilles, tant avec sa bouche, quavec sa chatte
Elle létait, Monsieur le Marquis expliquait à Maximilien quelle avait été dressée et éduquée patiemment, longuement, pour satisfaire les hommes en rut, pour les soulager, pour les vider !
- Ce nest pas le cas de cette catin ! Constatait Monsieur Walter, deux de ses doigts dans la chatte de soumise Estelle
Celle-ci gémissait, se tortillait dans tous les sens, exprimant son désir de jouir.
- Il va falloir tonifier et muscler ces parois beaucoup trop souples à mon goût, il va y avoir du travail, il va falloir que cette petite garce apprenne aussi à se taire, ce nest pas parce quon la fouille quelle doit espérer jouir
Reprenait le Majordome.
Elle était affalée, cambrée, yeux fermés, bouche bée, sa langue sans cesse passait sur ses lèvres comme si elle était assoiffée, une soif terrible de désirs, de plaisirs
Elle gémissait, frissonnait, tremblait, sursautait à chaque fois que ces deux doigts sengouffraient et se retiraient delle
Son jus coulait le long de ses cuisses largement écartées. Une véritable femelle en chaleur qui par la vision de la saillie de soumise Laïs avait excité fortement
Chien docile, avec sa langue experte avait fait oublier les démangeaisons dEndymion MDE. Sa queue était raide, dure et luisante de bave. Il la lapait goulument avec délectation, léchait ces petites gouttes nacrées séchappant de cette bite turgescente. Avec le plat de sa langue il lui titillait les boules, les couilles de lesclave frétillaient, il les humectait de sa salive, un petit jeu de bave de mouille et de glisse. La vision de ce gland brillant et la chaleur de cette bite attisait les sens de ce mâle
Mais lui ne pouvait pas bander. Sa queue enfermée était douloureusement comprimée. Chien docile gémissait, parfois sa main cherchait à caresser sa queue encagée
- Ça suffit les deux cabots. Venez nettoyer les chiennes
Ahmed sétait précipité, avait empoigné chien docile par son collier lavait approché de la vulve de soumise Estelle et lui ordonnait de nettoyer ces souillures le long de ses cuisses. Lesclave Endymion MDE, lui, fut rapidement mis en contact avec le sexe de sa sur de soumission Laïs MDE. Quel plaisir pour lui de retrouver ces sucs, ces odeurs intimes. A plusieurs reprises, il glissait sa langue dans les replis de cette chatte humide. Quil était heureux de retrouver celle qui lui avait tant manqué pendant son séjour outre atlantique. Endymion MDE la gratifiait et la saluait ainsi, lui exprimant son plaisir de ses retrouvailles. Il était tant absorbé par ce quil faisait et donnait quil lui fallut un certain temps pour entendre les cris de son compagnon de soumission chien docile. Pourtant il beuglait comme un veau
Le Maître lui assénait sur son cul des coups de badine
- Pourquoi salope, as-tu cherché à te caresser la nouille, lorsque tu léchais celle de Mon esclave. Tu sais que tu ne dois pas le faire !
Les coups étaient cinglants, terribles, marquant et zébrant le cul de chien docile.
- Tai-je commandé darrêter de lécher soumise Estelle, petite salope ?
Chien docile se faisait copieusement sermonner et douloureusement haranguer. Les quinze coups reçus le ramenaient rapidement à la raison. Il se prosterna devant les pieds du Maître, lui présentait ses plus humbles excuses et le remerciait de son Autorité tant il avait soif de soumission
Monsieur le Marquis alors le mit à la disposition dAhmed et Maximilien, pour décharger la voiture et installer confortablement, le nouveau Garde en chef du Château ! ...
(A suivre
)
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