La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 677)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°676) - Une perverse visite chez le médecin -
Monsieur Walter ne se préoccupait guère de la fatigue du voyage, du décalage horaire, il avait empoigné Endymion MDE par son collier et lavait conduit dans son bureau. Il exigeait de lui quil se tienne debout, paumes de mains plaquées contre un mur, dos incliné, reins cambrés et cuisses écartées. Sans un mot, il lui plaça deux pinces mordantes sur chacun de ses tétons, puis il sintéressa à son cul. Il lui écartait les fesses, examinait attentivement son fion. Un de ses doigts leffleurait, tournait en caressant sa pastille intime. Puis sans aucun préambule, dun coup sec, il enfourna son majeur dans cette cavité chaude souvrant maintenant facilement, à force denculades à répétitions pendant ces deux derniers mois ! La formation à lAcadémie américaine portait ses fruits, Monsieur le Majordome appréciait la tonicité, lélasticité et la souplesse de cet orifice.
- Cest un autre enseignement que nous allons te donner prochainement salope, maintenant que ton cul souvre comme il faut
. Un enseignement différent, tu devras ty soumettre et faire preuve dune volonté sans faille pour apprendre ce que nous voulons désormais tenseigner.
Monsieur Walter nen disait pas plus
Endymion MDE ne posait aucune question, il se laissait maintenant enculer, debout, pris par derrière, sans piper mot ! La grosse bite de Walter le pilonnait, lui ravageait le cul en le pénétrant par des mouvements amples et lents. Parfois cette queue se retirait totalement pour senfourner plus profondément. Parfois encore, cette bite se heurtait à proximité de louverture de son orifice brûlant, cherchant à sintroduire vaille que vaille
Alors le Majordome empoignait sa tige pour la glisser lentement ou brutalement dans celui qui était devenu un simple esclave MDE, objet de tous les vices... La porte du bureau souvrit, Monsieur le Marquis dEvans entrait.
- Alors mon cher Walter, que penses-tu de ce cul ?
- Une vraie chatte de femelle en chaleur, désormais, Monsieur le Marquis ! Ce cul est dune grande souplesse, dun grand confort, avec une belle tonicité.
Ces mots humiliants firent bander immédiatement et terriblement Endymion MDE ! A entendre parler les deux Dominants, lui, Endymion MDE nétait plus quun trou, relégué à nêtre quun orifice, certes souple, confortable et tonic, mais rien quun cratère, un goulet dans lequel on y glissait des chibres. Pas un mot, pas un gémissement, encore moins un soupir sortait de la bouche de lesclave MDE, il se laissait enfiler, fouiller, pénétrer, enculer, un vrai plaisir pour lui quil ne pouvait exprimer dune quelconque manière ! Monsieur le Marquis dEvans avait fait installer, assise, soumise Phryné MDE entre les jambes de lenculé. Le Maître attrapa la queue raide de Son esclave MDE pour la glisser dans la bouche de Sa chienne soumise MDE. Celle-ci sempressa de prendre entre ses lèvres ce boyau de chair tendue à son maximum. Sa langue épongea et lapa les gouttes nacrées séchappant de cette bite turgescente, puis avala lengin en fond de gorge. Le corps dEndymion MDE se mit à trembler, être pris comme ça de part et dautre, lui donnait le vertige et des sensations difficilement maitrisables, pourtant, il ne broncha pas !
Alors quEndymion MDE se faisait ramoner copieusement, Monsieur le Marquis questionnait encore son Majordome :
- Et notre homme est-il déjà arrivé, Mon Cher Walter ?
- Non, pas avant cette après-midi Monsieur le Marquis, son vol a du retard.
- Voilà qui est ennuyeux ! reprit le Maître
Pour tenir la conversation, Monsieur Walter sétait quelque peu tourné en direction du Maître, dune main il tenait fermement par une épaule lesclave MDE et continuait allègrement à le piner et le limer. Par cette position, son gros gland frottait beaucoup plus contre la prostate du chien soumis MDE, ses couilles claquaient sur son cul
Endymion MDE craignait à chaque coup de queue de partir, déjaculer dans cette bouche avide et chaude.
- Vous savez Monsieur le Marquis, votre vieil ami le Médecin est au Château ce matin. Ne vouliez-vous pas faire examiner cette pute avec dautres de ses congénères ?
- Où ai-je la tête ?
merci Walter de me le rappeler, si, il faut que le médecin fasse tous les tests.
- Très bien Monsieur le Marquis, je moccupe de tout.
Monsieur le Marquis quitta le bureau de Walter en emmenant Sa chienne soumise Phryné MDE, tenue en laisse et à quatre pattes, Monsieur le Majordome entraina debout, Endymion MDE dans le long couloir jusquau cabinet médical du Château, en tirant sur la chainette reliant les pinces fixées à ses tétons. Celui-ci grimaça et laissa échapper un petit gémissement, en retour il reçut une paire de claque sur son visage en se faisant sévèrement houspiller.
- Une salope de ton espèce, qui est devenue un esclave au cours de son périple américain, doit savoir endurer sans gémir, suis-je clair ?
Endymion MDE fit un signe de la tête en guise dacquiescement, tout en sachant quil lui serait bien difficile de retenir ses plaintes lorsque ces pinces lui seraient ôtées. Et elles le furent, peu après, juste avant dentrer dans le cabinet médical. Lesclave grimaça encore, serra les dents et les poings pour éviter de crier sinon hurler
Et cette douleur ressentie lexcitait encore plus encore par une bandaison de bonne taille Là encore, il reçut deux nouvelles gifles.
- Un esclave doit savoir accepter la douleur sans se crisper, sans se tordre, sans grimacer, il peut juste en exprimer son excitation par une belle érection, quand sa nouille nest pas encagée, bien entendu ! Suis-je clair ?
Là encore Endymion MDE hocha la tête mais malheureusement il ne put tenir sa promesse bien longtemps.
- Tu désobéis salope
et ça texcite en plus davoir mal ! Tes vraiment un maso inné, toi ! Un esclave désobéissant doit être puni, tu en conviens jespère ?
- Oui Monsieur Walter.
- Alors retiens bien ce chiffre : quarante ! Je tassènerai quarante coups de fouet ce soir, juste après le dîner ! Voilà qui tapprendra à tenir tes engagements, petite putain
Endymion MDE fut poussé dans le cabinet médical. Le vicieux médecin était là, derrière son bureau, à organiser quelques dossiers médicaux. Il leva les yeux regardant par-dessus ses demi-lunettes. Il salua Walter froidement.
- Jai bien cru que vous maviez oublié ! Maugréa-t-il
Monsieur Walter ne se laissait point impressionné, il savait que cet homme était un râleur, un perpétuel ronchon mais néanmoins ami du Maître des lieux.
- Je vais chercher les cinq autres et je reviens immédiatement.
Le Médecin, le docteur Jacques Valtier de son vrai nom, continuait à saffairer, préparait des seringues, nettoyait quelques autres instruments. En attendant les autres soumis, il avait ordonné à Endymion MDE de se tenir à genoux, tête basse, mains croisées derrière la nuque, sans bouger, en lui disant quil avait sans doute besoin de réfléchir sur son sort desclave MDE envers les Dominants. Monsieur Walter revenait au bout de dix minutes seulement avec cinq autres mâles soumis cueillis dans le cheptel de Monsieur le Marquis, dont parmi eux, chien docile ! Tous les six ne savaient pas ce quils faisaient là, une simple visite médicale ? Un simple contrôle ? Une mise à disposition pour ce pervers et vicieux médecin ? Une chose était certaine, tous à un moment ou un autre étaient passés entre ses mains et savaient quil était dune perfidie exceptionnelle, tous le craignaient
Aucun deux ne pouvait se douter quil sagissait dune commande de Monsieur le Marquis dEvans.
- Debout les salopes, en file indienne et sans bruit vous venez récupérer un gobelet posé ici !
Tous pissèrent ensuite dans ce récipient, le tendirent au médecin afin que lui, puisse faire avec une bandelette, un test urinaire. A chaque fois, le Docteur notait le résultat sur le dossier médical du soumis, et demandait ensuite que le verre soit déposé sur son bureau. Tour à tour, ils furent pesés et mesurés. Avec un mètre de couturière, le médecin mesurait la taille de la tête, de la poitrine, des bras, de labdomen, des cuisses, des mollets, leur bite au repos, leurs couilles. Toutes ces mesures étaient reportées scrupuleusement sur le livret médical de chacun deux. Tous ensuite furent auscultés, palpés, chacun leur tour, ils sallongeaient sur cette table médicale et subissaient une soigneuse inspection. Le médecin leur fit ensuite une prise de sang, puis la consultation prit une autre allure, beaucoup plus
sexuel cette fois-ci ! Afin de réaliser un spermogramme pour chacun deux, il fit aligner les six soumis contre un mur, leur tendit un autre gobelet en plastique.
- Au top départ, vous allez vous branlez et vous balancerez dans ces gobelets votre foutre de salope.
Le médecin prit un chronomètre en main, afin de mesurer le temps que chaque soumis mettrait pour éjaculer. Avec un sourire plus que vicieux, il les passait en revue, parfois en redressant une queue qui avait bien du mal à se tendre !
- Tas pas envie de jouir petite salope
à moins que tu aies peur de la dérouillée que tu prendras après ton éjaculation ! Allez prenez vos queues en main et branlez-vous
Mouais
pas très raide cette nouille
Fort bien !
Soit !
Alors comme je devinais aisément que vous auriez besoin dun peu dexcitation pour gicler, je vais rajouter une situation fort simple mais efficace et qui devrait vous amener à la jouissance : Lesclave Endymion MDE va vous sucer lun après lautre, mais attention, interdiction de lui éjaculer dans sa bouche de pute, votre foutre je le veux dans le gobelet et pas ailleurs ! Le premier qui aura joui, mapportera son gobelet et ira sucer à son tour Endymion MDE
Exécution
Lesclave Endymion MDE sapprocha alors du premier et commença à le sucer avec avidité. Lépreuve était dune perversité sans nom
chaque soumis devait se branler puis se laisser sucer et enfin jouir devant tous, en sachant pertinemment quà lissue, tous seraient punis
Tous sastiquaient, se branlaient puis se laissaient chacun à leur tour avaler, lécher, sucer leur nouille par lesclave MDE qui suçait puis stoppait chaque fellation sur ordre du médecin puis recommençait et passait au suivant. Et lorsque tous furent parfaitement érigés, le médecin les stoppait de nouveau dans leur élan, pour mesurer leur verge tendue, tant la taille que lépaisseur. Ils purent reprendre leur masturbation collective sitôt après. Chacun leur tour, ils furent de nouveau sucer par Endymion MDE et ils se mirent à gémir, à pousser des petits cris annonçant lextase prochaine. Lun après lautre, ils éjaculaient et envoyaient leur foutre, plus ou moins abondant, selon les cas, dans ces gobelets quils tenaient près de leur bite, tout en écartant dun lautre main le visage de lesclave MDE. Ce fut parmi toutes ses éjaculations, chien docile qui jouit le premier et qui suça donc en retour Endymion MDE qui ne tarda pas à jouir également et abondamment dans un gobelet.
Le médecin sétait approché de chien docile, le toisait en lui pressant les burnes :
- Tu tes bien vidé les couilles salope ? Ce chien dEndymion MDE ta bien rendu la monnaie de son éjaculation, à ce que je vois, dit-il en regardant le contenu du gobelet de chien docile
- Oui Monsieur, merci Monsieur
répondit chien docile presque nerveusement.
- Ca donne soif de se branler, ne trouves-tu pas ?
Chien docile ne comprenait pas la question, il regardait le médecin dun air hagard
- Je te dis que ça donne soif de se branler
Insistait-il !
- Oui Monsieur, vous avez raison, ça donne soif de se vider les couilles.
Alors le médecin partit en direction de son bureau, prit un verre au hasard, rempli de pisse, et le tendit à chien docile.
- Et bien puisque tu as soif, ne te prive pas, bois salope, ce nest peut-être pas ta pisse, mais ce nest pas vraiment important, il faut simplement te désaltérer !
Et chien docile but en fermant les yeux, comme dailleurs les cinq autres de ses congénères, tous purent déguster ce doux breuvage âpre, acide, ammoniaqué et maintenant froid, pendant que Monsieur le médecin prélevait avec un seringue quelques gouttes de semence dans chacun des gobelets, pour les glisser dans un tube de verre, sur lequel, il posait une étiquette au nom du soumis. Après quil eut terminé ces prélèvements, il renversa le contenu restant de chacun des gobelets dans un seul, puis le tendit encore à chien docile
- Jai ouïe dire que tu aimais bien conserver dans ta bouche le foutre des mâles
Chien docile ne comprenait pas
- Ne te souviens-tu pas dun retour de Villefranche avec du bon jus de vrais mâles, dans ta petite bouche de salope ?
Le soumis se souvenait très bien de ce challenge ordonné par le Maître
Il navait rien oublié de cette journée teste qui lui avait permis de rejoindre le cheptel de Monsieur le Marquis.
- Alors, ouvre ta bouche salope
Le médecin lui renversa le verre dans la bouche et lui demanda de garder ce doux mélange, le temps que tous les six reçoivent leur châtiment : vingt coups de paddle chacun, distribués avec force et énergie par le médecin, fier dentendre brailler ces six soumis, fier de voir leur cul rougir sous limpact de ce battoir de cuir épais. Tous montraient de nouveau une forte érection à subir cette perverse et douloureuse punition. A la fin de cette séquence, il ordonnait à chien docile douvrir de nouveau la bouche.
- Avale maintenant petite chienne !
(A suivre
)
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