Résonance Primitive 4
Il y a des règles dans notre aventure à trois entités. Relativement simples à retenir. Un contrat pas vraiment ciselé, pour léquilibre de force précaire. La première, sans doute la plus importante : jamais sans Damien. Aline et moi devons toujours compter avec lui, penser avec lui, même si physiquement il ne partage pas le même espace, comme ce soir. La seconde, et aussi la plus dommage : je nai pas le droit de sodomiser Aline. Verboten ! Mais je peux la préparer, longuement, délicatement, et jy prends un grand plaisir. La troisième : je peux embrasser Aline, mais seulement pendant une pénétration, dans le feu de laction. La quatrième: discrétion absolue, surtout vis-à-vis de Manon. Sur ces quatre règles, non gravées dans le marbre, deux sont enfreintes, dont une ce soir. Et je men inquiète dans une douce euphorie, comme un marin porté par un chant de sirènes lubriques.
La règle « Manon » était obsolète à peine posée, et ne me préoccupe pas outre mesure ; je men amuse même. Mais lenvie dembrasser Aline hors du feu, change la donne.
Cest encore groggy, que je mextirpe du canapé pour remonter mon pantalon, et majuster. Aline fait de même avec sa culotte, et laisse retomber sa robe sur ses chevilles, clôturant le spectacle comme au théâtre. Un bref instant, une fraction, nos regards saccrochent, et elle capte tout de suite le changement.
Elle me surprend par ce quelle renvoie. La règle zéro, celle qui ne se dit pas, « la tacite » : ne pas tomber amoureux. Jai franchi la ligne ce soir, pris par un regard, et je lui fais savoir les yeux dans les yeux, attendant un verdict, le redoutant. Je mattendais à la tristesse, au rejet, à la déception. À la place, jy vois lévidence. Lévidence quil ne peut en être autrement.
- Tu savais que ça arriverait ? Je souris résigné en posant la question.
- Oui ! Répond-elle simplement. Elle se lèche le pourtour des lèvres, et leur redonne de la brillance.
- Depuis le début ? Une question qui connaît la réponse.
- Au premier regard. Celui qui laisse échapper plus que lon ne voudrait. Tu étais déjà pris, sans le savoir.
Il y a une pointe de fierté dans sa réponse dénuée de prétention, et dune troublante sincérité. Elle a raison et je men rends compte.
- Quest-ce quil se passe maintenant ?
- Damien le sait aussi. Il la su le premier soir où nous avons fait lamour.
- Ça ne me dit pas ce qui va se passer maintenant.
- Et bien, Damien va bientôt rentrer. Quand je lembrasserai, il sentira le goût de ton sperme dans ma bouche, et ça le rendra heureux, et inventif.
- On fait comme si de rien nétait ? Simplement ?
- Et pourquoi ? Que tu sois amoureux est une plus-value. Pourquoi faire comme si de rien nétait ?
Son sérieux soulignait que la question était déjà traitée pour elle, depuis longtemps. Après tout, quel est le problème ? Amoureux nest pas lamour , faut pas confondre. Être amoureux est un sentiment plus animal quhumain, qui naît de conjonctions pas toujours claires. Une histoire dattraction et de réception sans réelles certitudes, où linconscient et les phéromones prédominent, tyranniques.
Comment tombe-t-on amoureux ?
La soirée soupe et jazz, en bas de chez moi, en octobre dernier. Cest là, notre première rencontre, notre premier regard, celui qui laisse échapper comme elle dit. Une belle idée cette soirée. Les locataires de mon quartier se réunissent sous mes fenêtres, sur les pelouses à peine remises des sévices de lété, et épluchent, coupent, ébouillante des légumes, pour en faire de la soupe, pendant quun guitariste crache du blues, sur un ampli trop saturé. Drôle de mélange !
Il y a peu de monde comparé au nombre de location qui nous entoure, et ce nest pas plus mal.
Le problème à venir, et qui relativise la réussite de ce projet festif, cest quoctobre nest plus septembre, et le soleil disparaît plus vite sur lhorizon, en emportant avec lui sa chaleur, que le béton ne restitue plus.
Pour rompre mon isolement social avancé, javais décidé de me joindre à lexpérience, et de tenter de communiquer, voire, soyons fou, essayer de me faire des amis. Après être resté planté à proximité du manche du guitariste, en fumant clope sur clope, jadoptais une autre stratégie. Celle-ci nétant pas très convaincante
Cest en épluchant des légumes avec les femmes, que je remarquais Aline. Elle était à lautre bout de la grande table sur tréteaux, qui nous servait de plan de travail, et discutait avec ses voisines de proximités. Je navais fait que lapercevoir du coin de lil, mais cest à ce moment-là que je nai plus eu envie de remonter chez moi.
À la fin de chaque légume épluché, je jetais un il discrètement dans sa direction pour la détailler. Un mètre soixante à vue de nez. Peut-être 55 kilos. Cheveux longs, châtains, attachés. Des bagues aux deux mains, et une dextérité très féminine. Je tends loreille et cherche sa voix, mais trop de conversations nous séparent.
Tout sest joué là daprès elle. Notre premier regard. Celui qui laisse échapper en un battement de cils, la nature profonde de lintérêt que nous nous portons. Pourquoi elle plutôt quune autre ? Une question de résonance sans doute. Une chose est sure, lattrait physique porte sa destinée en soi.
La porte dentrée souvre, interrompt ma pensée, et se referme dans un claquement feutré. Damien est de retour. Lorsquil apparaît, déboulant du couloir, cest toujours emmitouflé de son épais manteau col relevé, et de son bonnet enfoncer jusquaux sourcils. Évidemment, un sourire gamin qui sapprête à ouvrir ses cadeaux de Noël, lui barre la face. Sourire qui se voile dune légère déception boudeuse, de nous trouver si sage, assit dans le canapé.
- Je pensais les hostilités ouvertes. Dit-il, en retirant son blouson, alors quil aurait dû commencer par son bonnet ridicule. Il y a vraiment quelque chose din en lui. Aline se lève et le rejoint, féline. Elle pend ses bras autour de son cou, avance son visage près du sien, et lui souffle sous le nez ;
- Nous navons pas encore fini de manger mon chéri. Maligne Aline ! Son haleine chargée fait son effet ; je le vois dici. Lodeur de mon sperme et de ma queue émanant de sa bouche lui fouette les sens, et ressert létreinte engagée. Damien pétrit les fesses de sa femme délicatement, et la regarde ému, avant de lui déposer un baiser, puis deux. Puis leurs lèvres se soudent, et leur langue se trouvent, senlacent, débordent. Leur jeu dé sévèrement. Cette impudeur à se partager le goût de mon sexe me donne des frissons. Leur complicité me fascine.
Aline calme le jeu, se désengage doucement, et revient sassoir dans le canapé, près de moi. Damien finit de se débarrasser et nous rejoint. Cest lheure de la restauration.
Jai toujours trouvé extraordinaire les discutions davant partouze, où chacun sévertue à faire comme si de rien nétait. Parlant du quotidien et dautres broutilles sans intérêt, dans une légèreté parfois surréaliste. Tout en écoutant Damien me parler des reprises de sa bagnole et du prix du diesel, jai des flashs dun probable futur dans lequel ma queue défonce la chatte de sa femme sous ses encouragements pervers. Pareil pour Aline, lorsquelle me parle de la caissière de U, celle quon appelle la molle entre nous. Je bloque sur sa bouche qui articule des mots dont le sens finit par méchapper. Sy substituent alors des images de foutre coulant de ses lèvres et dégoulinant sur son menton. Des images de sa bouche souillée et déformée par la jouissance dêtre possédé devant son mari. Se passe-t-il la même chose pour eux ?
Cest drôle comme personne ne cherche à contrarier personne, aussi. Même moi. Même quand nous parlons musique, film, série. Des sujets sur lesquels jai lhabitude de me faire chien envers les goûts des autres. Là, on pourrait me dire quil y a du second degré dans le rap, que je continuerais de sourire gentiment.
Toute cette normalité que nous nous servons en guise de préliminaires. Nous avons besoin de convention à transgresser, pour palpiter. Faire comme si tout était normal avant de sauter le pas, de basculer. Elle est là, notre perversion du soir.
Alors que latmosphère se réchauffe, Aline retire sa petite laine, et son décolleté entre en scène. La température qui monte nest pas une vue de lesprit, ou leffet de lalcool, mais une habitude de Damien à monter le chauffage comme on lance un compte à rebours. Aline remonte les manches de sa robe. Damien sort sa caméra, vérifie la batterie, et la pose sur la table. Il va être lheure de la dernière séance. Lheure du porno.
Les petits plats sont presque vides maintenant. Les verres aussi. Damien tamise le salon et saffaire sur son PC portable près de la télé. Aline ne retrousse pas encore sa robe, mais le mouvement de ses jambes qui souvrent et se referment en battant la mesure à grande amplitude, en dit long sur son degré dimpatience. Je tombe le pull, et délasse mes chaussures pour gagner du temps.
- Quel est le programme ? Demandé-je en me collant à Aline tendrement.
- Vice et profondeur. Me répond-elle câline, en appuyant sa tête contre la mienne.
Damien balance la vidéo sur la télé, et baisse le son.
Entrée en matière directe. Pas de préliminaires ! Limage est un peu orange, comme filtré. Une chambre dhôtel à première vue. Une femme, jeune, de dos, surmonte un amant sur un lit deux places, et engorge un type debout devant elle. Elle est jolie, blonde, cheveux mi-longs, et a les yeux barrés dun bandeau noir. Vraiment très jolie ! Un blanc et deux blacks pour la servir. Le mari tourne autour de sa femme avec sa caméra. Les plans sont sympas. Elle est vraiment belle, et il sait choisir les angles qui la mettent en valeur. Des bracelets dentrave à ses poignets ? Elle a dû commencer à se faire baiser attaché sur le lit, offerte par son mari. Quelle salope ! Les trois mecs sont sur elle maintenant. Double pénétration et pipe gourmande. Son dos est magnifique, délicatement musclé. Elle est jeune, sportive. Elle gémit à chaque coup de bite qui senfonce profondément en elle.
Damien a repris sa place de lautre côté de sa femme, et lui caresse la jambe de sa main droite, décontracté. Aline lâche un peu plus de décolleté, et effleure sa peau mise à nue du bout des doigts. Cest de lamateur à lécran, pas doute. Américain vu laccent. De lamateur calquant le pro. Pas mon préféré, dommage.
Il y a des pornos qui ne cherchent pas à comprendre. Grosses bites, gros trous et rythme olympique. Une performance physique qui ne fait pas dans la dentelle niveau émotion. Dans ce modèle qui tâche, le trip est simple en général. Une petite meuf, toute mignonne, avec une tête de salope qui ne signore plus vraiment, se fait défoncer sans répit, par tous les trous. Pas de demi-pénétration. Tout ce qui rentre va au fond. De la dilatation obscène et crue qui sétale plein écran et en devient fascinante, hypnotique, mais qui nous renvoie une biologie saupoudrée de code archaïque de domination masculine. Les mecs sont rarement tendres, tout en muscle. Tout se joue dans la brutalité. Les filles subissent, mais encaissent toutes les intrusions dans leurs orifices. Se transforment en superwoman, à qui on peut tout faire, tout se permettre. Ce ne sont plus que des trous bien emballés au final. Cette vision du sexe, du rapport homme/femme, symbolise parfaitement la philosophie secrète de notre monde : de la marchandise pour jouir, comme ultime modèle. Le porno révèle plus quil ninstruit, je nen démords pas !
Cest Aline qui démarre la partie ce soir, en sallongeant entre nous dans le travers du canapé. Elle pose sa tête sur ma cuisse, et offre son basin à Damien qui se décale un peu pour lui faire de la place. Elle campe une jambe pliée contre le dossier, pendant que lautre se pose un peu cassé, sur les cuisses de son mari. Elle tire sur sa robe, et révèle un peu plus de ses jambes gainées de nylon. Son décolleté entrouvert attire ma main qui sinsinue jusquà ses seins. Je joue un peu de ses tétons durcis, mais je veux sa chatte, et ma main glisse sur ses cotes en direction du ventre. Sans avoir besoin de demander, elle défait les derniers boutons de sa robe, et écarte les pans. Son ventre blanc se dévoile, augmenté du noir du porte jarretelle. Je passe sous la culotte et retrouve son sexe liquide que jai quitté plutôt. Je joue avec ses lèvres, les écarte, les pince entre deux doigts. Je mintroduis furtivement dans son vagin et remonte faire le tour de son clito, dune longue glissade, puis replonge au point de départ, plus profond. Elle se love à la caresse. Damien ne filme pas encore, il se contente de regarder en lui massant le pied.
- Retire ma culotte. Lui ordonne-t-elle. Un ordre doux, enchanteur. La force existe !
Elle sert les jambes et décolle ses fesses pour faciliter le passage. Une fois la culotte ôtée, elle se remet en place, et jenvie Damien dêtre du bon côté. Bon joueur, jécarte ses lèvres, en les tirants vers le haut pour la décalotter. La mâchoire de Damien tombe doucement. Alors je continue dr, et replonge mes doigts dans son vagin, plus profond, et les ressorts écartés et luisants. Aline gémit. Je répète lopération sous les yeux de son mari subjugué, et je mamuse du clapotis de sa chatte.
- Tu me fais jouir. Soupire-t-elle, femelle.
Damien ouvre son futal et sort sa queue déjà bien raide. Il se branle doucement en regardant mes doigts, sans gêne, fouiller lintimité, plus si intime, de sa femme. Je les fais sucer à Aline qui les accepte, gourmande, et replonge entre ses jambes pour maventurer plus loin, offrir plus de spectacle. Je nai pas le droit de la sodomiser, mais la préparation tolère quelques phalanges enfoncées, et je ne men prive jamais. Damien apprécie autant quAline. Cette règle prend tout son sens à cette minute. À chaque nouvelle occasion de jouer de son cul, comme un défi, je mévertue à pousser plus loin mes doigts, pour les faire abdiquer tous les deux, et casser cette putain de règle. Je sais que ça arrivera, cest obligé. Il me suffit de regarder Aline et de lentendre mourir denvie. Damien nen est pas loin aussi, mais cest à lui que revient le dernier mot.
- Lèche-moi mon chéri, lèche-moi bien ! Réclame Aline à son mari. Encore un ordre Kénobi.
Ordre ren de plus. « Lèche-moi » deux fois dans la même phrase, ça veut dire sans retenue, et Damien ne se retient pas. Il bascule son bassin en arrière, le regard flou, et lui maintient les jambes repliées et ouvertes en position obscène. Puis il plonge, bouche en avant, et se goinfre de ce cul en self-service. Sa langue pénètre bruyamment ses deux orifices, en alternance. Il lèche, suce, étire ses petites lèvres, aspire son clitoris. Aline, coincée entre nous deux, subit lassaut en suffoquant. De sa main droite, elle essais de déballer ma queue sans y parvenir.
- Tas queue ! Je veux ta queue ! Implore-t-elle entre deux râle. Touchante Aline.
Je suis obligé de me dégager pour mexécuter. Une fois libre, je mapproche delle et lui présente.
- Assis toi. Mordonne-t-elle, en se retournant pour se mettre à quatre pattes sur le canapé. Elle cambre les reins, soffre comme une putain affolante.
Aline me suce bien moins langoureusement quen début de soirée. Damien, les deux mains sur les fesses de sa femme, lui lèche lanus, devenu prioritaire dans cette position. Aline se frotte. Quelques minutes passent, et Damien lâche son cul pour attr sa caméra. Je ne vois pas ce quil filme, mais jimagine facilement les deux orifices luisants, coulant de salive et de cyprine.
Je bloque sur le gros plan king size qui vient dapparaitre sur la télé. Une double pénétration bien membrée et bicolore. Pendant quune grosse bite noire reste plantée dans un vagin distendu, une bite blanche, à peine moins grosse, sactive dans lanus le surplombant. Et pas doucement. Le son à beau être faible, on entend la fille hurler sous chaque coup donné.
Je surprends Aline en train dobserver la scène aussi, lil grand ouvert et ma bite au fond de la bouche. Soudain, elle se redresse et menjambe, pour positionner son bassin au-dessus du mien.
- Vous allez me prendre à deux
comme elle ! comme cette petite pute ! Ouaoh ! Elle est bouillante ce soir.
Je tiens ma queue dressée dune main ferme pour lui faciliter la pénétration. Accroupi et cramponné au dossier du canapé, elle glisse sur mon gland, mais ne sempale pas comme je lattendais. Elle se frotte la fente, insiste un peu sur lentrée du vagin, et aventure son anus. Damien, permissif, déplace la table du salon, pour suivre la scène sur lécran de sa caméra. Nous jouons avec la limite et cest terriblement excitant. Elle me regarde droit dans les yeux, se nourrit des émotions quelle génère à chaque mouvement, à chaque pression plus forte. Je sens « linterdit » souvrir, en même temps que souvre sa bouche. Jai limpression que mon gland est passé. Damien ressert son plan et laisse échapper un « putain cest beau » à peine audible mais signifiant.
Il suffirait que jatt Aline par les hanches, et que je la tire, sec, vers le bas, en allant à sa rencontre, pour menfoncer complétement au fond de son cul. Mon sexe trempé de ses caresses gluantes ne rencontrerait aucune résistance. La tentation est forte, et je suis en pleine confusion. Je me demande si cest une épreuve quelle minflige, pour tester ma volonté face à la chair, et par extension, face à Manon. Ou une volonté complice quils partagent, et quil mettent, enfin, à exécution ? physique et mentale ! totale !
Soudain, Damien apparaît debout, derrière Aline, et avant de pouvoir formuler la moindre pensée, appuis fermement sur les reins de sa femme, comme je voulais le faire quelques secondes plutôt. La surprise nen demeure pas moins totale, et nous la laissons séchapper tous les deux en cur, bruyamment.
Cest violent de plaisir. Nous restons figés, agrippés lun à lautre, pour laisser passer la vague, mais très vite, Aline cherche ma bouche et membrasse avec une passion débordante, comme sa langue. Damien est-il témoin ?
Cette diablesse en rajoute en se penchant en arrière, pour mintroduire encore plus profond, et me souder à elle.
Damien à repris sa caméra, film lévénement, et commente ;
- Ça y est ma chérie ! Il est au fond de ton cul, en entier. Aline se penche en avant, pose sa tête sur mon épaule, et de sa voix douceur lubrique, murmure;
- Taime menculer ?
- Putain oui ! Ça sort du cur.
Dans sa bouche, ce mot nest pas avili comme dans la bouche de Laure, et ne déclenche pas les mêmes émotions. Si jencule Laure pour en jouir bestialement, égoïstement, ici, je me donne à elle pour la regarder jouir. Elle me chavire de sa détresse.
Son va et viens me ménage. Elle ralentit le temps pour mieux me sentir, aller et venir en elle. Dune main légère, elle me caresse la joue, bouche entrouverte et haletante, et moffre son regard, comme elle moffre son cul. Je plonge dedans, bouleversé. Elle me domine, et pourtant, je me sens libre comme jamais.
Alors que je voudrais que ça dure toujours, je la sens remonter, tout doucement, et me libérer.
- Allonge toi sur le dos. Me susurre-t-elle. Je connais la suite. Damien a compris aussi, et installe la caméra sur son trépied. Lorsque Aline se repositionne sur moi, cest dans sa chatte quelle mintroduit, laissant létage à son mari.
Damien se positionne, lair grave. Il tient sa bite dune main ferme, et frotte son gland entre les fesses de sa femme. Je sens son contact contre ma queue. Puis, il sintroduit brusquement. Aline, surprise par ce manque de délicatesse, se cabre exorbitée, en râlant. Damien enchaine, et la pistonne sans retenue. Aline a perdu le contrôle et hurle de plaisir. Enfin, je crois ? Damien est plus sauvage que dhabitude, et je me demande si davoir vu, pour la première fois, sa femme se faire sodomiser par quelquun dautre que lui, nest pas en train de lui monter au cerveau.
Il latt par les cheveux, lui tire la tête en arrière sans douceur, et lui lâche, mâchoire verrouillée ;
- Tu sens comme je te baise ? Ça glisse tout seul, jusquaux couilles !
Sous ses coups de butoir, Aline essaie darticuler quelque chose, mais ne parvient quà râler.
- Tu le voulais dans ton cul, hein ? Sous mes yeux ! Tu voulais que je te voie céder !
- Nan ! cest pour toi ! pour toi ! Hurle-t-elle.
Quelle menteuse ! Ce nest pas ce que jai vu dans ses yeux. Cest à moi quelle sest donnée. Damien a dû sen rendre compte pendant quelle se frottait dangereusement sur moi. Dépassé par lenvie de sa femme, craignant dêtre hors-jeu, il a précipité ce qui devait arriver, pour garder un contrôle devenu illusoire. Maintenant, son excitation est empreinte dun désir de punition et de revanche.
La cadence est infernale. Je cramponne Aline pour quelle reste en place sur moi, tellement Damien tape fort. Elle enfouit sa tête sur mon épaule et je sens sa bouche dabord, comme une ventouse, puis ses dents senfoncer dans ma chair, sans grande retenue. Elle me fait mal, mais lendorphine me couvre. Je ne sais pas ce qui mexcite le plus. Damien qui lencule comme un acharné ? Elle qui me mord de plaisir, pour me marquer ? Ou dêtre le matelas de leur règlement de comptes ?
Aline relève la tête, bouche grande ouverte, la bave aux lèvres, et plante à nouveau ses yeux dans les miens. Elle reste figée quelques secondes, cherchant une respiration, et finit par lâcher ;
- Je vais jouir ! Elle sest retenue pour ne pas le hurler, mais nous lavons entendu tous les deux, et stimulé par cet aveu, nous donnons tout ce quil nous reste. Enfin, surtout Damien. Ma position ne me permet pas beaucoup de latitude, et je mévertue surtout à ne pas déconner.
Damien a la rage. Je ne lai jamais vue comme ça. Il la baise comme sil voulait la rassasier pour le reste de sa vie. Aline bave sur ma joue. Je la sens aussi lécher mon visage comme une damnée.
Je jouis le premier, trop de pression. Aline me suit, bruyamment, aussitôt quelle sent que je me répands en elle. Électrocuté par la jouissance de sa femme, Damien nous rejoint dans de grands râles, limites flippants, et se laisse tomber sur Aline.
Jai deux poids morts sur moi.
Lorsque Damien finit par se retirer, je me sens plus léger, malgré Aline qui reste sur moi encore sonné. Il reprend sa caméra, att une serviette, puis nous filme plan large, avant de resserrer sur le cul dAline toujours enconné. Double creampie ! Il ne rate pas loccasion. Aline tourne son visage contre le mien et me dit encore ivre ;
- Je coule. Et je réponds ;
- Oui, je sens.
- Et moi je vois ! Rajoute Damien. Tiens, ma chérie. Retire-toi doucement, mais reste au-dessus.
Aline, pas encore remise, sexécute de mauvaise grâce. Je la sens glisser, et ma queue retombe sur mon ventre en faisant un bruit humide. Puis je sens quelle se déverse sur moi, ça coule sur mon ventre.
- Pourquoi cest moi qui prends tout ? Cest vrai quoi, je suis poilu moi ! Le sperme dans les poils, cest chiant.
Ma protestation fait rire Aline. Un rire un peu nerveux dû à livresse des sens. Du coup, elle se laisse retomber sur mon ventre et toujours en riant, ondule du bassin pour bien étaler nos semences.
- Arrête putain ! Si tu continues, on va rester collé ! Son rire est communicatif. Damien se marre aussi.
Lorsquelle se calme un peu, Damien lui tend la serviette.
- Tient ma chérie, cest bon pour moi. Puis il pose la caméra et sassoit à sa place de départ, pendant quAline se met accroupie entre nous deux, la serviette sous les fesses.
- Vous mavez bien remplis les garçons. Dit-elle heureuse. Et, sadressant à Damien. Quest-ce qui ta pris mon chéri ? Tu mas littéralement empalé sur Joey. Tu nous as s à la sodomie.
- Tu ten plaint ?
- Non, mais ça métonnes.
Elle ment encore ! Coller mon gland contre son anus revenait à dire à son mari voyeur : taimerais pas me voir me faire enculer ? Regarde ! Cétait de la pure provocation. Et Damien nest pas dupe.
- Arrête ! Ten mourrai denvie, cétait presque un fait accompli.
- Cest vrai, il a raison. Dis-je par solidarité masculine, et aussi parce que son sens va dans le mien.
- Cest vrai. Répond-elle coquine. Quest-ce que cétait bon. Jai cru mourir plusieurs fois. Tu ne mavais jamais baisé avec autant de
hargne.
La suite de la soirée se fait plus douce. Nous grignotons un peu, pour reprendre des forces, et passons à la salle de bains pour nous rafraichir. Puis retour dans le canapé devant un autre porno, plus sage, devant lequel nous baisouillons. Pendant quAline suce Damien du bout des lèvres, je moccupe de sa chatte et la lèche en douceur. Des caresses qui durent peut-être une demi-heure avant que le feu ne reprenne. Jai envie de la prendre en missionnaire, sous les yeux de Damien, et je me sers sans demander. Aline se donne, lascive. Damien caresse son visage. Je prends mon temps, tendrement, et fais durer le plaisir. Jembrasse Aline, à pleine bouche. Je profite.
Nous jouissons de moindre intensité, mais il se dégage plus de tendresse. Lorsque je me retire, elle reste allongée, jambes ouvertes, et Damien sagenouille à côté delle pour embrasser son ventre. Jatt la caméra. Elle pose une main sur sa tête, en signe dencouragement, puis le pousse lentement vers son sexe souillé. Damien noppose aucune résistance. De ses mains, il ouvre sa chatte et la lèche sans dégoût, jusquà la source. Cest la première fois que je les vois faire ça, et à bien les regarder, je pense même que cest la première fois quils font ça. Aline est partie pour jouir encore une fois. De voir et de sentir son mari affamé du sperme dun autre sécoulant de sa chatte, la propulse dans un état second inédit.
- Ça te plais ? Demande-t-elle avec une émotion partager entre lamour, lexcitation, et une pointe de mépris.
Damien gémit longuement, sans décoller sa bouche, en guise de soumission à sa propre gourmandise.
- Alors lèche, mon amour ! Lèche plus profond !
Je zoome sur le visage dAline. Sa bouche est entrouverte, et sa langue, entre ses dents, semble lécher une chatte invisible. Elle mime la caresse de Damien. Cest son regard qui me fascine le plus. Elle prend conscience quelle est en train de lui faire nettoyer sa chatte avec la langue, et quil se soumet avec gratitude. Elle a des larmes dans les yeux.
Quand elle jouit, elle se cabre et soulève haut son bassin, en maintenant la bouche de Damien collé à son sexe. Puis, lorsquelle retombe et le repousse, il se redresse et jouis à son tour, sur son ventre et sur ses seins, en râlant comme un animal.
Quand il voit que je tiens la caméra, il me dit, soulagé entre deux souffle ;
- Cool ! tas filmé ça.
Je ne reste pas longtemps après ça. Jai joui trois fois et je me sens sur les rotules. Une fois rentré chez moi, je me déshabille fissa et plonge dans mon lit, heureux et détendu. Je pense à Aline, aux premières fois de ce soir. Il ne reste que deux règles à enfreindre, et les deux sont extrêmement liées : lembrasser hors contrat, et faire lamour sans Damien. Je me demande sil serait raisonnable denfreindre ces deux-là. Et puis, quelque chose me gêne. Jai senti une faille dans leur complicité. Un glissement. Aline a eu ce quelle voulait en forçant le vice de son mari, créant un nouveau rapport de force que je ne suis pas sûr dapprécier au final. Leur changement de rôle transforme le mien, et nous propulse dans un nouveau jeu : celui du cocu soumis. Peut-être ai-je tort. Peut-être est-ce mon propre fantasme et quil me fait peur ? Une chose est sure, cette relation que je croyais détaché de toute contrainte, de toute prise de tête, évolue malgré les règles sensées éviter les surprises, quelles soient bonnes ou mauvaises.
Mais pouvons-nous respecter les règles que nous nous fixons dans le sexe ? Où ne sont-elles que des jalons que nous plantons, pour mieux les dépasser ? Je mendors, prétentieux et souriant.
Soudain, lhorrible sonnerie électronique vintage de mon interphone marrache brutalement de mon sommeil. Un seau deau glacée aurait fait le même effet. Jai le palpitant qui cogne à mes oreilles, et ladrénaline me propulse maladroitement hors de mon lit. Jai déjà entendu des alarmes plus câlines. Tant que je naurai pas décroché, son onde sonore qui enfle, se propagera jusquà réveiller mes voisins. Dans la pénombre, je sors de ma chambre faussement réveillé, et me prends les pieds dans mon sac, qui traine dans le salon. Je me récupère contre le montant de la porte du couloir, et tâtonne à lopposé, pour décrocher. Le combiné me glisse des mains, évidemment, et rebondit comme un yo-yo au bout de son fil ressort, et claque contre le mur. Quelques seconds dénervement à essayer de lattr dans le noir, et je lâche dans le micro ;
- Putain ! Quest-ce que cest ?
- Cest moi mon dJo, ouvre, jai un problème.
Manon ! Je regarde lheure dans le salon. Il est presque 3 heures du matin. Sans pouvoir encore vraiment réfléchir, jenfonce le bouton, entend la porte qui souvre, et raccroche le combiné qui méchappe à nouveau, et refait le coup du yo-yo. Jallume ma lampe tube et enfile mon pantalon et un gilet qui traine. Quest-ce quil lui arrive ? À cette heure, elle devrait être chez sa copine en train de pioncer après sa soirée cyprine à volonté. Lorsque jouvre la porte deux minutes plus tard, elle nest pas seule. Elle soutient contre elle une fille de son âge, une de ses amies de sa soirée pyjama. La fille semble un peu dans les vapes, le regard au sol et les cheveux dépeignés. Japerçois des traces de larmes séchées sur ses joues et un vestige de maquillage.
- Cest Solène, une copine. Me dit-elle. Tu peux nous laisser finir la nuit chez toi ? On est complètement crevés, et un peu saoules aussi.
- Sans déconner !? Jironise. Autant dire que je suis méfiant. Je sonde Manon. Cherche larnaque. Elle aussi est maquillée. Noir aux yeux, fard à paupière bleu nuit légèrement pailleté, gloss fraise Tagada, et quelques paillettes jusque dans les cheveux. Toutes les deux sont en robe sous leur gros manteau dhivers. Pour ce qui est des jambes, ma main au feu que ce sont des bas. Si Manon a lair intact, ce nest pas le cas de Solène. Je jurerai quelle sest battue, ou plutôt, quelle sest fait battre. Je les autorise à entrer, toujours pas sûr que ce soit une bonne idée.
- Oh merci mon dJo. Tu peux pas savoir la galère.
- Pas sûr de vouloir savoir. Lui répondis-je la mâchoire serrée.
- On ne pouvait pas rentrer chez nous à cette heure, et dans cette tenue, dans cet état. Timagines la tronche de nos parents ?
- Les veinards.
- Il ny avait que toi qui
Je lempêche de tartiner
- Cest bon, jai compris, crache le morceau !
- Même la nuit tes grincheux ? La petite salope samuse. Elle croit que jai encore 20 ans ou quoi ? Elle sait que je viens de passer la soirée à baiser avec ses parents et que jai besoin de récupérer.
- Vas-y, raconte ! Que lon puisse se coucher. Demain, je me lève tôt.
- Cest quoi « tôt » dans ta relativité ? Elle magace davoir raison. En ce moment, me lever tôt, cest avant midi. Ou au pire avant 14 heures.
- Aller ! Crache !
- Ok. Notre soirée pyjama a dérapé.
- Nooon !? Jironise encore.
- On était chez Sandrine, enfin, chez les parents de Sandrine absent pour le weekend. La soirée était plutôt chaude.
- Jimagine.
- Sandrine était en train de tester son double gode, quelle venait dacheter, sur Solène pendant que je moccupais de son cul à grand coup de
- Ah non hein ! Pas de détails !
-
Ok ! Ok ! Bref, Solène prenait grave son pied, dautant plus que Sandrine lui léchait aussi le
- Pas de détail jai dit !
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Donc, Solène était au bord de lorgasme, et en règle générale, avant lexplosion, il faut toujours quelle lâche une phrase genre, « Putain tu me défonce bien » ou « Argh ! Tu me fais jouir comme une chienne ». Cest plus fort quelle. Mais cette fois, cette andouille en plein extase, lâche à Sandrine, droit dans les yeux : « Tu me baises mieux que ton mec ! ».
Je reste coi, pas certain davoir bien suivi la logique de son histoire. Dautant plus quelle semble arrivée au bout, et que lévidence semble pouvoir se passer de la suite.
- Si je comprends bien, ta copine pète un plomb parce que sa copine, quelle est en train de baiser, lui balance quelle baise aussi avec son mec ?
- Oui, cest ça. Et puis gravos le pétage de plomb. Jai dû les séparer. Sandrine lavait mauvaise.
- Putain, je ne le crois pas. Pas besoin de jouer latterré, je le suis vraiment.
- Elle trop jalouse en fait. Elle ne supporte pas que son mec soit infidèle.
- Et donc, elle vous a viré de chez elle
Mais, pourquoi toi aussi ?
- Après les avoir séparé, la tension est retombé et Sandrine était à deux doigts de pardonner à Solène, quand cette cruche, croyant bien faire, lui a balancé que, de toutes façons, moi aussi je me létais envoyé.
- Évidemment
- Même pas le temps de nous changer ! Elle nous a jeté comme ça, a moitié à poil.
- Ok ! Bien ! Vous allez prendre mon pieu. Elle sourit au mot. Non pas celui-là. Moi je prends le canapé.
- Tu peux dormir avec nous, tu sais, on est trop naze pour quil tarrive quoique ce soit.
- Bien essayé ! Allez ! Au lit. Elle ne parle pas ta copine ?
- Seulement avant lorgasme.
Chez moi, le canapé nest pas convertible, mais reste très confortable. Un oreiller et une couverture suffissent à mon bonheur pour pouvoir replonger presto dans les bras de Morphée. En attendant de sombrer, je me demande si les femmes ne deviennent pas macho avec le temps. Genre, je tringle tout ce qui passe pendant que bonhomme reste à la maison à soccuper des gosses. Ce serait un drôle de retournement. Comme ces mecs qui traquent des salopes pour pouvoir les baiser par tous les trous, et faire des choses quils ne se permettraient pas avec leur femme. Ça existe ! Jen ai rencontré quelques un dans ma jeunesse, qui ne se faisait pas faire de pipe par leur propre femme, genre : « Tes fou ! Cest la bouche qui embrasse la tête de mes gosses ». Et je ne parle même pas de la sodomie. Des crétins archaïques qui divisent les femmes en deux catégories. Les mères sacralisées dun côté, et les putes, les salopes, les puent la pisse de lautre. Les puent la pisse ! Quun vieux beauf vienne te raconter ça, et tu te dis quon ne peut plus rien pour lui. Que de toute façon, il est en fin de course et que cest mieux ainsi. Par contre, quand ça sort de la bouche dun de tes potes de ton âge, tu te sens sur une autre planète. Est-ce que les femmes vont devenir comme ça ? Lidée me fait frémir.
Où sont les femmes ? Avec leurs gestes pleins de charmes. Comment cétait le mec qui chantait ça déjà ? Patrick Juvin ! Ouais, cest ça. Le disco, les années 70. Presque 80 même. Jaurai aimé être ados dans les années 70 plutôt que 80. Pas la même saveur quand même
En fait
Je nen sais rien.
Porté par des pensées en cascades hypnotiques, je me sens sombré, léger comme une plume qui dégringole longtemps. Hélas, je ne toucherai pas le fond. Ça glousse dans ma chambre. Ça rigole aussi. Cest con, mais je guette les premiers gémissements et du coup, reste éveillé. Et ça ne loupe pas. Cest deux petites salopes sont en train de se frotter dans mon lit. Je change de côté et me cache la tête sous loreiller. Merde ! Je bande et les maudit. La nuit risque dêtre longue pour moi.
Évidemment, jai envie de les rejoindre. Sans déconner ! Déjà que la tentation de Manon est forte, mais là, le piège est double. Elle est plutôt pas mal la petite Solène. Pas aussi fatale que Manon, mais un physique similaire et un joli visage. Brune, cheveux longs. Petite bouche, mais charnue. Du peu que jai vu, un beau petit cul. Je pense au double gode. Déjà, à son âge ? Je ne me souviens pas davoir été si précoce quand jétais jeune. Putain ! Deux petites beautés prêtes à se transformer en super nova, a portée de bite, là, dans mon lit ! Cest inhumain.
Je dégage une oreille que je nai pas besoin de tendre. Ça gémit fort, très fort à côté. Et je pense à mes voisins. Demain, ou plutôt tout à lheure, exfiltration en toute discrétion des deux petites salopes. Je nai pas peur pour ma réputation, mais les rumeurs vont si vite à enfler. Ça se calme, enfin. Jai la trique. Une bonne branlette pour redescendre dun autre niveau de conscience, et puis dodo. Je mastique depuis à peine une minute, quand la porte de la chambre souvre sans prévenir, laissant pénétré dans le salon de la lumière et Manon, nue. Faudrait pas quelle me touche. Je pense à sa mère. À la discussion que nous avons eue plus tôt pour faire descendre la pression. Mais seules des images de ma queue dans sa bouche, ou de sa chatte soffrant à moi me reviennent. Je croise les doigts, doutant de mon abnégation.
Manon cherche son sac à dos.
- Ah ! Le voilà. Elle fouille dedans et en sort son gode ceinture. Jai pas eu le temps de lessayer du coup. Me dit-elle en le secouant dune main. Je la vois nue pour la première fois soulignée en contrejour par la lumière de la chambre. Elle est encore plus belle que je ne me limaginais. Sa poitrine est plutôt petite, mais ses seins semblent parfaitement dessinés, et ponctués de deux tétons foncés. La ligne de son ventre légèrement musclé, et son mont de Vénus se perd dans lombre adoucie de sa pilosité. Cest une .
- Casse-toi ! Lui lancé-je en même temps que mon oreiller. Elle esquive en rigolant et referme la porte. Je crains le pire maintenant. Vu la taille de lengin, ça va hurler à côté. Il ny a plus quune solution pour moi : fuir !
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