Deuxième Fois Réussie
Je reçus un mail dAndré quelques jours plus tard, il avait aimé, me dit-il, et souhaitait recommencer.
Nous nous sommes fixé rendez-vous un jour où madame était de sortie. Heureusement pour nous, la chère femme avait de nombreuses amies toutes prêtes à folâtrer avec elle, ce qui me laissait penser quAndré devait trouver le temps bien long auprès de cette absente.
Il ma fait rentrer dans le salon et, comme la dernière fois, nous avons de nouveau bavardé avant que je prenne les devants en mexhibant dans le plus simple appareil devant lui.
Cette fois, je ne voulais pas en rester là et je me suis donc approché de lui, jai tiré sur les côtés de son pantalon de jogging afin de le faire descendre. Je voyais son membre gonflé qui ne demandait quà prendre lair, ce que je fis sans demander son avis à André
qui me le donna tout de même en me permettant de descendre le slip jusquaux genoux.
Je pris son sexe entre mes doigts, document, descendant le long de la hampe puis remontant. Je jouais avec son gland en passant doucement mon pouce puis, sans prévenir, jy posais mes lèvres.
Avec la langue jeffectuais de petits cercles autour du méat, menhardissant un peu en étendant mon investigation jusquà prendre le gland tout entier entre mes lèvres. Mes mains allaient et venaient sur la fragile peau, petit à petit jenfonçais ce membre dans ma bouche jusquà le prendre tout entier. Mes caresses étaient efficaces car André commença à gémir, son bassin bougea document puis plus franchement, comme sil pénétrait un sexe de femme. Les mouvements saccéléraient, il gémissait de plus belle jusquà sortir dun coup de ma bouche et minonder le visage de sperme. Il ne devait pas jouir tous les jours daprès le volume quil expulsa !
Je me suis essuyé le visage et jen ai fait de même pour son sexe. Sa respiration redevenait normale, il me sourit en me remerciant.
- Tu as déjà baisé un homme, demandais-je ?
- Jamais.
- Tu aimerais ?
- Oui.
- Moi ?
- Oui.
- La prochaine fois je te donnerai mes fesses si tu en as envie, jamènerai ce quil faut.
La fois prochaine arriva quelques semaines plus tard, lorsque madame partit en excursion avec ses copines.
Me voici de nouveau devant la porte, toujours le même rituel, le salon, le bavardage et à poil !
Cette fois il y avait une variante car javais posé des préservatifs et du lubrifiant sur la table.
- Tu as déjà sodomisé une femme ?
- Non.
- Et
un homme ?
- Pas encore. Et toi, tu les souvent ?
- Parfois, répondis-je avec un sourire.
Jai entrepris de le dévêtir entièrement et jai commencé à maffairer sur son sexe de la bouche et des mains jusquà lamener à une érection satisfaisante.
- Quelle position veux-tu, demandais-je ?
- Nimporte, tiens, en levrette.
Je lui ai tendu le lubrifiant ainsi quun préservatif et je me suis mis en position, fesses bien tendues vers lui, raie à disposition.
- Tu vas y arriver ?
Il ne répondit pas mais déjà je sentais le froid du lubrifiant sur ma rosette.
- Tu peux y aller, nhésite pas, tartine, ce sera plus facile. Ecarte avec tes doigts.
Un doigt ne se fit pas prier pour passer la barrière, doucement mais fermement. Il fit quelques allers retours qui me firent gémir. Il senhardissait et un deuxième doigt rejoignit le premier puis un troisième. Je me sentais ouvert par cet homme qui allait découvrir le plaisir denculer un homme.
Quand il considéra que lorifice était assez ouvert, il arrêta. Je lentendis défaire un préservatif puis le bruit caractéristique de la capote quon place sur un sexe au garde à vous.
Il se positionna derrière moi, plaça son gland sur mon trou et, me prenant aux hanches, pénétra doucement mais surement jusquà ce que je sente les poils de son pubis sur mes fesses. Il commença alors ses va et vient, lentement, profondément, marrachant un soupir à chaque pénétration.
Il me pilonna longtemps, cest cela lavantage avec les mecs murs
quand ils arrivent à bander ! Il se raidit dun coup et poussa un cri, il venait de jouir en moi.
Il se retira, me caressa les fesses et enleva le préservatif.
- Hm, tu as un bon cul !
Après une rapide toilette intime je me retrouvais devant lui, comme un collégien qui vient de passer un examen.
- On remet ça quand tu veux, me dit-il en souriant.
Il avait une soudaine assurance que je ne lui connaissais pas. Les prochaines fois seraient sans doute plus chaudes !
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