Le Voisin 8
LE VOISIN 8
Au matin, après une nuit assez difficile, jétais bien décidé à reprendre les choses en main.
Que ma femme se comporte comme une belle salope, ça je lavais bien cherché et nétait pas pour me déplaire.
Mais que cela soit notre voisin qui en prenne le contrôle et en plus sans mon consentement, ça par contre, je ne lacceptais pas et comptait bien mettre fin à cet avantage.
Le plus dur pour moi était de comprendre pourquoi ma femme se laissait ainsi faire, en trahissant notre amour et ma confiance, se donnant si facilement à ce parfait inconnu et même à son pote pour subir les pires outrages et les plus odieuses perversions.
Le plaisir quelle avait ressentie avec ses hommes me déconcertait, je ne la reconnaissais plus, comment la femme que jaime pouvait elle être aussi libérée de tout tabous, exprimant des jouissances extraordinaires et inimaginables pour le commun des hommes.
Non, cela ne pouvait plus durer, jétais bien décidé à reprendre la main
Comme chaque matin, ma femme était radieuse et se comportait comme si de rien nétait, cétait surprenant et bizarre à la fois
Elle qui était si honnête et qui maimait sincèrement, comment pouvait elle me mentir et me trahir à ce point, quavait elle à cacher, subissait elle un quelque conque chantage, avait elle peur de quelque chose ou de quelquun ?
Je la regardais boire son café matinal et déguster ses tartines beurrées, son beau visage ne laissait rien paraître de sa capacité à la débauche, elle était toujours aussi belle et désirable et jen étais toujours autant amoureux.
- Chérie
tu me le dirais si quelque chose nallait pas ?
- Quoi ? Que veux-tu dire par là ?
- Et bien si tu avais des soucis ou des ennuis
- Mais non voyons, que va tu chercher là
pourquoi jaurais des soucis
- Je ne sais pas vraiment, mais par exemple si quelquun te forçait à faire ou subir des choses contre ta volonté
Elle a rougi fortement et a pris le temps de la réflexion.
- Pourquoi voudrait tu que quelquun me force à quoi que ce soit
- Ok, mais si cétait le cas, sache que je taime et que je suis là pour toi
- Merci mon chéri, mais tu peux être rassuré
il ny a rien de grave, sinon je te laurais dit
Son regard était curieusement sincère mais attristé, elle semblait plutôt cherché à me protéger en me tenant à lécart de je ne sait quoi, ou plutôt si, je savais
mais pas dans les détails.
Sa réponse il ny a rien de grave , voulait tout dire.
Il ny a rien de grave mais il y a quelque chose tout de même, il me fallait lire entre les mots pour décrypter le vrai message, était-ce un appel à laide ou alors une manière de me tenir à lécart.
Dans le premier cas, je me devais dintervenir rapidement, mais dans lautre, je me devais de respecter ses désirs et la laisser poursuivre son initiation malgré tout ce quil men coutera, de jalousie et de douleur.
Jétais moi-même coincé, si jinsistais dans mes questions elle finirait par découvrir que je lai espionné à son insu, cest là aussi une terrible trahison et un manque de confiance impardonnable.
Face à elle je devais feindre lignorance de sa débauche et il me fallait donc trouver un moyen de lui faire avouer sa faute ou de la découvrir par surprise au détour dun pur hasard.
Mais bon en attendant il nous fallait partir au travail pour ce dernier jour de la semaine avant un repos bien mérité qui me permettra de me remettre les idées en place et délaborer un plan dattaque en bonne et du forme.
Jai embrassé ma femme tendrement tout en lui caressant les fesses, façon amoureuse de lui souhaiter une bonne journée et le la rassurer sur mes éventuelles suspicions.
- A ce soir ma chérie, je taime.
- Moi aussi je taime très fort, à ce soir mon amour.
La journée a défilé très vite, rongé par ma jalousie et mes pensées perverses cest avec une certaine fatigue mentale que je suis rentré chez nous pour le weekend.
Ma femme est rentrée à son tour et à tout de suite ressentie mon mal être
- Et bien mon chérie, tu as lair tout patraque, tu nes pas malade ?
- Non
heu, se sais pas
jai besoin de calme, ma tête est embrouillée.
Elle prit un verre deau et me le tendit avec un cachet pour la migraine
- Tient prend ça, ça va te calmer, je vois que tu ne va pas bien, surtout que javais envie de sortit ce soir mais tu ne voudras surement pas, vu ton état ?
- Sortir où et pour quoi faire ?
- En fait
tu vas trouver cela louche, mais
. Cest notre voisin, tu sais
bon, en fait il veut nous remercier et nous inviter au restaurant, mais il nosait pas te le demander directement.
Nous y voilà, et en plus ils se foutent de ma gueule
jai senti une franche colère me monter aux tempes et mon regard ne devait pas transmettre de lamitié, heureusement ma raison a vite repris le dessus.
- A bon, il na pas osé venir me le demander ?
. Pourtant pour te bais
heu, pour te le demander à toi, là il na pas eu de réticences.
- Cest que nous nous sommes croisés par hasard, devant limmeuble et nous avons parlé deux minutes, il ne savait pas comment te remercier pour
enfin tu sais bien quoi
- Si je sais, bien sur que je sais, il ne manque vraiment pas de
non, rien je vois que cela semble te faire plaisir, je me trompe ?
- Ben... oui, heu non
enfin je crois que oui
Je la regardais fixement, elle était là comme une petite fille piégée, ses yeux mimplorant daccepter ce rencart, je découvrais dun seul coup que ma femme en redemandait, quelle ferait tout pour le retrouver, pour quil la baise de nouveau avec ou sans moi.
Les rendez vous en cachette deux fois par semaine ne lui suffisait plus, elle avait envie dautre chose, de plus de liberté et cette invitation au restaurant était le début dune nouvelle vie pour nous.
Jai compris que quoi que je fasse, elle resterait malheureuse si je ne la laissais pas faire, au risque de la perdre il valait mieux que je participe le plus possible seul moyen pour moi de garder un minimum de contrôle sur la situation.
Tous mes plans sont donc tombés à leau en quelques secondes, décidé que jétais à reprendre la main et bien là je venais de la perdre définitivement, ça mapprendra à sous estimer mon adversaire.
- Ecoute ma chérie, si cela te fais plaisir et bien jaccepte son invitation
- Tu es un amour, je taime, comment veut tu que je mhabille ?
- Et lui, comme aimerait til que tu thabille ?
- Heu, surement
sexy et
désirable
- Et bien fait lui plaisir, allume le au maximum, laisse toi aller
- Tu es sur, tu ne men voudras pas ?
Elle était excitée comme une petite écolière qui va faire sa première sortie, son amant lavait apprivoisé bien malgré moi et elle était carrément en manque.
Elle est partie dans la chambre pour se faire belle et désirable pour cet homme, certes avec mon accord mais cétait vraiment pour lui quelle se préparait.
Là encore, malgré ma jalousie, mes craintes et la trahison de ma femme, malgré ma perte de contrôle et ma vive douleur, je me sentais de nouveau submergé par cette ignoble et dégradante excitation qui me titillait le bas du ventre.
Mon esprit se délectait de toutes les excuses possibles pour admettre ma cocufication en règle.
- ( Après tout, tu la bien cherché, cest toi qui as poussé ta femme dans les bras de ce salaud, cest toi qui lui a façonné tous ses fantasmes, toi qui lui a fait découvrir les plaisirs de la chair.
- Cest bien toi qui a organisé sa soirée surprise, la piégeant pour quelle accepte toutes tes perversions, tu voulais la dominer et loffrir à un autre, non ?
- Cest bien toi qui la tenue fermement pendant quil lui introduisait sa grosse bite dans la chatte, cétait bien toi, non ?
- Tu as voulu jouer alors que tu en connaissais les risques, alors maintenant tu assume
)
Mon esprit était plus cartésien que mon cur, mais en tout cela il avait raison, jai joué avec le feu et à partir de maintenant je savais que jallais délicieusement me bruler.
Je fus sorti de mes pensées par le retour de ma femme dans notre salon, je suis resté sans voix tellement elle était excitante et troublante de beauté, sexuellement irrésistible elle allait nous faire bander toute la soirée, moi et son amant bien sur.
- Putain
que tes belle, heu
excuse moi, ça ma échappé
- Ca fait rien cétait sincère, donc je te plais... et lui tu crois que cela va lui plaire
Jai soudain réalisé que ma femme était plus intuitive que je ne le pensais, elle avait bien compris comment jouer avec ma jalousie pour mexciter encore plus, elle flirtait vicieusement avec lhumiliation que je pouvais ressentir lorsquelle me parlait de son amant.
En me demandant si sa tenue allait plaire à ce mec, celui qui la baisé devant moi, elle appuyait là ou sa fait mal tout en attisant la flamme du désir, elle savait très bien que cela mexcitait autant que cela pouvait me faire mal.
- Alors, mon amour, tu crois que je vais lui plaire ?... allez dit moi
- Non
tu ne vas pas lui plaire
tu vas le rendre fou, il ne pourra pas tenir bien longtemps sans avoir envie
de te baiser de nouveau, cest ça que tu veux ?
Elle ma regardé en souriant et avec beaucoup de malice
- Je ny pensais pas, mais maintenant que tu le dit
.pourquoi pas
.ça te fera surement plaisir de nous regarder, non ?
- Hum
peut être, ça dépendra de lambiance
- Allez vient, nous allons être en retard
il nous attend
Tout avait été réglé entre eux comme du papier à musique, car effectivement il nous attendait en bas de chez nous au volant de sa voiture.
Ma femme, sest directement installer devant à ses cotés sans me laisser dautre choix que les places arrières, là encore elle minfligeait une douce humiliation
- Bonsoir monsieur
Notre voisin me saluait en me regardant dans le rétroviseur, sans même se retourner
- Cest sympa davoir accepté mon invitation, vous nallez pas le regretter
- Oui, je lespère
- Voyons mon chéri, tu as encore mal à la tête ou ça vas un peu mieux ?
- Ca va mieux, ne vous inquiétez pas pour moi, faite comme si
La voiture a démarré et nous sommes partis, traversant toute la banlieue nous nous sommes dirigés vers les quartiers chauds du centre ville, quartiers animés la nuit où se mêlent les fêtards, les allumé et les excités en tout genre.
Je navais jamais osé emmener ma femme dans ces lieux pas très rassurants, la nuit seules les femmes de petite vertu et les libertines y déambulaient, beaucoup dhommes et assez peu de femmes dans ces endroits particuliers.
Avec tout ça, je navais même pas remarqué que notre voisin posait sa main sur la cuisse dénudée de ma femme entre chaque passage de vitesses, il avait surement relevé sa petite robe sans que je men aperçoive, en tout cas elle le laissait bien faire
A chaque fois quil changeait une vitesse, il me jetait un il dans le rétro intérieur tout en posant sa main sur la chair tiède de mon épouse, il caressait alors doucement sa cuisse de haut en bas, remontant le léger tissu de plus en plus haut jusqu'à venir frôler la fine dentelle de sa petite culotte que lon commençais à apercevoir.
Mon cur battait de plus en plus fort, le regard malicieux de cet homme qui se permettait de caresser ma femme sous mon regard, lui aussi avait compris à quel point cela mexcitait.
Ma femme quant à elle, se laissait faire les yeux mis clos, tête en arrière elle appréciait grandement les caresses que sont amant lui prodiguait outrageusement.
Appuyant son regard dans le mien, notre chauffeur me dit :
- Votre femme est vraiment très belle, nous avons bien de la chance
- Oui
.heu
.oui, elle est
très belle
Jétais désarçonné par tant de malice, ce coté sans gène et délicieusement pervers me nouait le ventre
Mais je vois que jai oublié de vous décrire la tenue de ma femme, elle avait mis une petite jupe portefeuille fleurie, vaporeuse et très courte à mit cuisses.
Le tissu léger épousait ses courbes harmonieuses et dansait au moindre de ses mouvements pour le plaisir de nos regards coquins, pour le haut elle avait un chemisier blanc décolleté et boutonné devant qui métait sa belle poitrine en valeur.
En fins connaisseurs, ont pouvait entrevoir la jolie dentelle de son soutien-gorge, modèle blanc écru, chic et raffiné qui ne manquera surement pas dattirer le regard des hommes.
Dailleurs ce détail na pas manqué à notre pilote qui est venu frôler de ses doigts les boutons du chemisier un peu trop tendu
- Cest dommage de cacher de si jolies choses
libéré un peu votre poitrine, vous avez du mal à respirer
Message élégant mais néanmoins explicite, ma femme a bien compris ce quil voulait dire et sest aussitôt exécutée.
Elle a ouvert un puis deux boutons pour laisser découvrir un peu plus ses dessous
- Encore un peu, laissez nous en voir plus
encore plus, oui comme ça, cest bien
Quatre boutons avait cédé aux désirs de son amant, le décolleté bien ouvert laissait maintenant voir presque en totalité les deux globes ceinturés de fine dentelle, limage était très érotique à la limite de la décence mais néanmoins encore acceptable.
Je découvrais du même coup lévidente soumission de ma femme envers cet homme, même en ma présence elle lui obéissait très docilement
Moi qui avais mis tant dannées à la façonner et à lapprivoiser, alors que lui, en deux temps trois mouvements avait su tirer partie de se long dressage, abusant sans vergogne de ce qui ne lui appartenait pas.
Entre temps, jai vu sa main se poser sur lentre cuisses légèrement ouvertes de notre belle soumise, dune légère pression il lui a fait comprendre quil fallait les ouvrir plus, oui, encore plus, libérant le passage pour ses doigts inquisiteurs.
Il est remonté lentement vers la petite culotte de mon épouse, de couleur écru elle aussi et qui commençais à sauréoler de moiteur au niveau de son minuscule triangle, preuve incontestable du vilain plaisir que son amant lui prodiguait sous mes yeux.
Devant mon évidente acceptation des évènements, son amant a glissé un doigt sous la fine dentelle, libérant un profond soupir que ma femme na pu retenir, surement au passage du doigt sur son petit bouton rose.
Chauffée comme elle létait depuis bientôt une demi-heure et avec la sensibilité légendaire de son petit appendice, il nen faudrait pas beaucoup pour libérer les foudres de la jouissance dans son corps de femme.
Mais son amant savait déjà tout cela, oubliais je quil ne lavait surement pas baisé quune seule fois
Une en ma présence, cest sur et une que jai découvert en espionnant ma femme, mais réellement combien de fois il a enfilé sa pute sans men avertir, ça jaimerai bien le découvrir.
Mais revenons à lessentiel, en amant expérimenté il savait faire monter et maintenir lexcitation dune jolie femelle sans en libérer ladrénaline finale.
Non, il voulait simplement se délecter de leffet liquoreux quil produisait à lentre jambes de la femme dun autre, satisfaction immense pour un mâle davoir ce privilège avec le consentement du véritable propriétaire.
En tirant avec son doigt sur la minuscule culotte, il fit apparaître un mont de vénus délicatement taillé, des grandes lèvres parfaitement nues et luisantes du plaisir naissant
Au centre de ces chairs délicates ont distinguais ce fameux clitoris, violacé et tendu à lextrême par lafflux sanguin pompé en rythme par le cur de ma bien aimée.
Là encore, son amant lui a glissé un ordre dissimulé
- Quel dommage de cacher une telle merveille, ce ridicule bout de tissu ne fait que gâcher notre plaisir, vous ne trouvez pas ?
Aussitôt, le bassin de ma femme sest levé et des deux mains elle a fait glisser le petit bout de tissu jusqu'à ces pieds, tel un automate elle a exhaussé le nouveau caprice de son amant.
Elle a reposé ses fesses totalement nues sur le cuir déjà chaud et a repris sa position initiale, les cuisses bien ouvertes, laissant libre champ à nos regards et aux éventuels attouchements de son amant.
Je ne le répéterais jamais assez, malgré ma jalousie et ma douleur cérébrale toujours présente, je ressentais une excitation indescriptible et un immense plaisir à voir un autre homme r de ma femme sous mon regard.
Cétait plus fort que moi, je me délectais malgré moi de cette délicieuse humiliation, il était évident pour moi quil me serait dorénavant difficile de mabstenir à de telles sensations, pour le plus grand plaisir de ma femme qui en était la principale jouisseuse.
Notre voisin se contorsionna pour ramasser le petit bout de tissu entre les jambes de madame, le roula en boule et le porta jusqu'à son visage pour le sentir.
- Vous sentez toujours aussi bon, cest irrésistible
Puis il se retourna vers moi en me tendant la minuscule dentelle
- Tenez monsieur, gardez là bien en souvenir car dorénavant je vous demanderais de lui interdire le port de choses aussi ridicules
Sans réfléchir, jai attrapé la culotte de ma femme, elle était déjà toute trempée de cyprine gluante, encore une preuve flagrante quelle était sous lemprise de ce mec.
- Si je peux me permettre un conseil monsieur, vous devriez punir votre épouse pour sa débauche, elle se laisse trop facilement faire et en plus par nimporte qui
Replongeant ses doigts dans la moiteur de lentre cuisses de sa soumise
- Regardez, dans quel état elle se trouve, on la touche à peine et elle dégouline, votre femme est vraiment en manque on ne peut pas la laisser dans un tel état, quand pensez vous ?
- Heu
oui
Ma femme ne réagissait pas et moi javalais sans rien dire le discourt humiliant et pourtant si excitant, puis il poursuivit :
- Je pense quil est temps que je vous montre comment on doit traité les petites salopes, car votre femme est une vrai petite salope, le saviez-vous ?
- Heu
.non
oui, mais
- Si, si, sen est une
allez dit lui, dit le à ton mari que tes une salope
A ces mots, jai regardé le visage de ma femme, attendant sa légitime protestation, mais là encore mon humiliation est montée dun cran.
- Oui
cest vrai, je suis
une salope
- Voilà cest bien, maintenant quil le sait, à lavenir tu ne lui cacheras plus rien, tu lui raconteras tout, cest compris !
- Oui
hummm
Ma femme venait de lâcher un petit râle de plaisir, car tout en nous parlant le salaud lui fouillait habilement la moule avec ses doigts, libérant des bruitages humides qui démontraient létat dexcitation de sa soumise.
- Cest incroyable, un petit rien la fait fondre
votre femme est vraiment irrésistible
Il savait vraiment joué avec nos fantasmes respectifs et avait parfaitement cerné nos faiblesses, maîtrisant la moindre sensation érotico émotionnelle pour nous emmener là où bon lui semblera.
Il maintenait ce délicat vouvoiement qui me raccrochait encore au respect tout en mhumiliant à chaque fois un peut plus devant ma femme, épiant mes réactions et lévident plaisir que me procurait cette descente aux enfers.
Ma femme elle avait déjà dépassé ce cap depuis longtemps, il était évident quil a pris le temps de la formater à ces attentes
Depuis cette soirée où je lui ai offert la dignité de mon épouse, il a su au fil des semaines, profiter de notre naïveté et manque dexpérience pour mettre la main sur ce qui ne lui appartenait pas.
Piégeant mon épouse qui sest laissé prendre, poussé par ma propre perversité dhomme insatisfait, elle a gouté au fruit défendu et le gouffre aux plaisirs sest ouvert sous ses pieds.
Malgré lamour quelle avait encore pour moi, son corps ne pouvait se refuser à cet amant pervers, il était en mesure dobtenir tout delle et je nallais pas tarder à découvrir que cela pouvait être sans aucune limite
Nous sommes enfin arrivé à destination, il sest garé dans une rue faiblement éclairé, la rue était presque déserte sauf quelques ombres peut rassurantes sous un ou deux porches dentrée.
Il est sorti de la voiture, en a fait le tour pour venir aider ma femme à sortir du profond siège en cuir
Dun geste langoureux elle a pivoté sur son siège pour ressortir ses jambes vers le trottoir, son décolleté était ouvert au maximum et la jupe portefeuille a dévoilé ses superbes cuisses aux regards indiscrets.
Et croyez moi, des regards indiscrets il y en avait déjà plusieurs, jappris plus tard que le quartier était réputé pour lexhibitionnisme et le libertinage.
Elle est sortie de la voiture et son amant la aussitôt plaqué contre la portière refermé, juste là devant moi et quelques silhouettes dhommes qui se rapprochaient lentement.
Il la prise par la nuque, a approché sa bouche de son beau visage et lui a introduit sa langue tout en lui relevant une cuisse avec son autre main, au passage la petite jupe à tout dévoilé aux regards de toute lassemblée.
Sa main calleuse sest faufilée le long de la chair nue, remontant sur la peau chaude et satinée pendant quil lui roulait une pelle magistrale.
Ma femme répondait à ses attouchements en ondulant vulgairement ses anches contre son amant, ses gémissements naissants étaient étouffés par la salive et la langue de son mec.
- Putain, regardez,
elle à la chatte à lair cette salope
- Quelle putain
trop bonne
Autour de nous les commentaires commençaient à se libérer sans aucune pudeur
Il a posé sa main perverse sur le sexe de ma femme, deux doigts si sont introduits profondément et sans ménagement, libérant le premier râle de plaisir de sa soumise
Il a tourné sa tête vers moi et ma humilié devant tous les hommes présents
- Vous voyez, cest ça quelle aime
votre femme aime être pervertie, offerte et malmenée par un vrai mec
Ses doigts ont entamé de rapides vat et vient, suffisamment profonds pour faire reluire cette petite pute offerte aux regards, des bruits indécents sortaient de sa moule, la mouille suintait et faisait briller les doigts de son amant.
- Regarde comme elle se trémousse, je vais la faire jouir comme ça, là devant tout le monde
Effectivement, ses jambes ont commencées à trembler, frémissantes et flageolantes, annonciation dune vague de plaisir imminente
- Alors ma belle
tu aime te faire mettre devant ton mari, hein
jentends rien, salope
- Humm mm
oui
.oui
- Regarde le dans les yeux et dit lui ce que tu aime
- Humm mm
oui
jaime
Il lui a tiré les cheveux vers larrière, lui a léché le cou avec une langue humide à souhaits et lui a fait répéter
- Ton mari na rien entendu, salope, taime quoi ?
- Ouiiiiiiii
jaime
.humm mm
me faire mettre
.devant
.toi
.mon amour
- Voilà, on y arrive
Soudain son corps sest accroché à son amant, planté sur ses doigts poisseux, elle sest laissé jouir comme une vraie trainée, impudique et perverse
Me regardant dans les yeux elle à laissé la vague de plaisir lui démolir les reins, le ventre, les seins et le visage, à la regarder ont aurait pu croire que la jouissance était douleur ou vice versa.
Je répète, pour moi il ny a rien de plus beau et excitant quune femme qui jouie
La dernière onde de plaisir partie, elle est venue se blottir contre moi, enfouie dans mes bras cherchant un pardon illusoire que je ne pouvais pas lui donner, là devant tous ses inconnus qui sétaient régalés de la scène.
- Allez cest fini, il ny a plus rien à voir, dégagé tous
allez
Notre voisin reprenait la main sur les voyeurs, les règles étaient connues et respectés par tous et ils sont repartis aussi vite quils étaient venus.
- Alors, comment vous vous sentez avec cette mise en situation ?
Cétait à moi quil sadressait, je lai regardé et il a compris quil avait mon consentement pour la suite des évènements mais que je nétais pas en mesure den débattre.
Ma femme était toujours blottie dans mes bras, encore tremblante de tant de plaisir, elle semblait heureuse et savourait linstant.
Il est venu lui prendre la main en lattirant vers lui
- Vient là, la soirée nest pas encore finie et je commence à avoir faim, ton homme à le temps, moi je ne tai pas souvent alors je dois en profiter.
La prenant par la taille il lui a posé sa main sur la fesse, tâtant la marchandise devant moi, il ma demandé de les suivre.
A peine avons-nous fait deux cent mètres, il sest engouffré avec mon épouse dans une petite ruelle étroite et très sombre, un vrai coupe gorge pas très rassurant, il nous a mené juste devant une petite porte dérobée à peine visible de la rue.
- Toc
toc
toc
La porte sest entrouverte sur un couloir dont léclairage était tamisé, un homme assez imposant nous a demandé si nous avions réservé avant de nous laissé aller plus loin.
Il nous a regardé entrer, posé son regard sur les fesses de ma femme et en me regardant il me dit.
- Elle à un beau cul
cest ta femme ?
- Heu
.oui
Il était donc de mèche avec mon cocufieur, il connaissait donc mes gouts pour cette humiliation délicate et perverse, mais là, jéprouvais même une certaine fierté à pouvoir exhiber ma jolie femme dans un endroit aussi glauque.
Le couloir était assez long, débouchant sur une assez grande salle de restaurant, elle nen était pas moins sombre, seuls des luminaires placés sur les tables éclairaient les lieux.
Nos yeux se sont assez vite habitués à cette lumière très tamisé, cela donnait à cet endroit une atmosphère très sensuelle, presque érotique, lumière chaude pour une soirée encore plus chaude.
Nous étions parmi les premiers clients, seules deux autres tables étaient déjà occupées, curieusement chacune delles létaient aussi par une femme et deux hommes.
Jai trouvé cela curieux, était ce le fruit du hasard quil sagisse aussi de trios ou était ce volontaire, de toutes façons je nallais pas tarder à le savoir.
Lhomme qui nous avait accueillit nous a mené jusqu'au centre de la pièce, là où une table légèrement plus grande que les autres semblait nous attendre, il sest tourné vers moi et ma indiqué la chaise qui trônait seule face aux deux autres.
Puis il a fait sasseoir ma femme face à moi avec son amant à ses coté, mis sur le fait accompli là encore on ne me demandait pas mon avis, humiliant à souhait la soirée sannonçait jouissive.
Mon cocufieur sest penché pour dire quelques chose à loreille de sa soumise, puis il sest redressé en me souriant.
Ma femme sest levée, elle a remonté sa jupe montrant ses fesses dénudée, puis elle sest rassise cul nu sur le siège encore froid
Elle aussi ma regardé souriante et je lai vu dégrafer entièrement son chemisier laissant découvrir la totalité de son soutien gorge, contraste émouvant avec sa peau laiteuse.
La vision de ma femme montrant tout et presque rien, cétait érotique sans être vulgaire, les lumières tamisés y étaient surement pour quelque chose, créant un écrin de douceur autour de cette véritable beauté.
Mais le tableau nétait pas encore fini, je lai vu glissé ses bras vers larrière, juste dans son dos pour dégrafer le peu de tissu qui cachait encore sa belle poitrine.
La dentelle à glissé lentement, dévoilant les deux masses laiteuses aux auréoles brunâtres, surmontés de tétons déjà durcis par le plaisir naissant
Ainsi offerte, elle était plus que belle, louverture du chemisier encore présent sur ses épaules ne pouvait que mettre en valeur ses deux magnifique nichons.
Mes relents de jalousie mon fait regardé autour de nous, cherchant le regard des hommes sur ma femme offerte, ils étaient tous plongés sur ses seins, le regard coquin et la lèvre en coin comme pour se régaler par avance du dessert.
Quel homme ne serait pas fier dêtre en possession dune telle femme, si belle et convoité par tous les mâles quelle peut croiser, si fragile et pourtant si forte de cette féminité assumée.
Moi-même je ne pouvais détacher mes yeux de cette peau laiteuse et satiné, suivant les délicieux contours de sa poitrine fièrement exhibée
Formes épanouies et si bien dessinées qui me narguait si dignement, ces seins au volume parfait et au galbe racé, eux que jai si souvent malaxés de mes mains avides de tendresse.
Oui, ces seins qui me rassurent en moffrant le privilège de les tâter, de les palper et de les sucer tel un bébé goulu, eux qui emplissent mes fantasmes les plus pervers.
Et bien là, ils étaient exhibés à qui le veut, cadeaux volontaire que mon cocufieur offrait à tous les autres mâles présents dans le seul but de mhumilier encore un peu plus, montant à tous quil avait pris possession de la femme dun autre.
Un jeune serveur est venu avec du champagne, il nous a dabor servi, nous les hommes et puis il a passé un temps infini à servir mon épouse, les yeux plongés entre ses seins nu qu'il caressait du regard.
Soudain, j'ai entendu son amant dire au serveur :
On dirait que cette pouliche te plaît ?
Elle est très belle et semble bien docile.
Tu n'imagine pas à quel point...
Monsieur au besoin, je suis à votre disposition
On verra si elle est sage...
Les deux hommes on échangé leurs paroles sans se préoccuper de ma présence ni même de la vertu de ma femme, entendant tous deux quelle serait consentante à leurs futurs caprices.
- Laisse-nous la bouteille, cette dame semble avoir très soif
Le serveur étant reparti il s'est tourné vers moi
Dit à ta femme d'écarter les cuisses, je veux quelle soit disponible...
Son regard était profond et il savait que je m'exécuterais
chérie... tu veux bien... heu, non... chérie écarte tes cuisses, oui... encore plus...
Ma femme s'est exécuté dés la première parole, à croire quelle n'attendait que ça.
Et bien voilà, je suis heureux des tournures que tout cela prend, mon cher ami ta femme est une merveille de la nature, une beauté insatisfaite, une tentation ambulante...
Il nous a rempli nos verres et à repris
Je sais que tu aime quelle te fasse cocu... et crois moi, elle aime ça... n'est ce pas m'a belle, dit le à ton mari.
Heu... oui....
Oui quoi ?
Oui j'aime...le faire cocu...
C'est à lui qu'il faut le dire
Oui mon chéri, j'aime....te faire cocu... te tromper... me faire baisée par d'autres...
Je la regardais et buvais ses paroles cruelles, ma jalousie était toujours là mais elle ne me faisait plus mal bien au contraire.
Devant mon silence et mon évidente soumission mon cocufieur s'emblait se régaler et jouir de sa victoire.
Il avait réussi à nous soumettre tout les deux à ses caprices, profitant et abusant de ma femme avec mon consentement, jouant de ma perversité et de mes fantasmes, il avait su prendre le contrôle de nos âmes.
Mes pensées ont été coupés par l'arrivé de nos entrées servis par notre jeune et gourmant serveur qui a encore reluqué le corps de ma femme avec cette sorte de regard qui pourrait se traduire par ( Tu va voir ce que je vais te mettre tout à l'heure ).
Sans attendre le départ du serveur, il a repris son discours pervers :
Je tenais sincèrement à te remercier pour les cadeaux que tu mas fait, m'offrir ce que tu as de plus chers, ta si belle épouse...
Et tout en dégustant son plat il a poursuivis :
Tu n'imagine même pas... depuis des semaines que je me branlais en la matant, j'en rêvais nuit et jours, cette petite salope m'allumait chaque soir en se désapant devant mes yeux.
Et op... un beau jour, c'est toi qui me l'amène sur un plateau pour que je la baise... met toi à ma place, je l'ai bien baisé, je la baise et je la baiserais encore et encore...
Reprenant une bouchée
Et le pire dans tout ça, c'est que ca t'excite grave et elle encore plus, alors croit moi je ne vais pas me priver et je vais même en r.
Marquant un léger temps d'arrêt, il m'a regardé dans les yeux comme pour vérifier ma réaction et à repris de plus belle :
A partir de maintenant... ta femme m'appartient corps et âme, j'en disposerais autant que je le souhaiterais et ce n'est pas négociable, compris ?
heu...
Il n'y a pas de heu qui tienne, c'est ça... ou elle te quitte
J'ai regardé ma femme, attendant de sa part qu'elle contredise ce qu'il venait de dire... mais rien, pas un son, pas un mot n'ai sorti de sa bouche, je l'ai simplement vu se pincer les lèvres alors que ce salaud venait de lui fourrer ses doigts entre les cuisses.
J'ai soudain réalisé la tournure des évènements, pris au piège de mon propre jeu et dépassé par mes fantasmes, j'ai poussé ma femme vers la perversion et elle y a pris goût, l'intensité du plaisir la rendue dépendante de cette relation extraconjugale hors normes.
Moi qui pensais reprendre la main ce matin et bien force est de constater que je l'ai complètement perdue, mais j'aime trop ma femme pour la perde totalement et il va me falloir que je me ressaisie intelligemment pour la sortir des mains de ce salaud.
Je vois que tu as enfin compris, que veut tu, elle aime trop ma grosse pine... elle aime se sentir bien remplie, il ne fallait pas lui faire gouter maintenant elle est accros.
Mais t'inquiète pas, je te la prêterais de temps en temps... si tu es sage
Entre temps, notre serveur nous a débarrassé pour la suite du repas, cela devait être excellent mais je nétais pas à la fête alors que mon cocufieur lui, s'emblait se régalé dans tous les sens du terme.
Au moment même ou il avait fini de servir la dernière assiette, le salaud de service à ordonné à sa pute de se lever.
Met toi debout ma belle, montre ton, beau cul à ce jeune homme... oui, c'est bien penche toi sur la table
Il a poussé les assiettes, les couverts et les verres pour lui faire de la place
Là, pose tes nichons sur la table et met bien ton cul en valeur
J'étais subjugué par la soumission de ma femme, sans dire mot elle exécutait tous ses ordres comme un automate, malgré la perversité de la scène elle ne rechignait en rien.
Le silence s'est installé autour de notre table, je ressentais tous les regards convergé vers nous dans l'attente des réjouissances.
Il s'est levé lui aussi et a tapoter les fesses ainsi offertes tout en regardant le serveur qui s'emblait bloqué sur la vision de ce cul magnifique.
Tu vois ma belle tu fais bander ce pauvre garçon... on ne peut pas le laissé dans cet état, regarde ton mari il n'attend que ça, que tu te fasses prendre là, devant tout le monde comme une salope....comme une belle putain
Le serveur avait effectivement la trique, correctement monté il ne pouvait cacher son état
Vas y mon garçon, sort ta queue et baisse la... mais oui, tu peux te la faire... elle ne demande que ça et son mec aussi, vas y...
D'une main hésitante il a ouvert sa braguette, sortie son membre gonflé et est venu le caresser sur la croupe de la femelle offerte qui restait immobile
Tout en se lovant contre ce cul d'enfer, il regardait l'amant de ma femme comme pour jauger si tout cela était vrai.
La bite coincée entre les deux fesses il ondulait son bassin lentement d'avant en arrière
De ses mains il à relevé le petit bout de chemisier, dernier rempart de tissu qui protégeait encore le corps de ma femme qui s'est du coup retrouvée entièrement nue, plaquée sur la table et le cul bien en évidence
Tout en se frottant il a glissé ses mains le long de ses reins, puis sur les fesses qu'il a malaxé tel une gourmandise
Descendant ensuite le long des jambes, jusqu'aux genoux, puis il est remonté sur l'intérieur des cuisses en la forçant à les écarter au maximum au fur et à mesure qu'il approchait de la partie la plus intime de son beau corps
L'effet fut immédiat, le cul bien remonté et les jambes ainsi écartés, sa chatte s'est retrouvé à découvert, mise en valeur aux yeux du garçon qui n'a pu s'empêché un sifflement d'admiration
Putain ce quelle est bonne...
Vas y mon gars, profite en car tu n'en auras peut être jamais une autre comme celle là dans ta vie, baisse la... régale toi
Le serveur m'a regardé à mon tour, comme pour lever le dernier rempart qui pourrait encore l'empêcher de tremper sa queue dans ce si beau cul
Ne constatant aucune réaction, il a glissé sa main sur la vulve trempée de plaisir, il a inséré ses doigts dans le jus poisseux et a écarté les grandes lèvres en les humectant de jus.
Il a plongé un, deux, puis trois doigts dans la fente ouverte pour vérifier l'état de la femelle à saillir, puis il a empoigné sa queue et il la fait coulissé dans ce jus deux à trois fois, juste avant de la pointer face à l'entré de la grotte à visiter
De ses mains il a empoigné les reins de ma femme et d'un coup, d'un seul, il a plongé sa bite au plus profond de son ventre avec un cri de victoire aussitôt étouffé par celui de ma femme qui venait de la prendre d'un coup par surprise
Il est resté planté contre les fesses de cette salope un long moment, la bite bien enfoncé dans cette chatte accueillante, chaude et si bien lubrifié, il profitait au maximum de sa chance.
Je l'ai vu entamer son vat et vient, lent et court eu début pour ensuite prendre plus d'élan, amenant son gland tuméfié presque à l'air libre pour le replonger aussitôt jusqu'aux ovaires en obligeant ma femme à crier à chaque coup de bite
Et ho... doucement mon garçon, prend ton temps, profite sinon tu vas jouir trop vite
Mon regard ne pouvait se détacher de cette queue qui plongeait dans l'intimité de ma bien aimée, et je navais même pas remarqué que les autres convives s'étaient rapproché tout prêt de nous pour mater la scène
Dans un silence religieux, ils étaient tous là, hommes et femmes à regarder la copulation perverse qui leur était offerte
Je me sentais plus cocu que jamais et pourtant je ressentais un plaisir indescriptible à cette formidable débauche, j'étais presque fier que ma femme soit ainsi désirée, exhibée et baisée en public
Autour de nous les hommes commençaient à peloter les filles, chacune avait droit à deux mâles rien que pour elle, je distinguais déjà des seins nus, des cuisses et des fesses, cela devenait un festival érotique
Pendant ce temps là, notre serveur limait en cadence l'entre cuisses de ma femme, se régalant de la douceur de ses entrailles et de l'effet qu'il prodiguait autour de lui
Ses coups de bite devenaient plus puissants et plus profonds, libérant des (hans...) de bucherons à chaque pénétration
Les femmes autour de nous étaient déjà toutes nues elles aussi, des queues entre les doigts et des doigts dans leurs chattes affamées, une véritable orgie s'installait dans la pièce
Même l'amant de ma femme à sorti sa queue, son énorme queue, car dans la pièce aucune bite ne pouvait rivaliser et toutes les femmes présentent l'on aussitôt remarqué avec un petit cri de surprise ( hoooo.....)
Même les autres hommes n'on pu détacher leur regard de son membre hors normes et dire que m'a femme se l'est prise à plusieurs reprises et peut être même dans le cul...
Mais aucune des filles présente ne s'emblait en avoir peur, bien au contraire, elles regardaient le beau morceau avec gourmandise
Comme je vous l'ai dit, chacune de ces femmes était accompagnée de deux hommes, c'est ce que j'avais remarqué en arrivant prenant cela pour une circonstance
Mais en fait, il s'agissait de couples accompagnés d'un partenaire, comme moi et ma femme avec son amant, d'un seul coup je me suis senti moins seul sur terre.
Autour de moi il y avait d'autres hommes qui aimaient offrir leur femme, les voir jouir avec d'autres mecs, quelles les trompent avec des amants, oui, je n'étais pas le seul dans cette forme de perversion
Mon cocufieur le s'avait bien, car c'est lui qui nous a emmené dans ce lieu particulier fréquenté uniquement par des couples candauliste, c'est ce qu'on me confirmera plus tard.
En attendant, ma femme se faisait toujours limer comme une vulgaire salope, les nichons posés sur la table elle prenait les coups de bite avec force et volupté sous le regard de l'assemblé
Soudain son amant à stoppé le garçon dans son élan et à dit tout haut :
Attend mon gars, je veut qu'elle se retourne sur la table, qu'elle montre ses nichons à tout le monde, voilà... retire ta bite et toi ma belle met toi sur le dos, bien, c'est ça...
Ma femme s'est donc installé sur le dos les jambes levées et légèrement pliés ce qui montrait encore plus sa chatte béante et luisante de mouille
Sa moule était encore toute ouverte du passage de son baiseur qui se replaçait rapidement entre ces cuisses pour la pénétrer de nouveau, de peur qu'on lui pique sa place.
Il était impatient et ne comptait pas lâcher sa proie aussi facilement, d'un puissant coup de reins il a replongé sa queue bien profondément faisant gémir sa femelle préféré.
La scène était encore plus excitante, positionné comme ça, ma femme s'emblait encore plus perverse, ses gros seins ballotaient dans tous les sens à chaque coup de queue et cela la rendait encore plus salope
Plusieurs hommes se sont encore rapprochés de façon à ce qu'elle puisse les toucher, elle a aussitôt empoigné une verge tendue dans chacune de ses mains telle une salope insatiable.
Son amant a fait le tour de la table pour se placer à hauteur de son visage, la queue tendue juste au-dessus de ses lèvres qu'elle a immédiatement ouvertes, tirant sa langue vers le gros gland violacé.
Sa langue humide a parcouru la longue tige plusieurs fois, montrant à tous et à toutes, le gigantisme de l'engin de son amant attitré.
Effectivement la taille du membre dénaturait face à ce doux visage qui s'emblait si fragile face à un tel chibre, mais cela ne la pas empêcher d'en saisir le bout entre ses lèvres pulpeuses et gourmandes
Déposant un maximum de salive sur le bout de cette énorme queue, pendant que le jeune serveur continuait à la bourrer à fond, les yeux rivés sur la grosse queue qui d'évidence l'impressionnait lui aussi
Je suis sur que comme les autres spectateurs il devait se demander comment une femme pouvait se prendre un membre pareil dans les parties intimes
S'ils savaient... ils seraient tous surpris de voir ce que l'anatomie d'une femme bien excitée lui permet d'introduire en elle.
Donc, là devant moi, ma femme se faisait baisée par un jeune mâle en rut, branlait de ses mains deux inconnus et suçait avidement la grosse bite de son amant et tout cela devant une assemblée perverse au bord de la jouissance
Moi même je bandais dur mais je ne ressentais pas le désir de tremper ma queue, non, je préférais jouir de ce moment exceptionnel, vivant des émotions hors normes, délicieuses et tellement intenses.
Un des hommes, surement plus pervers que les autres à pris sa compagne par la nuque et l'a obligé à se pencher vers le visage de ma femme, la bouche de cette jolie femme s'est retrouvée au contact de l'énorme verge que ma femme léchait avec application.
La grosse queue s'est retrouvée coincée entre les deux bouches gourmandes qui déjà en parcouraient la tige avec leurs langues en l'humectant de salive baveuse.
L'amant de ma femme à fermé ses yeux pour s'savourer la chose
Haaa.... les salopes, putains.... ce qu'elles sucent....bien....haaaaaa....
Les deux femmes se délectaient divinement, couvrant avec gourmandise le maximum de chairs de cette queue tant désirée, elles cherchaient le meilleur moyen de se faire remarquer auprès de ce mec, dés fois qu'il veuille bien les baiser avec ce beau membre.
C'est bien la première fois que j'ai vu ma femme embrasser une autre femme, car le mec convoité venait de dégager sa queue tout en maintenant le visage de cette inconnue sur la bouche de ma femme.
Le message avait bien été compris car les deux femelles se sont appliquées goulument à se rouler une pelle magistrale, entremêlant leurs langues et mélangeant leur salive devant tout le monde.
Mais le plaisir devait être intense car la grosse queue s'est de nouveau glissée entre les deux bouches, poussant délicatement les lèvres charnues pour se réserver la meilleure place possible.
Pendant ce temps là, le serveur limait à fond la chatte baveuse de ma femme, les yeux écartelés sur ce magnifique baisé des deux nouvelles grouines qui se déchainaient sur le gros chibre.
On sentait le plaisir monter dans la salle, tous les corps ondulaient en rythme, les femmes gémissaient langoureusement et les hommes seraient les dents pour ne pas jouir tout de suite
Chaque minute augmentait l'intensité de la scène, libérait les ultimes inhibitions, si toute fois il puisse en rester encore à ce stade des choses, les corps formaient un Hamas de plaisir, de sensations et de sexe.
Chaque être pervertis attendait de pouvoir se laissé aller, attendant la première jouissance, le premier signe qui indiquerait, oui... vas y laisse toi jouir, c'est le moment...
Même moi, sans même m'en apercevoir, j'avais sortie ma queue et je me branlais en rythme, callant mes allé-retours sur les coups de bites que ma femme se prenait par le jeune et fougueux serveur.
Lui il commençait à haleter, les doigts crispés sur les hanches voluptueuses de ma femme qui se laissait aller, tel une véritable petite salope perverse qui ne pensait qu'a jouir
Je pense qu'il n'était pas loin de jouir, à le voir toutes dents serrées, pilonnant la moule baveuse de toutes ses forces, claquant fortement les fesses laiteuses à chaque coup de bite bien profond.
Non, à ce rythme là il ne tarderait pas à se déverser et l'amant de ma femme lui aussi s'en est aperçu car il la encore une fois stopper dans son élan
Attend mon garçon, laisse moi prendre ta place, toi tu prends la mienne... regarde ses deux bouches gourmandes qui ne demandent qu'a te sucer la queue... allez dépêche toi va te vider les couilles sur leurs lèvres
Sitôt dit, le jeune serveur s'est retiré de la chatte accueillante, avec regret il a laissé sa place à l'impressionnante bite qui déjà se présentait à l'entré du vagin délaissé.
Tous les regards convergeaient vers le gros gland violacé qui allait déchirer les chairs tendres de ma femme, les yeux écartelés ils attendaient tous le fabuleux moment où lentement mais surement, il prendrait sa place entre les fragiles muqueuses
Même le serveur s'emblait attendre ce moment, la bite juste à coté des deux magnifiques visages, il n'osait pas y mettre sa queue surement de peur de louper la scène principale de la soirée
Comme il aimait à le faire, l'amant de ma femme à fait coulisser sa queue plusieurs fois entre les grandes lèvres dégoulinantes de cyprine gluante, huilant au maximum le mandrin qui allait d'un instant à l'autre pourfendre cette fragile intimité
Nous attendions tous et toutes ce moment fatidique, les yeux bloqués sur le sexe monstrueux, espérant enfin le voir écarteler les chairs de cette pauvre femelle soumise
Ma femme elle n'en était pas à sa première introduction de ce membre puissant, mais j'étais le seul à le savoir et sa visible décontraction s'emblait surprendre les spectateurs présents, même sa partenaire de pipe n'en revenait pas, presque jalouse ne pas être à sa place
Ma femme en a profité pour engloutir d'un coup le sexe tendu de celui qui venait de la labourer pendant de longues minutes, façon à elle de le remercier et de refouler son envie de jouir
La bite pleine de cyprine a disparue entre les lèvres de la gloutonne, immédiatement elle s'est mise à le sucer, le téter et le lécher comme une furie et je savais qu'avec ce traitement il ne tiendrait pas bien longtemps.
Soudain les respirations se sont bloqués et plus personne n'osait bouger...
Le membre pointé sur l'entrée du vagin a commencé son intromission, doucement mais surement il a écarté les chairs, distendu les grandes et petites lèvres de cette délicate petite chatte pour s'engouffrer vers les entrailles de la belle
Centimètre par centimètre, il a pris possession des lieux, la colonne de chair s'est engouffrée vers les ovaires, déformant sérieusement les formes de la vulve ouverte
Pas un son ne sortait des êtres présents, tous concentrés sur la délicate pénétration, dabor surpris, puis épatés et enfin jaloux d'un tel acte sexuel
Les hommes rêvant d'une telle virilité et les femmes rêvant d'être à la place de la salope qui se faisait mettre sur cette table, les gourmandes....
En attendant ma femme prenait son pied, comme d'habitude elle se délectait de cette magnifique queue qui la transperçait, cette bite qui la rendait folle de désirs, oui... cette grosse et belle queue qui l'empêchait de dormir tellement elle en était devenu dépendante.
Son maître violeur, lui tenait bien les chevilles de ses deux mains, écartant au maximum ses jambes relevées pour dégager la zone de pénétration
Cela mettait encore plus sa chatte en valeur avec ce membre planté entre ses cuisses, membre si gros que cela faisait ressortir son clitoris de sa gaine naturelle, le petit bouton était tout rouge et pointé vers le ciel comme pour crier grâce
Ensuite nous l'avons vu prendre la femelle par les hanches, agrippant fermement ses chairs tendues pour mieux la manier lors de son futur défouloir et il a commencé un puissant vas et vient toit en profondeur
Haaaannnnn..... et Haaaannnnn..... et Haaaannnnn....
Tel un marteau pilon, il assénait à la femelle docile des formidables allers-retours sur toute la longueur de sa pine, déformant sévèrement les chairs à chaque pénétration
Comme vous l'imaginez, ma femme se régalait devant tous en s'acharnant sur la bonne bite qu'elle avait en bouche
A chaque poussé de cette bonne queue en elle, son corps était parcouru de délicieux frissons, on pouvait ressentir les ondulations du plaisir en elle comme si on était à sa place et croyez moi d'après leurs regards, toutes les femmes présentes auraient bien voulus être à sa place
Maintenant la colonne de chair accélérait la cadence, les mains puissantes retenaient le corps délicat qu'il labourait de plus en plus profondément, à chaque poussée, buttant contre les ovaires le corps de la pute reculait sur la table et il devait la retenir fermement
Les ( Han.... ) de bucherons pourfendaient la pièce, seuls les petits bruits de succion émis par la bouche de ma chérie sur le gland du serveur s'emblaient rompre le silence religieux de l'assemblée présente
Moi je n'en pouvais plus, ma queue me faisait mal tellement je bandais et mon esprit était complètement attiré par cette terrible pénétration, le clito tuméfié de ma bien aimée m'appelait sans relâche et j'ai eu soudain l'envie de le prendre dans ma bouche
Ecartant tous mes préjugés et sans même me préoccuper du qu'en dira t'on, j'ai laissé mon instinct sexuel prendre le dessus et j'ai fait ce que jamais je n'aurais pensé faire, surtout devant d'autres personnes
Je me suis approché de l'intimité profané et j'ai posé mes lèvres sur le petit bourgeon rougi par le désir, j'étais à dix centimètres à peine de l'entrée de la chatte qui se faisait défoncer par cette grosse queue
Mes yeux fixaient le dard vicieux qui régalait mon épouse et ma langue commençait à titiller le petit bouton d'amour, cela déclenchait des petits spasmes au niveau du vagin de ma femme à tel point qu'elle a lâché les bites qu'elle branlait pour me saisir la tête.
Appuyant de ses deux mains pour que je lui procure encore plus de plaisir pendant que son amant la besognait comme un véritable taureau en rut
Le spectacle de cette énorme bitte qui la défonçait pendant que moi, son mari je lui suçais le clito et qu'elle prodiguait une succulente fellation à ce petit jeune était tout simplement incroyable et inimaginable.
Mais tout cela était bien réels et cela tournait à l'orgie sexuelle, car autour de nous les hommes n'y pouvant plus avaient déjà introduit leurs membres dans les femelles disponibles pendant que les autres se faisaient sucer ou branlé par ces dames de bonne compagnie
Tous en cur nous émettions des bruits de sucions, de baisés goulus, de clapotis obscènes sortant de ces chattes dégoulinantes, c'était superbement excitant, personne ne pourrait résister à une telle ambiance sans y participer
Ma femme commençait à ce lâcher, à chaque nouveau coup de bite elle se contorsionnait de plaisir avec les gémissements annonciateurs de la future jouissance, il faut dire que ma langue fouillant ses muqueuses et agaçant son clito y était aussi pour beaucoup
Soudain j'ai entendu un cri de plaisir rauque, tel un fauve notre jeune serveur libérait ses tensions et son jus de bite, sauf que là c'était dans la bouche de ma femme
J'ai lâché son clito un bref instant pour voir la scène, la queue du serveur était encore bien enfuit entre les lèvres de ma chérie et je remarquais les vibrations de la tige qui déversait son jus dans le gosier de ma femme
Ma femme qui savourant la bite de son amant, prenait un vilain plaisir à déglutir les flots de sperme en vidant les couilles de ce nouvel amant
Seules quelques gouttes arrivaient à s'échapper par la commissure des lèvres, malgré ses efforts elle n'arrivait pas à avaler suffisamment vite et sa bouche trop remplie ne pouvait contenir autant de liquide fécond
Et là, tout s'est enchainé, le trop plein de sensations et de plaisir ont eu mal de sa retenue, le goût du sperme dans sa jolie bouche et l'énorme bite de son amant attitré qui la défonçait depuis un bon moment, là devant tout ces inconnus et en plus avec son mari qui lui titillait la fente comme le plus grand des pervers
Oui, d'un seul coup la vague de plaisir dévastatrice et ravageuse est partie lui remuer le ventre et les entrailles, là elle s'est mise à jouir comme jamais, son corps de répondait plus à la logique, seul comptait la jouissance, puissante et perverse elle lui retournait l'âme tel un fétu de paille
Des cris plus hard les uns que les autres, la jouissance s'est rependue chez tous les êtres de l'orgie, l'odeur de sperme s'est rependue rapidement dans la pièce, ça coulait de tous bords dans les chattes, les culs et les bouches
La moindre couille à été vidé de son contenu et la jouissance nous a tous exténué, ma femme se laissait encore parcourir par les derniers frissons d'extase pendant que son amant retirait lentement sa queue du fourreau bien rempli
A peine la queue poisseuse sortie de la vulve, un trop plein de semence s'est écoulé sur les fesses de ma bien aimé, s'étalant sur la table une flaque blanchâtre s'est formé nous montrant à tous le volume impressionnant de liqueur de foutre qu'il lui a injecté dans la moule.
Nous étions tous un peu ivres par le déchainement de plaisir, certains se relevaient lentement, d'autres s'éloignaient déjà vers leurs tables respectives
Aussi vite que tout c'était déclenché nous nous somme retrouvés de nouveau entre nous, ma femme, son amant et moi.
Ma femme s'était relevé, assise sur le bord de la table et les jambes dans le vide, elle était comme e par la jouissance, peinant à émerger vers la réalité des choses
Elle m'a regardé, cherchant timidement à constater mon éventuelle réaction à tout ce qui venait de ce passer, son regard était neutre, je n'y distinguais aucune culpabilité ni remord
Les yeux cernés par la fatigue et le maquillage défait par la sueur et le sperme, elle n'en restait pas moins belle et désirable
Son amant la prise dans ses bras en la soulevant, en la reposant au sol il lui a mit une tape sur les fesses et lui a dit :
Va te laver, petite salope tu pue le sperme tellement on t'en a mis
Moi j'étais là mais je comptais pour du beurre, ni lui ni elle, ne me demandaient mon avis ou mes impressions après tout cela
Non, il venait de rebaiser ma femme devant moi, de plus en public et moi je n'avais rien à dire
Je me suis rassit sur ma chaise, attendant que ma femme se refasse une beauté et son amant à fait de même juste face à moi
Ta femme est vraiment trop bonne, tu n'imagine pas ce qu'elle me plait, remarque si tu imagine car tu vois bien que je bande dur pour la faire reluire
Je te l'ai dit tout à l'heure, maintenant elle m'appartient... les femelles comme elles sont rares et je ne vais pas la lâcher comme ça
Peut importe ce que tu en pense, si tu l'aime alors laisse la faire ce qu'elle désire, laisse la obtenir ce qu'elle veut
Et daprès toi, que veut-elle ?
Mais mon ami, tu nas pas encore compris... c'est ma grosse pine qu'elle veut... elle veut avoir ma bite dans sa bouche, dans sa chatte et dans son magnifique cul
C'est comme ça, tu n'y peux rien... elle à gouté au fruit défendu et ne peut plus sans passer
Mais...
Alors que j'allais tenter de me défendre auprès de ce terrible salaud, ma femme est revenue des toilettes, de nouveau fraiche et pimpante, parfumée et si je puis dire rhabillée avec juste son chemisier transparent encore largement ouvert sur sa poitrine et sa bien trop coute et légère petite jupe
Alors que je pensais qu'elle allait revenir près de moi et bien non, elle s'est rapproché de son amant et s'est assise à califourchon sur une de ses jambes
Avec un large sourire de vainqueur il m'a regardé, d'une main il a relevé sa jupe pour posé ses doigts sur les fesses encore chaudes et son autre main est partie caresser et soupeser les seins de ma femme, si toutefois elle l'était encore.
Donc je te disais que désormais ta chérie m'appartient, j'en fais et ferais ce que je veux sans avoir de compte s à te rendre, si tu l'aime tu dois l'accepter et te contenter des restes
D'ailleurs ce soir tu vat rentrer chez toi seul, moi je la garde avec moi, c'est plus fort que moi j'ai encore envie de lui fourrer ma grosse queue dans la moule...
Il s'est mis à lui rouler une galoche baveuse toit en lui pelotant les nibards et en lui refouillant l'entre cuisses de ses doigts pervers
Tu vois, regarde mes doigts, elle dégouline, rien que de m'entendre dire que j'allais la fourrer avec ma grosse bite et bien elle fond comme une chienne en chaleur
C'est sa nature, elle aime la bite... tu n'y peux rien...
Plus vexé que triste et plus excité que surpris, je me suis levé en regardant ma femme dans les yeux, elle s'emblait heureuse et je distinguais un léger sourire aux coins de ses jolies lèvres
Elle semblait me dire ( tu vois chérie, je te l'avais bien dit que je serais, très sage, vraiment très sage...)
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