La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 679)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°678) - Une certaine Mademoiselle Lucie -
Le nouveau précepteur enseignant ne perdit pas une seule seconde, Il attrapa Endymion MDE, tenu par son collier, et lentraina à quatre pattes, dans une petite pièce, à deux pas de la Chambre du Maître. Dans cette petite et étroite salle de classe, éclairée par une seule fenêtre de forme arrondie tel un hublot, était installé un grand tableau noir, une estrade et sur celle-ci était posée un bureau et juste derrière, un fauteuil, celui de Monsieur William. Pour lesclave MDE, point de table ni de chaise, il allait apprendre à parler anglais comme sans doute personne ne lavait jamais encore fait. Juste à proximité de lestrade, se trouvait un drôle de marchepieds rembourré et recouvert de cuir épais mais très souple, sur lequel Monsieur William fit installer Endymion MDE. A genoux sur la marche inférieure et abdomen posé sur la marche supérieure, il fut attaché et sanglé au niveau des cuisses et des pieds, lui imposant un écart important de ses jambes. Une lanière fut fixée, au creux de ses reins, pour maintenir une belle cambrure de son cul, une autre passait sur ses omoplates pour tenir sa poitrine en appui tout contre ce cuir capitonné.
- Dis-moi, la pute, tu es droitier ou gaucher ?
Endymion MDE écrivait de la main droite, alors son bras gauche fut lui aussi attaché dans un axe perpendiculaire à son corps. La posture était des plus outrageantes sinon pénibles et très contraignantes. Hormis son membre supérieur droit utile pour pouvoir écrire, il ne pouvait plus guère bouger. Monsieur William déposa près de lesclave MDE, juste à côté de sa main droite des feuilles blanches et deux stylos. Puis il sagenouilla près du visage dEndymion MDE et lui montra un objet quil affectionnait tout particulièrement : une canne souple et flexible dun mètre de long.
- Japprécie particulièrement cet instrument, il permet dapprendre vite et de retenir longtemps
Cest extraordinaire le lien qui existe entre le cul dun esclave et son cerveau !
Monsieur William agita cette canne de rotin très flexible puis il se releva et subitement donna un coup cinglant sur le cul dEndymion
La douleur était aigüe et vive, et comme si cela ne suffisait pas, dans un second temps, cette douleur se diffusait dans tout le muscle du fessier
.
- A partir de maintenant, nous converserons quen Anglais. A chaque erreur de ta part, ton cul de lope sera mis à lépreuve. Tu ne pourras que ten prendre à toi, à toi seul, si ton cul se strie, suis-je bien clair
- Oui Monsieur !
Et là un deuxième coup tomba sur le fessier de lesclave, aussi rude et intense que le premier
Tout de suite Endymion MDE comprit son erreur, il se reprit, tout en bandant encore plus :
- Yes Sir !
Pendant près de quatre heures, Endymion MDE resta ainsi immobilisé, il reçut plusieurs coups de canne sur son cul maintenant bien zébré
Il était épuisé par les efforts de compréhension, par toute lattention quil devait porter, par le décalage horaire, par le manque de sommeil, par la posture quil devait tenir. Il se croyait au bord de lépuisement lorsque Monsieur William décida de mettre fin à ce premier cours. Et malgré sa fatigue et tout ce quil subit durant ces quatre heures, sa queue de chien soumis gardait une belle érection
.
- Cest bien le chien, tu as déjà fait de beau progrès en lespace de quelques heures
Le Maître sera fier de toi !
Ces paroles réconfortantes remirent aussitôt sur pied lesclave MDE, il ne lui en fallait pas plus pour se requinquer. Le fait dentendre seulement ça : « Le Maître sera fier de toi » lui procurait un plaisir inouï
des frissons montaient le longs de sa colonne vertébrale, sa nouille toujours tendue vibrait légèrement comme si une improbable jouissance arrivait. Il fut détaché, la main de Monsieur William saccrochait à sa nouille gonflée et la masturbait un tantinet
- A demain matin neuf heures, salope.
Monsieur William quittait la pièce laissant là Endymion MDE, à la fois abasourdi et appliqué, douloureux et indolent, ankylosé et dynamique, épuisé et excité, des ressentis et des sensations contradictoires sinon incompatibles, et pourtant
il arborait toujours une queue fière et altière, dure et ferme, érigée et tenue pointée vers le ciel
Quelle putain était-il devenu ! Ce fut Monsieur Walter qui entra dans la pièce, il regarda le fessier zébré de lesclave MDE et appliqua sur son cul, une pommade cicatrisante, puis peu après le Majordome lemmena dans les cuisines du Château.
- Ah, Endymion MDE approche ! dictait Madame la cuisinière.
Il avança rapidement et se présenta devant Madame Marie, tête basse, jambes entrouvertes, mains croisées dans le dos.
- Connais-tu la nouvelle Endymion MDE ?
De quelle nouvelle voulait-elle parler ?
- Phryné MDE annonce à ton frère de slavitude, la bonne nouvelle
Et toi le chien, tu es autorisé à répondre à ta sur de soumission
Lesclave Phryné MDE ressemblait à une petite fille, ses joues senflammaient, elle se tortillait les doigts en se mordant les lèvres
- Oh, esclave Endymion MDE, si tu savais combien je suis heureuse
- Je le vois chère Phryné MDE, et pourquoi donc es-tu si triomphante, tu sembles comblée ?
- Oui comblée, cest le terme approprié et bien choisi
(Elle se taisait quelques secondes en se dandinant un peu plus encore). Tu sais frère de soumission, le Maître, le Vénéré Maître ma honoré
il ma affublé du titre desclave, tout comme toi
Quel honneur nous fait-Il ! Nous devons en être dignes et fiers, même si ce titre nous plonge plus encore dans les abimes de la soumission et les profondeurs de labnégation, je suis heureuse
Madame Marie coupa court à la conversation, elle exigea à lesclave Phryné MDE de reprendre sa place et de continuer la préparation du diner. Lesclave Endymion MDE reçut lordre daller dresser le couvert dans la petite salle à manger, avec une information importante :
- Nous serons cinq à dîner ce soir ! (puis à elle-même, elle rajouta) Cest bien pour cette raison que je suis si joyeuse, dailleurs !
La vaisselle, largenterie et la verrerie avaient été sorties, celles que lon sortait ici pour les grandes occasions.
Monsieur le Marquis, en blazer bleu marine, une chemise blanche, col ouvert, un pantalon léger dialoguait debout avec un jeune couple inconnu
Madame Marie se tenait près de la jeune femme la serrant entre ses bras. Madame la Cuisinière semblait très heureuse, toute souriante comme maternelle avec celle quelle prénommait Lucie. Madame Lucie devait avoir une trentaine dannée, blonde avec des cheveux mi-longs tombants sur ses épaules, vêtue strictement dun tailleur Chanel gris clair très chic, perché sur des hauts talons à aiguilles. Mais une chose interpella de suite Endymion MDE : Cétait la frappante ressemblance de cette Lucie avec le Maître. En effet, son visage, même sil était plus fin, avait les traits des Evans ! Le même nez, le même front, le même sourire ressortait de sa belle chevelure
Quant au Jeune homme, un certain Julien, lui aussi la trentaine, semblait assez intimidé.
- Les bonnes manières perdurent dans cette illustre et bien perverse Demeure ! Plaisantait Madame Lucie en voyant agir Monsieur le Majordome.
- Toujours Madame Lucie ! lui répondit-il respectueusement, puis il reprit en tutoyant cette fois-ci
Te voilà de retour de Shanghai ma belle
Tinstalles-tu définitivement ici ?
- Oh non, mon bon vieux Walter, je suis ici seulement pour quelques jours de vacances
La maison Louis Vuitton à Shanghai a besoin de sa Directrice des Ressources Humaines
. Je suis venu ici simplement pour voir maman et Papounet et leur présenter mon amoureux, mon beau Julien ! Mais je suis très heureuse de te revoir, Walter !
Lucie attrapait la main de Julien et la lui embrassait
Julien avançait vers le Majordome
- Bonjour Monsieur ! lui dit-il avec un air très respectueux
- Bonjour Julien, pas de Monsieur entre nous, appelez-moi simplement Walter !
Les deux esclaves toujours prosternés au sol ne comprenaient rien à la situation
et pour cause ! Lucie nétait autre que la fille illégitime née de lunion de Monsieur le Marquis dEvans avec Marie la Cuisinière quand celle-ci avait été déflorée à l'âge de 18 ans par le Noble dans le foin de la grange du Château. Monsieur le Marquis de lépoque, le père du Maître avait appris la liaison de son fils avec cette jeune femme du village somme toute mignonne, mais sans titre de noblesse
A lépoque, au début, il avait bien râlé, rouspété, maugréé, sermonné sur cette liaison amoureuse. Mais toutefois après plusieurs mois où les deux jeunes amoureux ne cachaient pas leur amour réciproque, le père du Maître avait fini par laccepter et même engager Marie, comme cuisinière au Château sur la demande insistante de son fils et bien sûr pour sauver les apparences quand il apprit quelle était enceinte de son fils. Lucie avait donc grandi en cette Noble demeure et avait été élevée par sa mère mais elle n'avait jamais porté le nom des Evans car le père du Maître en était farouchement opposé. Il avait juste accepté qu'elle puisse vivre au Château mais quen aucun cas, quelle puisse être reconnue comme héritière. Cétait dailleurs lunique condition quil avait exigé pour accepter de lengager comme cuisinière et quelle puisse élever Lucie au Château. Cette condition avait été exposée clairement à Madame Marie lors de la naissance de Lucie. Elle avait pu ainsi élever sa fille ici, au Château, à labri de tout besoin matériel et Lucie fut chérie, aimée et eut une enfance très heureuse. Lucie navait jamais manqué de rien et elle avait pu par la suite faire de hautes études. Pour l'Etat Civil Madame Marie avait eu droit au titre officiel de fille-mère et donc Lucie était officiellement née de père inconnu. Lucie était évidemment au courant de cette situation et Monsieur le Marquis dEvans lavait élevé et chéri comme s'il l'avait légalement reconnu. Elle avait été chouchoutée par son Père toute son enfance et Celui-ci lui avait donné beaucoup d'argent pour vivre, une fois que Lucie eut atteint sa majorité.
- Un beau jeune homme ma chère , tu as bien choisi ! lançait son père, Monsieur le Marquis dEvans en tendant à Lucie une coupe de champagne.
- Arrosons lheureux évènement ! précisait Madame Marie.
Lucie sétait approchée dEndymion MDE, elle avait posé son escarpin tout près du visage de lesclave ME et lui avait ordonné dun ton ferme et sévère :
- Lèche salope et montre-moi tes petites couilles de chien !
Mademoiselle Lucie était bien la digne fille de son Père
A vrai dire, elle avait été à bonne école pour devenir une parfaite Domina et exerçait son Art de la Domination, en Chine, à Shanghai
Tout en se faisant lécher la pointe de son escarpin, elle avait attrapé les burnes de lesclave et les malaxait avec une perversité à toute épreuve. Sitôt quelle les lui relâcha, elle attrapa lesclave MDE par les cheveux et par une rotation de son poignet, le fit se retourner. Elle ne lâcha sa chevelure quune fois quil eut été couché sur le dos
Endymion MDE instinctivement levait les jambes écartait largement les cuisses pour laisser accès à son intimité, sa queue une nouvelle fois était raide. Mademoiselle Lucie, glissait un de ses talons aiguilles dans la bouche de lesclave et lui ordonnant de le sucer jusquà ce quelle en décide autrement.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis avait attrapé Julien par un bras et lavait conduit derrière Phryné MDE. Puis, avec son index et son majeur Le Maitre écartait les lèvres intimes de Son esclave femelle MDE.
- Regardez mon cher Julien, cette chienne mouille déjà
Celui qui semblait très intimidé au départ se révélait être un vrai pervers bien vicieux. Sans crier gare, il glissait son majeur droit dans la chatte de la femelle MDE et le faisait coulisser rageusement
- Vous avez bien raison Monsieur le Marquis, celle-ci nest quune chienne lubrique ! Lucie et moi en avons quelques-unes daussi salopes, à Shanghai ! Vous savez, je ne vous connaissais que de renommée internationale dans notre monde et je maperçois que vous êtes à la hauteur de votre réputation
Mon admiration envers vous ne fait que samplifier
Le Maître laissa jouer Julien avec celle qui nétait plus quun objet gémissant, puis sintéressa à son esclave mâle. Mademoiselle Lucie venait de sortir la pointe de son escarpin de sa bouche, le Noble attrapa Son esclave par les cheveux, le secoua en le regardant sévèrement.
- Dis à ma fille ce que tu es, pour qui tu es !
- Je suis une pute Maître, Votre pute
.
- Oui une grosse pute mappartenant corps et âme, cest bien ce que tu veux être
- Oui Maître, je suis Votre catin, Votre putain, fier dêtre entièrement à Vous.
Lesclave MDE sentit quelque chose de pointu se poser et piquer son anus. Ce nétait autre que le talon de la chaussure de Mademoiselle Lucie qui le pénétrait
Et lorsque celui-ci fut entièrement en lui, le pied de Lucie appuya fortement sur les couilles dEndymion MDE, les lui écrasant littéralement. Surpris, souffle coupé, Le soumis MDE restait bouche grande ouverte
Belle opportunité pour nettoyer le doigt de Monsieur Julien, sortant tout juste de la vulve de lesclave Phryné MDE.
- Je crois que nous allons bien nous amuser avec ces deux-là ! Ca nous changera des soumis asiatiques ! annonçait Mademoiselle Lucie
- Ils sont là pour nous divertir, ils sont à vous ! Reprit le Maître.
La soirée ne faisait que commencer, et déjà les deux esclaves étaient chauds, chauds bouillants et les Dominants terriblement excités...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!