La Nièce De Ma Copine 3

juillet 2013


Une semaine s’écoula ; Léa avait commencé son travail à domicile, et moi je profitais des vacances scolaires. Une routine s'installait entre nous avec son travail et notre vie privée, même si dans le travail à domicile les horaires pouvaient changer d'un jour à l'autre.

Le lundi matin de la deuxième semaine le travail de Léa commençait à 7 heures ; comme nous nous verrions qu’à midi, je dormis pendant une bonne partie de la matinée. Lorsque je me réveillai, mon érection matinale était bien évidemment présente, et je ne pus m’empêcher de descendre ma main jusqu’à mon boxer et commencer à me caresser, doucement pour débuter, puis de plus en plus rapidement. J’alternais les va-et-vient rapides avec d’autres plus lents. Mon corps était en feu, et comme je n'en pouvais plus, je décidai de me finir et d'y aller fort jusqu'à ce que mon supplice se termine par une giclée de sperme qui coula le long de ma main.

Je me suis levé et sui descendu jusqu'à la cuisine pour me préparer un petit déjeuner. Mon café sur la table et mon smartphone devant moi, j'étais sur Facebook en train de regarder ce qui se passait sur mon fil d'actualités, comme la plupart des gens. Soudain, un message privé : c'était Mél.

Message de Mél - 12 h 30 : « Coucou Jo, j’espère que je ne te dérange pas. J'ai adoré ce qu'on a fait la semaine dernière ; j'ai beaucoup mouillé en y repensant, et j'aimerais vraiment recommencer. Je sais que Léa travaille cet aprèm’ ; elle revient à 14 heures et je lui ai demandé si je pouvais dormir à la maison ce soir. Elle est d'accord, il n'y a aucun souci. Je t'envoie ce message pour savoir si je peux passer maintenant : comme ça, je serai déjà chez vous quand Léa sera rentrée.

Message de Jonathan – 12 h 40 : « Salut ! Oui, tu peux venir. Dépêche-toi pour que l'on en profite avant le retour de Léa. Moi aussi j'ai adoré ce que l'on a fait ; alors viens vite, que l'on reprenne où l’on s’est arrêté.

»

À 13 h 10, j’étais en train de prendre ma douche ; et comme j’étais seul, je n'avais pas fermé la porte à clé. J’entendis un bruit étrange qui venait des escaliers, et soudain je vis Mél devant la porte de la salle de bain. Elle était entrée sans frapper, comme d'habitude. Elle était vêtue d'un jogging noir et d’un tee-shirt bleu, et elle s'était fait une queue-de-cheval. Je restais là avec l’air étonné de la voir ainsi devant moi alors que j’étais nu. Elle s’exclama :

— Ouah ! J’aime ce que je vois…
— Et alors, qu'est-ce que tu attends ?

Aussitôt dit, aussitôt fait : Mélanie se retrouva à genoux devant moi, la bouche entrouverte et mon sexe entre ses mains. Après quelques va-et-vient le long de ma tige, elle fit cette réflexion :

— On dirait que ça commence à monter.
— T’as pas idée…
— Si, je pense !

Elle ouvrit la bouche, et après avoir pris mon gland entre ses lèvres, elle se mit à le lécher doucement, ce qui eut pour effet de me faire bander immédiatement encore plus fort. Elle réagit aussitôt en faisant pénétrer la totalité de ma queue dans sa bouche ; je sentais l'excitation monter en moi, alors je pris ses cheveux bruns d’une main et fis aller et venir sa tête en lui indiquant la cadence à suivre.

— Dis, Mél, et si on allait finir ça dans la chambre ?
— J'attendais avec impatience que tu me le proposes…

Dès que nous sommes entrés dans la chambre, elle se jeta sur le lit et enleva son tee-shirt ; elle se retrouva en soutien-gorge rose, qui recouvrait encore cette poitrine que j'aime tant. Je m’empressai de prendre ses seins et j’entrepris de lécher ses mamelons si doux et si bons. Ils se mirent à pointer, signe que Mél appréciait le traitement que je lui infligeais… Je l'aidai à faire glisser son pantalon le long de ses jambes, et là m’apparut un magnifique string de la même couleur que soutien-gorge. Je m'approchai et me mis à lui caresser la chatte par-dessus cette pièce de lingerie ; une petite tache apparut, puis progressivement sa surface augmenta.


— Enlève mon string, s'il te plaît, et mets-moi des doigts, lèche-moi !
— Avec joie, ma petite coquine…

J'enlevai son string et découvris cette chatte rasée, douce. J'approchai ma bouche de son clito gonflé par l’excitation ; ma langue vint se poser dessus. Je commençai par le lécher doucement, puis j’accélérai tout en lui enfilant deux doigts profondément dans le vagin. Mél était aux anges ; elle fermait les yeux, emportée par l'excitation que lui procuraient ces préliminaires. Elle revint à elle pour me dire :

— Viens sur moi : je veux goûter encore ta bite pendant que te me mets des doigts.
— T’es sûre ? Il est déjà 13 h 50, et ta tante sera là dans dix minutes.
— Oui, vas-y, lèche ; et donne ta bite, je la veux !


Je m’exécutai : je n’allais pas la contredire !
Nous étions maintenant en position de 69, moi sur elle, la bite dans sa bouche, et elle continuait à gémir pendant que je la doigtais. J'alternais les caresses des doigts avec celles de ma langue ; cette mouille était si délicieuse que j'aurais voulu en avoir tous les jours ! J’aspirai son clitoris, ce qui la fit gémir de plus en plus. Plus elle jouissait, plus elle accélérait le pompage de ma queue. Mon envie était devenue irrépressible ; je n'ai pas eu le temps de me retirer : mes jets de sperme se sont déversés dans la bouche de Mél, qui sembla surprise. Elle se leva et se rendit dans la salle de bain afin de recracher ma semence, car elle n'a jamais avalé. Je lui apportai ses vêtements.

— J'ai vraiment adoré ce que nous venons de faire…
— Moi aussi, et surtout ta chatte qui est si bonne à lécher.
— Et toi, ta bite est bonne à sucer ; j’espère y regoûter ce soir.
— Si t’es sage, tu auras le droit à bien plus…
— Arrête tes béti... J’entends une voiture dans l’allée !

Je me précipitai dans la chambre et regardai par la fenêtre : effectivement, c'était Léa qui rentrait du travail.
Je descendis à sa rencontre avant quelle ne monte :

— Coucou, chérie ! Comment s'est passée ta journée ?
— Bien ; et toi, ça a été ? Rien de spécial ? Au fait, Mélanie vient dormir à la maison ce soir ; t’es au courant ?
— Oui. En fait, elle est déjà là ; elle joue à la console en haut. Tu veux que je lui dise de descendre ?
— Oui, je vais lui dire bonjour.

Je me rendis jusqu’en bas des escaliers et appelai à voix haute Mél pour qu’elle vienne dire bonjour. Lorsqu’elle me rejoignit, je lui chuchotai à l’oreille :

— J'ai dit à ta tante que tu jouais à la console. Alors, si elle te le demande, tu lui dis ça.

Mél arriva dans la cuisine, et Léa lui fit la bise.

— Je ne savais pas que tu devais venir plus tôt ; comment ça se fait ?
— Je m’ennuyais chez moi, alors je me suis dit que je pourrais venir embêter ton cher et tendre. Donc on a joué à la console en attendant que tu reviennes.
— C'est bien que tu dormes ici ; on va bien s'amuser !

Si Léa avait su combien elle disait vrai… Mais il n'y avait pas qu'elle qui allait s'amuser ; je vous le garantis !

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