Les Récits De Sandie - N° 7.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Me Prosti (Suite). Le dressage de Sandie.
Il faisait presque complètement nuit dans ce couloir étroit, tout juste éclairé par une ampoule nue qui dispensait une lumière jaunâtre. Ce nétait pas fait pour me rassurer mais dun autre côté, je faisais confiance à Cathie
Quand Jean-Paul poussa la porte qui souvrit dans un grincement lugubre, je nai pas pu mempêcher de trembler. Jai senti ma gorge se nouer et mes jambes ont manqué de se dérober sous moi ! Lordre a claqué sèchement :
- Entre !
Dans lobscurité de la chambre, je fis deux pas en avant et marrêtai net. Jean-Paul alluma la lumière Oh une lumière bien pauvre, une simple ampoule nue au bout dun fil qui diffusait une clarté lunaire éclairant difficilement le papier peint passablement défraichi dune couleur indéfinissable qui avait du être rouge ou mauve
Il y avait là, au milieu de la pièce, un lit métallique étroit avec des sangles de cuir attachées aux angles et un matelas ressemblant plutôt à une mauvaise paillasse, une croix de Saint-André en bois, un miroir contre un mur, une sorte de cheval darçon et aussi une table avec dessus deux cravaches et un fouet. Sur une chaise il y avait deux paires de menottes, des baillons et bien sûr aussi quelque vibromasseurs ou godemichés de différentes tailles et grosseurs. Une chaine avec un anneau et des lanières pendait depuis le plafond. Javoue quà ce moment, je commençais à être quelque peu inquiète :
- Maître ! Quallez-vous me faire ?
- Te dresser ma belle ! Faire de toi une catin soumise ! Allez ! à poil ! Et vite !
Je me suis empressée dobéir, enlevant rapidement les quelques vêtements que je portais avant daller mappuyer au pied du lit dans une pose provocante, le ventre tendu en avant, le corps déhanché et la bouche entrouverte où je dardais ma langue entre les lèvres.
Jean-Paul a passé autour de mon cou un collier de chien et tenant la laisse dans sa main gauche, il ma asséné deux claques sur les fesses en mordonnant :
- A genoux ! Les mains dans le dos et regarde toi dans la glace ! Je vais te dresser comme une chienne.
- Bien Maître ! Jobéirai !
Jean-Paul sest assis sur la chaise qui a craqué dune manière sinistre sous son poids. Il a allumé une cigarette dont il ma soufflé la fumée dans les yeux. Il ma alors expliqué quil ma achetée à Alain qui mavait découverte par lintermédiaire de Roger, son ami de Lyon. Il ma dit que désormais, je lui appartenais, que je faisais partie de son écurie
Bref je ne comprenais pas bien ce que tout cela voulait dire dautant que je me sentais fatiguée et que javais froid. Il a ajouté que je devais lui rapporter une certaine somme dargent pour quil se paie sur la bête.
Jai fini par prendre peur pour de vrai et jai refusé de continuer ! Je lui ai dit que je ne voulais pas faire la pute ! Javais simplement envie de me mettre dans la peau dune prostituée pour une expérience
et lorsque je me suis relevée en disant que je voulais partir, Jean-Paul ma attrapée par les cheveux et ma giflée à deux reprises avec violence avant de me projeter sur le lit.
Je voulais me relever et je me défendais du mieux que je pouvais, ruant de tous mes membres mais à la fin, Jean-Paul a fini par mattacher aux barreaux du lit, les bras relevés au dessus de la tête. Il a allumé une nouvelle cigarette dont il approche le bout incandescent dun téton et me dit :
- Si tu bouges, je te brule !
Je me suis mise à pleurer doucement avec des sanglots silencieux. Puis ce sont les sévices sexuels qui ont commencé. Avec sa main libre, Jean-Paul a écarté brutalement mes cuisses et saisi mon clitoris entre deux doigts pour le pincer, marrachant un cri de douleur. Ensuite, il a commencé à fourrager dans ma chatte avec plusieurs doigts comme sil voulait me masturber ! En fait ce quil cherchait, cétait mouvrir au maximum et progressivement cest toute sa main qui était introduite dans mon vagin. Javais atrocement mal mais dun autre côté, jéprouvais un plaisir diffus ! Cétait très curieux comme sensation !
Ensuite il a sorti sa main toute poisseuse de mes sécrétions et revenant vers ma poitrine, il a fait rouler mes tétons entre ses doigts, les étirant et les pinçant successivement.
- Catie mavait prévenu ! Tes une vraie catin ! Tu jouis quand un client te baise, tu prends ton pied avec un gode !
Javais honte de moi et je continuais de pleurnicher doucement, retenant mes sanglots, les refoulant au fond de ma gorge, le gode toujours enfoncé en moi mais il ne vibrait plus :
- Maitre, je ferai tout ce que vous voudrez ! Je suis votre chose !
- Très bien ! Maintenant, tu vas me soulager !
En disant cela, jai pensé aussitôt que si ce nétait que cela, ce nétait pas terrible ? Mais jai du faire plusieurs fois le tour de cette grande pièce (au moins 8 x 15m ) en contournant ce qui sy trouvais, marrêtant lorsque par le biais de la laisse qui se tendait, Jean-Paul me faisait marrêter, ou encore il mordonnait de me coucher, de masseoir comme un chien, le cul au sol, les jambes repliées sous mes fesses et les bras tendus en avant. Jai fait ainsi trois fois le tour de la pièce sur un tapis propre mais fortement usé par endroits
Après ces exercices qui ont bien duré une demi-heure, Jean-Paul, mon tortionnaire, sest arrêté et ma conduit à la croix de Saint André où il ma attaché les chevilles et les poignets avec des liens en cuir et passé une large ceinture en tissu épais autour de la taille pour me maintenir. Jétais totalement à sa merci, offerte à sa concupiscence et à ses exactions.
Je lai vu avec effroi sapprocher de moi avec un fouet, une longue cravache et un martinet au manche court et trapu en forme de sexe mâle avec de longues lanières en cuir multicolores qui était passé dans sa ceinture. Il faisait chaud dans cette pièce et si je tremblais encore un peu, cest moins de froid que de crainte.
Jean-Paul sest placé face à moi et a fait remonter entre mes jambes écartées lextrémité de la croupière munie dune mouche. Il a agacé la plante des mes pieds, lintérieur de me chevilles avant de gagner le creux arrière des genoux puis il la insinué entre mes cuisses et toujours en remontant, il la introduite entre les lèves de ma chatte en passant pour faire ouvrir ma fente. Cette douce caresse et lambiance feutrée de cette pièce ont ramené le calme dans mon cur et dans mon corps.
Jétais à peine apaisée que Jean-Paul sest saisi du fouet pour lasséner une trentaine de coups plus ou moins violents sur le haut des cuisses, le ventre et les seins. Pui il a posé ses instruments sur une table basse ou plusieurs gode de belles tailles et formes diverses. Il y avait même une poire à lavements avec son plat bassin, son broc relié à un long tuyau souple terminé par une canule en ivoire dune belle taille. Je me demandais ce que cet instrument pouvait faire là.
Mon Maître/amant a ensuite rangé ses instruments sur les panoplies et il est revenu vers moi, toujours attachée sur la croix de bois dont je sentais la dureté qui sincrustait doucement dans ma chair. Puis, ce sont mes seins qui lont intéressé. Pas trop volumineux, plantés assez haut sur mon torse et en forme demi citron, jen suis très fière. Je pense que ce sont mes origines exotiques qui leur donnent cette forme si particulière de même que le teint mat de ma peau et le noir de geai de mon abondante chevelure gaufrée.
Il a trituré mes tétons sensibles pour les faillir saillir. Quand je suis excitée au plus haut point comme à ce moment-là, ils nont pas tardé à atteindre un bon centimètre et demi. Quand ils ont été à son goût, Jean-Paul sest incliné vers mes seins pour y poser la bouche avec de venir les agacer entre ses lèvres quil referme alternativement sur lun ou lautre pour le mordiller plus ou moins fortement, provocant des frissons que connais trop bien ! Puis, il a posé des pinces en métal sur mes tétons et là, je ne vous dit pas quelle douleur a fulguré dans tout mon corps !
Je navais jamais vécu de relation sado masochiste.
En moi-même je pensais que tout cela nétait pas bien terrible ! Les coups de fouet avaient laissé quelques traces rougeâtres sur ma peau qui me cuisait encore un peu. Cest après que les choses se sont gâtées. Jean-Paul ma détachée de la croix et en me tenant par la laisse de chien, il ma conduite près dun chevalet recouvert de cuir :
- En levrette chienne ! Je vais touvrir !
- Bien Maitre ! Je suis votre chienne obéissante.
Jai pris la position souhaitée, le ventre en appui sur le chevalet, mes petits seins et mes bras pendant du côté opposé. Javais le cul offert dans une posture indécente
qui ne devait rien laisser hors de la vue de mon tortionnaire. Je ne sais si cétait lexcitation de la situation ou lenvie dautre chose, je sentais ma chatte shumidifier au point quinconsciemment jai serré les cuisses pour quil ne saperçoive de rien. Quelle erreur ! Une rafale de claques na pas tardé à sabattre sur mes fesses. Cétait pire que le fouet et je nai pas pu retenir quelques cris de douleur quand cétait trop fort !
- Silence ! Ta gueule ! Je ne veux pas tentendre !
- Oui Maître ! Je me tais !
Les claques ont cessé aussitôt et jai senti que Jean-Paul ouvrait mes fesses en les écartant pour passer la tranche de sa main dans mon sillon :
- Tu nas pas du te faire enculer souvent ! Ton trou est serré ! Je vais touvrir ta rondelle !
Le pire cest que cétait vrai ! Jean avait tout juste tenté dintroduire un doigt dans mon fondement mais il nétait pas allé plus loin car je lavais arrêté aussitôt. Le premier a sy être introduit vraiment, cest le routier que javais fait sur le parking de lautoroute en venant à Marseille. Heureusement, il avait été doux et sa bite était plutôt fine. Cétait la seule intrusion subie.
Jai senti que Jean-Paul déposait un corps gras et froid à lentrée de mon sphincter puis il a introduit un doigt progressivement jusquà ce que sa paume soit contre ma raie. Après quelques mouvements de va-et-vient, il a retiré son doigt et à nouveau, il a déposé du gel sur ma rosette avant dintroduire un objet oblong que jai avalé en gémissant doucement. Cest là que jai entendu le même bruit que lorsque le médecin gonfle le brassard pour prendre la tension. Ce nétait pas un brassard mais un objet long qui se développait dans mon sphincter. Je sentais mes muscles intimes sécarter de plus en plus et je serrais les dents pour ne pas gémir quand brusquement tout sest arrêté. Jean-Paul devait être satisfait de la dilatation. Il a laissé le gode gonflable dans mon cul le temps de fumer une nouvelle cigarette pendant quil se faisait sucer la bite, allant et venant dans ma bouche dans des mouvements amples :
- Vas-y ! Suce ma belle ! Je vais te rincer ta petite gueule de salope pendant que je touvre le cul avec le gode gonflant ! Les putes qui se fond enculer gagnent plus de fric ! Tu verras, avec ton beau petit cul de métisse, on te le demandera souvent !
Je ne pouvais rien répondre mais cette bite qui me défonçait la bouche, allant jusquau fond de ma gorge au point que javais des haut le cur, mavait rien à voir avec celles que javais déjà sucées. Je pouvais à peine faire le tour avec mes lèvres, je sentais les veines noueuses et le gland circoncis à chaque fois quelle entrait mais je voulais satisfaire Jean-Paul en le faisant juter entre mes lèvres. Mais ce nétait pas cela quil voulait !
Il sest dégagé de ma bouche, a contourné le chevalet et a dégonflé le gode qui était dans mon cul avant de le sortir :
- Bien ! Pas mal pour une première dilatation !
Jean Paul a saisi mes fesses entre ses mains, les pressant douloureusement entre ses doigts puissants et dun seul coup il sest introduit dans mon boyau étroit. Il a commencé à menculer à longs traits, sortant à chaque fois de mon boyau pour y entrer à nouveau en puissance :
- Tu vois chienne ! je tencule si bien que ton anneau nas le temps de se refermer !
Il continuait de malaxer avec violence mes fesses ou il me serrait la taille entre ses mains puissantes. Ce nest pas tant la sodomie qui me faisait mal, bien au contraire, je commençais à y prendre goût. Mais ce sont ses mains qui me faisaient souffrir, réveillant au passage la douleur lancinante des coups de fouets. Je ne sais pas combien de temps Jean-Paul ma besognée de la sorte, javais perdu la notion du temps mais au moins deux fois, javais refoulé ou tu la jouissance qui me prenait quand enfin il sest décidé à laisser éclater son plaisir. Jai senti sa bite se gonfler dans mon sphincter au moment où il déversait son sperme dans la capote.
Quand il sest dégagé, il est revenu devant moi et il ma obligé à lui nettoyer la queue avec ma bouche. Je me suis appliquée du mieux que jai pu si bien quil ma gratifié dun sonore :
Bon cul, bonne bouche ! On fera quelque chose de toi !
Bien Maître. Comme vous le souhaitez.
Jétais totalement soumise à ses fantaisies et caprices sexuels et à sa violence contenue. Mais jétais morte de fatigue. Il a du sen rendre compte car il ma ordonné de me rhabiller en me tendant une sorte de culotte en latex avec une grosse protubérance à lintérieur... qui, quand je lai enfilée, est venue se loger dans mon anus pour le maintenir ouvert.
Nous avons repris la route de Toulon où nous sommes arrivés rapidement. Dès que la porte de mon appartement a été ouverte, il ma propulsée à lintérieur dune brutale poussée dans le dos :
Entre chienne ! Je vais te baiser maintenant ! Tu veux faire la pute ? Et bien je vais te prendre dans ton lit conjugal pour tapprendre !
Oui Maître ! Je suis votre pute, votre chienne !
Il ma pratiquement arraché mes vêtements et dès que nous avons été dans ma chambre, il sest déshabillé entièrement. Là, je pouvais le voir distinctement : Jean-Paul avait un véritable corps dathlète, les membres déliés et des muscles bien marqués. Ses abdominaux ressemblaient à des tablettes de chocolat et sa bite était toujours dressée, prête à me baiser à nouveau. Il avait déjà giclé trois fois depuis quil mavait conduit dans la chambre de soumission. Il a fait glisser la culotte en latex, libérant du même coup mon cul de la présence intrusive qui loccupait depuis le départ de Marseille et dès quil a été couvert il ma pris la chatte dune violente poussée, faisant claquer son pubis contre le mien en disant :
Tu vas voir comment je vais te baiser ! Pour te récompenser davoir été bien obéissante, tu vas pouvoir prendre ton pied !
Oui Maître ! Merci !
Et cest vrai, jai été baisée comme une reine et jai pris un pied comme jamais je nen avais pris, jouissant à répétition sous les coups de boutoir de Mon Maître jusquà ce quil jouisse également...
Avant de me quitter Jean-Paul mordonne de porter la culotte en latex toutes les nuits en indiquant que, le samedi suivant, il viendra me chercher pour me conduire dans un autre lieu où il me ferait baiser à la chaine.
Je passe une semaine dexcitation permanente à me remémorer mes premières passes de pute volontaire ! Jattends Jean-Paul et jai déjà la chatte en ébullition tant je me sens prête à continuer le dressage avec lui pour quil fasse de moi une salope totale, acceptant tout des mes « clients ».
Hélas, le samedi suivant, pas dappel ! Jai pris mes dispositions avec une amie pour quelle garde mon fils jusquau lundi matin, mais personne ne se manifeste : Ni Alain, ni Catie, ni Roger, ni Jean-Paul.
Pendant tout ce weekend de solitude, je repasse dans ma tête le film de ma nuit à Marseille et de mon retour à Toulon où je me suis fait baiser par un étranger dans le lit conjugal
Tout cela me perturbe quelque peu
Mais je lai cherché puisque jen ai émis le souhait ! Dois-je comprendre que jai a fait une très, très grosse bêtise de vouloir me prosti, ne serait ce que pour voir ce dont jétais capable ?
Mais le lundi matin, au moment où je mapprête à aller chercher mon fils à la maternelle, le portable que « mon maitre » ma donné sonne :
Pose ton gosse à lécole comme tous les après-midi. A 14 heures, je tenvoie un ami ! Reçois le bien ! Tu sais pourquoi il vient !
Je devrai recevoir chez moi mon premier client en revenant de déposer mon fils à lécole. Puis tout senchaine, tous les jours je reçois des hommes importants qui ont payé cher pour passer un moment avec moi ! Jéprouve un plaisir malsain à me livrer à eux : ils font de moi tout ce quils souhaitent ! Jusquau retour de mon mari, je ne suis plus quune fille quon baise en payant. Je suis devenue une sorte desclave sexuelle de nantis qui profitent du corps dune jeune métisse appétissante et accueillante.
Quelques jours avant ce retour je reçois de Roger le SMS suivant :
- Merci Sandie ! Lexpérience est terminée ! Sois tranquille désormais.
Mais ce quil ne sait pas, cest que cette aventure a déclenché en moi une soif de sexe que je compte bien assouvir avec mon mari. Je lai trompé outrageusement mais jespère quil nen saura rien
Sandrine / Toulon septembre 2012.
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