Une Cyber Relation Et Des Gages...
Elle avait beaucoup aimé sa prose, elle avait lus plusieurs de ses histoires érotiques sur un site et lui avait laissé un message. Rien de direct, à moitié pour la forme (elle avait apprécié son style comme elle le lui dira ensuite), à moitié sans trop y croire, mais Hugo avait pris l'initiative et ils avaient commencé à échanger. Il lui avait d'emblée indiqué qu'il n'était pas célibataire - ni même libertin, qu'il aimait juste donner des petits gages à des femmes qui aimaient se livrer. C'était soft : il avait même pris soin de lui préciser que la première photo devait être dans une tenue sexy mais en aucun cas nue - cela viendrait ensuite avait-il cependant précisé. Il était à l'aise dans le rôle (ce n'était sans doute pas son coup d'essai), mais il ne s'agissait pas de domination. Elle avait d'ailleurs plusieurs fois échangé avec ces maîtres dominateurs grandiloquents - et elle devait avouer que les 50% qui ne l'avaient pas inquiétée l'avaient franchement barbée. Au contraire, elle aimait ce confident.
Originaire de Nantes, elle réalisait souvent ces gages lors de ses déplacements professionnels à Paris, où elle ne risquait pas de tomber sur une connaissance.
Les gages étaient simples, ne la poussaient que progressivement hors de sa zone de confort, mais lui permettaient surtout d'échanger.
Le premier avait consisté à caresser la main d'un inconnu dans le métro. Elle avait tout d'abord souri : elle s'était attendue à quelque chose de bien plus tordu - même pour démarrer. Elle avait néanmoins dû s'y essayer à deux reprises pour réaliser le gage. Il ne s'agissant pas juste d'effleurer un inconnu avec le dos de la main, mais bien de venir placer ses doigts côté paume et de caresser la main en question. Elle avait finalement exécuté la manuvre un soir d'affluence, sur un jeune cadre élégant. Elle s'en souvenait d'ailleurs ainsi :
Elle ne voyait pas que lui. Au contraire, elle le distinguait mal.
Elle vit une foule sortir de la rame. Elle tenta de se convaincre qu'elle avait raté le coche, avec soulagement. Elle vit une foule entrer dans la rame. Elle dût se convaincre que le coche était revenu.
Elle était aussi tendue que pour son premier baiser. L'instant d'avant on a peur que ça ne se passe pas, l'instant d'après on a à peine la certitude que ça se soit passé. Y avait-il vraiment quelque chose entre les deux ?
Le contact avait duré trois secondes,le temps de parcourir sa paume du bout des doigts, de haut en bas en haut, le temps de sentir quelques plis de sa peau, le temps de le voir lever un sourcil étonné.
Elle était ensuite descendue à la station suivante, sans se retourner. Bien qu'elle ait eu du mal à l'admettre dans les quelques lignes de compte-rendu qu'elle ne manquait pas d'envoyer à Hugo à chaque fois, elle s'était clairement sentie rougir.
Lors du second défi, elle avait dû aller boire un verre dans un grand hôtel parisien en tenue très provocante. 36 ans, brune, plutôt grande, de jolies formes : elle savait que de nombreuses personnes autour ne manqueraient pas de la mater. Elle lui avait envoyé plusieurs clichés lui montrant autant de tenues possibles, il lui avait indiqué son choix, tout en ajoutant qu'elle ne devrait pas porter de string. Elle s'attendant un peu à ce commentaire, mais elle devait reconnaître que, vu la longueur de la jupe, elle serait quasi à poil en s'asseyant sur un tabouret de bar. Mais, belle joueuse, elle accepta le défi. Comme preuve, elle lui envoya un selfie depuis le bar de l'hôtel de luxe en question, montrant son décolleté plongeant et ses cuisses très découvertes - on distinguait même quelques regards masculins en arrière plan. Lors de leur échange suivant, elle lui avoua qu'on avait dû la prendre pour une pute - et elle avait aimé ça .
Le troisième défi avait consisté à essayer un maillot de bain dans une grande surface de sport, à une heure d'affluence, en prenant bien évidemment soin de se mettre complètement nue et de laisser le rideau uniquement aux trois quarts fermés. Une fois sur place, elle prit son temps, un peu anxieuse mais très excitée. Elle enleva son haut, son soutien gorge, admira ses seins dans le miroir, les saisit à pleine main en faisant une moue satisfaite. Elle caressa même ses tétons un instant. Elle retira ensuite ses bottines noires, l'une, puis l'autre. Elle fit glisser son jean et constata qu'elle mouillait. Pas encore abondamment, mais elle sentit bien que ça allait venir. Elle vérifia que le rideau n'était bien qu'aux trois quarts fermés et constata que le vendeur du rayon l'avait vue, même si il faisait maintenant mine de ranger quelques articles. Elle se retourna à nouveau, dos au rideau entrouvert, avant de se cambrer outrageusement et de retirer son string. Elle était maintenant à poil, face au miroir. Elle joua un instant avec le maillot de bain une pièce, avant de le passer. Elle s'observa, jeta un oeil derrière elle - et ne put s'empêcher de rougir en apercevant le regard du vendeur...Elle avait alors passé une main sur sa chatte, caressant son clitoris...
Son compte-rendu s'arrêtait là.
Constatant sa volonté d'aller plus, loin, Hugo avait choisi un quatrième défi un cran au-dessus : elle devait se rendre à une adresse qu'il lui avait envoyé, et tout simplement sucer l'homme qu'elle y trouverait, sans prononcer un mot...
Elle lui avoua plus tard qu'elle avait hésité. Il avait en effet fallu que Hugo la rassure, lui indiquant que c'était un ami proche en qui elle pouvait avoir toute confiance. Outre son compte-rendu, Hugo avait eu le témoignage de l'homme en question, Sylvain, un de ses meilleurs amis, qui lui avait confirmé que les choses s'étaient passées comme prévu - il avait même ajouté que, si elle était tendue, ça ne s'était pas vu du tout.
Le soir en question, très ponctuelle, elle s'était garée devant un pavillon de banlieue quelconque. Elle s'était regardée dans le miroir, pour s'assurer que son maquillage était au top. Elle sortit de sa berline, passant une main sur sa jupe pour retirer un pli, et constata qu'il était facile de deviner qu'elle portait un porte-jarretelle. Elle avança dans l'allée, perchée sur des talons de 10cm. Hésitant une dernière fois, elle sonna d'un geste qui se voulait néanmoins ferme. Aucun bruit à l'intérieur. Elle failli rebrousser chemin, mais finit par entendre quelqu'un descendre des escaliers. Un homme, la trentaine, brun, plutôt quelconque, mais tout de même un tantinet athlétique, ouvrit. Il était pieds nus, et portait un t-shirt et un short. Il affichait un souris en coin, et fit signe d'avancer. Elle s'exécuta. Une fois devant lui, il plaça ses mains sur les cotés de sa jupe, qu'il remonta un peu brusquement jusqu'à ses hanches. Elle avait donc le cul à l'air, à la porte de ce pavillon, devant un homme qu'elle se préparait à sucer. Malgré le stress, elle crevait d'excitation.
Elle se mit à genou et saisit l'élastique du short, avant de le tirer (à son tour brusquement) vers le bas. Il ne portait pas de sous-vêtement, et elle pouvait admirer un sexe, encore flasque, mais énorme. Hugo ne l'avait pas choisi par hasard. Elle le saisit, commença à embrasser cette verge, la lécha de haut en bas et commença ensuite à sucer ses couilles. Cette grosse bite reposait alors sur son visage, elle sentait sa chaleur, sa douceur et son poids contre ses joues. Elle commençait à durcir et à prendre des proportions impressionnantes. Elle se réjouit à l'idée de la sucer et la voir gicler sur elle - tout en se félicitant de ne pas se faire pilonner de suite par cet engin...
Elle prit son temps, lécha et lustra cette verge, ces couilles, ce membre qui l'excitait tant, elle caressait ses testicules d'une main, tout en jouant avec son gland de l'autre.
Le compte-rendu n'en dit pas plus, mais s'accompagnait d'une photo dans sa voiture, le visage couvert de sperme, un grand sourire aux lèvres...
Le gage n°5...
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