Une Soirée Réussie : 2 - Patrick (Encore !)

Résumé de l’épisode précédent :
Suite à une rencontre fortuite dans un bar, je me retrouve dans l’arrière-boutique d’un homme mûr, où je cède à l’envie de son membre hors norme ; une complicité sexuelle s’installe entre nous.


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Nous nous sommes vraiment très bien accordés, et je tiens à conserver son sexe dans mon fondement un très long moment avant de m’allonger à côté de lui. Repus et bavardons comme deux amis de longue date, de nos vies… La mienne à vingt ans se résumait à quelques aventures, quelques copines, quelques mecs, et mon job. La sienne en revanche s’avérait être plus riche.

Il avait épousé une femme vingt ans plus tôt, et avait grâce à elle découvert des côtés de sa personnalité qu’il n’avait jamais soupçonnés, y compris dans les affaires. Derrière certaines réussites se cache très souvent une femme, je l’ai depuis très souvent remarqué. Au bout de quelques années sans grossesse, malgré plusieurs tentatives, ils ne purent avoir d’s. Ils compensèrent d’abord en se concentrant sur les affaires, plus particulièrement dans le textile, en ouvrant des boutiques dans de nombreuses galeries ; jusqu’à dix en région Rhône-Alpes. Ils tournaient beaucoup, passant à chaque fois au moins une demi-journée dans chaque magasin pour vérifier les stocks, les comptes, etc. Bref, de la gestion d’entreprise.

Parfois, pour plus de simplicité, l’un des deux dormait à l’hôtel afin de ne pas faire trop d’allers-retours. Jusqu’au jour où, ayant de plus en plus de doutes, Patrick s’aperçut que sa femme avait une liaison avec un gérant d’une des boutiques.

Abattu comme tout homme aimant son épouse lorsqu’il découvre la trahison, il garda cela pour lui quelques mois, et prit certaines dispositions quant à ses affaires. Puis un soir il lui dit tout savoir, mais… ne pas comprendre ces faits. Et là, elle lui reprocha de ne pas l’avoir comblée, de ne pas avoir été suffisamment attentif à elle, et bien plus encore.

Bref, elle n’en pouvait plus, et trouvait refuge dans les bras d’un autre qui, lui, troussait… sa patronne !
Une procédure de divorce fut entamée. Se sentant grandement responsable, il ne chargea pas sa moitié, et n’en voyait pas l’intérêt. De l’argent, ils en avaient assez pour vivre, et finalement, pourquoi toujours courir après la fortune, sans s à élever, sans patrimoine à conserver ? Ils se séparèrent et vendirent les boutiques, et n’en gardèrent qu’une, celle-là même où nous étions.

Une vendeuse lui mit le grappin dessus, et profita de sa détresse pour précipiter les choses. Mais ce n’était pas l’entente absolue, et elle avait peur… de sa queue. Elle baisait finalement juste ce qu’il fallait pour s’octroyer un statut de concubine ! Il la nommait « Aspro » lorsqu’il m’en parlait, tant son mal de tête était chronique. Un jour il s’est mis en colère, et lui intima l’ordre de débarrasser le plancher, de sortir de sa vie. C’était il y a un an.

Lorsque je lui ai demandé pourquoi un homme alors ce soir, il me répondit simplement qu’il avait toujours regardé les hommes, et eu pas mal de relations avant de rencontrer sa femme qui fut pour lui une révélation sexuelle ! Ses premiers flirts féminins avaient pris peur, et mis à part une branlette, ne se voyaient pas prendre un truc pareil en premières armes ! Alors que les garçons restaient facilement fascinés devant sa virilité. Mais sa femme… enfin… c’était fusionnel, me confia-t-il. « Et je suis un fidèle, je ne suis pas un coureur. C’est contre ma nature. »

Il est allongé sur le dos, les mains jointes sous sa tête en guise d’oreiller, pendant qu’il me raconte ces péripéties. Je suis sur le flanc, la tête appuyée dans le creux de ma main, à l’écouter autant qu’à l’admirer. Son beau corps est une invitation à la débauche. Des coulures de sperme roulent sur son ventre, restes de mon plaisir une demi-heure plus tôt, alors que son gros sexe débandé repose sur ses lourdes bourses. Je ne peux qu’envoyer la main pour le caresser tant ce gros paquet est un appel au viol ! Ce faisant, la légère rotation de mon bassin déclenche une petite « avalanche », et du sperme s’écoule le long de ma fesse.
Je suis certainement encore ouvert, rien d’étonnant, et mon inséminateur n’a pas dû simuler en déchargeant, je dois être rempli de sa crème. Je ne vois pas cela salement, c’est naturel pour moi tous ces fluides corporels. Tant que ce n’est pas scato, j’apprécie. Ils ne sont ni plus ni moins que l’expression d’un l’acte sexuel… complet.

Je lui confirme ne pas faire exception, son sexe me fascine véritablement, j’ai encore envie de le sentir gonfler, de le faire se redresser, de m’en repaître. Il se lève pour aller rafraîchir son organe dans le lavabo.
Je profite toujours de cette table, et laisse ma tête pendre dans le vide allongé sur le dos pour accueillir ses testicules dans ma bouche. J’adore sucer les couilles lorsqu’elles sont suffisamment grosses et qu’elles pendent. Les siennes sont irrésistibles. Son gros bout danse sur mon cou alors que je gobe ses burnes avec avidité. Ses mains repartent à la découverte de mon ventre, mes hanches, mon sexe…
Mais rapidement, il me présente son gros gland que sa main décalotte fièrement. Vu d’en bas, son méat semble me sourire, je n’y résiste pas, j’ouvre les lèvres pour qu’il y plonge. Une nouvelle fois, et pour mon plus grand plaisir, sa queue remplit ma cavité buccale à l’extrême tandis que ses couilles humides de ma salive balancent contre mon front.

— J’aime ta bouche, j’aime comme tu me suces, tu es insatiable ! Tu sais comment faire bander un homme.

Il travaille pour moi en imprimant le rythme qui lui convient, se servant de ma bouche pour exciter ses sens et se faire bander de plus en plus dur. Cette position semble me permettre d’en avaler un peu plus, et je me surprends à placer mes mains sur chacune de ses fesses pour l’inviter à forcer davantage mon hospitalité. Respirant du mieux possible par le nez, je salive comme un enragé pour lubrifier, et comme toujours dans ce genre de posture, la salive s’épaissit assez vite, devenant extrêmement glissante. Patrick souffle fort, sa queue se durcit et est maintenant redevenue incroyablement renflée.


Probablement soucieux de ne pas me faire mal, c’est sa nature, il se dégage de ma bouche en me traitant de glouton obsédé, ce qui me convient très bien. Je me relève et descends de table, saisis son imposant pieu gluant de ma salive et lui demande comment le faire jouir s’il se retire de ma bouche ! Sa main se pose sur ma fesse, et son majeur m’indique clairement que c’est dans mon petit cul qu’il veut de nouveau s’oublier.
Je suis un peu réticent, craignant qu’un doublet ne me blesse, ne me meurtrisse, mais ma main coulissant sur son mandrin me fait réaliser que la soirée est… exceptionnelle.

— Cette fois, c’est moi qui vais te faire jouir ! me lance-t-il. Je vais te prendre en douceur et te couper le souffle, tu vas aimer ma queue sur sa longueur.

L’homme est sûr de lui, et je commence à savoir de quoi il est capable. Il me place debout face à la table, m’allonge en laissant une jambe au sol et me demande de relever ma jambe gauche pour la poser sur la table. Ma main retrouve sa verge toujours horizontale et la branle pendant qu’il me doigte avec sa pommade miracle.
Puis il se présente contre ma rosette encore entrouverte, et déjà mon sphincter semble le reconnaître, sans résistance il s’introduit de quelques centimètres et s’immobilise. Ses mains parcourent mes flancs jusqu’aux épaules, puis me caressent le dos longuement, tandis qu’il me dit aimer mon corps. Je lui réponds que le sien me plaît beaucoup, qu’il ne me laisse pas indifférent. Il me chauffe verbalement, tout en rajoutant suffisamment de pression dans mon cul pour s’introduire avec lenteur, mais continuellement. Son sexe se retrouve en quelques minutes tout en moi, et de nouveau ces frissons me parcourent l’échine. Je suis bien vaincu, soumis à mon amant monstrueusement membré, et n’ai même plus peur. Il vient épouser mon corps du sien, et naturellement se saisit de ma jambe gauche, la maintenant fermement, comme pour bien m’obliger à ouvrir les fesses. Son bassin solidement plaqué contre mon fessier, il propulse son gland au fond de mon orifice, se contentant d’alterner les temps de pression et de relâche, me faisant prendre conscience du morceau qui se trouve bien en moi.


— Tu sens comme je suis en toi ? Tu sens quand je me contracte, comme tu me fais bander ? Dis-moi ce que tu ressens, parle-moi. Donne-moi envie de te faire jouir !

Je suis sous le coup, et ne peux qu’ahaner quelques évidences sur ses mensurations gigantesques. Assez vite, son léger va-et-vient me décontracte, et même s’il ne recule que de sept-huit centimètres, il veille à toujours revenir tout au fond de moi et de bien gonfler son gland, ce qui m’oblige à lui parler davantage.

— Ouuuiiiiiiiii, tu me baises bien, j’aime sentir ta queue en moi, prends-moi tant que tu veux, donne-moi ton plaisir !

Et il gagne en course, reculant toujours très lentement pour bien que je le sente glisser. Il m’encule royalement, sans bestialité, c’est de la grande prestation, de l’art. La vaseline est bien mieux que n’importe lequel des gels, car son effet lubrifiant reste constant. Et du frottement, ce soir, il y en a pas mal !
Il se redresse, relève ma jambe, recule chaque aller-retour un peu plus, et revient coller ses couilles contre ma jambe.

— Ta queue est une œuvre d’art, je suis déjà en train de jouir, baise-moi encore, ne t’arrête pas, je t’en supplie ! Donne-moi ta queue, donne-la-moi !

De mes mains, j’écarte mes fesses pour mieux offrir mon cul à ses puissants coups de queue. Je le supplie de me pourfendre, de me défoncer.

— Tu veux que j’aille plus vite ? Tu n’as pas mal ? s’inquiète-t-il.

Transporté, je lui demande de me prendre sur toute la longueur, de m’enculer bien droit, de me calibrer à son modèle. Et graduellement, il accélère en commentant ses sensations. Cette sodomie, je crois que nous la vivons tous deux avec une rare intensité. Il me projette ses 20-22 cm avec vigueur dans mon cul dilaté comme jamais, et la brûlure n’est que plaisir, que jouissance. Ses burnes dures et relevées claquent contre ma jambe. Je lui demande toujours plus, et il répond. Ma prostate me brûle également, je suis en train de prendre mon pied, mais ne sais pas si j’éjacule ou non, ni même si je bande, mais je sais que je jouis. Ma tête est un tourbillon, un carrousel. Je crie, je souffle, je râle, je… jouis intensément, à perdre raison.

Patrick hurle soudain comme une bête ; son bassin se plaque plusieurs fois de suite contre le mien. De terribles soubresauts traversent sa bite solidement plantée en moi, il est évident que ses couilles sont en train de se vider entre mes fesses, pour mon plus grand plaisir. Il m’a ouvert comme aucun homme n’y est parvenu jusqu’aujourd’hui, il a trouvé sa place, et c’est avec honneur que j’accepte son foutre brûlant. Une dernière poussée, une dernière giclée, et il tombe sur mon dos, le souffle haletant comme un marathonien. Je nage en plein bonheur, le cul en feu, le ventre brisé, mais sa queue m’a fait planer au-delà des nuages.

— Tu m’as mis le compte ! lui dis-je après quelques minutes de répit, le souffle encore court. Mais j’ai adoré. Tu m’as enculé comme un Dieu !

Lentement il se retire, et j’imagine le trou béant qu’il laisse en sortant. Son vit à demi mou pend juste sous mon nez, il me faut embrasser le vainqueur. Dans un ultime effort, je passe la main pour le saisir par les couilles, et le tire jusqu’à ma bouche. Son gros gland a un bon goût de foutre chaud, légèrement âcre, salé ; je le nettoie amoureusement de la langue insistant bien sur la couronne. Avec beaucoup de complicité, Patrick pince alors sa hampe afin d’en extraire les dernières gouttes, comprenant mon besoin. J’aurais volontiers bu la splendide éjaculation qu’il m’a si puissamment introduite entre les fesses. Elle m’aurait apporté un peu de force, et ce goût d’homme si irrésistible.

— Je suis amoureux de ta queue, et tout autant de ton sperme ! Il ne te manque plus qu’une épilation intime pour me rendre fou, avoué-je.
— Tu m’en vois ravi. Nous n’aurons qu’à remettre le couvert… mais un autre soir, s’il te plaît !

Bien que nos ardeurs soient calmées, nous mettons encore longtemps à nous séparer ce soir. Mais nous savons que c’est pour mieux nous retrouver.

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