Monsieur 1Ère Partie

MONSIEUR -1-
Après avoir taper sur la touche « envoi », J’ai regardé Marie profondément ; Ses yeux brillaient. Elle était magnifique. Elle ne portait qu’une de mes chemises et un tanga . Elle s’est accrochée à mon coup, m’a remercié. Elle a aussi remarqué que je bandais. Elle a ôté ses fringues.
-Marie, t’es trop belle quand on voit ton excitation .Lui dis-je
-j’ai trop envie de toi, de ta queue, Me réponds t’elle
Elle m’a déshabillé et s’est empalée sur mon sexe. Elle n’a cessé de.me remercier d’avoir accepté la proposition de MONSIEUR, qu’elle avait maintenant hâte de découvrir réellement la soumission, que cela l’obsédait à ne plus en dormir. Je lui ai répondu que la voir dans cet état m’excitait aussi et que je ne pouvais pas ‘essayer de vivre une autre expérience et que moi, je n’aurais pas satisfaire sa demande et c’est par amour que j’’ai accepté. Il ne fallait pas que cette aventure ne nous sépare. Marie m’a rassuré en me disant que c’est pour cette raison qu’elle a choisi Jacques comme maitre. Il est plus âgé et physiquement n’est pas à son goût. Mais il dégage un côté autoritaire.
Deux jours à attendre. Marie est fébrile, se pose quand même pas de questions mais est vraiment déterminée à assouvir son besoin d’être la chienne d’un maitre. Moi j’en profite pour la baiser un max, elle en demande et redemande. Vais-je en profiter autant après ? Je le souhaite.
Un jour. Marie et moi avons posé deux jours de congés. Nous n’étions pas en état normal. Nous en avons profité pour aller à l’institut se faire épiler nos sexes (j’ai gardé ce rituel suite à un gage perdu et j’apprécie doublement cette sensation de nudité complète)
Jour J. Jacques devait me téléphoner pour me dire son heure d’arrivée. Ne pas savoir l’heure à l’avance était son idée, il fallait que le mental ne soit concentré que sur le but de sa venue. Et c’était gagné. Comment décrire Marie ? On voyait dans des détails, comme ses yeux brillants, ses tétons durcis, sa main qui de temps en temps les caressait…La tenue vestimentaire à porter, que sais-je.

Elle avait décidé pour des sous-vêtements coquins, un chemisier et une jupe droite. Coup de fil. Jacques annonçait sa venue dans 5 minutes. Marie a un peu paniqué en me disant qu’elle va à la cuisine et que je devais le recevoir. J’ai ouvert, Jacques était là en face de moi. Ce n’était plus du virtuel. Il était grand, légèrement bedonnant, des yeux bleus perçants. Je l’ai accompagné au salon et là il a directement posé une baguette sur la table comme pour marquer son territoire. Nous nous sommes installés et je lui ai proposé une boisson. Sur ces entre-faits, Marie est venue, s’est dirigée vers MONSIEUR pour lui faire la bise. Il lui a sèchement répondu :
-pas de ça avec moi. Je veux te voir à poil et fissa.
Marie s’est déshabillée déçue, elle aurait sûrement voulu lui faire un streptease. Jacques prenait déjà son ascendant sur Marie. Une fois nue, elle est restée debout ne sachant pas que faire. Elle avait mis ses mains devant pour cacher quelque chose. MONSIEUR pris sa baguette, sortit son téléphone et lui montra une photo.
-regardes bien, car à partir de maintenant ce sera comme ça que je veux que tu te présenteras devant moi quand tu seras debout. Et tu seras punie pour tout manquement. Est-ce clair ? ajouta-t-il
- oui MONSIEUR
Marie mis ses mains derrière sa tête et écarta légèrement ses jambes. MONSIEUR tapota l’intérieur de ses cuisses avec sa baguette pour lui signifier qu’il fallait écarter plus ses jambes et lui demanda de mettre sa poitrine plus en avant. Il a trituré les tétons et a dit
-tu perdras toute pudeur et n’aura rien à cacher. Tu as de beaux petits seins et vais allonger tes tétons et te les rendre hypersensibles. Ton sexe est épilé c’est bien. Tournes-toi. Hum, pas mal Gilles tu as une belle femme. Marie penches-toi que je puisse juger ton trou du cul. Par contre ta raie est pleine de poils, faudra arranger ça.
Il a demandé à Marie d’écarter ses fesses et a touché sa rondelle.
-mais tu es vierge du cul ! s’exclama t’il
-oui MONSIEUR.
J’ai toujours refusé cet accès à Gilles, je trouve que ça sale fut sa réponse.
-reprends ta pose Marie
Jacques m’a annoncé que je devais me mettre à l’aise et que je pouvais me branler. Il a rajouté que comme j’aimais regarder ma femme baiser devant moi, c’était le moment. Je n’en demandais pas plus, excité comme j’étais je me suis déshabillé et installé plus confortablement au fauteuil.
-et en plus tu épilé !se sera intéressant pour la suite rajouta-t’il
MONSIEUR a baissé son pantalon et son slip et ordonné à Marie de prendre en bouche sa queue. Elle l’a pris délicatement du bout des lèvres et a commencé à le sucer.
IL l’a repoussé et a dit :
-ce n’est pas un sucre d’orge que tu suces. Je veux être baisé par ta bouche
-mais je voulais que votre sexe prenne du volume
-je vais t’apprendre à contester mes ordres. Un homme a une queue et c’est comme ça que tu dois le dire. A quatre pattes et tend ton cul, je suis obligé de te punir. Et je ne veux rien entendre.
Marie s’est mise dans la position demandée en cambrant bien ses fesses. MONSIEUR lui asséna 5 bons coups de baguette aux fesses de Marie qui ont changé de couleur. Il a introduit un doigt dans sa chatte. Elle était trempée.
-maintenant, prends ma queue en bouche et baises-moi. Je veux mon gland au fond de ta gorge.
Marie s’est repositionnée pour prendre ce sexe en bouche. Heureusement pour elle, sa queue n’avait pas une taille imposante. Marie s’est donnée du mal pour aspirer cette queue au plus profond. MONSIEUR l’a e garder cette queue plus longtemps au fond de sa bouche . Elle déglutit, eu des hauts-de-cœur. Elle s’est dégagé, bavant et cette queue pleine de salive. Cette vision de fellation nouvelle pour Marie m’a vraiment fait de l’effet. Elle dû avaler son sperme, encore une nouveauté pour elle. Il l’a fait remettre debout en position d’attente. Elle eut droit à deux coups de baguette aux cuisses pour écarter un peu plus les jambes.
-quand comprendras-tu que tu dois t’ouvrir pour ne plus rien cacher ? Prends la queue de Gilles en bouche et baises-le jusqu’à sa jouissance.
Garde sa semence en bouche et viens me voir pour l’avaler. Appliques-toi sinon je serai obligé de te punir.
Marie s’éxcécuta, pris ma queue et me baisa. C’était divin et n’ai pas mis longtemps à jouir et Marie à avalé mon sperme sous le regard de MONSIEUR. Elle a dû s’agenouiller au pied de MONSIEUR et celui-ci l’a un peu caressé aux cheveux en disant que c’est bien pour un début.
-MONSIEUR, j’ai envie que vous me preniez osa-t-elle formuler
-ce n’est pas à toi de me donner tes besoins ni tes envies. C’est moi qui décide quand et comment tu pourras jouir. Lèves-toi, jouis en caressant fut sa réponse
Elle ne s’est pas fait prier, s’est levée, a écarté ses jambes et s’est mise à se caresser avec frénésie et a joui en très peu de temps. Elle était épuisée après cette séance. On également qu’elle était heureuse, épanouie et sereine. Je ne l’ai pas reconnue et fût troublé par cette image que ma femme dévoilait.
Jacques m’annonça que cette première leçon d’éducation prenait fin et qu’il allait sceller un pacte de soumission à Marie si j’étais d’accord. Un seul signe de tête affirmatif suffit. J’ai aussi pris mon pied en voyant Marie se donner à MONSIEUR. Marie a dû s’agenouiller lever la tête, baisser les yeux et ouvrir la bouche.
-si tu tiens à ce que je sois ton maitre, je te cracherai un mollard dans ta bouche. Tu l’avales, tu m’appartiens. Si tu veux arrêter, recraches mon mollard.
Il cracha un bon mollard et sans une seule hésitation Marie a avalé le mollard de MONSIEUR. J’avoue que ce symbole du crachat était érotique pour moi.


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