La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 680)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°679) - Le jeu du mikado -
Juste avant de passer à table, Le Maitre donna Ses ordres. Lesclave Phryné MDE sous la surveillance du nouveau Garde en Chef Maximilien resterait en cuisine afin de soccuper de la fin de la confection du dîner, lesclave Endymion MDE quant à lui, assurerait le service à table. Il décida encore que Ses deux chiens-esclaves devaient porter des petites pinces mordantes fixées à leurs mamelons, pour leur rappeler sans cesse leur condition desclave MDE. Les règles étaient alors posées, Monsieur le Marquis dEvans sinstalla en bout de table, tel un vieux patriarche, puis il fit assoir à sa droite Mademoiselle Lucie, à sa gauche Madame Marie. Monsieur Julien et Monsieur Walter sinstallèrent en face à face, juste après quils aient installé les pinces sur les tétons respectifs des deux salopes. Phryné MDE avait regagné les « fourneaux » du Château, accompagné de très près de Maximilien. Celui-ci navait pu sempêcher de lui mettre une main aux fesses et chercha même à glisser son majeur dans son fondement. Evidemment lesclave femelle MDE sétait écartée, avait laissé accès à son petit trou, engendrant chez elle une démarche quelque peu comique sinon fort humiliante
Lesclave mâle MDE était resté planté en retrait dans un angle de la pièce et attendait sagement, dans une posture de soumission respectueuse et humble, le tintement dune clochette venant de la cuisine pour aller récupérer les premières assiettes à servir. Tête basse, le regard porté sur sa bite turgescente, il sinterrogeait
Pourquoi bandait-il encore fortement ? Lui faisait-on avaler à son insu quelques pilules de viagra ou était-il devenu, par la Volonté du Maître, quun obsédé sexuel, un désaxé de la queue, un détraqué érotomane ? Cette seconde solution lui paraissait plus probable, ce besoin de sexe était omniprésent, il était devenu un perverti, un tourmenté du cul, il ne pensait quà se faire mettre, à se faire enculer à la hussarde par le Maître Vénéré ou qui voudrait bien le besogner à grands coups de boutoirs !
Endymion MDE, avec deux assiettes dans les mains sétait avancé pour servir lentrée, une belle salade périgourdine, avec morceau de foie gras et magrets de canard fumés
Il posa délicatement devant le Maître la première assiette, puis sapprêtait à poser la seconde devant Mademoiselle Lucie, lorsque celle-ci, lui attrapa les couilles en passant sa main par derrière entre ses cuisses.
- Ne bouge surtout pas, salope ! Lui ordonnait-elle.
Lesclave mâle MDE était courbé en avant, torse incliné à quarante-cinq degré, cuisses écartées, cul offert. Mademoiselle Lucie, lui avait lâché son paquet et sétait subitement levée de sa chaise pour aller chercher un sac souple posé sur le sol près de la desserte. Lorsquelle revint sasseoir, elle ne put sempêcher dhumilier lesclave mâle du Maître. Celui-ci navait pas bougé dun iota, tous les yeux autour de cette table étaient braqués sur lesclave.
- Comme tu es ridicule dans cette posture petite pute !
- Oui il lest ! reprit le Maître, mais le ridicule ne tue point, surtout lorsquon est une belle petite salope, nest-ce pas, Endymion MDE ?
Lesclave mâle se contenta dacquiescer par un hochement de tête de haut en bas, Mademoiselle Lucie lui claqua le cul, comme ça, pour rien, juste pour le plaisir. Les autres convives riaient et apportaient quelques commentaires salaces, tous plus humiliants les uns des autres. Lesclave MDE toujours assiette en main ne bougeait pas, se laissait humilier, sa queue avait repris un beau volume. Mademoiselle Lucie fouilla dans ce sac de toile, et sortit une multitude de baguettes chinoises. Elle sortit également une petite trousse, dans laquelle étaient rangés de petits élastiques en caoutchouc.
- Pose lassiette et redresse-toi chien, met-toi face à moi, montre-moi tes burnes, je vais de faire connaitre une spécialité de la Domination/soumission chinoise, le supplice du Mikado !
Un jeu très apprécié dans les pays asiatiques ...
Elle avait attrapé deux baguettes, elle en passa une derrière les couilles dEndymion MDE, au niveau du collet de son sac, puis elle ajusta lautre juste devant.
- Papounet, sil te plait, peux-tu exercer une traction sur son sac à cette lope !
Le Maître prenait plaisir à tirer sur les burnes de Son soumis, il tirait tant que lesclave mâle MDE dut plier les genoux pour amoindrir la traction. Mademoiselle Lucie alors glissa à chaque extrémité des baquettes chinoises, un petit élastique quelle rapprocha près des testicules. Ainsi, les baguettes tenaient toutes seules, et avaient lavantage de comprimer le scrotum et à tenir les boules de lesclave au fond de leur sac. Mais Mademoiselle Lucie, experte et très vicieuse, ne sarrêtait pas en si bon chemin. Elle attrapa du bout des doigts la queue dEndymion MDE, tira sur son prépuce pour bien dégager son gland. Une fois totalement découvert et décalotté, elle appliqua, juste à la base du gland, deux autres baguettes quelle fixa de la même manière, en rapprochant les deux petits élastiques au plus près de cette verge tendue. Elle attrapa encore deux autres baguettes, et cette fois-ci les plaça à la racine de la nouille de lesclave MDE, au plus près du pubis, toujours de part et dautre de sa queue et les attachaient de la même manière. Elle en prit encore deux autres baquettes quelle positionna juste au-dessus de celles quelle venait de poser, mais les positionna perpendiculairement aux premières, enfin denserrer totalement la nouille dEndymion MDE par une sorte de quadrillage de baguettes
Lorsquelle eut fini, elle regarda longuement et attentivement son uvre.
- Il ne pourra pas débander de sitôt, le flux sanguin est maintenu, dans les cavités spongieuses de sa bite, et dommage pour lui, plus il va bander, plus il va sentir cette gêne sur ces génitaux. Quen pensez-vous, vous autres ? dit-elle dun ton satisfait et empli de perversité
Monsieur le Marquis félicita sa fille, il aimait la voir imaginative, perverse à souhait, elle avait hérité de Lui, ce don de Dominer les mâles soumis (comme les femelles, dailleurs). Il était fier de la voir épanouie dans ce type dexercice.
- Passe-moi encore deux baguettes, ma Chérie, je pense que nous pouvons lui en faire tenir là, sur ses tétons tendus, tant est excité cette salope
Effectivement sur chacun des bouts de ses seins, les baguettes tenaient fermement. Elles les comprimaient sévèrement. Monsieur le Marquis savait que les tétons dEndymion MDE étaient très sensibles, ils étaient une zone érogène, et dès lors quils étaient stimulés, ils produisaient des sensations et des plaisirs érotiques provoquant une terrible excitation sexuelle. La nouille dEndymion avait doublé de volume
- Tu peux désormais continuer le service ! Ordonnait le Maître.
Chaque mouvement, chaque pas électrisait le corps de lesclave mâle MDE, plaisirs et douleurs se mêlaient, sentremêlaient. Il se faisait sans cesse ridiculiser par tous ceux autour de cette table, Monsieur Julien nétait pas en reste, sur un ton perversement humoristique, il disait :
- Parfois, lorsquon laisse trop longtemps ces baguettes autour dune bite et des couilles, les génitaux noircissent puis tombent dun coup dun seul, ha ! ha ! ha !
Tout le monde sesclaffait, riait, Mademoiselle Lucie reprenait
- Pas grave, ça ne lui sert pas à grand-chose, sinon rien à ce chien
(elle riait encore puis reprit). Remarque ce serait dommage, car il a un bon morceau entre les jambes ce cabot
ça change des petites bites asiatiques. !
Elle passa un doigt au bout de la verge dEndymion MDE, cueillait quelques gouttes nacrées séchappant de cette bite turgescente et tuméfiée et exigea quil lui lèche son index. Elle enfonça si profondément et si subitement son index que lesclave MDE eut un haut le cur.
- Pas vraiment une gorge profonde cette putain
Il faudra tester ça
La bite de Julien est très longue, nous verrons jusquoù il peut lavaler !
Endymion MDE continua le service, toujours affublé de ces accessoires autour de sa nouille mais juste avant de servir le dessert, Madame Marie et sa fille intervinrent encore. Toutes deux exigèrent que lesclave MDE se couche à plat dos, sur une petite table ronde servant de desserte.
- Relève tes cuisses et montre ton cul ! Exigeait le Maître
Bien difficile pour lui dobéir avec ces baguettes tout autour de ses génitaux. Elles sentrechoquaient tout contre ses cuisses. Seul moyen pour lui, il devait de sécarter largement, tenir ses jambes grandes ouvertes. Il fut autorisé à se tenir ainsi, mains accrochées derrière ses genoux.
- Lopération Mikado nest pas terminé mon cher ! Disait vicieusement Mademoiselle Lucie
Endymion MDE allait comprendre très vite. Tous les hôtes du Maître sétaient approchés et se tenaient en demi-cercle autour de cette table ou était affalé, sans pudeur ni retenue, lesclave mâle MDE. Mademoiselle Lucie avait pris encore ces fameuses baguettes chinoises aux bouts arrondis. Elle en tendit une à Monsieur le Marquis
- A toi lhonneur, mon Papounet ! disait-elle affectueusement mais aussi vicieusement.
Monsieur le Marquis sen saisit, approcha la pointe arrondie de la baguette contre les lèvres dEndymion MDE, puis exigea quil la suce. Une fois bien humectée de salive, il la retira de la bouche de Son esclave puis la pointa sur son anus et lenfonça assez profondément, afin que seulement cinq centimètres de cette baguette, restent en dehors de son cul
.
- A toi Maman !
Madame la Cuisinière fit la même chose, puis ce fut autour de Monsieur Walter, de Monsieur Julien, de Mademoiselle Lucie de glisser en lesclave MDE ces ustensiles servant habituellement à manger dans les pays asiatiques. Ils recommencèrent plusieurs fois leur stratagème, et lorsquil en eut une trentaine dans le fion, Endymion MDE commença vraiment à ressentir ce supplice et délice chinois
Son trou sélargissait au fur et à mesure, se distendait inlassablement, sécartait irrémédiablement !
Lesclave mâle MDE resta là le temps que tous eurent fini leur dessert servi pour loccasion par lesclave Phryné MDE
(A suivre
)
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