Leslie Nr10

Leslie NR10 – Nouveaux récits
Récit d’hétéro. Découverte après rupture

Il prenait toujours les devant, il quittait avant d’être quitté, mais ce soir, alors qu’ils viennent de faire l’amour, Laura, allongée nu dans le lit contre lui, annonce avec sa voix douce qu’elle met un terme à leur relation.
- Tu sais, lui dit-elle ce n’est qu’une relation de sexe, ça n’ira jamais plus loin tous deux.
C’est vrai qu’ils prenaient du plaisir ensemble, mais ils ne faisaient rien de plus que coucher dès que l’occasion se présentait.
Ce petit bout de femme brune aux cheveux noirs de jais d’un mètre soixante, au corps d’adolescente et au regard de braise, lui avait tapé dans l’œil et le soir même ils avaient fait l’amour chez lui…
Trois mois de plaisir, de nuits torrides où chacun se livrait sans compter dans corps à corps les laissant sans vie, mais en sueur de plaisir et de bonheur.
Elle lui avait tout offert, même son intimité secrète qu’une femme offre dans la confiance absolue. Mais elle voulait construire pour aller plus loin et ne se sentant pas prêt, il reculait l’échéance.
Comprenant qu’elle ne plaisantait pas, il s’est levé, rhabillé, puis avant de la quitter, il a déposé un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, sans un commentaire, puis est partit de chez elle dans la nuit, la mort dans l’âme.
Une rupture qui lui faisait mal, car à cet instant, il comprit qu’il était amoureux…

Il s’est réfugié dans un bar pour boire un whisky, histoire de noyer sa tristesse un instant avant de retourner affronter la nuit.
Il marche au fil des rues pour renter chez lui et s’arrête une nouvelle fois, sur sa route, dans un bar, sans remarquer que c’est le repère des homosexuels de la ville. Il remarque un homme blond au comptoir et des personnes assises, mais n’y prête guère attention, puis après avoir bu son verre il repart dans la nuit.
Peu de temps après, il remarque que l’homme blond du bar le suit et c’est aux abords du parc qu’il l’aborde en disant :
- T’as l’air complètement perdu ?
Il le dévisage un peu, la quarantaine, belle gueule, bien habillé, certainement à la quête d’un compagnon de nuit, il rajoute :
- J’ai ce qu’il faut pour toi, si tu le veux, car je t’ai déjà vu dans le coin…
- J’habite à deux rues d’ici, dit-il.


- Non, ce n’est pas la première fois que tu te retrouves là, et tu sais que c’est le coin des rencontres entre hommes.
- Oui, c’est vrai je le sais pour y venir quelques fois.
- Et je pourrais te changer les idées…
Il s’approche un peu de lui, tout en disant :
- Palpe pour te faire une idée !
Alors posant ma main sur la bosse d’un geste quelque peu désinvolte, je lui dit :
- Cela me parait fort sympathique, mais je n’ai pas le cœur à faire cela dehors…

Il l’invite à aller chez lui, dans sa villa située sur les hauteurs, en disant :
Dans le lit, nous aurons une vue magnifique sur toute la ville, et nous ferons l’amour sur un fond musical en profitant de cette première rencontre.

En se rendant chez lui, je me demande pourquoi un beau mec comme lui ne cherche pas une copine et vient chercher du sexe dans un endroit aussi glauque que ce parc, les filles ne manquent, enfin…
Il me donne ce soir l’occasion de passer un cap, d’oublier la rupture et de gouter à un mec.
Arrivés chez lui, je peux m’empêcher de lui dire :
- Montre-la-moi vite, dis-je en retirant mon blouson pour être plus à mon aise.
Il dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon, puis relève également sa chemise.
Ma main glisse dans l’ouverture et rencontre une belle grosse queue ainsi qu’une solide paire de couilles, confirmant que je ne devrais pas perdre mon temps. Naturellement, il descend son pantalon jusque sur ses chevilles. Ainsi libérer de ses entraves, il révèle pleinement la beauté de son solide sexe.
Son torse puissant et son ventre plat quasiment imberbe se terminent sur un pubis glabre qui met encore plus sa queue en valeur et ses lourdes et volumineuses couilles sont parfaitement en rapport avec sa queue, il dispose d’un sérieux matos, et soudain j’oublie tout, la rupture et mon désarroi, je n’ai qu’une envie, celle de me faire enculer…

- Suce-moi, me demande-t-il…
Je maintiens son membre d’une main afin que ma bouche se pose sur l’énorme gland circoncis se présente à mes lèvres, ma langue, découvre la douceur du gland, puis s’attarde longuement sur le frein, ma main cajolant ses testicules.

Ma bouche s’entrouvre et l’épaisse hampe disparait dans ma bouche, puis en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour aller plus profond et lui donner le maximum de plaisir.

L’homme bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le membre sur toute sa longueur, prenant plaisir à l’entendre gémir. En le suçant je me suis mis à poil, au cas il voudrait me prendre et avant qu’il ne jouisse dans ma bouche, je me relève pour lui demander :
- Tu veux m’enculer ?
En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre qu’il est d’accord et je sens aussitôt un doigt me rentrer dans l’œillet.
- Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en m’enfonçant encore plus son doigt en moi.
Il me roule une pelle alors qu’il me doigte le cul, je sens un deuxième doigt entrer en moi et je ne peux retenir un petit cri de surprise et de plaisir.
Ses doigts qui découvrent mon cul m’envoient des ondes dans le ventre m’émoustillent, ils m’investissent le rectum et en testent la souplesse, l’élasticité.

Je le reprends en bouche afin de lui redonner la vigueur et la raideur avant de me sodomiser, j’en profite pour lui investir d’un doigt timidement le rectum, alors que lui ne se prive pas de me doigter de plus en plus intensément, il ouvre mon cul…
Il me place à genoux dans le fauteuil du salon, le cul relevé pour mieux en disposer, et là il me demande :
- Tu n’es pas vierge du cul ?
- Si, lui dis-je doucement.
Alors il m’enduit l’anus de gel, et s’enduit aussi copieusement le sexe, en disant :
Ainsi, ça va rentrer tout seul…

Sans perdre de temps, je saisis la lourde queue pour l’attirer entre mes fesses. Le contact de son gland contre mon anus me fait frémir, il est énorme, je le promène un peu circulairement plusieurs fois pour m’habi et lui demande de s’enfoncer en moi doucement après l’avoir placé sur mon œillet.
Ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi.
Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son gland luisant de gel me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants.
- Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !
- Non, mais tu es tellement gros !

Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi lentement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse l’homme investit mes reins.
Sa large queue distende mon trou au maximum et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, je ne pensais jamais pouvoir me la prendre toute entière, et je sens qu’il est serré entre mes fesses.
Je suis offert au maximum et ses bourses viennent lourdement s’écraser contre mes fesses à chaque plongée, m’arrachant des râles de plaisir. Il m’encule avec régularité, me tirant des hurlements de jouissance.
Ses râles s’intensifient, sa main passe sous moi pour venir me branler, alors qu’il pousse encore plus pour me la mettre plus fort, me remplir le cul de sa queue et de son foutre.
Soudain, il accélère la cadence et plante d’un coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles s’écrasent contre le bas de ma fesse, d’intenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il palpite et m’envoie d’énormes giclées de sperme au plus profond de moi.

Puis totalement immobile en moi, il savoure son orgasme, celui qu’il vient de prendre entre mes reins, puis, lentement il recule, entraînant son sabre glissant encore dur hors de moi.
Tout en me redressant et en prenant en main le membre de l’homme, je lui dis :
Fabuleux !
- Ton petit cul serré est trop bon et si tu veux tu viens quand tu le veux, au même endroit qu’aujourd’hui…
Je me rhabille, il me raccompagne à la porte et je disparais dans la nuit, il est temps de rentrer, le jour va bientôt se lever…
J’ai le cul en feu, mais je vais certainement recommencé !

A suivre…

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