Lucie

Il y quelques semaines alors, que venaient de paraitre ici même mes premiers récits, je reçus un mail écrit par un contact nommé : Les fantasmes d’une jeune femme.
Celle-ci m’indiquait qu’elle fantasmait sur la fessée et qu’elle souhaitait réaliser son fantasme.
J’instaura donc une conversation afin de faire plus ample connaissance, je découvris qu’elle vivait dans la même ville que moi, ce qui facilita grandement les choses dans la planification de notre rencontre.
Rendez-vous fût pris dans un bar dans un centre commercial très fréquenté, je ne connaissais que son nom : Lucie
Elle m’avait informé de sa tenue, un jean, un pull rayé bleu et blanc et qu’elle était brune aux cheveux coupés au carré.
A l’heure H du jour J, je me présente dans ledit café, et ne voit parmi les quelques clients personne ne correspondant à la description, je décide donc de patienter discrètement au fond du bar et observe les allées et venues.
5 minutes plus tard arrive une jeune femme correspondant à la description, quelle n’est pas ma surprise en découvrant d’une part que je la connais et d’autre part que nous nous côtoyons quasiment tous les jours.
Lucie N., élève en 1ère année de BTS de Géologie, est une jeune femme très préoccupée par ses résultats scolaires et accessoirement l’une des meilleures élèves de sa classe, je la vois fouiller l’établissement du regard jusqu’à arriver sur moi, bouche bée, téléphone à la main.
Moment de flottement.
Je ne sais absolument pas ce qu’il va se passer, d’un côté, j’ai déjà pratiqué ce genre d’exercice, de l’autre, je me retrouve avec une fille avec qui je travaille au quotidien et qui a l’air d’une vraie coincée seulement intéressée par ses révisions (ce qui en soit est honorable de sa part).
Elle s’approche de moi et vient me faire la bise, je lui propose de s’assoir, elle me demande ce que je fais dans ce bar à une heure si matinale, question que je lui retourne.

Elle me répond qu’elle a un rendez-vous, je lui montre alors les différents échanges que j’ai eu avec mon inconnue, je la vois instantanément rougir.
Elle me dit alors qu’elle ne s’imaginait absolument pas me trouver en face d’elle et qu’elle était du coup hésitante, chose parfaitement compréhensible.
J’en profita pour la rassurer, lui disant que par ‘’professionnalisme’’, elle n’avait rien à craindre de ma part sur la discrétion qu’exigeait pareille situation et que comme toutes les filles passées en travers de mes jambes, débutante comme habituée, elle avait son mot à dire sur ce qui pouvait se passer.
Elle me dit alors qu’elle était davantage stressée à l’idée de dévoiler son intimité à une personne qu’elle côtoie au quotidien qu’au parfait inconnu qu’elle s’imaginait rencontrer ce matin.
Après quelques échanges pour la rassurer, je lui propose de commencer à parler boutique, elle me répond par un petit oui tout timide.
Nous relisons ensemble les différents mails que nous avons échangé pour éviter toute confusion :
Fessée bien dosée, ni trop forte ni trop légère sur mes genoux, déculottage selon la volonté de la miss, pas d’instruments.

Arrivés à un accord, je présente un papier à Lucie :
Elle accepte de recevoir une fessée de ma main et atteste qu’elle ne me poursuivra pas en justice pour les éventuels dommages que subirait son postérieur.
Elle signe et nous partons, pour la tranquilliser et la rassurer, je vais la fesser chez elle.
Une fois chez elle, avant de commencer les réjouissances, je lui rappelle qu’elle peut exprimer différents souhaits pendant la fessée, variation du rythme, force, et qu’elle peut décider d’arrêter immédiatement avec le safeword.
Elle respire profondément et me fait oui de la tête, elle est vraiment très mignonne dans son jean serré et son petit débardeur blanc.
J’att une chaise, prends délicatement la demoiselle par la main et tout aussi délicatement l’amène se poser sur mes genoux.
Une fois calée comme il se doit, je pose ma main gauche dans le creux de ses reins et la droite sur ses fesses. Prêt à commencer, je lui demande si elle l’est aussi, sa réponse est sans appel : Vas y.

Je lève lentement la main et la fait retomber par simple gravité, je perçois un petit sursaut, je savais qu’elle était nerveuse (ce qui peut être compréhensible dans cette situation), d’où la ‘’délicatesse’’ du début, je continue en augmentant progressivement le rythme, mais sans augmenter la force.
Au bout d’un certain temps, les claques commencent à faire leur effet, c’est le moment que je choisis pour pimenter les choses, je la remets sur ses jambes, la regarde droit dans les yeux tout en défaisant sa ceinture. Je vois dans son regard qu’elle plus curieuse qu’inquiète. Je continue donc et par petites secousses, amène son jean à ses genoux.
La belle se retrouve donc en slip et en débardeur, ce qui lui donne un côté très sexy. Elle ne revient pas sur mes genoux, c’est pas qu’elle soit très lourde mais quand même, je la penche donc sur la table et reprend de plus belle. Cette fois, je monte progressivement en puissance jusqu’à donner aux fesses de la miss une belle teinte rouge pâle.
Nous avions convenu que le déculottage se ferait en fonction de son ressenti, elle se redresse en frottant son petit derrière et se tourne vers moi. Pas un mot, en un regard, je comprends qu’elle est partante pour l’étape ultime (et ma préférée). Je glisse donc mes deux index sous l’élastique de sa culotte et aide ainsi Dame Pesanteur à faire son boulot.
La demoiselle se tourne et lentement enlève son débardeur premièrement puis après une courte hésitation, enlève son soutien-gorge. Je suis pris de court, si je n’étais pas assis, j’en tomberais le cul par terre, c’est une journée pleine de surprises.
Elle se retourne enfin et je découvre une sublime jeune fille en tenue d’Eve, beaucoup de garçons se retournent sur son passage et ce avec raison. Sa poitrine n’est ni trop petite ni trop grosse, plus bas, son intimité est épilée avec le plus grand soin, je suis sans voix.

Je la récupère sur mes genoux et reprends ma besogne, cette fois ci, j’alterne tantôt la vitesse et la puissance tantôt la douceur et l’érotisme, au bout de quelques instants, elle me demande d’y mettre un poil plus de force, je change donc de régime et mets toute la gomme, après tout, c’est elle qui l’a demandé.
Pendant de longues minutes, je maltraite ce joli fessier lui faisant prendre des couleurs à vue d’œil, je calme donc la tempête et termine donc dans la douceur, s’ensuivit un long massage.

Alors que je suis sur le point de repartir, elle me ratt et me fait une proposition : Je supervise son travail et la remets dans le droit chemin à la moindre mauvaise note ou si j’estime qu’elle s’égare.

Pourquoi pas …