Leslie Nr11
Leslie RN11 Nouveaux récits
Récits dun rêve. Ah si seulement
« Au premier contact, jai frémit, bien que prête jai inconsciemment fait un mouvement de recul pour échapper au contact
Rapide et fugace, des bouts de doigts avaient simplement parcouru ma peau nue, comme le souffle du vent caresse les blés en été, sans jamais sarrêter.
Dans lobscurité presque complète dune pièce, sur le lit, je reposais nue sur le ventre, les fesses justes éclairées par un halo de lumière, me laissant dans une position quasiment indécente
Je sursaute encore lorsquun doigt hardi dessine la courbe de mes reins avant de sarrêter, hésitant, à la naissance du sillon de mes fesses, un court instant il ne bougea, puis senhardissant glissa doucement entre mes fesses, glissant mutin et délicat sur toute mon intimité, effleurant toute ma fente jusquà la perle nichée à la commissure de mes lèvres. Sans se hâter, il la fit doucement rouler, la dégageant de son petit capuchon en de gestes précis et délicats.
Dautres doigts se joignirent bientôt à la fête pour caresser sur mes chairs à vif, sinsinuant dans mon intimité, sans se presser en ouvrant progressivement les voies de mon plaisir.
Je me suis cambrer en ouvrant les jambes un peu plus pour moffrir sans entrave aux caresses et les doigts prirent possession de mon corps qui souvrait à eux, glissant toujours plus loin.
Fermant les yeux, soumise et consentante, je me laissais entraîner.
Bientôt un nouveau contact se fit, sur mon petit bouton une langue, certainement, venait de pointer. Des mains poussèrent sur mes chevilles pour mouvrir les jambes, encore plus pour laisser le champ libre à la tête qui venait de prendre possession de mon bas-ventre.
La langue experte commença sa danse infernale, se baladant sur toute mon intimité, tantôt taquinant mon clitoris, centre de mon plaisir, tantôt lapant goulûment mes lèvres débordantes de jouissance.
Les deux mains prirent mes fesses pour les écarter, faisant naître un torrent de plaisir qui memporta, me laissant sans réaction. La langue se promenait partout, glissait et sinsinuait en moi, tourbillonnait autour de ma perle maintenant chauffée à blanc.
Bientôt, elle saventura plus haut pour se poser subrepticement sur mon petit anneau que mes fesses maintenues ouvertes ne dissimulaient plus.
Mon bouton fut aspiré, léché, alors que les mains pétrissaient mes fesses, mon petit trou visité par la langue, puis par un doigt inquisiteur.
Je sentais lexcitation dans chacun des gestes qui exploraient mon corps, ce désir puissant et animal quune femme ressent au contact du mâle et qui me met toujours dans le même état.
A cet instant plus rien ne comptait sinon quun membre dur et gonflé de désir, conquérant, me possède
Comme pour répondre à ma demande, la douce caresse dun gland chaud se fit sentir sur mes lèvres gonflées par lexcitation, il les parcourut doucement de haut en bas, senfonçant à peine dans mon fourreau moelleux et humide, semblant se délecter de limpatience quil provoquait en moi.
Puis, sans se hâter, le membre tendu senfonça en moi, dun trait, ne sarrêtant quen fin de course, lorsque le bas-ventre de mon assaillant toucha mes fesses.
Le membre était large et je me sentis délicieusement remplie. Des mains fortes me saisirent par les hanches et le corps derrière moi entama sa danse diabolique.
Dabord lents, les mouvements devinrent vite amples et réguliers, me pénétrant sans relâche en tentant daller plus loin encore, je mabandonnais en me cambrant le plus possible pour accueillir le membre qui coulissait en moi, merveilleusement serré.
Mes chairs les plus intimes, écartelées par le sexe massif, me lançaient des ondes de plaisir, irradiant mon corps dans une douce volupté, mon fourreau brûlant fourmillait de mille sensations qui ne cessaient de grandir, prenant peu à peu possession de tout son corps.
La tête me tournait maintenant, la jouissance qui memportait était puissante, jaurais voulu être baisée ainsi longtemps, sans jamais que ça sarrête.
Tout mon corps était pris de tremblements incontrôlables, soumise au plaisir qui memportait, haletant et gémissant sans pouvoir me contrôler, je perdais pied par ce sexe qui me pénétrait sans relâche
Soudain, il accéléra, me prenant de plus en plus vite, me bousculant à chaque poussée, sans faillir et de ma gorge séchappa un cri de bonheur lorsque lorgasme memporta.
A cet instant, son amant se plaqua contre moi, me maintenant de toutes ses forces pour exploser, bien calé au plus profond de mon ventre.
Je me fis accueillante pour profiter de chaque tressaillement du sexe qui se vidait en moi dans de grandes saccades désordonnées.
Dans un dernier élan conquérant, il se retira soudain, et presque aussitôt, son gland luisant de nos deux jus mêlés et encore parcouru de spasmes violent plongea entre mes fesses cambrées. Mon petit anneau, longuement titillé par une langue et des doigts curieux, ne résista pas longtemps et souvrit pour accueillir le membre en éruption.
Malgré les secousses qui la traversaient, la colonne de chair déchaînée progressa rapidement, continuant à cracher sa lave incandescente dans de puissants jets. Elle ne sembla se calmer quune fois enfouie au plus profond de moi.
Il sattarda longuement entre mes fesses, profitant de mon anus accueillant pour continuer ses allers et venues, puis lentement il se retira, me laissant seulement sa jouissance en moi et un grand vide dans mon cul.
Les yeux mi-clos, je me suis laissé aller doucement, imaginant le spectacle de ma croupe cambrée et de mes deux orifices encore entrouverts, suintant de la jouissance du mâle qui mavait possédé et qui commençait à séchapper... »
Je vis dans lobscurité, le réveil marqué deux heures, alors je me suis retournée vers le corps allongé de Laure auprès de moi, qui me regardait.
- Tu nas pas honte de me réveiller ? demandais-je faussement sévère.
- Je ne tai pas réveillée, tu as dû faire un rêve ma Leslie.
- Certainement, dis-je.
- En plus franchement, ça devait être torride, car les draps en témoignent, regarde linondation que tu as faite, me dit Laure.
- Jai rêvé que jétais une femme et je tavoue que ce rêve ma mis dans un drôle détat.
- Je le vois. Tu me raconteras ? Me demanda Laure.
- Je ne sais pas, on verra
Et je me suis glissée sous la couette pour me rendormir, la tête pleine dimages, le corps emplit de sensations et le sexe raide. Laure attendra
A suivre
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