Ma Femme, Cette Grosse Cochonne Insoupçonnée.

Ma femme et moi avons une petite vie bien rangée depuis quelques années. Nous avons tous les deux la quarantaine, une belle maison en banlieue parisienne, deux voitures, 3 s entre 12 et 6 ans, bref, la vie « normale », et banale. Tout va bien, évidemment le sexe et les câlins se sont bien réduits depuis environ 10 ans, avec les s et la course de dingue qu’exige nos boulots respectifs donc fatigue, pas de temps, pas de câlins et peu de sexe qui d’ailleurs est toujours un peu pareil, une fois ou deux dans le mois, le samedi soir, dans le noir, dans la chambre… rien de bien nouveau et d’excitant.
Depuis quelques temps déjà, j’avais reçu une wonderbox en cadeau et nous devions nous échapper rien que tous les deux. Elle avait fait un premier tri, et j’effectuais le second, avec le choix final de la maison d’hôte. Ce sera la Sologne, pour une nuit avec jaccuzi et sauna le soir, diner, la nuit et le lendemain matin soins et massage pour ma femme.

Je prépare ma partie de la valise, avant qu’elle ne prépare ses propres affaires. J’en profite, pour y glisser deux belles bougies, ainsi qu’une paire de bas résilles, body lingerie en dentelle et une paire d’escarpins qu’elle n’a dû mettre qu’une seule fois. Ceci en espérant qu’elle le découvre et que ce soit un signal pour elle… Lui faisant clairement comprendre mes intentions du week end. Je veux du cul !!! et pas dans le noir en position du missionnaire dans notre lit !! Je veux qu’on s’éclate, qu’on s’envoie en l’air, qu’on transpire.

Nous partons en voiture, 250 km à faire, pas d’allusions pour la valise, je n’ai pas vérifié si elle avait retiré ce que j’y avait mis. Deux heures trente de route où nous parlons de tout, de rien, tout le monde se détend, c’est agréable, surtout reposant, pas d’s, pas de devoirs, pas de chamailleries à gérer, bref, du bonheur.
Nous arrivons doucement vers notre destination finale, au fin fond des bois, où le réseau cellulaire ne fonctionne pas, l’humidité ressort nous laissant cette odeur d’humus et de terre si caractéristiques.

Je me gare, nous descendons de la voiture afin d’aller à la rencontre de notre hôte et prendre possession de notre chambre. Nous entrons dans le grand hall où un feu de bois crépite et réchauffe l’atmosphère humide des environs. Deux grands canapés un et fauteuil sont installés, formant un U en face de la télé avec également un bar à disposition des vacanciers de passage.
Puis dans la même grande pièce, la salle à manger où 4 tables pouvant accueillir une vingtaine de personnes sont disposés proche des cuisines. Tout cela dans une ambiance de chasse avec des renards et sangliers empaillés des bois de cerf sur la cheminée.

Nous avons la chambre jaune, au premier étage, ah, oui, ça c’est bien jaune, ce n’est pas ce qui est de plus beau, mais enfin c’est pas mal.
Nous nous installons tranquillement et décidons d’aller dans le jacuzzi puis ensuite nous irons au sauna. La règle est stricte, avant d’aller au jaccuzi, douche obligatoire dans les chambres. Valentine prend donc sa douche la première, je serais le suivant.
Pendant qu’elle est sous la douche, je prends la valise pour sortir mon maillot de bain et j’en profite pour regarder si tous mes petits « ajouts » se trouvent toujours dans celle-ci. C’est le cas, tout y est en plus de ses affaires, elle a donc tout vu et décidée de tout garder.
Elle termine, je la remplace sous la douche puis me sèche et me met en maillot de bain. Nous descendons dans le hall, qu’il nous faut traverser pour aller dans la zone de salle de sport / jaccuzi / sauna. Nous croisons un couple de vieux retraités, 65 ans environ, avec une carte de la région dans les mains et un livre sur les champignons. Puis deux gars affalés dans les canapés devant la télé avec des magazines de moto à la main, et enfin, assis à une table à manger de nouveau un couple de personnes âgés jouant au rami ou je ne sais quel jeu de carte.
Je remarque que les deux jeunes qui doivent avoir 25 ans environ regardent Valentine passer en maillot de bain avec insistance. Lorsque nous passons la porte de la salle de sport, elle referme la porte, et je la remarque jeter un coup d’oeil dans leur direction.

Nous plongeons dans le jacuzzi, c’est agréable, nous sommes seuls j’essaie gentiment de la prendre sur moi, de la caresser, elle veut être tranquille pour profiter du jacuzzi… Et bien mon week end sexe, c’est pas gagné !!!
Puis après 20 min, nous passons au sauna, nous sommes toujours seuls dans cette salle, et pareil, j’essaie d’avoir quelques gestes de tendresse, un peu de caresses mais rien n’y fait. Ça sonne, 10 min que nous sommes la dedans, il faut sortir. Nous sortons, et décidons de remonter dans notre chambre pour ensuite aller nous promener avant le dîner à 21h.
Je remarque de nouveau le contact visuel des deux mecs et de Valentine qui les cherchait du regard. Nous rentrons dans la chambre. J’engage la conversation :
« - Alors, tu les trouves comment les autres personnes de la maison ? »
Ça va, les vieux, ils sont marrant avec leur livre et leur carte, à la chasse aux champignons.
Et puis les autres ?
Les autres ? Avec leur jeux de carte, cela me fait penser à papy et mamie lors de leurs parties endiablées. »
Mais ne voit elle pas où je veux en venir.. les vieux je m’en fout !!! pourquoi porte-elle tant d’intérêt aux deux jeunes. Oui, ils sont mignons, mais ils sont jeunes quoi. J’insiste encore un peu.
«  - Et les deux mecs ? un peu bizarre de les trouver ici non ?
Oui, mais bon, ils sont tranquilles ils doivent profiter des zones de moto du coin, avec leur magazines. Ils sont sûrement sympa, on verra ce soir à dîner lorsqu’on parlera à tout le monde. ».

Nous prenons notre douche et nous habillons t-shirt, jean, basket, pour une petite promenade dans les chemins de la Sologne, après 45 min, nous rentrons et décidons de lire un peu dans notre chambre avant 21h, le début du dîner.
«  - Il est 20h45, je vais descendre regarder la fin des infos et la météo à la télé en bas » me dit-elle.
« - OK, je termine mon chapitre, et je te rejoints dans 5 bonnes minutes, pas de problèmes ».

Après 5 minutes, je sors de notre chambre et descends les escaliers qui donnent sur le salon / salle à manger, où je trouve les deux couples de vieux qui discutent, les deux jeunes toujours affalés, mais dans le même canapé ce coup-ci faisant face à Valentine également dans la même position.
Je n’ai que rarement vu Val dans une telle posture, à moitié allongé sur le canapé. Ces canapés où l’on s’installe bien droit et qu’après 5 minutes les fesses avancent, le dos se courbe, les jambes s’écartent pour ne pas se laisser glisser plus en avant.
C’est alors que je remarque qu’un des mecs se caresse la protubérance naissante sur son jean, et que l’autre à carrément la main dans son pantalon au travers de sa braguette et ils font cela en regardant Valentine qui les observe également.
Je descends rapidement les 3 dernières marches, ce qui fait un peu de bruit, je remarque alors que tout le monde se redresse et met le nez dans les magasines de la table basse. Val se redresse également, et resserre ses jambes.

Nous passons tous à table, je suis content, nous sommes avec le couple de joueurs de rami, et les deux gars sont avec les cueilleurs de champignons. Je n’ai pas trop aimé cette situation, je ne comprends pas trop ce qui se passe, ce qui m’échappe. J’ai l’impression qu’elle écartait les jambes devant eux et qu’ils se masturbaient. C’est quoi cette situation ?
Bref, c’est terminée, je veux manger tranquillement et ce soir avoir un gros câlin avec des bougies et si possible un peu de lingerie fine pour m’exciter et repartir d’ici comblé et satisfait.
La fin du repas arrive, il est 22h30 environ, les tables sont débarrassées, et notre hôte nous invite à soit rester ici en bas à discuter en silence, soit à gagner nos chambres, ce que nous décidons tous de faire comme tout le monde apparemment.

Nous montons dans notre chambre d’un jaune poussin inoubliable.
«  - Mince, j’ai oublié mon portable sur la table en bas » me lance Valentine en se dirigeant vers la porte.
«  - Je descends le chercher à toute suite ».
Je la laisse descendre et m’installe sur le lit avec mon livre. 2 ou 3 minutes passent, toujours pas de Valentine mais j’entends des gens discuter et rire en bas. Je décide de descendre pour en avoir le coeur net. Valentine doit surement discuter avec la patronne qui n’est pas encore partie.
Je descends doucement les marches et trouve Val, assise entre les deux mecs sur le canapé en train de rire sottement aux vannes débiles de deux gars dont les hormones débordent. Je remarque de l’un d’eux à même sa main sur la cuisse de ma femme, elle n’a pas l’air de le sentir.

«  - Ça va, je ne vous dérange pas trop ? Val, tu fais quoi là ? Je t’attends !
Oui, ça va, j’arrive, on discute simplement, j’ai le droit de m’amuser un peu non ? de rire et de prendre du plaisir !
Du plaisir ? comment ça ?
Bah oui, de m’éclater un peu ! C’est bien ce que tu veux non ? qu’on s’éclate un peu, qu’on casse un peu la routine ? Et bien moi, j’ai envie de ça !
Tu as envie de ça ??? Ça quoi ? »
Tous ces propos commencent à m’inquiéter. Mais qu’est-ce qu’elle veut dire ? Je commence à avoir peur.

« - Bah oui, je veux avoir du plaisir et m’éclater aussi, tu crois que je n’ai pas vu ce que tu avais mis dans la valise ?
Je me doute bien que tu l’as vu, c’était en plein milieu pour cette raison.
Et bien d’ailleurs ne bouge pas, je reviens dans deux minutes. Vous les mecs non plus ne bougez pas ! ».
Je la regarde monter les marches en courant, puis regarde les mecs en train de ricaner bêtement.

Trois à quatre longues minutes plus tard, elle descend, je la distingue dans les marches d’escalier, les talons aiguilles aux pieds, en bas et body sexy. Putain, ma femme est en lingerie fine dans le salon avec des inconnus. Elle veut se faire sauter par tous les mecs du coin ou quoi ? Elle passe devant moi en me regardant et se frottant à moi puis va s’installer entre les deux gars, tout excités (comme moi d’ailleurs). Elle pose ses mains sur les sexes déjà gonflés des deux mâles en chaleur, elle me regarde en souriant et accélère le mouvement caressant les tiges surement prêtent à exposer de ces messieurs qui n’attendent que cela.

La situation me fait me sentir mal à l’aise, mais bon, en fait je ne sais pas, cela m’excite plus, que cela ne me dérange en fait, je reste là, à les regarder. L’un des mecs pose sa main sur le sexe de Valentine qui écarte délicatement les cuisses, tandis que sa bouche vient mordiller le mamelon de ma femme au travers de la dentelle noire et semi-transparente de son body. L’autre se met debout sur le canapé, il a déjà enlevé son pantalon ainsi que son slip. Il bande comme un taureau, il a une grosse bite, bien plus grosse que la mienne, et l’approche doucement de Val. Elle me regarde toujours et ouvre doucement la bouche en se léchant les lèvres. De sa main droite elle maîtrise la bête qui veut entrer en elle tout de suite, mais la retient. Elle fixe dans les yeux le gars qui se tient debout à coté d’elle, tire doucement la langue pour titiller délicatement le bout du gland et l’exciter au plus haut point. Il ferme les yeux en gémissant doucement, puis d’un seul coup, elle enfourne la grosse queue dans sa bouche, bien au fond.

Punaise, elle ne m’a jamais fait ça, jamais, jamais, elle se lâche complètement, mais le soucis c’est que ce n’est pas avec moi.
Ma femme est donc assise en train de sucer et de branler un mec debout à coté d’elle pendant qu’un autre lui suce le sein et lui met un doigt dans la chatte en passant sous le body. Je m’assieds sur le canapé en face d’eux, et me caresse la tige qui a bien grossi en regardant ce spectacle. Je regarde un porno en live, en fait, avec la petite nuance que la porn star, c’est ma femme.

« - Vient me sucer ma belle » sort le type qui lui léchait le sein et lui caressait la foufoune.
Elle se tourne délicatement à gauche, me regarde en enlevant le bouton et la braguette du garçon qui venait de lui ordonner cela. Puis elle se penche sur son bâton rouge qui est encore plus gros que celui de son pote. Elle le prend en main et le lèche de bas en haut, doucement, toujours en me regardant. Elle ferme les yeux, salive sur sa bite qu’elle prend en bouche jusqu’au gland dans un premier temps.
Son copain descend du canapé, enlève complètement son pantalon et se positionne à genoux devant le canapé, il plonge sa tête entre les cuisses de ma femme, passe ses bras sous ses cuisses gainées de bas résilles, elle s’allonge un peu afin de mieux se positionner. Elle pousse un léger gémissement, je vois la langue du mec balayer la chatte au travers de la dentelle du body.
Il déboutonne le bas du body et remonte ce qui cachait le sexe de Val. Sa langue la pénètre à présent, et il y glisse un doigt, puis deux. Elle, s’affaire sur la grosse bite de l’autre qui lui tient la tête par les cheveux. Elle lui caresse les couilles pendant que lui, force la tête de ma femme à le sucer encore plus loin, je ne distingue presque plus sa tige tellement elle doit avoir tout le reste au fond de la gorge. Je l’entends tousser, limite à s’. Elle tousse et s’arrête en remontant la tête. Un grand filet de bave relie sa bouche au sexe du mec en plein extase.

Le gars qui était en train lui sucer le clitoris s’assied les jambes écartées sur le canapé, il att Val et la met à genoux devant sa grosse queue rouge, prête à exploser, lui prend la tête et la force à le sucer. Il relève les jambes laissant deviner qu’il lui offre non seulement sa bite, mais aussi ses couilles à lécher et son anus. L’autre mec qui vient d’avoir une pipe d’enfer, enlève son pantalon, me regarde, et se met à quatre patte derrière ma femme qui écarte les cuisses. Elle veut se faire lécher la chatte. Je vois qu’elle écarte un peu plus ses fesses avec sa main, elle découvre ainsi son anus que le type s’empresse de saliver, cracher dessus. Pendant qu’il lui met la langue dans le cul, il lui enfourne deux doigts dans la chatte. Ma femme gémit doucement et avale goulument les couilles de l’autre gars allongé sur le canapé.

Je bande comme un fou et descend ma braguette afin de faire sortir ma tige qui semble bien petite en vue des autres engins de sortie aujourd’hui. Val ne le voit pas, elle me tourne le dos, enfin le cul, et en plus le type qui la léchait se relève à présent pour l’enfiler par derrière. Il veut la recouvrir de foutre. Le type allongé relève ses cuisses, Val baisse la tête et commence à lui lécher l’anus avec sa langue, je crois même qu’elle enfonce sa langue dans le cul de son partenaire N° 1. Pendant ce temps, partenaire N°2 accélère le mouvement, chevauchant Val et poussant l’arrière de sa tête dans le cul de son pote. Il s’arrête, remonte sa bite un peu, il veut la sodomiser. Oh non, pas elle, il n’y arrivera pas, elle refuse systématiquement, dès que je m’approche de cette entrée interdite. Il pose doucement son gland sur la rondelle de Val, elle se redresse et le repousse.
« - Pas encore » dit-elle.
Putain, pas encore !! cela veut dire plus tard ? Que veut-elle dire par « pas encore ? »
Le gars ne se démonte pas, il salive alors sur sa rose et lui met doucement un doigt. Elle ne dit rien. Elle s’arrête de nouveau, se met debout.
Qu’elle est sexy et bandante avec ses escarpins, bas résilles et body…. je commence à me branler doucement. Elle me regarde, et vient à califourchon sur le mec qu’elle suçait ardemment. Il s’empresse de bien lui écarter les fesses pour lui enfiler son pieux énorme dans la chatte bien humide et dilatée par les doigts de son copain. Elle gémit d’un soupçon de douleur tellement la bite est grosse à entrer dans son fourneau chaud, humide et dégoulinant de salive et de cyprine. Val monte le premier type, je vois son cul faire des va-et-viens sur la tige dure de ce type. J’ai envie de l’attr par derrière, de lui prendre les talons et de la sodomiser violemment, mais pas de courage, pas de signe. Le second gus passe de l’autre coté du canapé, et lui présente sa queue dans la bouche. Elle est tellement grosse que ma femme a du mal à la faire rentrer dans sa bouche. Et encore ce n’est que la première partie de la bite, le reste à venir est encore impressionnant. Le gars qui la pilonne salive sur sa main qui vient doucement écarter ses fesses et lui glisse doucement un doigt dans le cul. Val ne dit rien, elle accélère même le mouvement et le doigt du type s’enfonce à 100% dans l’anus de ma femme, elle jouit, je le sens, je le sais.
Ils s’allongent sur le canapé, Val toujours sur le même mec, à genoux sur le canapé, ce qui fait que sa croupe est bien remontée et ouverte. Ni une, ni deux, le type qui se faisait sucer goulument fait le tour du canapé et vient se positionner derrière elle. Le gars qui la pénètre retire son doigt et suce les seins de Val, le second positionne doucement son gland sur la rondelle de ma bien aimée. Elle ne dit rien, doucement, il enfonce son énorme pieux dans son cul. Val se relève, écarte encore plus ses fesses, et me regarde tout en se laissant pénétrer.
« - tu aimes ça mon salaud, me voir me faire prendre par deux grosses queues. Tu aimes te branler, comme tu le fais d’habitude devant tes films pornos.

Elle se fait pilonner par les deux trous en même temps, elle gémit, elle crie., elle bouge pour s’enfoncer encore plus dans les bites des deux mecs bien montés. Celui qui la prend par derrière la tire par les cheveux, elle se cambre encore plus, ce qui la rend désirable. Il accélère le mouvement, il gémit à son tour et commence à jouir, il sort son sexe du cul de ma femme et une giclée de foutre vient s’étaler sur le dos de Val. Elle se retourne et lèche sa queue goulument, elle l’essuie en quelques sorte, je crois que j’ai également jouit, je sens que j’ai du sperme plein les mains.
Val me regarde en récupérant le trop plein de sperme qu’elle a sur le cul pour le mettre dans sa bouche. Elle me sourit Son acolyte se relève et se met face au visage de Val, qui le branle, il va jouir sur elle, sur son visage. Ça y est, c’est fait, il explose sur les seins de ma femme qui le prend en bouche tout de suite après son éjaculation.

« - Partez les garçons » lance Val pour s’en débarrasser rapidement.
Ils ont eût ce qu’ils souhaitaient, ils partent.
Elle se lève, vient vers moi, et me susurre à l’oreille…..
« - Je prends une douche et tu me referas cela quand tu veux mon amour….. »