Mon Beau Facteur.
Six mois, il ma fallu six mois pour arriver à mes fins ! Je suis un peu timide et pas super doué en matière de drague mais là, jai dû me faire violence. Ce mec, je le voulais et je lai eu !
Tout a commencé un samedi matin en décembre 2015, vers 9h15, on sonne à la porte. Moi, jétais dans mon pieu, réveillé avec une gaule matinale, javais la main droite dans mon caleçon en train de mastiquer le manche. Jai entendu la sonnerie mais je nai pas bougé, jai continué à moccuper de ma bite. Ça sonne à nouveau ! Bon, je me lève, cest peut-être important, jenfile un peignoir attrapé à la hâte, jai encore une sacrée érection, il faut que je me calme. Jarrive à la porte :
« Oui, quest-ce que cest ? ».
« Bonjour monsieur, désolé de vous déranger, cest le facteur, jai un recommandé avec accusé de réception».
« Ah oui, jouvre ! »
Je déverrouille la porte, ma trique na pas lair de vouloir passer, je noue la ceinture du peignoir en passant ma bite dessous pour bien la plaquer sur mon ventre et jouvre.
Là, le choc ! Un mec dune beauté renversante se tient devant moi, je navais jamais vu ça ! Alors là, ma trique reprend instantanément de la vigueur, jai dû marquer un temps darrêt, jimagine le loup de Tex Avery avec les yeux qui sortent de la tête et la langue qui de déroule jusquà terre.
« Bonjour monsieur, voilà le plis, jai besoin dune signature. »
« Oui, bien sûr, entrez, je suis pas habillé ».
Il entre, je signe. Il va partir, je ne veux pas, il faut que je trouve un moyen pour le retenir mais là, je nai pas vraiment didée
Ah si, jen ai une :
« Tant que vous êtes là, avez-vous encore des calendriers ? »
Il a lair un peu surpris, un jeune qui lui demande un calendrier ça ne doit pas être très fréquent ! En effet, jen ai rien à faire mais je nai rien trouvé de mieux pour le retenir !
« Euh, oui, il doit men rester quelques-uns, je vais vous les chercher dans la voiture.
« Super ! »
Je le regarde sen aller, une petite trentaine, 1m 80 au moins, mince, les cheveux châtains, frisés, il a les yeux verts, des traits du visage assez fins, un sourire à rendre fou. Il porte un blouson de la Poste, un pull noir à col roulé, un jeans noir coupe droite qui moule bien son joli petit cul, il a les jambes très légèrement arquées. Je le trouve super excitant.
Il revient en souriant, jen peux plus, je vais lui sauter dessus ! Je baisse les yeux, je vois une grosse bosse sous sa braguette. Je pense que je bave, une partie de mon cerveau me demande de magenouiller pour lui ouvrir la braguette et avaler ce quil y a dessous mais lautre partie me dit de me retenir ! Cest cette dernière qui lemporte, la barbe !!!
Il me montre les calendriers, tous plus moches les uns que les autres mais je men fous, je les regarde tous. Il est debout à côté de moi, ma main, qui feuillette les calendriers est à 25cm de son paquet. Jai envie de le toucher, je bande comme un âne. Il entame la conversation :
« Ça fait peu de temps que vous êtes dans cet appartement ? »
« Jai emménagé il y a 15 jours, jai trouvé du boulot au bout de la rue, à la médiathèque, jy vais à pieds, cest cool ».
« Carrément ! Je connais bien cet appart, jy ai vécu il y a quelques années avec ma copine de lépoque. »
Oh merde, un hétéro ! Et là, je pense quil a dû baiser sa copine partout, jimagine son chibre raide, droit, luisant de mouille qui gicle des litres de jus dans tout lappart, mon érection repars de plus belle.
« Ah ouais ! Cest marrant ça. Il est bien cet appart, très fonctionnel et lumineux. Pourquoi avez-vous déménagé ? »
« Ah, on sest séparés, cétait compliqué ».
« Désolé, je suis trop curieux. Je vous fais un café pendant que je choisis ? »
« Si vous voulez, cest gentil. »
Il est resté un petit quart dheure, il sappelle Damien et adore le footing. Je lui ai dit que moi aussi. En fait, jai horreur de ça ! Le mot courir me fatigue, je nai aucun souffle, aucune endurance, je déteste transpirer et je frôle la crise cardiaque au bout de trente mètres !
Et là, il me dit :
« Si vous voulez, on peut aller courir ensemble ».
« Ah ouais, super ! En plus, je ne connais pas grand monde, cest cool. »
On séchange nos 06 et il repart !
Je nai pas pu attendre, sitôt la porte refermée, je me suis fini en quelques secondes, je me suis inondé le vent et le torse.
Ça cétait le plus agréable ! Dans limmédiat, il fallait que jachète des baskets de course et que je mentraîne un peu pour ne pas passer pour le gros nase et le boulet de base.
A partir de ce jour, jai couru tous les jours et par tous les temps, jai cru crever à chaque fois, mes poumons mont brûlé comme jamais, jai sué sang et eau, jai eu des courbatures et des ampoules aux pieds qui mempêchaient presque de marcher mais jai tenu bon et jai senti les progrès. Je pouvais désormais courir 45 minutes. Bon, pour les coureurs qui lisent, ça doit vous faire marrer mais je partais de tellement loin, cest miraculeux ! Quest-ce que je ne ferais pas pour un beau mec !
Parallèlement, jai effectué tous mes cadeaux de noël par internet et en décalé bien sûr pour quil mamène, chaque jour un colis. On discutait un peu à chaque fois, dès quil sonnait mon rythme cardiaque saccélérait et je me mettais à bander. Jimaginais la tenue quil avait, jai remarqué quil avait plusieurs jeans différents, tous à peu-près coupés pareils mais de couleurs différentes. Tous mettent son cul et son paquet bien en valeur. A chaque fois, je me branlais comme un fou dès son départ. A 26 ans, je me comportais à nouveau comme un adolescent qui fantasme tout seul dans sa chambre et qui se branle à la moindre occasion.
Après les fêtes de fin dannée, il ma rapporté un énième colis, il est parti, je me suis branlé et là, ça sonne à nouveau, je range tant bien que mal le matos, je me mets de la mouille sur la main, jouvre quand même la porte, cest lui qui est revenu, il me dit :
« Ça te dis un petit footing ce soir ? »
« Ouais, pas de problème ! »
On finalise laffaire, il me tend la main, je la lui sers et lui dépose un peu de mouille dessus, ça mexcite encore plus ! Je me suis fini en le regardant partir par la fenêtre caché derrière les rideaux.
A partir de ce jour, on a pris lhabitude de courir deux ou trois fois par semaine. Pour moi, tout était dur ! Je devais gérer leffort, mon souffle, le voir en short me donnait envie de bander, du coup, pour me maîtriser un peu plus, je me branlais avant la course mais, du coup, jétais vidé et amorphe ! Le top est que jai perdu 5 Kg !
Au début, sa copine est venue courir avec nous. Dun côté ça marrangeait car, étant elle-même débutante, on allait doucement. Une fille sympa, canon mais bon, sa présence membêtait ! Les pires séances étaient quand son collègue Martin venait. Un marathonien inépuisable, là, jen bavais. Enfin, quelque fois, nous étions tous les deux, jadorais ! On discutait de tout et de rien puis un jour, il me dit :
« Mais, dis donc Pascal, tes seul ? Un beau mec comme toi, tas pas encore trouvé de copine ? »
« Ah, tu me trouves beau ? »
« Oh, oui, quand même ! »
Jai 26 ans, 1m 71, 62 Kg depuis peu ! Les cheveux bruns et en bataille, les yeux marron. Un torse qui aurait tendance à être un peu poilu mais que je rase ainsi que mes couilles et ma raie. Tous les mecs avec qui jai baisé ont préféré caresser une peau bien lisse. Je porte une petite barbe de trois jours. Moi, je me trouve plutôt dans la moyenne, du coup, jai répondu :
« Merci, cest gentil. Pour ce qui est de ma vie amoureuse, jai plus souvent le rôle de la copine ! »
Il ma regardé dun air surpris mais pas hostile :
« Ah ouais, taime les mecs ? »
« Ben oui ! Jespère que ça ne te pose aucun problème ? »
« Je men fous. »
On a repris la course, on a plus reparlé de ça ! Moi, javais tellement envie de lui que jattendais mon moment !
A partir du mois de mars, on courait seuls le plus souvent, je le sentais énervé, préoccupé. Il a fini par mavouer quavec sa copine les choses tournaient mal Jai failli lui sauter au cou pour lembrasser ! Jai quand même compati. Quest-ce quon peut être faux-cul quand on veut baiser ! A partir de ce jour, quand je le voyais, je me disais : Il na pas dû baiser depuis un moment, il doit avoir les couilles bien pleines ! Cest con de se mettre des idées comme ça en tête !
Cette nouvelle ma redonné espoir.
Au mois de mai, un lundi matin, il sonne, jouvre en caleçon et torse nu. Il me tend mon courrier, il a un visage défait. Je lui demande ce quil a, les larmes lui montent aux yeux et me dit :
« Ça y est, on sest séparés ce week-end. Je morfle ! Je crèche chez un pote depuis samedi mais je ne vais pas pouvoir y rester, cest la galère. »
Je lai convaincu de venir chez moi, loccasion était trop bonne ! Il est arrivé le soir même avec ses affaires. Javais lentement poussé mes pions, jétais en train de le ferrer, il fallait maintenant que je lattire dans mon lit et entre mes cuisses.
Une semaine est passée, je lai laissé prendre ses marques, moi je nen pouvais plus de cette cohabitation sans sexe. Il se lavait la bite dans ma douche, il lavait ses boxers, ses shorts et ses jeans moulants dans mon lave-linge, il se grattait les couilles et se branlait peut-être dans les draps que je lui avais prêtés. Non, ça ne pouvait pas durer comme ça ! Jai tenté le tout pour le tout un mardi soir. On avait discuté toute la soirée sur le canapé. On est partis se coucher, un quart dheure après, je me suis relevé, jai ouvert la porte de sa chambre, il feuilletait un magazine, a levé la tête et, lair surpris, il ma dit :
« Quest-ce que tu veux ? »
« Ta bite ! »
Là, je me suis approché du lit, jai soulevé la couette, il était nu et bandait ! Jai avalé son chibre avant quil réagisse, je me suis mis à lui caresser la poitrine, il sest rallongé, le magazine est tombé par terre et il a poussé un très long soupir de plaisir. Enfin, il était à moi mon beau facteur !
Sa bite était aussi bonne que dans mes rêves, au moins 20 cm par 5, un gland dur, rouge de désir, bouillant, de la mouille sortait du méat, ma langue senroulait autour, je salivais un maximum, il gémissait de plus en plus, ses mains se sont posées sur ma tête et mont caressé les cheveux. Jai léché la hampe puis je lai avalée, jai planté mon nez dans ses poils pubiens et jai inspiré fort pour mimprégner de son odeur de mâle. Jétais comme shooté ! Ça ma donné de la vigueur, jai accéléré le mouvement. Il se laissait faire, complètement abandonné, à ma merci, sa queue coulissait dans ma bouche et senfonçait parfois dans ma gorge. Je lai sucé comme un affamé pendant de longues minutes. Jai soudain senti ses mains se crisper sur ma tête, il a donné un léger coup de reins, sa bite sest encore raidie, son gland a grossi et sest durci et là, ma récompense est arrivée en 7 jets épais, chauds, salés qui mont rempli la bouche. Jai avalé ce précieux nectar et je me suis encore acharné sur sa bite pour en extraire les dernières gouttes dont je me suis délecté comme dun grand cru de vin. En même temps, comme je me branlais, jai joui comme un fou, mon jus est tombé sur les pages de son magazine !
Je lai regardé, il ma souri et ma dit :
« Toi, tu me voulais depuis longtemps, je me trompe ? »
« Depuis le jour où je tai vu mais jai été patient ! »
« Et, ça valait le coup dattendre ? »
« Ah oui alors ! »
« Crois pas que tu mas dépucelé, tes le deuxième mec à me sucer, le premier, javais 18 ans, javais détesté. Toi, tes un sacré suceur, jai adoré. »
« Tas pas idée de tout ce que je sais faire ! »
« Jen doute pas, il va falloir que je vois ça. En tout cas, jespère quau lit tes meilleur quau footing car, permets-moi de te le dire, tes une vraie bille ! »
Jai éclaté de rire, je suis monté dans son lit, on sest allongé lun contre lautre, il ma embrassé et a éteint la lumière. Il a approché sa bouche du creux de mon oreille, a sucé le lobe et ma dit, tout bas : « Jespère que tas pas prévu de beaucoup dormir cette nuit ! », sa main caressait mes fesses, je mouillais déjà !
La suite bientôt, peut-être
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