Voyage Gai D'Un Soumis Vers Mon Maître Gay !
Ce jour-là je me lève de bonne humeur, je dois aller à paris pour une réunion le lendemain mais jai rendez-vous avec mon Maître le soir même.
Je prends donc le train de midi pour être vers 19h au rendez-vous.
Mon maître ma indiqué par SMS être un peu malade mais le rendez-vous doit avoir lieu. Voici maintenant plusieurs mois que nous échangeons des photos et des textes coquins.
Je lai déjà rencontré une fois pour un premier contact cest-à-dire pour vérifier le degré de ma soumission et donc sans que je doive attendre du plaisir en retour. Je lavais retrouvé à une station de métro, nu sous mon jean avec un plug bien installé dans mon fondement et attaché à ma ceinture pour le maintenir en place durant la marche. Arrivés à mon hôtel, il a immédiatement ouvert ma braguette afin de vérifier que je ne portais rien en dessous. Très bien. Sous ses ordres, je me suis entièrement déshabillé. Cest à ce moment quil a découvert la surprise que je navais pas annoncé précédemment : une petite sangle autour du cou et une autre partant de celle-ci. Le message était clair. En portant un collier et une laisse je me mettais à la disposition de mon Maître. Il ma ordonné de me mettre à quatre pattes, tête baissée afin dinspecter mon corps, passant ses mains sur mon dos, mon cul, remuant le plug au passage. Prenant la laisse, il ma fait faire le tour du lit fouettant doucement mes fesses au passage.
Maître, je veux vous lécher.
Me laissant ainsi, il sest déshabillé, ma relevé la tête et a enfourné dans ma bouche sa tige que jai embrassé, léché, sucé. Il ma alors demandé de me coucher sur le lit, allongé sur le dos. Il ma soupesé puis serré les couilles, agité la tige et dégagé le gland en tirant sur le prépuce. Ensuite, il a inspecté mon nombril, remonté ses mains vers mes seins en pressant légèrement les pointes.
- Tournes toi sur le côté et suces !
Ce que je fais, des lèvres et de la langue sans oser prendre plus dinitiative, jattends les consignes.
- Dis-moi avales-tu ?
- Non
On ne se connait pas assez... Ce nest pas prudent !
-
Je continue donc mes succions jusquà ce que :
- Je vais te gicler sur la figure !
Quelques instants plus tard, un jet de foutre sécrase sur ma figure et mon cou.
-vas te laver !
Quand je suis revenu, il sétait rhabillé. Nous nous sommes quittés après le repas. Il mavait alors indiqué son désir de me revoir, que je semblais bien disposé à me soumettre, et que lhôtel nétais propice ni au désir ni à la soumission.
Certes jétais prévenu mais jétais déçu. Voila. Je lai laissé sans nouvelles et Jai longtemps hésité à reprendre contact. Plus tard Par mail, je lui avais ensuite écris mon ressenti cest-à-dire quil avait pris son plaisir sans soccuper de moi. Il ma répondu que le plaisir seul nétait pas son genre et que le premier contact nétait quun préambule. Il me proposa alors un vrai premier rendez-vous, à son domicile. Bien sûr, je devrais être puni pour avoir douté de lui. Je devais dans lattente lui raconter des histoires sexy et lui adresser des photos intimes de moi.
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Cest donc aujourdhui le grand jour tant espéré et tant redouté. Je veux obéir à mon Maître et le lécher comme il lentend. Cest pour cela que jai pris le train plus tôt que dhabitude.
Ce soir nous serons trois. Lorsque jai proposé à Mon Maître la date daujourdhui, il ma répondu quil avait déjà une soirée de prévue avec son autre soumis « François » mais que je devais venir. Il ma précisé que François était là pour deux jours mais quaprès une soirée à trois cest moi qui passerais la première nuit dans le lit de mon Maître. Il a précisé que je devrais être « gentille et soumise » et que je serais puni pour avoir douté de lui. Il ma envoyé des photos des bas et de la nuisette que Je devrais mettre. Jespère que tout est à la bonne taille. En retour je lui ai envoyé des photos trouvées sur le net et qui montrent ce que jaime : un homme pénétré profondément par derrière et une paire de fesses fouettée.
Mais hier Mon Maître ma aussi indiqué être légèrement malade
Du coup jai pris une chambre dhôtel pour passer la seconde partie de la nuit. Le rendez- vous est fixé à une station de métro.
Il ma demandé de lui raconter mon voyage. Après nos échanges par internet jimagine assez que ce nest ni la vitesse ni le paysage qui lintéressent.
Le TGV nest pas spécialement sexy et ce matin au départ la rame est presque vide. Je vais donc envoyer à mon Maître des extraits de ce que je regarde sur mon écran dordinateur. Je me déplace en bout de voiture, le dos à la cloison, et je cherche un film gay. Jen ai plusieurs en stock. Je regarde avec plaisir une belle histoire dhommes amoureux qui se donnent du plaisir. Puis je zappe et recherche une histoire à trois puisque cest le nombre que nous serons ce soir. Ils sont jeunes, plus jeunes que nous. En tenue dété au départ, tee-shirt et short sans rien dessous. Lun est visiblement passif car ils se mettent à deux pour lui enlever le peu de vêtements quil porte. Ils sont rapidement nus tous les trois.
Debout, ils sembrassent à pleine bouche. Mais les deux actifs font rapidement agenouiller leur partenaire. Le plus grand présente sa queue longue et fine devant sa bouche. Sans plus attendre, le soumis gobe cette colonne de chair déjà tendue et de ses mains libres, il caresse le sexe du plus petit. Son sexe est plus court mais aussi plus épais ; il est entièrement épilé. Durant ce temps Les deux actifs sembrassent, les langues tournicotent, les mains caressent les épaules, le cou, le ventre, les fesses, massent les mamelons et titillent les tétons.
Dans un mouvement coordonné ils procèdent à un changement de position. Le passif est poussé à quatre pattes au milieu dun lit. Les deux actifs font de même. Lun devant lautre derrière. Le petit présente un sexe court et épais face à sa bouche, le grand présentant une longue tige à lorée de son illet
Quelques préliminaires plus tard ; - arrêt sur image -, -copie décran - et envoi à mon Maître pour quil partage mes visions de voyage-.
Je mimagine au milieu entre lui et son autre soumis. Sur limage fixe que je viens de transférer par mail on peut voir le soumis se tenant sur trois pattes, caresser de sa main libre des bourses lisses et accueillir dans sa bouche accueillante un sexe enfourné jusquà la garde. Deux mains lui tiennent la tête et semblent ajuster la trajectoire. A larrière une paire de couilles collant la raie de fesses laisse imaginer le trou du cul rempli dun bâton de chair vivante. Des mains sagrippent aux hanches prêtes à cadencer le mouvement comme les bielles dune belle locomotive
Sur les visages imberbes des deux actifs, on peut voir la concentration et la volonté de bien faire. Les traits sont tendus, les yeux mi-clos, les mâchoires serrées. Les muscles des cuisses et du dos sont bandés. Les cuisses fermes et les fesses serrées montrent la force, la détermination et la montée en puissance. Le soumis ressemble à ce quil est : un soumis, accueillant, souple, ouvert. Un filet de bave sécoule de sa bouche.
Je bande sévère, jai envie daller me
Zut le TGV entre à nouveau en gare !
Je dois changer de place car celle-ci est prise. Néanmoins je trouve un autre coin discret. Après le contrôle, mon envie est passée, je ne bande plus.
Soudain, je pense à la punition que mon Maître ma promise. Il a réagi à la photo du martinet sur mes fesses en me disant que cest joli mais quil préfère la baguette car la réaction du soumis aux coups est plus agréable à regarder pour le Maître. Je pense de mon côté que les coups sont plus secs !
Je cherche donc un autre film gay dans la catégorie S.M. pour imager ce à qui je dois mattendre. Le soumis en sous-vêtements est attaché pieds écartés au sol et poings en croix à une barre de bois suspendue au-dessus de lui. Son Maître en jean et polo tourne autour du soumis, un ciseau à la main et commence par découper dans le teeshirt des trous devant les pointes des seins juste assez grands pour accrocher une pince à linge sur chaque mamelon.
Cest au tour du caleçon dêtre découpé sur les côtés. Il tombe et reste accroché au poids. Le Maître le retire sans ménagement ce qui a pour conséquence de tirer le poids vers lavant. Lorsque le tissu craque le poids retombe et repart brutalement dans un mouvement de pendule. Quelques instants et « Merci Maître ». Le soumis est nu comme un ver puisque les liens qui le couvrent peu attirent lattention sur le corps offert. Le Maître ôte alors son string, le bouchonne et linsère dans la bouche de sons vis-à-vis. Cest alors un nouveau moment de douceur. Les corps nus se collent. Lenchaîné attend, les mains libres caressent les épaules, le torse, le ventre sattardent sur les fesses puis ces mains détachent le poids, viennent caresser les bourses ficelées puis la tige qui bande. Le prépuce est abaissé, le gland est dégagé
Le plaisir remplace la douleur. Le Maître serre maintenant les deux queues dans sa main droite et a glissé sa gauche entre les deux lobes à la recherche du vagin masculin. On attend la jouissance comme récompense de la douleur subie. Ca y est presque, encore un instant
Dun seul coup, le maître se dégage, gifle son complice, détache ses poignets de la barre haute pour aussitôt les ficeler ensemble et les accrocher au sol. Le soumis est à genoux, pieds écartés. Le dresseur lui appuie le pied sur la tête jusquà ce quelle touche terre puis luis donne son pied nu à lécher.
- « Tu croyais prendre ton plaisir avant que je nai pris le mien, tu vas le regretter ! »
Dans un murmure assourdi par le string-bâillon on croit comprendre une réponse : « Merci Maître »
- « Reste dans cette position »
Le cul relevé est bien visible sur lécran. Un peu de gel et un doigt ouvre lillet. Encore un peu de gel et le deuxième doigt pénètre. Les deux sagitent, tournent et assouplissent lentrée. Du gel est étalé cette fois sur un stimulateur de prostate qui vient rapidement remplacer les doigts. Le maître tire alors la cordelette restée attachée aux bourses, la tend et laccroche au lien qui va dun pied à lautre. La tension maintient bien les fesses en arrière.
Le Maître a saisi une baguette, longue, fine. Il la secoue pour que chacun puisse voir quelle est flexible. Une caresse sur chacun de lobes, lente, douce
Trois coups qui sifflent lair
Et un coup sec qui pousse la victime en avant dans un mouvement réflexe ce qui a aussi pour effet de tendre les jambes et tire sur les couilles
Un cri de douleur à peine atténué par le bâillon !
- arrêt sur image -, -copie décran - et envoi à mon Maître pour quil partage mes visions de voyage.
Le train entre en gare et des voyageurs nombreux entrent. Ils sont suivis par le contrôleur.
Le train repart, je suis retourné à ma vraie place et jai un voisin. Ni la discrétion ni les messages sexy ne sont de mise.
Je pars aux toilettes. Mon Maître aimerait certainement que je lui envoie une photo où je bande et encore mieux une photo avec ma semence éjaculée sur mon ventre. Je commence donc à me caresser les seins, les couilles et la tige
Mais je pense à notre rendez-vous de ce soir et je me dis quil vaut mieux tout garder pour lui montrer en vrai. Je me calme donc. Je pense alors à faire pipi assis comme la gentille soumise que je suis selon les désirs de mon Maître. Je prends deux photos et je vais les lui envoyer. Cest alors que je vois quil ma envoyé un SMS : « Je ne vais pas mieux, je pense aller au resto avec François rejoins nous, je tenverrai ladresse. »
18H Arrivé à la Gare, je file vite à lhôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
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