Episode 8 : La Lope Donne Tout Et Reçoit Sa Récompense.

Comme Jimmy, j’obéis à Maître et ne me laisse pas distraire. Je recommence l’ascenseur en montée et en descente… Je lape… suce… aspire… titille lentement puis en accéléré. Maître saisit ma tête et projette sa purée en plusieurs saccades dans ma bouche. La quantité est importante et son goût est plus salé que le mien. Quand il ne me retient plus la tête, je remonte à sa bouche pour partager ce dessert comme si nous étions des amants. Il me laisse faire puis m’ordonne de nettoyer ce qui a débordé, je le fais tout en le branlant encore un peu. Maître décide une pause. Pendant que nous faisons du café Jimmy me demande de nettoyer avec la langue, le sperme qui est resté sur lui. Maître fait signe que oui ! Je commence et comme c’est presque sec cela prend du temps. Son corps est musclé et bien lisse c’est un bonheur. Je sens ma bite se bloquer dans la cage de chasteté qui l’enserre toujours. Lui bande franchement. Maître nous rappelle à l’ordre. Maintenant c’est café, jus de fruits et crêpes.
Maître fait durer le goûter, il veut surement reprendre des forces. Il me demande de débarrasser la table et la cuisine et de tout ranger. Nous sommes toujours tout nus. Durant ce temps Maitre discute à voix basse avec Prof et Jimmy. Ce dernier me regarde parfois en coin. Parlent-ils de moi ? Il s’est bien passé une demi-heure, la cuisine est propre, le salon aussi à part les traces de sperme qu’il faudrait laver. « Garçon, viens ici, tu as bien obéi. J’ai fixé un scénario pour la fin de journée. Tu le découvriras au fur et à mesure. » Tandis que Prof me retire la cage, Jimmy me retire le Rosebud. Tous deux prennent leur temps l’un caressant mon service trois pièces, l’autre insérant deux puis trois doigts dans mon rectum. Puis Maître prend Jimmy par la main, le met à genoux devant le canapé, s’installe derrière lui, le pénètre avec ses doigts… Prof fait de même avec moi. Je suis à côté de Jimmy, dans la même position et Prof imite Maître dans mon rectum.

Cela dure un petit moment.
Jimmy ronronne de plaisir, Maitre semble lui en donner plus que Prof cet après-midi. C’est à ce moment que Maître enfourne franchement la chatte de Jimmy pour le labourer de bout en bout. Je m’attends à ce que Prof fasse de même. J’espère simplement qu’il prendra son temps. Comme il a éjaculé récemment, je peux espérer qu’il sera moins précoce. Rien ne vient, Prof continue de m’élargir avec trois doigts ou plutôt quatre, deux de chaque main. Je jette un œil derrière moi… surprise, Je risque d’attendre… j’attendais un bâton de berger et je ne vois qu’une « couille molle ». Je regarde de l’autre côté, Maitre a empoigné la teub de Jimmy et, en cadence l’encule et le branle. A ce rythme-là l’explosion des sens ne va pas tarder. Derrière moi, Prof a lubrifié ses mains de gel anal et tente de me fister. Cinq doigts sont entrés, il tourne la main pour m’ouvrir encore mais je ne suis pas assez rodé et je souffre. Evidemment il s’en moque et de l’autre main pince mes zébrures avec force.
Combien de temps mon œillet va-t-il tenir ? A moins que je ne me révolte… Sauf que mes fesses me rappellent le prix à payer pour avoir désobéi ! Maître est endurant, il pilonne toujours Jimmy lequel semble avoir perdu le sens des réalités, il s’agite, se tortille et finalement, dans un rugissement éjecte une belle quantité de sperme devant lui. C’est comme s’il avait donné le signal car Maître se raidit, jette son bassin en avant dans un cri de jouissance... Ils s’écroulent au sol. Ils restent ainsi accouplés plusieurs minutes. Mon trou du cul ne s’est pas laissé forcer et Prof a renoncé. Nous regardons nos voisins de baise, envieux. Une pause semble nécessaire et nous prenons le temps de nous désaltérer. Si j’ai bien suivi, je suis le seul à ne pas avoir éjaculé ; Maître et Jimmy deux fois chacun et Prof une fois puisqu’à la deuxième sa bite est restée en rade. C’est alors que Prof déclare « je rentre chez moi. Je n’offre jamais mon cul ! » Cette expression me laisse songeur.

Pendant qu’il se rhabille, je me demande si cela signifie que Maitre voulait le sodomiser ou regarder Jimmy le défoncer de son bel engin, à moins que ce soit parce qu’aujourd’hui il ne pourra plus bander !!! Pendant que je réfléchi à cette alternative Prof a pris un verre de vin, salué la compagnie et est sorti. Maître me retire le tanga qu’il m’avait laissé, nous prend par la main et nous mène à la douche. Nous sommes un peu serrés mais l’eau chaude est agréable. Avec Jimmy nous savonnons Maître puis je savonne Jimmy, lequel me savonne. Je suis le seul à bander. Eux n’ont pas encore récupéré de leurs ébats frénétiques. Après un rinçage collectif nous nous séchons et enfilons un peignoir pour ne pas nous refroidir. « Garçon, tu prépares un encas avec un peu de vin, il faut reprendre des forces ». Pendant que je travaille Maitre explique à Jimmy que Prof commence à vieillir. Il lui aurait bien filé du Viagra mais maintenant il devient grognon quand il a une panne.
Ils se sont installés à table et je me demande où je dois me mettre : garçon ou Chien ? je n’ai pas de consigne. « Garçon, maintenant tu es devenu un demi-homme. Enlève ton peignoir et vas chercher la chaise basse de la chambre et tu t’assoiras dessus ». Jimmy rigole ! J’avais effectivement aperçu une espèce de prie-dieu à moitié recouvert de linge… Je le dégage et découvre qu’au centre de l’assise est fixé un gode, un gros. Sans discuter, je la mets devant la table ; Jimmy lubrifie l’engin et je m’assois doucement dessus. Ça entre difficilement, je n’ai jamais pris aussi gros. Maître m’annonce : « c’est le dernier effort pour aujourd’hui, je vais tenir ma promesse ». Je me dandine ; PLOP, c’est fait, je suis assis. Dans cette position mon menton arrive au ras de la table et je me sens bien en infériorité. Ils mangent et boivent tranquillement. Dans ma position je n’arrive à rien attr sur la table et je ne peux pas me lever. Ils me donnent donc la becquée.
Ni garçon ni chien, je me sens comme une poupée disponible aux caprices.
« Nous allons passer à la dernière étape » dit Maître, « J’ai prévu un viagra pour Jimmy et moi » et comme il ne fait pas effet de suite nous allons tartiner le demi-homme de miel bien collant. Et ils me badigeonnent le devant du corps, particulièrement les zones érogènes… Je reste assis durant ce temps. Enfin, ils me bandent les yeux, me relèvent sans ménagement en arrachant le gode de mon cul et m’entrainent et me jettent sur le dos dans ce qui me semble être le lit. Je reçois une giclée sur la figure qui au goût se révèle être de la crème chantilly. Je sens deux langues sur ma bouche, elles entrent tour à tour dans ma bouche, se mélangent avec la mienne et ressortent chercher la crème puis reviennent. Je me laisse faire, c’est bon. Maintenant quelqu’un s’allonge sur moi, il s’est déshabillé et tête mon mamelon droit, une autre bouche est sur le gauche. Je suis bandé depuis un moment, pourvu que ça dure.
« Ouvre la bouche garçon ». Je m’exécute « Tiens c’est un demi-viagra, tu n’as pas joui depuis cette nuit mais c’est plus sûr ». Une giclée de chantilly et j’avale. Pendant qu’une bouche me déguste littéralement la poitrine, une autre mange mes cuisses, des mains tournent autour de mon pubis sans toucher mon appareil génital ce qui m’excite beaucoup. Quand je bouge les bras, leurs mains me retiennent, j’y renonce sans regret du moment que ça continue ! Quelqu’un s’assoit sur ma bouche, je lèche et ne reconnait pas le cul de Maître. Donc c’est Jimmy et il est bien ouvert, c’est vrai qu’il a servi aujourd’hui. Il se dandine bien, j’arrive à y faire pénétrer ma langue. Entre mes jambes une main dresse ma bite tandis que Jimmy se relève pour s’assoir dessus. La main m’abandonne, Jimmy commence des mouvements de haut en bas que les ressorts du lit amplifient. Je sens des fesses qui s’installent sur ma poitrine. Maître présente ses couilles à ma bouche que gobe goulûment.
Le Viagra a fait son effet, le Maître a la trique. J’avale son membre, serre les lèvres et lèche partout.
Jimmy poursuit son polissage de ma teub avec sa chatte. Il sait s’y faire en jouant aussi des muscles de son sphincter serrage puis desserrage et blocage… Il me fait perdre le contrôle. J’attends ce moment depuis des heures et ne résiste pas. J’inonde son conduit rectal de ma semence... Je sens des spasmes autour de mon engin, Jimmy s’accroche au dos de Maître et joui du cul. Nous restons ainsi un moment, repus. J’en oublie de sucer le Maître. Puis Ils se retirent tous deux et me caressent doucement pour maintenir ma bandaison. Je les sens alors bouger. Un d’entre eux mais lequel ? me tire pour me déplacer et m’allonger sur le ventre… Entre les fesses d’un autre, lequel dirige ma verge vers son trou. On me retire mon bandeau, c’est Jimmy qui sourit en me voyant allongé sur le Maître. Je vais baiser le Maître ! c’est inespéré, c’est donc cela sa promesse. Je dois être à la hauteur.
C’est incroyable, moi le Garçon, le Chien, la Lope, je vois le Maître offert, couché sur le ventre, le cul surélevé sur un coussin, jambes écartées et surtout ma verge à la porte de son trou du cul. J’ai plusieurs fois pénétré sa bouche signe de ma soumission et de sa volonté que je lui donne du plaisir… Maintenant, je vais prendre mon pied dans sa chatte, la ramoner et faire danser sa prostate. Je commence doucement en caressant de mon gland son œillet. Jimmy attentif, lubrifie queue et cul. J’entre progressivement ce qui n’est pas une première car l’ouverture se fait bien. De petits va et viens puis de nouvelles avancées de plus en plus profondes jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Jimmy est allé à la tête du Maître, ils s’embrassent goulument. Je les regarde, je n’ai jamais embrassé comme ça, peut-être qu’après j’y aurais droit ! je me sens bien, tendu vers un objectif : féconder le Maître, lui transmettre mes gamètes et mélanger nos fluides corporels.
Son rectum est souple, je tape sur le premier virage et Maître gémis sous les secousses. Je voudrais que ça dure. Certes j’ai joui récemment et ça devrait aider à tenir mais depuis ce matin j’ai tellement été maintenu dans la frustration que je voudrais me rattr. Maître se tourne sur le côté m’entraînant avec lui. Nous sommes maintenant couchés, emboités comme des cuillers. En tournant un de mes bras est resté sous son flanc ce qui me permet de stimuler son périnée par de petites pressions. Au passage, c’est aussi son sexe que je frôle. Je n’oublie pas de m’agiter derrière lui. Entre ma queue qui le pénètre et mes doigts qui lui tapotent le mont de Vénus, nous sommes devenus le Yin et le yang, composants différents d'une dualité, à la fois opposés et complémentaires. Je voudrais en profiter longtemps mais c’est lui qui accélère montrant qu’il est toujours le boss. Je me plie à son rythme pour une danse des sens… Jérémy vient de me toucher les fesses, caressant mes blessures.
C’est est trop pour moi, j’explose dans une succession de saccades en poussant des cris de mâle en rut. Maître se plie en deux et entre dans une transe que la jouissance prostatique procure. Nous sommes comme soudés par le plaisir et le stupre avant de pouvoir nous relâcher. Celui qui a été mon Maître est devenu un amant. Nous restons là un moment, Jimmy me caresses l’œillet. Visiblement ce côté de mon corps l’attire. Quand enfin je me retire, le jus de mon corps s’écoule entre les fesses de « Maître » (comment dois-je l’appeler désormais ?). On dirait comme des petits geysers ou plutôt comme des bulles à la surface d’un volcan de sauce béchamel. Nous sommes allongés l’un à côté de l’autre, nous nous donnons la main. Jimmy sur le bord du lit ne semble pas disposé à abandonner la partie sans un dernier combat. Il relance mon érection que les frustrations précédentes et sans doute le viagra, facilitent. Maitre se contente de regarder.

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